3. Historique
: Les rayons X ont été découverts par Roentgen à Würzburg en Allemagne.
en : la découverte de la fluorescence X par Winkelmann et Straubel.
en :la découverte de leur diffraction par Haga et Wind.
Depuis les années :l'image radioscopique peut être amplifiée, saisie par une
caméra vidéo .
Depuis les années : les nouvelles générations d'amplificateurs de brillance et
de caméras vidéo ont permis la production d'images radioscopiques numérique .
4. En radioscopie, le film est remplacé par un amplificateur de brillance. La radioscopie est le
terme employé pour nommer l'utilisation des rayons X en temps réel sur écran de télévision
pour la visualisation des organes.
L’amplificateur de luminance
5. Système de télévision radiologique
-tube radio gène
-amplificateur de luminance ( ou capteur plan "dynamique" )
- caméra TV = optique + tube analyseur ou capteur CCD (charge-coupled device)
- chaîne TV ( CCU = caméra control unit )
- moniteur de visualisation = CRT ( cathodic ray tube )
6. Principe de fonctionnement
Production des rayons X
Un tube à rayons X est un tube à vide,
Les rayons X sont produits lorsqu’un faisceau d’électrons accélérés vient frapper une cible.
Les électrons sont libérés par chauffage d’un filament de tungstène
La majeure partie de l’énergie libérée est constituée de rayonnement émis sous forme de chaleur,
certains
rayonnements possèdent une énergie suffisante pour être classés dans la catégorie des rayons X.
8. Principe de fonctionnement
L’amplificateur de luminance est constitué principalement de :
1. Tube à vide
2. Ecran primaire
3. Ecran secondaire
4. Les électrodes
Le tube à vide permet l’accélération des électrons sans interactions
9. Principe de fonctionnement
Ecran primaire:
Il se décompose de 2 parties accolées :
Une couche sensible aux RX
Une photocathode
une photocathode en antimoniure de césium ou en arséniure de
gallium libère
10. Principe de fonctionnement
Ecran secondaire
Une première couche d’aluminium a pour fonction d’empêcher la retrodiffusion de la
lumière émise, puis une couche de sulfure de zinc et de cadnium activé à l’argent et
convertit les électrons en photons lumineux.
Les électrodes Ils ont deux fonctions principaux:
l’accélération des électrons
La focalisation de ces électrons
11. Principe de fonctionnement
Rendement de l'amplificateur de brillance
La succession de pertes et d'amplification aboutit au rendement de l’amplificateur, qui compare les
amplitudes des signaux d’entrée et de sortie.
Plus précisément, le gain total de l’amplificateur est le produit du gain électronique par le gain
géométrique.
Gain = Gain électronique (gain de flux) × Gain géométrique (gain de réduction de taille)
Le facteur de conversion
Le facteur de conversion d’un amplificateur de luminance traduit son efficacité à convertir les rayons X en
photons lumineux. Il s’exprime en cd.m-2 / microGy.s-1.
Typiquement le facteur de conversion d’un amplificateur est de l’ordre de 7,5 à 15 Cd m-2/µGy.s-1 et plus.
20. Le tube analyseur :
Types :
1-Vidicon :
• Emission électronique > Eclairement Rémanence
• Maximum de sensibilité spectrale se situe vers 450 nm
21. Le tube analyseur :
Types :
1-Le plumbicon :
- Moins rémanent
- Maximum de sensibilité
spectrale se situe entre 480 nm et
560 nm
- Contraste
- Prix
22. Le tube analyseur :
Types :
1-Newvicon :
• Sélénium de zinc (ZnSe)
• Tellurure de zinc et de cadmium (ZnTe/CdTe)
• Sa qualité et son prix le placent entre les deux tubes
précédents
23. Camera CCD ( Charge Coupled Device):
Le détecteur CCD, pour l'anglais , assure la conversion d'un signal lumineux en un signal
électrique. Cette technique introduite en 1969 et en usage en astronomie depuis la fin des années
70, fournissant des détecteurs pour les domaines visible, infrarouge et proche UV.
Chaque pixel de la matrice CCD correspond à un élément semi-conducteur.
24. Camera CCD ( Charge Coupled Device):
Processus de lecture :
Les étapes de l'enregistrement et de
la lecture d'une image CCD sont décrites dans
l'animation ci-jointe :
Durant la pose, les pixels se remplissent peu
à peu en photo-électrons. .
La variation du potentiel définissant les
lignes du CCD conduit au transfert, ligne par
ligne, vers le registre (grisé).
Le registre transfère les photoélectrons vers
la zone de lecture (gris foncé), pour charger
un condensateur. La tension aux bornes du
condensateur est ensuite amplifiée et
numérisée.
25. -faible encombrement et faible poids
-consommation < 1 W / 10 W
-insensibles aux champs magnétiques
-non rémanents
-sensibilité et dynamique supérieures
-réponse linéaire à l’augmentation de la lumière
-durée de vie illimitée (?) / 3000 à 5000 h
pour les tubes analyseurs
-pas de distorsion géométrique, résolution
spconstante en tous points de l’image
-temps d’intégration modulables (résolution
dynamique)
-meilleure FTM
avantages des capteurs CCD /
tube analyseur
Camera CCD ( Charge Coupled Device):
26. chaîne de lecture (Traitement d’image)
L’objectif de la chaîne de lecture est :
de récupérer les charges Q de chaque photo- site.
de convertir les charges stockées (Q) en signal analogique (tension).
de numériser la valeur analogique grâce à un convertisseur
analogique/numérique (CAN).
Le but essentiel de cette chaîne est de garantir un rapport signal sur bruit
optimum i.e. avoir un bruit de lecture minimum grâce à un filtrage des bruits à
basses et hautes fréquences (filtrage passe- bande).
27. chaîne TV ( CCU = caméra control unit )
Synchronise le signal vidéo entre la caméra CCD (ou le tube analyseur) et le
moniteur.
28. moniteur de visualisation = CRT ( cathodic ray tube )
Le tube image est un tube à rayons cathodiques (TRC ou CRT) c’est à dire un tube
possédant une cathode qui excitée par l’effet d’un courant électrique émet des
électrons. Il comporte donc un canon à électrons et un écran luminescent disposés à
l’intérieur d’une enveloppe de verre vide d’air.
29. 1 : Trois émetteurs d'électrons (rouge, vert et bleu points de phosphore);
2 : Les faisceaux d'électrons
3. Bobine de concentration ;
4. Bobines de déflexion
5. Anode (collecteur)
6. Masque pour la séparation des faisceaux pour une partie rouge, vert et bleu de l'image affichée.
7. Couche de luminophore avec des zones rouges, vertes et bleues
8. Close-up of the phosphor-coated inner side of the screen
moniteur de visualisation = CRT ( cathodic ray tube )
33. Catégories d’examens considérées pour la caractérisation des
installations
Examen couvert par l’enquête appartenant à cette catégorie.
on entend par Non DSA une image non soustraite.
Angiographie avec soustraction digitale d’images.
34. MAINTENANCE
L'amplificateur de brillance:
Entretien
Nettoyage régulier de l'appareil avec des produits non corrosifs, non agressifs.
Décontamination régulière de l'appareil avec des produits adaptés, notamment après utilisation de
l'appareil au bloc.
35. MAINTENANCE
Niveau de formation requis :
Le personnel intervenant dans la réparation et le suivi de ce type d'appareil, doit avoir suivi
une formation sur son fonctionnement et sa maintenance, dispensée par le constructeur, un
organisme habilité, ou une personne compétente.
Des compétences en électronique et en mécanique sont souhaitables.
38. Bibliographie
http://christopheg.fr/physique-appliquee-et-technologie-en-imagerie-
radiologique (de page 5 à29) consultation par inscription durant la préparation
http://slideplayer.com/slide/6155881/ le 29/03/2016
http://www.cyclopaedia.fr/wiki/Amplificateur-de-luminance consulte
le 10/05/2016 contient tous les docs AL
https://fr.wikipedia.org/wiki/Spectrom%C3%A9trie_de_fluorescence_des_ra
yons_X consulté le 11/05/2016 à 14h00
Notes de l'éditeur
Le rapport luminance / RX est appelé facteur de conversion, mesuré en Candela par mètre carré et par milliRoentgen (70 cd / mR est alors une valeur moyenne)
Elle est utilise dans la chaine de radioscopie au cas ou elle s agit d’une camera d’,,,,,,, pour devier la lumiere ,iil equivalent a un commutateur en electronique il permet de selectionner la vois ke vas du champs lumineux sortant de la 2 eme ecran de lamplificateur de luminance
Schématiquement, c'est un dispositif optique constitué :
-D'un miroir plan semi-transparent, incliné sur l'axe des rayons lumineux. Il est mobile, permettant de diriger l'image dans plusieurs directions ;
-Parfois d'un miroir réfléchissant, situé derrière le précédent, et qui renvoie l'image vers la caméra de télévision ou d'ampliphotographie.
Ces boîtiers sont d'autant plus délicats et complexes qu'ils permettent des utilisations plus nombreuses (deux ou trois).
Elle permet d’avoir un document objectif il est constituer principalement
1. Objectif. 2. Miroir de renvoi de l'image. 3. Film en position de réception d'image. 4. Magasin débiteur des films vierges.5. Rouleau à gradins d'entraînement film par film. 6. Galets d'entraînement du film. 7. Magasin récepteur des films exposés. 8. Fiche d'identité du patient. 9. Optique de marquage des données du patient. 10. Optique du posemètre automatique. 11. Photomultiplicateur de mesure.
C'est l'enregistrement photographique de l'image de l'amplificateur sur un film de petit format, à l'aide d'une caméra appropriée, utilisant une des directions du répartiteur de lumière. Cette caméra est un véritable appareil photographique avec son objectif propre et un magasin de films. D'abord de 70 mm, le format actuellement utilisé est de 100 mm. Les films sont utilisés sous forme de rouleaux ou plus souvent de « plaques », d'exploitation plus facile, bien que nécessitant une mécanique plus complexe. Les cadences de prise de vues vont de 1 image/s à 6 images/s selon les appareils.
L'exposition est habituellement contrôlée par un dispositif automatique. Une petite portion de lumière venant du centre de l'image est déviée par un prisme vers une cellule photo-électrique ou un photomultiplicateur qui agit directement sur un circuit de contrôle de l'intensité des rayons X . Comme le montre la figure ci-après, elle est composée de :
Ces modifications de résistance électrique de la cible ne s'effectuent cependant pas à la même vitesse, parfois très élevée, que celle des changements de l'éclairement.
Si la croissance du signal, pour atteindre son niveau le plus élevé, est relativement rapide, sa décroissance est beaucoup plus lente,. La durée de l'émission électronique est supérieure à celle de l'éclairement et crée un phénomène de rémanence, principal inconvénient de ce tube, particulièrement gênant pour l'observation des mouvements rapides. Son maximum de sensibilité spectrale se situe vers 450 nm, dans le bleu, et nécessite donc une émission dans la même couleur de l'écran secondaire de l'amplificateur de luminance.
que le Vidicon permet donc l'analyse de phénomènes rapides.
Constituée d'oxyde de plomb (PbO).
Sa cible est complexe, formée de 2 couches, l'une formée de sélénium de zinc (ZnSe), l'autre d'un sel double : tellurure de zinc et de cadmium (ZnTe/CdTe). Son principe de base utilise des phénomènes de transfert de charges, voisins de ceux des semi-conducteurs. Sa qualité et son prix le placent entre les deux tubes précédents, mais l'existence d'un petit courant d'obscurité n'en permet pas l'utilisation pour la radiologie numérisée.