2. agnesmenso-coaching.com
Le serious game peut
dans ce cadre-là être
complété par un test
de profilage.
Cela n’a rien
d’obligatoire. Il peut
aussi être intéressant
de laisser faire le
hasard.
Le côté ludique du jeu
permet de faire passer
de nombreux
messages, en termes
de styles de
communication et de
management.
Outil de diagnostic, il
fait réfléchir les
participants sur le rôle
et la place qu’ils
occupent au sein du
groupe.
Il pointe les jeux de
pouvoirs et met en
lumière la façon dont
chacun mobilise ses
compétences, gère
les risques, transmet
l’information ou encore
aide les autres.
Dans le cadre d’une
communication de
crise, d’une conduite
de changement ou
d’un parcours de
formation managériale,
le serious game se
pilote généralement
avec 2 ou 3
consultants.
Les groupes n’excèdent
pas 30 personnes.
Chaque sous-groupe
compte 10 personnes
maximum.
Pour une cohésion
d’équipe, il est difficile
d’excéder 10-12
personnes.
Pour chacune de ces
interventions, le rôle
des consultants est
bien sûr d’observer
chaque groupe, mais
surtout de le mettre
sous pression, en
mettant en place par
exemple des
contraintes ou de
nouvelles les règles de
fonctionnement.
Un serious game dure
en principe un à deux
jours consécutifs, au
cours duquel vont se
succéder, en
complément du jeu,
des débriefings, des
points sur des axes de
vigilance ou des
échanges de best
practice.
Un serious game
abouti se termine
généralement par la
mise en place d’un
processus.
Il peut aussi être
intéressant, quelques
mois après la
prestation, d’organiser
des retours
d’expérience en
collectif et de
compléter certains
apports.
Mais comme dans
chaque intervention, il
est indispensable de
définir précisément
l’objectif du serious
game.
C’est lui, qui complété
par la formulation des
facteurs clés de
succès (KSF) et
indicateurs de
performance (KPI),
va conditionner le
succès de la
prestation.