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Contacts presse – agence Amalthea
Floriane Gouache - fgouache@amalthea.fr - 06 62 15 31 86
Laurent Meggs - lmeggs@amalthea.fr – 06 60 07 44 53
2
Sommaire
3 questions à Laurent Eydieu, Directeur Nouvelles Technologies, Reed Expositions France p.3
Présentation des Comités Scientifiques Documation/MIS 2014 p.5
Documation/MIS 2014, les temps forts p.7
► 6 conférences plénières sur les grandes tendances du secteur
► Des conférences et ateliers thématiques sur les enjeux sectoriels et métiers
► 2
ième
édition des Trophées « Data Intelligence Awards »
► Lancement du « Service Projets », en partenariat avec le CXP
► Remise des « ECM Personality Awards 2014 », en partenariat avec l’APROGED
► Enquête exclusive XIKO « L’information, parlons-en »
► 2 villages partenaires : Microsoft et FNTC
► Les études dévoilées à l’occasion de Documation / MIS
Focus sur les thématiques clés de Documation/MIS 2014 p.17
► Big Data : « les premiers projets métiers arrivent »
► Dématérialisation, GED et gestion de contenus
► Archivage électronique, records management et tiers de confiance
► Partager la connaissance : les nouvelles formes de gouvernance pour réussir sa
transformation numérique
► La maîtrise informationnelle des entreprises françaises
► Sécurité des données et intelligence collective
Infos pratiques p.31
► Accès et horaires
► Liste des exposants
► Fiche d’identité du salon et des organisateurs
3
3 questions à Laurent Eydieu,
Directeur de la division Nouvelles Technologies
Reed Expositions France
Q- Quelles sont les ambitions de Documation et du MIS ?
Documation existe maintenant depuis 20 ans, et représente pour les professionnels le grand rendez-vous annuel
d’échanges et de rencontres sur les sujets de la gestion des documents, des données et des contenus en entreprise.
Depuis 3 ans, le MIS, le salon Management – Information – Stratégie, co-organisé avec Veille Magazine, se tient
conjointement à Documation, et vient renforcer les thématiques du salon avec des sujets dédiés plus spécifiquement
aux professionnels de l’information stratégique et de la gestion des connaissances.
À travers ces deux événements, nous souhaitons fédérer les acteurs de l’information et du document numérique,
jouer le rôle de place de marché, et favoriser ainsi des opportunités d’affaires entre les fournisseurs de solutions et les
porteurs de projets en entreprise.
Q- Quelles seront les nouveautés de Documation et du MIS en 2014 ?
Pour cette nouvelle édition, nous avons souhaité renforcer le programme des conférences proposées aux visiteurs,
dans l’esprit de ce qu’était Documation à sa création il y a 20 ans.
Pour cela, nous avons mis en place deux Comités Scientifiques, placés sous la présidence de Louise Guerre (Groupe
Serda) pour Documation, et de Jacqueline Sala (Veille Magazine) pour le MIS ; et réunissant à la fois des experts du
document et de l’information numérique, des utilisateurs, et des décideurs métiers de différents secteurs.
4
Ces Comités ont pour mission de créer un programme de conférences à forte valeur ajoutée, permettant de couvrir
les grandes thématiques transverses du secteur, comme la gouvernance documentaire ou la data intelligence ; mais
aussi de les décliner par secteur et par fonction, avec des conférences thématiques dédiées à certains métiers,
comme les Ressources Humaines, le Marketing, la Santé, le Secteur public ou encore la Finance.
L’édition 2014 sera également marquée par le lancement du « Service Projets », un outil innovant de « génération de
leads ». Ce dispositif, testé en 2013 et qui avait alors permis d’identifier plus de 1 000 projets, sera animé par le CXP
et reposera sur une plateforme web d’identification de projets, couplée à un espace physique de mise en relation avec
les exposants et de rencontres d’affaires sur le salon.
Q- Quelles seront les thématiques clés abordées lors de l’édition 2014 ?
Notre ambition est d’accompagner les entreprises et les organisations dans leur transformation numérique. Elles
trouveront sur Documation/MIS toutes les solutions en la matière, et plusieurs angles seront traités : valorisation des
nouveaux usages, maîtrise des risques et définition des nouvelles perspectives.
Plus spécifiquement, Documation/MIS 2014 couvriront les thèmes de la dématérialisation, de la gestion électronique
de document, de la gestion de contenus, du Big Data et de la Data Intelligence, de l’archivage électronique et du
records management, de l’accès à l’information et la connaissance, de l’entreprise collaborative, de la gouvernance
de l’information…
5
Présentation des Comités Scientifiques Documation/MIS 2014
Pour ces nouvelles éditions de Documation et MIS, les organisateurs ont souhaité mettre en place un programme de
conférences à forte valeur ajoutée. Les grands sujets transverses seront couverts par des sessions plénières et
déclinés par secteur et par fonction, à travers des conférences thématiques sur Documation, et des ateliers de
démonstrations et conférences d’experts sur MIS.
Ce programme ambitieux est réalisé et piloté par deux Comités Scientifiques, placés sous la présidence de Louise
Guerre (Groupe Serda) pour Documation, et de Jacqueline Sala (Veille Magazine) pour MIS. Ces
Comités réunissent à la fois des experts du document et de l’information numérique, des utilisateurs, et des décideurs
métiers de différents secteurs.
Membres du Comité Scientifique MIS 2014
Professionnels de l’information :
Stéphane Rosenwald, Global Market Intelligence Alliance, Président de ESCP Alumini IE, Président de la commission
IE à L'AMRAE (Association pour le management des risques et des assurances de l'entreprise)
Anne Marie Libmann, Co-présidente ADBS. Consultante à l'International
Sélim Allili, Co-Président Observatoire des Think Tanks
Rémi Bilbault, Président GFII (Groupement Français des Industries de l'Information)
Diane Rambaldini, Présidente ISSA France, Sécurité de l'Information, Risques & Crises. Conseil en management des
risques opérationnels & informationnels
Experts et décideurs métiers :
Rémy Fevrier, Maître de Conférences en Sciences de Gestion au CNAM-INTEC. Responsable des UE Management et
Audit des Systèmes d'Information - Ancien Lieutenant-Colonel de la Gendarmerie Nationale
Christophe Binot, Responsable Gouvernance de l'Information du groupe Total.
Isabelle Reyre, Dirigeant Arctus. Responsable de l'Observatoire des DRH
Renaud Finaz, Directeur Marketing et Communication, Micropole
Gérard Haas, Avocat, Président de GESICA, Réseau international d'avocats. Membre des Décideurs du Digital
6
Membres du Comité Scientifique Documation 2014
• Françoise Banat Berger, Sous-Directrice à la politique interministérielle et territoriale pour les archives traditionnelles et
numériques, Service Interministériel des Archives de France
• Alain Bensoussan, Avocat à la Cour d’appel de Paris, Cabinet Alain Bensoussan
• Alain Berger, Directeur Général d’ARDANS
• Jean-Pierre Blanger, Vice-Président de la FIDIM (Fédération Internationale Document and Information Manager)
• Philippe Courqueux, DSI de Cora, membre du CIGREF et Président du Comité d’orientation stratégique AFNOR «
Information et communication numérique»
• Xavier De La Selle, Directeur de la Rixe, Ville de Villeurbanne, et membre du Conseil d’administration de l’AAF (Association
des Archivistes Français)
• Bernard Delecroix, Délégué Général de la FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance)
• Catherine Dhérent, Adjointe scientifique et technique à la Direction des Services et des Réseaux de la Bibliothèque
Nationale de France
• Marie-Louise Flacke, STC France – Assistante France des rédacteurs techniques, rédactrice technique
• Pierre Fuzeau, Co-Président de Serda et Président de la CN46 Information, Documentation et Archives à l’AFNOR
• Romain Hennion, Co-responsable pédagogique « Executive Certificate Architecture and Cloud Computing » à l’Ecole
Centrale Paris, auteur « Cloud computing : décider, concevoir, piloter, améliorer »
• Arnaud Jules, Directeur Gestion et conservation de l’information, Orange
• Charlotte Maday, Responsable du bureau des archives et de la gestion des documents de l’Université de Paris DIDEROT –
PARIS 7, expert AFNOR/ISO et membre de AAF
• Véronique Mesguich, Co-Présidente de l’ ADBS (Association des Professionnels de l’Information et de la Documentation)
• Philippe Nieuwbourg, journaliste, Decideo.fr
• Fabrice Papy, Directeur du groupe de recherche "Document numérique & Usages", Université de Lorraine
• Laurent Seguin, Président de l'AFUL, l'association francophone des utilisateurs de logiciels libres
• Michel Thomas, Consultant Expert
• Thibaut Stephan, Responsable de SerdaLab, le laboratoire du groupe Serda/Archimag
7
Documation/MIS 2014, les temps forts
6 conférences plénières sur les grandes tendances du secteur
26 mars à 10h30 Espace Conférences Documation : « Dématérialisation, GED et ECM : avancées
juridiques, interopérabilité et processus métier »
26 mars à 14h15 Espace Conférences Documation : « Dans les coulisses des organisations : collecte,
qualité et maîtrise de ses données »
27 mars à 10h30 Espace Conférences Documation : « Archivage électronique, records management et
tiers de confiance : sécurisation, conformité, et pérennité au service de la confiance »
27 mars à 14h15 Espace Conférences Documation : « Partager la connaissance : transformation
numérique et nouvelles formes de gouvernance »
26 mars à 11h30 Espace Conférences MIS : « Intelligence numérique : la France se mobilise »
27 mars à 16h00 Espace Conférences MIS : « Valorisation des Technologies Data au service des
décideurs»
8
Documation/MIS 2014, les temps forts
Des conférences thématiques sur les enjeux sectoriels et métier
Les conférences thématiques de Documation 2014 traiteront de sujets métiers et/ou sectoriels, comme, par exemple :
Santé : « Gérer un projet de dématérialisation dans le domaine de la santé » (26 mars à 9h30)
Banque & Assurance : « la dématérialisation dans le domaine bancassurance, révolution des modes de
consommations et la compliance » (26 mars à 16h)
Secteur public : « techniques de numérisation et dématérialisation pour le secteur public » (27 mars à 9h30)
Marketing : « Big data, comment lancer son premier projet ? » (26 mars à 13h30)
Juridique : « La signature électronique » (27 mars à 17h)
PME-PMI : « La GED collaborative » (27 mars à 16h)
DAF : « Dématérialisation des factures et des flux financiers, enjeux, opportunités et retour d’expériences »
(26 mars à 12h15)
A noter également la tenue, le mercredi 26 mars de 13h00 à 13h45 sur le MIS, de la conférence « Etat de l'Art
sur les réseaux sociaux d'entreprise : Le big data au service de la transformation digitale », sur laquelle Lecko
présentera les éléments marquant de sa dernière étude des réseaux sociaux d’entreprise et fera le tour de l’évolution
de l’offre, des usages en entreprises et des démarches de transformation associées.
Une étude issue d’une enquête réalisée auprès de 10 entreprises du CAC 40 sur les conditions de mise en place de
leur RSE nourrit la présentation de l’état de l’art des stratégies de déploiement et gouvernance. L’étude présente
comme chaque année l’analyse de 30 solutions du marché sur 100 usages à partir de 450 critères fonctionnels.
9
Documation/MIS 2014, les temps forts
2ème
édition des « Data Intelligence Awards »
Pour leur 2
ème
édition, Les « Data Intelligence Awards » ont choisi de mettre en lumière des solutions, entreprises et
initiatives dans le domaine de la « Data Intelligence », secteur dont les évolutions impactent aujourd’hui, par leur
performance et leur créativité, l’ensemble des technologies de l’information et de la connaissance, dans 4 catégories :
Data Access, Open Data, Data Visualisation, BI Mobile.
Le jury composé de 5 membres est présidé cette année par Laurence Dubrovin, analyste au CXP. (cf. interview ci-
après). La remise des prix aura lieu le 27 mars 2014 à 17h00 (espace de conférences du MIS).
Pour en savoir plus sur les Trophées « Data Intelligence » :
http://www.veillemag.com/Participez-aux-Data-Intelligence-Awards-2014_a2352.html
Retrouvez les nominés et lauréats 2013 sur :
http://www.veillemag.com/Laureats-et-Grand-Prix-aux-Data-Intelligence-Awards-2013_a2055.html
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3 questions à Laurence Dubrovin, Analyste au CXP (Expert BI, CRM & MDM)
Q- Comment définiriez-vous le concept de Data Intelligence ?
Face à la multitude des informations, structurées ou non, provenant de sources multiples, internes
(outils de BI, systèmes CRM, ERP ou RH) mais de plus en plus externes (réseaux sociaux, blogs,
forums, mobiles, données de géolocalisation etc.) et bientôt objets connectés, l’entreprise est
submergée d’informations de toutes parts.
Il faut donc aujourd’hui pouvoir analyser très rapidement ces données et être en mesure de les intégrer dans les processus
métier. C’est là qu’intervient la Data Intelligence, à savoir la capacité pour l’entreprise à tirer parti de toutes ces informations - le
fameux phénomène big data - et à pouvoir les partager rapidement selon ses besoins : en marketing (analyse de réputation), en
commercial (historique du client et analyse du panier moyen), en RH (analyse des compétences du marché pour le recrutement),
en logistique (optimisation de la supply chain), etc.
Q- Où en est le marché de la Data Intelligence ?
Il est en pleine effervescence et transformation au service de l’innovation, avec l’apparition, en plus des grands acteurs du
marché, de nombreuses start-up qui adressent les différentes dimensions du problème : la mise à disposition d’informations dans
une logique d’Open Data, les outils pour récupérer et extraire les données pertinentes, les stocker via des bases analytiques
dédiées, les analyser avec notamment les outils de Data et Text Mining (analyse sémantique) et les valoriser via les outils de Data
Visualisation pour que ces informations apportent de la valeur aux activités de l’entreprise. Autant d’outils et d’éléments qu’il
faudra intégrer et distiller dans les différents processus métier de l’entreprise. Un marché colossal qui démarre lentement en
France, 2014, voyant apparaître les premiers projets opérationnels.
Q- Quels sont pour vous les enjeux auxquels ont à faire face les entreprises ?
Les enjeux pour les entreprises sont stratégiques car pour rester dans la course, il est impératif de maîtriser toutes ces données,
d’être à l’écoute et d’analyser les sentiments des clients et prospects, de mesurer en permanence sa réputation sur le Web,
d’anticiper les grandes tendances du marché et d’en tirer profit pour innover. Une fois ces informations disponibles, ce sont les
nouveaux enjeux de la mobilité qui se posent et plus largement du multicanal, et donc la possibilité d’atteindre le client là où il se
trouve, de suivre son parcours et son expérience client, de prédire ses appétences vis-à-vis d’une offre et de lui proposer un
produit ou un service personnalisé. Mais aussi permettre aux collaborateurs mobiles de l’entreprise, les commerciaux ou le
personnel de maintenance, de mieux partager l’information avec l’entreprise tout en étant sur le terrain avec leurs clients.
11
Documation/MIS 2014, les temps forts
Lancement du « Service Projets » en partenariat avec le CXP
Documation / MIS lancent sur l’édition 2014, en partenariat avec le CXP, cabinet indépendant d’expertise en logiciels,
un outil innovant et inédit. Issu d’un premier test sur 2013 ayant permis d’identifier plus de 1 000 projets, il est
constitué d’une plateforme web de déclaration de projets en amont du salon, et d’un espace physique
d'accompagnement de projets et de mise en relation d’affaires sur le salon.
Un service innovant et indépendant d’aide au choix de solutions informatiques
Laurent Eydieu, Directeur de la Division Nouvelles Technologies de Reed Expositions France :
« « Les objectifs majeurs de Documation/MIS sont d’offrir aux visiteurs des contenus d’experts leur permettant
d’identifier et de décrypter les grandes tendances du marché, et de mettre en relation fournisseurs de solutions et
porteurs de projets pour développer des opportunités d’affaires concrètes autour de l’événement. Le Service Projets,
en collaboration avec le CXP, expert en solutions logicielles, s’inscrit tout à fait dans cette démarche. Les porteurs de
projets pourront concrètement, à l’occasion de Documation/MIS 2014, bénéficier des conseils avisés des consultants
du CXP, qui les aideront dans la conduite de leur projet. Le CXP réalisera notamment un parcours personnalisé de
visite leur permettant d’identifier les fournisseurs de solutions les plus à même de répondre à leurs besoins. »
Laurent Calot, Président du Directoire CXP
« Nous avons bien conscience de la difficulté pour les entreprises de se repérer dans la jungle du marché et
d’identifier les outils les plus adaptés à leurs besoins. En tant que partenaire historique du salon, nous sommes très
heureux de renforcer notre collaboration avec Reed Expositions France et de faire bénéficier les visiteurs de
Documation / MIS de notre expertise. Nous allons ainsi partager notre connaissance du marché et de ses acteurs, et
mettre à profit notre expérience dans l’accompagnement de projets. Notre indépendance vis-à-vis des éditeurs est un
élément clé de cette collaboration, dès lors que nous conseillons les porteurs de projets et les guidons vers des
fournisseurs de solutions sur le salon. »
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Documation/MIS 2014, les temps forts
Remise des « ECM Personality Awards 2014 »,
en partenariat avec l’APROGED
A l’occasion des 20 ans de Documation et en partenariat avec l’APROGED, Association des Professionnels pour
l’Economie Numérique, se tiendra sur les salons la remise des « ECM Personality Awards 2014 ».
Ces trophées seront décernés à 9 personnalités qui ont joué un rôle majeur dans le développement de la gestion de
contenus et du document numérique en France.
Les 9 catégories choisies par l’APROGED sont :
Juridique
Linguistique
GEIDE
Archivage
Normalisation
Information/Presse
Stockage WORM
Numérisation
Education
Ces trophées seront remis le mercredi 26 mars 2014 à 18h30 précises en salle des conférences thématiques.
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Documation/MIS 2014, les temps forts
Enquête exclusive XIKO « l’information parlons-en »
Véritable observatoire des tendances de la gestion de l’information en entreprise, les salons Documation/MIS
s'interrogent cette année sur la relation des professionnels à un écosystème d’information en constante évolution, à
travers une enquête exclusive réalisée en partenariat avec XIKO, agence conseil spécialisée dans l’analyse des
conversations en ligne, et Veille, le magazine des professionnels de l’information stratégique.
Les résultats de cette enquête seront dévoilés à l’occasion des salons Documation/MIS 2014, et permettront de
dresser un état des lieux de la façon dont les professionnels cohabitent avec l’information.
La conférence de présentation de cette enquête fera découvrir les tendances majeures qui se dégagent, telles que :
- Les principaux sujets qui émergent lorsque les professionnels parlent d’ « information » ;
- Les types d’outils dont ils parlent le plus et ce qu’ils disent de leur mise en place ;
- Les points de vue et les partis pris qu’ils adoptent autour sur ces questions, stratégiques pour les
organisations dans lesquelles ils opèrent.
Pour participer à cette enquête : http://xiko.fr/Enquete-MIS2014-VeilleMag-XiKO/index.html
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Documation/MIS 2014, les temps forts
Les Villages Partenaires
Le Village Microsoft
Pour la 5
ème
année consécutive, Microsoft France et Documation s'associent pour organiser le Village Microsoft,
un espace dédié à la découverte des nouvelles fonctionnalités et offres de solutions collaboratives à l'heure du
Cloud.
Le Village FNTC
Pour la 5
ème
année consécutive, le Village FNTC, tenu par la Fédération des Tiers de Confiance, rassemblera les acteurs de
la chaîne de confiance, sur des thèmes comme : identification, confidentialité, intégrité, archivage des documents
électroniques, conservation des informations.
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Documation/MIS 2014, les temps forts
Les études dévoilées à l’occasion de Documation / MIS
Thème : Big Data
L’étude Big Data du CXP repose sur une enquête construite sur un questionnaire en ligne
complété d’entretiens individuels, auprès de 274 entreprises utilisatrices de plusieurs pays
européens. Ces entreprises ont été interrogées sur les usages qu’elles font des Big Data, sur les
bénéfices qu’elles en ont tirés ou prévoient d’en tirer et sur les problèmes rencontrés.
Laurence Dubrovin, Analyste CXP, présentera certains aspects de cette étude lors de la conférence Experts MIS « L’analytique au
service des métiers » le jeudi 27 mars à 15H00. Pour plus d’informations sur l’étude Big Data, rendez-vous sur le stand B59,
Thème : Archivage numérique
MARKESS profitera de Documation pour annoncer en exclusivité les résultats clés de sa
dernière étude « Conservation & archivage de contenus numériques : pré-requis et
solutions en réponse aux enjeux des entreprises »
A quels enjeux répond la conservation de contenus numériques ? Quel périmètre couvre-t-elle dans l'entreprise ? Sur quelles
solutions technologiques sont basés les projets d'archivage et de conservation ? Quelles modalités sont privilégiées pour
l'exploitation de ces solutions ? Vers quels acteurs se tournent les entreprises ? Quelles tendances se dessinent sur ce marché d'ici
2016 ?
Présentation par les analystes le jeudi 27 mars de 12h30 à 13h15 sur le salon, avec remise en avant-première des
liens vers un livre-blanc de plus de 15 pages contenant les principaux résultats présentés.
Thème : Données à caractère personnel
Navigation sur internet, utilisation d’applications sur les smartphones, partage d’informations via
les réseaux sociaux, chacun de nos comportements liés au numérique laisse des traces à
propos de nos goûts, de nos habitudes, de nos opinions…
SerdaLAB dévoilera, à l’occasion de Documation / MIS 2014, les résultats de son étude sur les pratiques en matière de gestion
des données personnelles.
Présentation des résultats en avant-première des résultats lors d’une conférence de presse le mercredi 26 mars de
12h30 à 13h30 en salle de presse Documation / MIS.
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Thème : Dématérialisation des flux
ITESOFT présentera en exclusivité le 26 mars sur le salon Documation, les principaux résultats de la seconde édition
2014 du Baromètre CXP « Optimisation des processus clients par la dématérialisation des flux », en
partenariat avec ITESOFT et Fujitsu.
Ce second volet d’un baromètre sur les usages et les pratiques de dématérialisation des flux documentaires clients
dans les entreprises, a pour vocation de créer un outil de connaissance du marché et de benchmarking des pratiques
afin d’aider à améliorer la relation client.
La synthèse de l’étude sera disponible sur le Stand ITESOFT (D32)
Thème de l’étude : Gestion des commandes clients
Une gestion efficace des commandes est nécessaire pour garantir un traitement dans les délais et contribuer à la
satisfaction clients. Le CXP - cabinet de conseil et d'analyse en solutions logicielles - et Esker - éditeur de
solutions de dématérialisation des processus documentaires – ont mené en février 2014 une enquête pour
dresser un état des lieux des différents modes de gestion des commandes au sein des entreprises et des défis à
relever pour améliorer la performance de ce processus clé.
Cette enquête apportera notamment des éclairages sur :
* les processus de gestion des commandes les plus fréquemment observés,
* le mode de circulation de l’information tout au long du processus,
* les outils de pilotage mis en œuvre dans les entreprises,
* les objectifs que se sont fixé les entreprises pour 2014.
Les résultats de l’enquête seront disponibles sur le Stand Esker (C35)
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Documation/MIS 2014, les thématiques clés
Big Data : les premiers projets arrivent
Source Archimag
Les chiffres clés
Le chiffre d’affaire du marché mondial du « big data » (logiciels et services) s’élève à 31 milliards de dollars en
2013. En France, ce marché devrait croître à un rythme annuel de 27 % entre 2012 et 2017, passant de
152 millions à 494 millions d’euros. Seuls 20 à 30 % des données sont exploitées par les entreprises. En 2012,
seuls 6 % des décideurs impliqués dans une telle problématique avaient concrètement engagé des projets liés
au « big data ». Les principaux freins résident encore dans le coût des infrastructures (45 %), le manque de
compréhension des bénéfices par les métiers (39 %) et le manque de compétences pour analyser les données
(27 %). Sources : ABI Research, IDC et Forrester.
Problématique et enjeux
Volume, vélocité et variété : les 3V du « big data » peuvent effrayer. En abordant la problématique du « big
data » de façon trop globale, les entreprises mettent un frein à leurs projets et risquent de rater des opportunités.
Pour traiter le « big data », il faut commencer petit ! … et soigner ses métadonnées.
Retour d’expérience : Eurotoll récolte plusieurs centaines de milliers de données par seconde
Eurotoll est un opérateur de services proposant aux transporteurs routiers des équipements embarqués dédiés à la
facturation des transactions péages. Souhaitant fin 2012 optimiser les performances et les processus de ses clients, elle
fait appel au groupe Klee pour participer au développement des applications de géolocalisation de leur flotte. S’appuyant
sur la technologie Mongo DB, Klee permet désormais à Eurotoll de capter et de récolter des flux de plusieurs centaines de
milliers de données par seconde afin de les restituer en temps quasi réel aux transporteurs. Klee se charge également
d’héberger ces données. La solution est en exploitation depuis janvier 2014.
18
Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014
► L’offre big data d’EMC est basée sur l’élaboration d’une plateforme d’infrastructure avec un stockage scale-out, des
fonctions d’analyse prédictive unifiée, et des outils de développement des applications et des processus métiers.
► Sinequa propose une plateforme d’accès unifié à l’information fournie avec des connecteurs à de multiples sources
de données et avec de fortes capacités d’analyse de contenu. Son architecture en grille permet l’extrême scalabilité
et flexibilité requises pour traiter le Big Data.
► La Luxid Content Enrichment Platform développée par Temis permet d’extraire des informations structurées des
contenus afin de les analyser. Personnalisable et capable de s’adapter à différents domaines et usages, elle peut
traiter une large gamme d’applications stratégiques Big Data.
► La plateforme Big Data intégrée d’IBM est articulée autour de quatre fonctionnalités de base : analyse Hadoop,
stream computing, entrepôts de données, intégration des informations et gouvernance.
3 questions à Philippe Nieuwbourg, Decideo.fr
Quels sont les écueils possibles d'un projet "big data" mené par une entreprise ?
Le principal écueil est de voir trop grand, de tenter de refonder l’entreprise autour du big data. C’est sans doute là que la
« pensée globalisante » française nous fait prendre du retard face à d’autres pays plus pragmatiques. Vouloir tout prévoir
avant de démarrer c’est impossible. Donc on doit limiter le projet, oser prendre des risques mais avancer par étape et
mesurer en permanence les impacts. Autre écueil, croire ou faire croire que c’est un projet technologique ! Un projet Big
Data ce n’est pas mettre en place Hadoop ! C’est un projet business avant tout.
Avant de voir "Big", ne faut-il pas commencer "petit" en soignant ses métadonnées ?
Complètement ! Un projet Big Data pour réussir doit être « small ». Sinon ce sera une usine à gaz. Soigner ses
métadonnées, certainement. Mais pas plus que de soigner ses données, ses analyses, ses processus de valorisation. Un
projet big data c’est du raffinage, au sens pétrolier du terme. Je prends des données brutes, je les transforme, croise,
analyse, représente pour leur donner de la valeur.
En quoi la visualisation est-elle la clé pour retirer de la valeur des données d'une entreprise ?
765,87 ; 845,54 ; 398,89 ; 798,45… que voyez-vous ? Une suite de chiffres… moi, je vois le chiffre d’affaires trimestriel
avec une forte baisse au 3ème trimestre. Si je vous avais montré une courbe, vous auriez vu la même chose que moi. Et
plus on a de données, plus leur représentation visuelle est importante.
19
Documation/MIS 2014, les thématiques clés
Dématérialisation, GED et gestion de contenus
Source Archimag
Les chiffres clés
Le marché français de la dématérialisation a été estimé par SerdaLab à 2,32 milliards d’euros en 2011 (étude
« Dématérialisation des processus documentaires : marché et tendances en 2013-2015 »). Selon les prévisions
de ce cabinet, ce marché atteindrait 2,7 milliards d’euros en 2015.
Problématique et enjeux
Aujourd’hui, la dématérialisation est à la fois permise et poussée par les avancées réglementaires. Depuis la
reconnaissance de l’écrit électronique comme preuve (loi du 13 mars 2000), les avancées juridiques se sont
multipliées. Le numérique est même parfois une obligation. Par ailleurs, il faut se pencher sur la question de la
dématérialisation des processus.
Retour d’expérience : certification électronique pour les petites communes, exemple de la Mairie de Rully
Dans les petites communes, les maires sont souvent les signataires directs des différents actes administratifs ; dans un
contexte de dématérialisation, ils ont besoin de disposer d’une identité numérique. Certinomis (Docapost EBS, groupe La
Poste) a adapté pour ces utilisateurs sa solution de certification électronique, leur permettant de s’authentifier et de signer
électroniquement. Concrètement, l’élu demande son certificat en ligne ; il sélectionne la durée de son certificat et choisit le
bureau de poste où il ira retirer sa carte à puce ou clé USB « Certinomis Élu ».
Cette démarche physique permet de garantir l’identité du détenteur. La carte à puce ou la clé USB contient un certificat
d’authentification et de signature électronique qui répond aux obligations du Référentiel général de sécurité (RGS) régissant
les échanges administratifs. Pour signer un acte, l’élu connecté à la plateforme n’a qu’à insérer son certificat dans le lecteur,
la sécurité étant assurée par la saisie d’un code PIN. La Mairie de Rully (727 habitants, département de l’Oise) a expérimenté
cette solution.
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Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014
► Cecurity.com : Coffre-fort électronique Communicant (CFEC) ; bénéficie du label FNTC-CFE et de la certification
NF logiciel coffre-fort numérique délivrée par Afnor Certification.
► CertEurope (Oodrive) : certificats numériques, horodatage, archivage.
► Docapost DPS : Espace Sécurisé de Conservation (ESC) ; bénéficie du label FNTC-CFE.
3 questions à Eric Barbry, avocat, Directeur du pôle droit numérique du Cabinet Alain Bensoussan
Quel point global pouvez-vous dresser sur le droit de la dématérialisation en matière juridique ?
Il faut retenir le double numérique en terme de facture dématérialisée, la signature électronique des arrêts de la cour de
cassation, l’usage des tablettes graphiques par les gendarmes et les douaniers ou encore le procédé 2D Doc, qui traite, pour
la première fois, de la problématique de la rematérialisation de documents nativement électroniques. Mais si l’on veut retenir
les grandes dates de la dématérialisation, on parlera de l’année 2000, qui donne corps au droit de l’électronique et au droit à
l’électronique ; de 2004 qui, avec l’adoption de la loi pour la confiance dans l’économie numérique, crée un vrai droit à la
dématérialisation et, de 2008 qui crée une véritable obligation en termes de dématérialisation. 2014 s’annonce comme l’année
de la dématérialisation pour tous ou presque, avec la renaissance de la signature électronique grâce aux certificats éphémères
et la généralisation des tablettes signantes…
Les prestataires du domaine de la confiance (signature électronique, coffre-fort...) disent leurs solutions "conformes",
mais à quel point sont-ils ou devraient-ils être responsables ?
Il n’est effectivement pas facile de faire la part des choses entre les prestataires de services de certification électronique
(PSCE) qui se revendiquent tous d’une « conformité légale ». Mais derrière les discours commerciaux, il faut analyser trois
choses : 1 - quels sont les engagements contractuels pris par le PCSE ? 2 - quel est son périmètre assurantiel ? 3 - que
propose le PCSE si par malheur il venait à disparaître ? Les choses devraient par ailleurs s’éclaircir un peu avec l’adoption
annoncée du règlement de l’Union Européenne sur l’identité numérique et les prestataires de confiance.
Le droit de la dématérialisation fait d'abord référence à des documents ; qu’en est-il des processus ?
En réalité la dématérialisation couvre les deux : les documents, bien sûr, car qui dit facture, bulletin de paye, décision de
justice, … dit « document », mais aussi des processus, voire une chaîne de relations complètes. On pense ici au Réseau privé
virtuel des avocats (RPVA), par exemple, qui fixe les relations entre avocats et Palais. On peut aussi parler de « processus »
lorsqu’on l’on met en place une chaîne dématérialisée d’approvisionnement (de la commande au paiement), du process
finance (télédéclaration, télépaiement), ou de la chaîne ressources humaines (de la signature électronique du contrat de travail
au bulletin de paye dématérialisé).
21
Documation/MIS 2014, les thématiques clés
Archivage, records management et tiers de confiance
Source Archimag
Les chiffres clés
50 ans, 100 ans : c’est la pérennité des données annoncée par la Bibliothèque Nationale de France via son
système d’archivage numérique SPAR ouvert aux tiers, privés comme publics.
Problématique et enjeux
Les problématiques de confiance progressent dans les entreprises mais elles se retrouvent face à une offre qui
peut sembler confuse. Toutes les solutions prétendant proposer du records management, de l’archivage
électronique, de la certification… proposent-elles le même niveau de conformité ? Il faut pouvoir définir des
exigences clés pour évaluer ses besoins.
Retour d’expérience d’Arnaud Jules, Directeur Gestion et conservation de l’information, Groupe Orange
Le Groupe Orange a lancé en 2005 un vaste projet de gouvernance de l’information doté d’un fort volet dédié au Records
management. L’entreprise a mis en place une plateforme de GED capable de traiter une production documentaire colossale et
hétérogène : contacts, clients, exploitation du réseau, R&D, textes réglementaires…
La politique de records management priorise certains documents et est couplée à des impératifs de sécurité informationnels
particulièrement forts. Aujourd’hui, la gestion de l’information est pratiquée en mode « grand angle » : GED, archivage
électronique, numérisation, veille… De nombreuses entreprises s’adressent à Orange pour étudier ce retour d’expérience de
gouvernance de l’information globale.
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Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014
► Locarchives propose différents types de prestation : archivage électronique, hébergement sécurisé, archivage
électronique à valeur probatoire…
► Novarchives propose des prestations de dématérialisation de documents, des solutions d’hébergement et de
consultation des archives numériques.
► EverTeam propose une solution sécurisée et évolutive d’archivage mixte de documents électroniques et papier.
► Cecurity.com propose un coffre-fort numérique bénéficiant de la certification NF Logiciel Coffre-fort numérique
délivré par Afnor Certification.
3 questions à Michel Thomas, consultant
Quels conseils donner à une entreprise qui souhaite passer à l'archivage électronique ?
1. Dresser la liste complète par type et volume des documents utilisés par les diverses activités de l’entreprise : quels
documents sont reçus et sous quelle forme par les divers processus ?
2. Quels documents sont émis et sous quelle forme par ces mêmes processus ? Pour chaque type de documents,
définir les contraintes réglementaires et juridiques qui lui sont associées.
3. Définir le périmètre documentaire et organisationnel demandant le respect de la norme NFZ 42-013.
Faut-il mener un chantier d'archivage électronique en interne ou l'externaliser ?
1. Puis-je prendre le risque d’un accès à mes documents par des personnes extérieures à l’entreprise ?
2. Puis-je contrôler efficacement la sécurité et la fiabilité du SAE du tiers archiveur ?
3. Puis-je accepter que mes documents soient stockés en dehors de mon pays d’origine ?
4. Puis-je récupérer facilement les archives (documents et métadonnées) si nécessaire, et tout particulièrement en cas
de défaillance ou de rachat du tiers archiveur ?
Une réponse négative ou douteuse à une de ces questions fera pencher le choix vers un archivage en interne.
Quel est le rôle des tiers de confiance ?
Un tiers archiveur adhérent de la FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance) respecte une charte déontologique qui
vous donne un certain nombre de garanties, comme la réversibilité de vos archives par exemple, ou leur conservation en cas
de défaillance du tiers. Le tiers de confiance, quand il archive les documents ou les empreintes des documents, apporte une
garantie d’intégrité des archives, tout particulièrement pour les documents émis par l’entreprise.
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Documation/MIS 2014, les thématiques clés
Partager la connaissance : les nouvelles formes de gouvernance
pour réussir sa transformation numérique
Source Archimag
Les chiffres clés
Seulement 11 % des employés français ont recours à des outils de collaboration sociale, contre 25 % aux
Pays-Bas, 19 % en Allemagne et 16 % en Angleterre (Etude Deloitte).
Problématique et enjeux
Affaire de technologie, de management, de génération… ? Aujourd’hui, les entreprises adoptent de plus en plus
un mode de travail collaboratif pouvant être ouvert à des partenaires ou concurrents (« coopétiton ») et
permettant un fonctionnement mobile. Reste à organiser les contenus et préserver un système d’information
cohérent.
Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014
► Ardans édite des logiciels dédiés à la gestion des connaissances et propose des prestations de conseil et
d’expertise dans le domaine de l’ingénierie des connaissances.
► Digimind commercialise des solutions de veille complètes : collecte, diffusion, analyse et publication des
informations.
► Jalios propose une série d’outils dédiés au partage des connaissances : réseaux sociaux d’entreprise, portails
personnalisés, logiciels de gestion de contenus, intranets collaboratifs…
► KB Crawl édite des solutions de veille sous forme de plate-forme collaborative. Sa solution complète, KB Crawl
Suite, est disponible dans les nuages.
► Knowings propose une plate-forme collaborative qui permet de gérer, valoriser et diffuser les contenus des
entreprises : Ged, gestion des connaissances, réseaux sociaux d’entreprise.
► Qwam Content Intelligence développe des services de fourniture de contenus professionnels et propose des
moteurs de recherche fédérée et des portails d’information.
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Témoignage d’Alain Berger, Directeur général Ardans
L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) est chargée par l’État de mettre en œuvre des solutions
sûres de gestion des déchets radioactifs français. Pour mener à bien à cette mission, l’Andra dispose d’un référentiel de
connaissances déployé par la société Ardans. Baptisé « Socle de connaissances », ce référentiel donne aux agents de l’Andra
une vision globale des déchets : choix de filière, inventaire, études… L’outil Ardans exploite déjà 50 000 éléments de
connaissances (valeurs, textes, illustrations…) et l’Andra continue d’enrichir et de valoriser ce socle de connaissances.
3 questions à Fabrice Papy,
Professeur des Universités de Sciences de l'Information et de la Communication, Université de Lorraine
L'entreprise 2.0 est-elle devenue une réalité et quelles formes prend-elle ?
L’expression « entreprise 2.0 » constitue un mythe qui ne correspond guère aux orientations sociales et participatives
formulées par O’Reilly en 2004 à propos du Web 2.0. Si les TIC se sont imposées dans l’entreprise, l’organisation du travail
n’en a pas été modifiée pour autant. L‘organisation verticale (et hiérarchique) du travail n’a ainsi pas été remplacée par une
organisation horizontale. Les pouvoirs de décision sont demeurés très centralisées. Ce qui a changé pour les salariés, c’est la
nécessité induite par les TIC de communiquer plus rapidement et plus efficacement avec un plus grand nombre
d’interlocuteurs au sein de l’entreprise.
Les outils collaboratifs démultiplient les échanges au sein des organisations. Dès lors, comment définir une
gouvernance de l'information ?
L’adage « Trop d’information tue l’information » que les spécialistes de RI connaissent bien s’est invité définitivement dans les
entreprises avec la généralisation des outils de communication numériques. L’augmentation des interactions numériques a
engendré un volume considérable de données et de documents qu’il est urgent d’organiser et de structurer afin d’éviter la
dissolution des informations stratégiques et les risques de surcharge informationnelle. Toute gouvernance de l’information
devra s’attacher à répondre à ces enjeux.
Dans ce contexte, quelle est la place des professionnels de l'information ? Doivent-ils se repositionner ?
Avec la mutation numérique que connaissent aujourd’hui les entreprises, exacerbée par la mondialisation et la compétition
économique, les professionnels de l’information maintiendront un rôle déterminant d’infomédiaire. Leurs compétences en
matière d’organisation et de gestion de l’information continueront à être sollicitées, mais ils devront les reconfigurer pour les
adapter aux exigences des flux numériques qui cadencent, accélèrent et amplifient les communications internes et externes.
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Documation/MIS 2014, les thématiques clés
La maîtrise informationnelle des entreprises françaises
Source Archimag
Les chiffres clés
93 % des entreprises françaises de plus de 250 salariés ont subi des pertes de données en 2012 (Source : Etude Iron
Mountain et PwC sur la gestion des risques de l’information dans les entreprises européennes, juin 2013). La quantité de
données produites dans le monde est sur le point de doubler tous les deux ans. D’ici la prochaine décennie, la quantité de
données gérées par les entreprises pourrait être multipliée par 50. (Source : Cabinet IDC Extracting value from chaos, 2011).
Problématique et enjeux
Pour une entreprise, développer son activité suppose aujourd’hui de maîtriser son environnement informationnel. Cela se
traduit par des démarches de veille, e-réputation, influence, sécurité, protection de la propriété industrielle, …. Encore loin du
niveau de leurs concurrentes anglo-saxonnes, les entreprises françaises sont cependant en progrès.
Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014
► Dédiées à l’intégration de données, à la recherche avancée et à la veille collaborative, les solutions Information
Factory, Finder Suite et Collaboration Services d’Antidot maximisent la valeur informationnelle des organisations
► Spécialisé dans la surveillance et la mesure de l’environnement média, M-Brain propose différentes offres de veille,
d’information de veille stratégique et d’analyse afin de détecter les tendances à venir.
► Les solutions logicielles d’analyse sémantique de Noopsis automatisent l'extraction et la recherche d'informations à
partir de contenus textuels en langue naturelle, avec des applications d’intelligence économique et de veille.
► Grâce à sa suite de reporting operationnel StarQuery, Symtrax permet l’extraction de données en utilisant
l’environnement Excel tout en permettant une administration centralisée des rapports et de la sécurité.
Retour d’expérience de Woptimo
Agence de référencement et de webmarketing, Woptimo souhaitait intégrer, début 2013, une plateforme de traitement
automatique des langues et d’ingénierie des connaissances à Woptilex, sa solution de repérage de mots-clés. Son objectif : le
calcul de la pertinence et l’optimisation du référencement. Développée par le spécialiste de la sémantique opérationnelle
Noopsis, Semiolabs a répondu à ces attentes. Disponible en version bêta au printemps 2014, Woptilex permettra d’accélérer
la correspondance entre mots-clés et page web, afin de savoir si un contenu est optimisé et le plus proche possible des
algorithmes Google.
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3 questions à Stéphane Rosenwald, CEO RV Conseil – Real Value Consulting, Membre de Global Market
Intelligence Alliance, Président du Groupe IES ESCP Europe, Animateur de la commission IE de
l'AMRAE (Association pour le management des Risques et des Assurances de l’entreprise)
La récente affaire Snowden a-t-elle agi comme un révélateur de faiblesses françaises dans la guerre de l’information ?
La maîtrise de l’information est aujourd’hui le moteur de la performance durable des organisations car celles-ci sont au centre
d’écosystèmes dynamiques dans lesquels l’information est, de plus en plus, le levier majeur de création ou de destruction de
valeur. En effet, notre monde est en (r)évolution toujours plus rapide, où apparaissent sans cesse de nouvelles concurrences,
où émergent des menaces et des opportunités, des contraintes et obligations inédites, et où le rouleau compresseur des Big
Data se répand partout. Il est donc capital pour toutes les organisations de mettre effectivement l’information au service de leur
performance. L’information, nerf de la guerre, oui ! Mais pas une information brute qui, en soi, n’a pas de valeur ; plutôt une
information comme base de la chaîne de valeur que l’organisation saura construire, permettant : d’anticiper l’ensemble des
risques positifs et négatifs ; de nourrir la définition des stratégies et sécuriser la prise de décision des décideurs ; et de fournir
la matière permettant de construire l’intelligence collective, boostant ainsi la capacité des équipes à inventer, innover et
prendre les bonnes décisions opérationnelles. Matière première du patrimoine immatériel (capital intellectuel) de l’entreprise,
l'information constitue plus que jamais sa véritable valeur et dois donc être protégée et sécurisée. Mais l'information est aussi
le vecteur des communications des différentes parties prenantes de l’organisation, qui aboutissent à construire son influence
toujours plus déterminante sur son environnement. L’enjeu pour les organisations réside donc dans leur capacité à mieux
maîtriser l’information, sur un mode offensif, préventif, et défensif, au service de leur performance dans ces 3 domaines
d’actions.
Quels sont les atouts de la France et des entreprises françaises dans la guerre de l’information ? Les entreprises
françaises sont-elles mieux loties que leurs voisines européennes ?
Les entreprises Françaises sont malheureusement en retard dans cette démarche cruciale : c'est ce que prouvent les résultats
de l’enquête mondiale (Market Intelligence Survey) menée par RV Conseil en 2013 avec l’ensemble des membres du réseau
Global Intelligence Alliance : par exemple, seules 39 % des entreprises françaises déclarent avoir mis en place un dispositif de
Market Intelligence/Intelligence Economique, ce qui est largement inférieur aux autres pays étudiés.
Ce retard est dû à plusieurs faiblesses : la 1
ère
d'entre elles est culturelle. Les Français considèrent encore trop les richesses
comme matérielles sans accorder d'importance suffisante à l’immatériel et à son support : l’information. Ils sont donc réticents
à investir des ressources dans la mise en œuvre des 3 domaines d’actions autour de l’information évoqués précédemment :
récupération et utilisation, protection et sécurisation, communication coordonnée et influence…
27
Les organisations sont, de plus, souvent trop hiérarchisées et en silos, pénalisant la culture "projet", la circulation transverse de
l’information et donc la construction de l’intelligence collective. Enfin, ces organisations ont souvent des stratégies
insuffisamment définies et partagées en interne : comment alors organiser le concert informationnel ?
Car pour bien chercher et protéger l’information, il faut définir les domaines de recherche et de confidentialité. Et pour bien
communiquer et influencer, il faut avoir une stratégie claire sur ce que l’on veut obtenir, afin de déterminer quoi dire à qui.
Certes des entreprises françaises ont su construire une vraie performance informationnelle : en particulier des grandes
entreprises ayant réussi à développer un leadership mondial. Celles-ci disposent toutes dans leur ADN, sans exception, de
cette culture de la maîtrise de l’information. La France a de nombreux atouts grâce à sa richesse culturelle, à ses niveaux de
connaissances, à ses réseaux d’experts reconnus ici comme à l’étranger, ainsi qu'à sa créativité. Mais si une prise de
conscience se dessine aux niveaux publics et privés, il y a pourtant urgence !
Dans ce contexte, pouvez-vous donner trois recommandations fondamentales à destination des responsables de
systèmes d’information ?
Les responsables de systèmes d’information ont un rôle fondamental à jouer dans cette mise en œuvre de la performance
informationnelle. Et ce à plusieurs niveaux.
Ils doivent contribuer à sensibiliser l’ensemble des collaborateurs à l'importance de l'information à tous les niveaux de
l’organisation. Et cela en participant notamment à la formation de leurs collaborateurs aux 3 dimensions de la performance
informationnelle afin que les parties prenantes sachent collecter, analyser, partager, utiliser, protéger, communiquer
vertueusement et efficacement l’information. Mais aussi pour que l’organisation puisse accéder à la performance liée à la
maîtrise de l’information. Ils doivent participer à la mise en place de « l’information compétitive »
® (1)
dans l’organisation et à la
construction de l’intelligence collective pour faire du management de l’information un outil de performance de l’entreprise. Sur
la base de la stratégie de l’entreprise, les responsables de systèmes d’information vont participer, en particulier, à la
construction de l’organisation d’intelligence économique et des "plans de renseignement" qui permettront de collecter les
informations importantes pour l’entreprise dans son environnement externe et interne. Ils doivent également participer à
l'élaboration des "plans de protection et de sécurité" qui préciseront les informations clés et les domaines de confidentialité et
installeront le cycle de "protection / sécurité" de l’information dans l’entreprise. Ils doivent également participer à la création et
l'installation des "plans de communication et d’influence" qui détermineront les objectifs de l’entreprise à la construction et la
mise en œuvre d’un plan stratégique de communication coordonné. Et enfin, ils doivent mettre à disposition les systèmes
d’information adaptés aux besoins, au service des flux d’informations internes et externes, permettant de créer et de protéger
la valeur dans l’organisation : en partant de la culture, de la stratégie et des hommes pour choisir et implanter les bonnes
pratiques, processus et éventuellement les outils nécessaires ; mais aussi en privilégiant les systèmes souples, flexibles,
agiles, dynamiques, évolutifs, proactifs, intuitifs, et conviviaux ; et en contribuant à la cohérence des données utilisées par les
différents services de l’organisation.
(1) “l’Information Compétitive - SAS, BOP, METHODE C4“ ®, la 1ère approche globale de création de valeur par la maîtrise de l’Information
compétitive. http://rvconseil.com/
28
Documation/MIS 2014, les thématiques clés
Sécurité des données et intelligence collective :
Les enjeux de sécurité face au développement de l’économie numérique
Source Archimag
Les chiffres clés
La gouvernance de l’information revêt un caractère d’autant plus important que les systèmes d'information
« représentent une partie significative de la valeur ajoutée créée par les entreprises et les administrations. En
moyenne, ils représentent 15 à 20 % du chiffre d'affaires des entreprises, soit environ 50 % de la valeur ajoutée
générée par les entreprises. Mondialement, cela représente un montant de l'ordre de 20 000 à 25 000 milliards
de dollars » (source : http://www.cegsi.eu/)
Problématique et enjeux
Travail collaboratif et réseaux sociaux sont un facteur de risque pour l’information et le système d’information des
entreprises : problèmes d’accès, de sécurité des contenus, de protection des données personnelles… Il faut
pouvoir limiter les risques sans brider les initiatives et l’innovation.
Retour d’expérience de PSA Peugeot Citroën : archivage électronique avec RSD
PSA Peugeot Citroën est confronté à la forte réglementation internationale de son secteur, avec la nécessité de gérer chaque
année des dizaines de millions de données et de documents papier ou numérique. Les documents produits sont liés à la
conception des véhicules, à la fabrication, à la distribution et aux services de financement. Le Groupe souhaite déployer une
démarche outillée de records management pour être efficace dans ses réponses à des exigences de conformité (documents
engageants) et de capitalisation de connaissances. Le déploiement d’un système d’archivage d’entreprise est en cours,
prenant en compte le processus d’archivage et la gestion du cycle de vie de l’information, ceci en cohérence avec
l’organisation de l’entreprise. Le projet est mené par l’équipe de records managers, en collaboration avec des référents métier
pour élaborer le référentiel de conservation et prendre en compte les besoins des utilisateurs finaux. Technologiquement, c’est
RSD Glass qui est retenue, solution de gouvernance de l’information s’appuyant notamment sur la norme de records
management Iso 15489. Lancé en septembre 2010, le projet a connu ses premiers déploiements début 2012.
29
Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014
► Archimed : solution Elise de Ged comportant des fonctionnalités de records management et qui entend répondre
aux normes Z42-013 pour l’archivage électronique et Iso 15489 pour le records management ; elle est partenaire de
Cecurity.com pour la certification électronique.
► Ever Team : solution de gestion de contenu EverSuite répondant à des problématiques de Ged et workflow,
d’archivage des documents, dans le respect des normes Z42-013 pour l’archivage électronique et Iso 15489 pour le
records management
► Groupe Serda : les consultants de Serda sont spécialisés dans l’archivage et la gouvernance de l’information ; deux
livres blancs sur la gouvernance de l’information ont été publiés.
► RSD : avec sa solution RSD Glass, l’éditeur met l’accent sur sa capacité à répondre à une préoccupation de
gouvernance de l’information : création de l’information, utilisation, archivage et destruction
3 questions à Diane Rambaldini, présidente de ISSA France (Information Systems Security Association), conseil en
management des risques opérationnels et informationnels.
Quelle place concrète le management des risques doit-il occuper dans la gouvernance de l’information ? Comment
peut-il prendre en compte le facteur intelligence collective ?
Le risque est indissociable de la gouvernance de l’information. Dans l’entreprise, l’information est multiple et génère du risque,
un risque économique. Mais appliquons réellement la gouvernance ! L’art de gérer le risque repose sur la capacité de
l’entreprise à asseoir une « bonne gouvernance », véritable entonnoir de conversion de maîtrise informationnelle. Le
marketing, le juridique, la SSI, la DSI, le risk management… tous ces services ont sans exception une expertise à défendre en
gestion de l’information. C’est pourtant dans l’acceptation collective de perdre un peu de sa souveraine expertise et dans une
stratégique convergence de tous à répondre aux besoins des métiers que la gouvernance se crée. Que son système reste
polycéphale ou que la gouvernance décide d’être chapeautée par une entité unique, elle ne peut percevoir et gérer le risque
que par un échange permanent et en instaurant une culture de l’équilibre décisionnel au service des intérêts métier. De plus, il
faut s’ouvrir à la perspective de l’intelligence collective. S’ils représentent des menaces, les outils collaboratifs et les réseaux
sociaux véhiculent aussi d’infinies opportunités. La valorisation de l’information passe par une politique claire, issue de la
gouvernance en cohérence avec la stratégie globale de l’entreprise. Elle s’appuie sur une sensibilisation et une communication
top-down aux forces vives de l’entreprise, chacune étant invitée à participer, sans frustration.
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En matière de sécurité de l’information, quelles sont les dispositifs prioritaires à mettre en œuvre par l’entreprise ?
Attention de ne pas se précipiter sur des mesures techniques faussement sécurisantes ! Mieux vaut commencer par un certain
nombre d’actions en amont : identifier ce que l’entreprise doit protéger, localiser ces informations, maîtriser les workflow métier
et le mapping entre processus métier et processus IT. Cela doit permettre d’arrêter une stratégie et d’éviter autant le
surdimensionnement que le sous-dimensionnement sécuritaires. Ces démarches sécurité sont la seule parade aux
cybercriminels. Si les entreprises n’ont pas cette patience, une chose est certaine : les cybercriminels l’ont pour elles.
Sur le plan juridique, les entreprises disposent-elles d’un arsenal suffisant pour protéger leurs données ?
Le droit appréhende les réseaux sociaux comme des services de communication. La liberté d’expression y est donc protégée
sans tenir compte de l’interactivité et de l’absence de contrôle a priori du contenu dont l’utilisateur est l’éditeur. Par l’agrégation
des contenus, l’intelligence collaborative comme l’intelligence économique profitent de ces quantités d’informations publiées.
En même temps, il faut faire face au phishing, à l’usurpation d’identité, à l’accès frauduleux aux systèmes d’information de
l’entreprise. Face à l’absence de maîtrise des contenus publiés, des usages et des risques techniques, l’entreprise est
contrainte de développer une stratégie défensive pour protéger son patrimoine informationnel.
Certes le législateur s’efforce d’améliorer la qualité de la réponse juridique et de mettre en place une protection directe du
patrimoine informationnel avec le délit de violation du secret des affaires, plus large que la classique incrimination du vol de
données ou que les délits informatiques. Les tribunaux semblent même infléchir leur jurisprudence vers une prise en compte
de l’intention délictuelle de l’auteur au-delà de la disponibilité ou non de l’information (voir Cour d’appel de Paris Pôle 4, chambre 10,
arrêt du 5 février 2014, Olivier L. / Ministère public). L’efficacité de la stratégie répressive reste pourtant limitée en pratique. Les
procédures sont lourdes et la preuve difficile à rapporter : auteur anonyme, durée limitée de conservation des données, règles
applicables aux constats de l’infraction, preuve de l’intention délictuelle. Surtout, la réparation a posteriori des dommages
résultant de la violation de la confidentialité des informations est impossible et à tout le moins imparfaite.
Confrontée aux limites de fait et de droit de l’arsenal répressif, les entreprises doivent chercher une parade dans la mise en
place d’outils techniques renforçant leur cybersécurité. Ce qui s’accompagne d’une démarche managériale s’appuyant sur une
sensibilisation et des chartes d’usage des matériels informatiques pour réguler l’accès et le contenu diffusé. Bien sûr,
l’adhésion des salariés de l’entreprise constitue une condition de réussite. Gardons en mémoire cette citation de Jean de La
Bruyère : « Toute révélation d'un secret est la faute de celui qui l'a confié ».
31
Infos pratiques
Accès et horaires
La 20
ème
édition du salon Documation se tient les 26 & 27 mars 2014, au CNIT Paris - La Défense.
• Horaires
Mercredi 26 mars de 9h00 à 18h30 / Jeudi 27 mars de 9h00 à 18h00
• Accès piéton
Station La Défense - Grande Arche, sortie en face du CNIT
Métro : ligne 1 / Tramway : ligne T2 / RER : ligne A / Bus : de Paris n°73, de
l’ouest parisien n°141-144-159-258-262-272-275-278- 360 ou 378 , du nord
n°161-174 ou 178 - Prendre la sortie E "Le parvis"
• Accès routiers
Depuis Paris :
- Sortir Porte Maillot La Défense
- Suivre la direction de Neuilly (av. Charles de Gaulle
- Emprunter le Pont de Neuilly, puis prendre le Bdvd circulaire
- Sortir à La Défense 6
Depuis les autoroutes A14 et A86
- Sortie La Défense - 'La Défense toutes directions' et 'La Défense 1 à 8'
Parkings
- Parking visiteurs CNIT (sortie 6) : 400 places
- Parking exposants et livraisons CNIT (sortie 6) : 250 places
- Parking Centre (sortie 4) : 950 places
- Parking Coupole (sortie 6) : 2600 places
Depuis ces parkings, prendre les ascenseurs accès niveau 0 place du Cnit.
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Infos pratiques
Liste des exposants (au 10-02-2014)
Salon Société Stand Salon Société Stand
DOCUMATION ABBYY C29 DOCUMATION BANCTEC E13
DOCUMATION AFI (Agence Française d'informatique) C24 DOCUMATION BLUE XML F37
DOCUMATION AIDEL B30 DOCUMATION BONITASOFT A43
MIS ALCHEMY A13 DOCUMATION CADIC SERVICES D23
DOCUMATION ALFRESCO E44 DOCUMATION CD-DOC SERVICES B38
DOCUMATION ALGOBA - ORPHEA C37 DOCUMATION CECURITY.COM D48
MIS ANTIDOT B07 DOCUMATION CINCOM E38
DOCUMATION ARCHIMED C36 DOCUMATION CITE DE MÉMOIRE C37
DOCUMATION ARCHIV SYSTEM F17 DOCUMATION CLARISSE - COGILYS F13
DOCUMATION ARCSYS SOFTWARE D41 MIS COEXEL POWERED BY MYTWIP A20
MIS ARDANS B14 DOCUMATION COMARCH C14
DOCUMATION ARIADNEXT E46 DOCUMATION COMTECH SERVICES E20
DOCUMATION ARKHENUM DOCUMATION COTRANET B32
MIS ARMADILLO B23 DOCUMATION CRYPTOLOG B24
DOCUMATION ASTEC - MADCAP SOFTWARE E18 DOCUMATION CXP B59
DOCUMATION ASTERION France E45 DOCUMATION DATA SYSCOM D43
DOCUMATION ATOL CD E44 DOCUMATION DECALOG C17
DOCUMATION AVANTEAM D26 DOCUMATION DIGIMIND B31
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DOCUMATION AVISION EUROPE GMBH E31 DOCUMATION DIP SYSTEMES D17
Salon Société Stand Salon Société Stand
DOCUMATION DOCAPOST - GROUPE LA POSTE B43 DOCUMATION INGE-COM E50
DOCUMATION DOCUWARE France B38 DOCUMATION INIST CNRS C23
DOCUMATION DPII TELECOM ET SERVICES SAS E43 DOCUMATION INOTEC ORGANISATION SYSTÈME E31
MIS EBSCO INFORMATION SERVICES A11 DOCUMATION ISCOPE B26
DOCUMATION ELO DIGITAL OFFICE C48-D49 DOCUMATION ISIS PAPYRUS E26
DOCUMATION ELP F50 DOCUMATION ITESOFT D32
DOCUMATION EMC B44 DOCUMATION JALIOS C32
MIS EPHOTO A38 DOCUMATION JLB INFORMATIQUE B60
DOCUMATION ERIC ARCHIVAGE E35 DOCUMATION JOUVE D20
DOCUMATION ERIC ARCHIVAGE E31 DOCUMATION K2 France D50
DOCUMATION ESKER C35 MIS KB CRAWL SAS A26
DOCUMATION EVER TEAM D38 DOCUMATION KEEPEEK C19
DOCUMATION FNTC D44 DOCUMATION KENTIKA D31
DOCUMATION FWA E48 DOCUMATION KNOWINGS C31
MIS GB CONCEPT B12 DOCUMATION KODAK E32
MIS GFII A25 DOCUMATION KOFAX France D51
DOCUMATION GPO MAGAZINE E14 DOCUMATION LINGUA ET MACHINA B21
DOCUMATION GROUPE NUMERIAL D47 DOCUMATION LOCARCHIVES C26
DOCUMATION GROUPE SERDA D18 DOCUMATION MAPPING SUITE E36
DOCUMATION HYLAND SOFTWARE D47 MIS M-BRAIN A36
DOCUMATION I.R.I.S D13 DOCUMATION M-FILES C20
DOCUMATION IBM France C44 DOCUMATION NAELAN C59
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Salon Société Stand
DOCUMATION NEODOC B21
DOCUMATION NEOPOST France D09
MIS NOOPSIS B17
DOCUMATION NOVARCHIVE C43
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35
Infos pratiques
Fiche d’identité du salon et organisateurs
A propos des salons Documation et MIS 2014 – www.documation.fr
Documation est l’événement de référence de la gestion de documents et d’informations. Le salon accueille chaque
année plus de 160 exposants venus présenter leurs solutions pour dématérialiser, archiver, rechercher, structurer,
partager et diffuser des documents et du contenu, et plus de 6 500 visiteurs pour des rencontres professionnelles
autour des ateliers de démonstrations et des conférences.
Co-organisé par Veille Magazine (www.veillemag.com), le magazine professionnel de l’Intelligence économique et du
management des connaissances et Reed Expositions France, le MIS (Management-Information-Stratégie) se veut la
manifestation de référence sur le management de l’information stratégique, ses impacts et ses usages à l’heure de
l’entreprise 2.0, avec des conférences expert, des démonstrations de solutions, des tables rondes et des rencontre-
débats.
A propos de Reed Expositions – www.reedexpo.fr
Reed Expositions France est une filiale de Reed Exhibitions, premier organisateur mondial de salons.
Avec 60 salons professionnels et grand public en France, Reed Expositions France organise des salons dans 18
secteurs d’activité différents : l'art, l'audiovisuel, la bijouterie, le confort, la construction, la communication, l'édition,
l'environnement, la franchise, l'hôtellerie, l’industrie, l’informatique, les loisirs, les professionnels de la mer, la santé, la
sécurité, le tourisme et le transport. Reed Exhibitions est présent sur les cinq continents avec 460 événements. Reed
Exhibitions appartient au groupe Reed Elsevier, leader mondial dans l’édition et la diffusion d’informations
professionnelles (salons, publications professionnelles, services Internet et marketing direct).
Contacts :
Laurent Eydieu
Directeur de Documation/MIS
laurent.eydieu@reedexpo.fr
Guillaume Settembrini
Responsable Commercial
guillaume.settembrini@reedexpo.fr
Sandra Barone
Responsable Marketing & Communication
sandra.barone@reedexpo.fr

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MIS/Documation 2014 Dossier de Presse Présalon

  • 1. Les événements de la gestion de contenu et de l’information stratégique DOSSIER DE PRESSE Contacts presse – agence Amalthea Floriane Gouache - fgouache@amalthea.fr - 06 62 15 31 86 Laurent Meggs - lmeggs@amalthea.fr – 06 60 07 44 53
  • 2. 2 Sommaire 3 questions à Laurent Eydieu, Directeur Nouvelles Technologies, Reed Expositions France p.3 Présentation des Comités Scientifiques Documation/MIS 2014 p.5 Documation/MIS 2014, les temps forts p.7 ► 6 conférences plénières sur les grandes tendances du secteur ► Des conférences et ateliers thématiques sur les enjeux sectoriels et métiers ► 2 ième édition des Trophées « Data Intelligence Awards » ► Lancement du « Service Projets », en partenariat avec le CXP ► Remise des « ECM Personality Awards 2014 », en partenariat avec l’APROGED ► Enquête exclusive XIKO « L’information, parlons-en » ► 2 villages partenaires : Microsoft et FNTC ► Les études dévoilées à l’occasion de Documation / MIS Focus sur les thématiques clés de Documation/MIS 2014 p.17 ► Big Data : « les premiers projets métiers arrivent » ► Dématérialisation, GED et gestion de contenus ► Archivage électronique, records management et tiers de confiance ► Partager la connaissance : les nouvelles formes de gouvernance pour réussir sa transformation numérique ► La maîtrise informationnelle des entreprises françaises ► Sécurité des données et intelligence collective Infos pratiques p.31 ► Accès et horaires ► Liste des exposants ► Fiche d’identité du salon et des organisateurs
  • 3. 3 3 questions à Laurent Eydieu, Directeur de la division Nouvelles Technologies Reed Expositions France Q- Quelles sont les ambitions de Documation et du MIS ? Documation existe maintenant depuis 20 ans, et représente pour les professionnels le grand rendez-vous annuel d’échanges et de rencontres sur les sujets de la gestion des documents, des données et des contenus en entreprise. Depuis 3 ans, le MIS, le salon Management – Information – Stratégie, co-organisé avec Veille Magazine, se tient conjointement à Documation, et vient renforcer les thématiques du salon avec des sujets dédiés plus spécifiquement aux professionnels de l’information stratégique et de la gestion des connaissances. À travers ces deux événements, nous souhaitons fédérer les acteurs de l’information et du document numérique, jouer le rôle de place de marché, et favoriser ainsi des opportunités d’affaires entre les fournisseurs de solutions et les porteurs de projets en entreprise. Q- Quelles seront les nouveautés de Documation et du MIS en 2014 ? Pour cette nouvelle édition, nous avons souhaité renforcer le programme des conférences proposées aux visiteurs, dans l’esprit de ce qu’était Documation à sa création il y a 20 ans. Pour cela, nous avons mis en place deux Comités Scientifiques, placés sous la présidence de Louise Guerre (Groupe Serda) pour Documation, et de Jacqueline Sala (Veille Magazine) pour le MIS ; et réunissant à la fois des experts du document et de l’information numérique, des utilisateurs, et des décideurs métiers de différents secteurs.
  • 4. 4 Ces Comités ont pour mission de créer un programme de conférences à forte valeur ajoutée, permettant de couvrir les grandes thématiques transverses du secteur, comme la gouvernance documentaire ou la data intelligence ; mais aussi de les décliner par secteur et par fonction, avec des conférences thématiques dédiées à certains métiers, comme les Ressources Humaines, le Marketing, la Santé, le Secteur public ou encore la Finance. L’édition 2014 sera également marquée par le lancement du « Service Projets », un outil innovant de « génération de leads ». Ce dispositif, testé en 2013 et qui avait alors permis d’identifier plus de 1 000 projets, sera animé par le CXP et reposera sur une plateforme web d’identification de projets, couplée à un espace physique de mise en relation avec les exposants et de rencontres d’affaires sur le salon. Q- Quelles seront les thématiques clés abordées lors de l’édition 2014 ? Notre ambition est d’accompagner les entreprises et les organisations dans leur transformation numérique. Elles trouveront sur Documation/MIS toutes les solutions en la matière, et plusieurs angles seront traités : valorisation des nouveaux usages, maîtrise des risques et définition des nouvelles perspectives. Plus spécifiquement, Documation/MIS 2014 couvriront les thèmes de la dématérialisation, de la gestion électronique de document, de la gestion de contenus, du Big Data et de la Data Intelligence, de l’archivage électronique et du records management, de l’accès à l’information et la connaissance, de l’entreprise collaborative, de la gouvernance de l’information…
  • 5. 5 Présentation des Comités Scientifiques Documation/MIS 2014 Pour ces nouvelles éditions de Documation et MIS, les organisateurs ont souhaité mettre en place un programme de conférences à forte valeur ajoutée. Les grands sujets transverses seront couverts par des sessions plénières et déclinés par secteur et par fonction, à travers des conférences thématiques sur Documation, et des ateliers de démonstrations et conférences d’experts sur MIS. Ce programme ambitieux est réalisé et piloté par deux Comités Scientifiques, placés sous la présidence de Louise Guerre (Groupe Serda) pour Documation, et de Jacqueline Sala (Veille Magazine) pour MIS. Ces Comités réunissent à la fois des experts du document et de l’information numérique, des utilisateurs, et des décideurs métiers de différents secteurs. Membres du Comité Scientifique MIS 2014 Professionnels de l’information : Stéphane Rosenwald, Global Market Intelligence Alliance, Président de ESCP Alumini IE, Président de la commission IE à L'AMRAE (Association pour le management des risques et des assurances de l'entreprise) Anne Marie Libmann, Co-présidente ADBS. Consultante à l'International Sélim Allili, Co-Président Observatoire des Think Tanks Rémi Bilbault, Président GFII (Groupement Français des Industries de l'Information) Diane Rambaldini, Présidente ISSA France, Sécurité de l'Information, Risques & Crises. Conseil en management des risques opérationnels & informationnels Experts et décideurs métiers : Rémy Fevrier, Maître de Conférences en Sciences de Gestion au CNAM-INTEC. Responsable des UE Management et Audit des Systèmes d'Information - Ancien Lieutenant-Colonel de la Gendarmerie Nationale Christophe Binot, Responsable Gouvernance de l'Information du groupe Total. Isabelle Reyre, Dirigeant Arctus. Responsable de l'Observatoire des DRH Renaud Finaz, Directeur Marketing et Communication, Micropole Gérard Haas, Avocat, Président de GESICA, Réseau international d'avocats. Membre des Décideurs du Digital
  • 6. 6 Membres du Comité Scientifique Documation 2014 • Françoise Banat Berger, Sous-Directrice à la politique interministérielle et territoriale pour les archives traditionnelles et numériques, Service Interministériel des Archives de France • Alain Bensoussan, Avocat à la Cour d’appel de Paris, Cabinet Alain Bensoussan • Alain Berger, Directeur Général d’ARDANS • Jean-Pierre Blanger, Vice-Président de la FIDIM (Fédération Internationale Document and Information Manager) • Philippe Courqueux, DSI de Cora, membre du CIGREF et Président du Comité d’orientation stratégique AFNOR « Information et communication numérique» • Xavier De La Selle, Directeur de la Rixe, Ville de Villeurbanne, et membre du Conseil d’administration de l’AAF (Association des Archivistes Français) • Bernard Delecroix, Délégué Général de la FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance) • Catherine Dhérent, Adjointe scientifique et technique à la Direction des Services et des Réseaux de la Bibliothèque Nationale de France • Marie-Louise Flacke, STC France – Assistante France des rédacteurs techniques, rédactrice technique • Pierre Fuzeau, Co-Président de Serda et Président de la CN46 Information, Documentation et Archives à l’AFNOR • Romain Hennion, Co-responsable pédagogique « Executive Certificate Architecture and Cloud Computing » à l’Ecole Centrale Paris, auteur « Cloud computing : décider, concevoir, piloter, améliorer » • Arnaud Jules, Directeur Gestion et conservation de l’information, Orange • Charlotte Maday, Responsable du bureau des archives et de la gestion des documents de l’Université de Paris DIDEROT – PARIS 7, expert AFNOR/ISO et membre de AAF • Véronique Mesguich, Co-Présidente de l’ ADBS (Association des Professionnels de l’Information et de la Documentation) • Philippe Nieuwbourg, journaliste, Decideo.fr • Fabrice Papy, Directeur du groupe de recherche "Document numérique & Usages", Université de Lorraine • Laurent Seguin, Président de l'AFUL, l'association francophone des utilisateurs de logiciels libres • Michel Thomas, Consultant Expert • Thibaut Stephan, Responsable de SerdaLab, le laboratoire du groupe Serda/Archimag
  • 7. 7 Documation/MIS 2014, les temps forts 6 conférences plénières sur les grandes tendances du secteur 26 mars à 10h30 Espace Conférences Documation : « Dématérialisation, GED et ECM : avancées juridiques, interopérabilité et processus métier » 26 mars à 14h15 Espace Conférences Documation : « Dans les coulisses des organisations : collecte, qualité et maîtrise de ses données » 27 mars à 10h30 Espace Conférences Documation : « Archivage électronique, records management et tiers de confiance : sécurisation, conformité, et pérennité au service de la confiance » 27 mars à 14h15 Espace Conférences Documation : « Partager la connaissance : transformation numérique et nouvelles formes de gouvernance » 26 mars à 11h30 Espace Conférences MIS : « Intelligence numérique : la France se mobilise » 27 mars à 16h00 Espace Conférences MIS : « Valorisation des Technologies Data au service des décideurs»
  • 8. 8 Documation/MIS 2014, les temps forts Des conférences thématiques sur les enjeux sectoriels et métier Les conférences thématiques de Documation 2014 traiteront de sujets métiers et/ou sectoriels, comme, par exemple : Santé : « Gérer un projet de dématérialisation dans le domaine de la santé » (26 mars à 9h30) Banque & Assurance : « la dématérialisation dans le domaine bancassurance, révolution des modes de consommations et la compliance » (26 mars à 16h) Secteur public : « techniques de numérisation et dématérialisation pour le secteur public » (27 mars à 9h30) Marketing : « Big data, comment lancer son premier projet ? » (26 mars à 13h30) Juridique : « La signature électronique » (27 mars à 17h) PME-PMI : « La GED collaborative » (27 mars à 16h) DAF : « Dématérialisation des factures et des flux financiers, enjeux, opportunités et retour d’expériences » (26 mars à 12h15) A noter également la tenue, le mercredi 26 mars de 13h00 à 13h45 sur le MIS, de la conférence « Etat de l'Art sur les réseaux sociaux d'entreprise : Le big data au service de la transformation digitale », sur laquelle Lecko présentera les éléments marquant de sa dernière étude des réseaux sociaux d’entreprise et fera le tour de l’évolution de l’offre, des usages en entreprises et des démarches de transformation associées. Une étude issue d’une enquête réalisée auprès de 10 entreprises du CAC 40 sur les conditions de mise en place de leur RSE nourrit la présentation de l’état de l’art des stratégies de déploiement et gouvernance. L’étude présente comme chaque année l’analyse de 30 solutions du marché sur 100 usages à partir de 450 critères fonctionnels.
  • 9. 9 Documation/MIS 2014, les temps forts 2ème édition des « Data Intelligence Awards » Pour leur 2 ème édition, Les « Data Intelligence Awards » ont choisi de mettre en lumière des solutions, entreprises et initiatives dans le domaine de la « Data Intelligence », secteur dont les évolutions impactent aujourd’hui, par leur performance et leur créativité, l’ensemble des technologies de l’information et de la connaissance, dans 4 catégories : Data Access, Open Data, Data Visualisation, BI Mobile. Le jury composé de 5 membres est présidé cette année par Laurence Dubrovin, analyste au CXP. (cf. interview ci- après). La remise des prix aura lieu le 27 mars 2014 à 17h00 (espace de conférences du MIS). Pour en savoir plus sur les Trophées « Data Intelligence » : http://www.veillemag.com/Participez-aux-Data-Intelligence-Awards-2014_a2352.html Retrouvez les nominés et lauréats 2013 sur : http://www.veillemag.com/Laureats-et-Grand-Prix-aux-Data-Intelligence-Awards-2013_a2055.html
  • 10. 10 3 questions à Laurence Dubrovin, Analyste au CXP (Expert BI, CRM & MDM) Q- Comment définiriez-vous le concept de Data Intelligence ? Face à la multitude des informations, structurées ou non, provenant de sources multiples, internes (outils de BI, systèmes CRM, ERP ou RH) mais de plus en plus externes (réseaux sociaux, blogs, forums, mobiles, données de géolocalisation etc.) et bientôt objets connectés, l’entreprise est submergée d’informations de toutes parts. Il faut donc aujourd’hui pouvoir analyser très rapidement ces données et être en mesure de les intégrer dans les processus métier. C’est là qu’intervient la Data Intelligence, à savoir la capacité pour l’entreprise à tirer parti de toutes ces informations - le fameux phénomène big data - et à pouvoir les partager rapidement selon ses besoins : en marketing (analyse de réputation), en commercial (historique du client et analyse du panier moyen), en RH (analyse des compétences du marché pour le recrutement), en logistique (optimisation de la supply chain), etc. Q- Où en est le marché de la Data Intelligence ? Il est en pleine effervescence et transformation au service de l’innovation, avec l’apparition, en plus des grands acteurs du marché, de nombreuses start-up qui adressent les différentes dimensions du problème : la mise à disposition d’informations dans une logique d’Open Data, les outils pour récupérer et extraire les données pertinentes, les stocker via des bases analytiques dédiées, les analyser avec notamment les outils de Data et Text Mining (analyse sémantique) et les valoriser via les outils de Data Visualisation pour que ces informations apportent de la valeur aux activités de l’entreprise. Autant d’outils et d’éléments qu’il faudra intégrer et distiller dans les différents processus métier de l’entreprise. Un marché colossal qui démarre lentement en France, 2014, voyant apparaître les premiers projets opérationnels. Q- Quels sont pour vous les enjeux auxquels ont à faire face les entreprises ? Les enjeux pour les entreprises sont stratégiques car pour rester dans la course, il est impératif de maîtriser toutes ces données, d’être à l’écoute et d’analyser les sentiments des clients et prospects, de mesurer en permanence sa réputation sur le Web, d’anticiper les grandes tendances du marché et d’en tirer profit pour innover. Une fois ces informations disponibles, ce sont les nouveaux enjeux de la mobilité qui se posent et plus largement du multicanal, et donc la possibilité d’atteindre le client là où il se trouve, de suivre son parcours et son expérience client, de prédire ses appétences vis-à-vis d’une offre et de lui proposer un produit ou un service personnalisé. Mais aussi permettre aux collaborateurs mobiles de l’entreprise, les commerciaux ou le personnel de maintenance, de mieux partager l’information avec l’entreprise tout en étant sur le terrain avec leurs clients.
  • 11. 11 Documation/MIS 2014, les temps forts Lancement du « Service Projets » en partenariat avec le CXP Documation / MIS lancent sur l’édition 2014, en partenariat avec le CXP, cabinet indépendant d’expertise en logiciels, un outil innovant et inédit. Issu d’un premier test sur 2013 ayant permis d’identifier plus de 1 000 projets, il est constitué d’une plateforme web de déclaration de projets en amont du salon, et d’un espace physique d'accompagnement de projets et de mise en relation d’affaires sur le salon. Un service innovant et indépendant d’aide au choix de solutions informatiques Laurent Eydieu, Directeur de la Division Nouvelles Technologies de Reed Expositions France : « « Les objectifs majeurs de Documation/MIS sont d’offrir aux visiteurs des contenus d’experts leur permettant d’identifier et de décrypter les grandes tendances du marché, et de mettre en relation fournisseurs de solutions et porteurs de projets pour développer des opportunités d’affaires concrètes autour de l’événement. Le Service Projets, en collaboration avec le CXP, expert en solutions logicielles, s’inscrit tout à fait dans cette démarche. Les porteurs de projets pourront concrètement, à l’occasion de Documation/MIS 2014, bénéficier des conseils avisés des consultants du CXP, qui les aideront dans la conduite de leur projet. Le CXP réalisera notamment un parcours personnalisé de visite leur permettant d’identifier les fournisseurs de solutions les plus à même de répondre à leurs besoins. » Laurent Calot, Président du Directoire CXP « Nous avons bien conscience de la difficulté pour les entreprises de se repérer dans la jungle du marché et d’identifier les outils les plus adaptés à leurs besoins. En tant que partenaire historique du salon, nous sommes très heureux de renforcer notre collaboration avec Reed Expositions France et de faire bénéficier les visiteurs de Documation / MIS de notre expertise. Nous allons ainsi partager notre connaissance du marché et de ses acteurs, et mettre à profit notre expérience dans l’accompagnement de projets. Notre indépendance vis-à-vis des éditeurs est un élément clé de cette collaboration, dès lors que nous conseillons les porteurs de projets et les guidons vers des fournisseurs de solutions sur le salon. »
  • 12. 12 Documation/MIS 2014, les temps forts Remise des « ECM Personality Awards 2014 », en partenariat avec l’APROGED A l’occasion des 20 ans de Documation et en partenariat avec l’APROGED, Association des Professionnels pour l’Economie Numérique, se tiendra sur les salons la remise des « ECM Personality Awards 2014 ». Ces trophées seront décernés à 9 personnalités qui ont joué un rôle majeur dans le développement de la gestion de contenus et du document numérique en France. Les 9 catégories choisies par l’APROGED sont : Juridique Linguistique GEIDE Archivage Normalisation Information/Presse Stockage WORM Numérisation Education Ces trophées seront remis le mercredi 26 mars 2014 à 18h30 précises en salle des conférences thématiques.
  • 13. 13 Documation/MIS 2014, les temps forts Enquête exclusive XIKO « l’information parlons-en » Véritable observatoire des tendances de la gestion de l’information en entreprise, les salons Documation/MIS s'interrogent cette année sur la relation des professionnels à un écosystème d’information en constante évolution, à travers une enquête exclusive réalisée en partenariat avec XIKO, agence conseil spécialisée dans l’analyse des conversations en ligne, et Veille, le magazine des professionnels de l’information stratégique. Les résultats de cette enquête seront dévoilés à l’occasion des salons Documation/MIS 2014, et permettront de dresser un état des lieux de la façon dont les professionnels cohabitent avec l’information. La conférence de présentation de cette enquête fera découvrir les tendances majeures qui se dégagent, telles que : - Les principaux sujets qui émergent lorsque les professionnels parlent d’ « information » ; - Les types d’outils dont ils parlent le plus et ce qu’ils disent de leur mise en place ; - Les points de vue et les partis pris qu’ils adoptent autour sur ces questions, stratégiques pour les organisations dans lesquelles ils opèrent. Pour participer à cette enquête : http://xiko.fr/Enquete-MIS2014-VeilleMag-XiKO/index.html
  • 14. 14 Documation/MIS 2014, les temps forts Les Villages Partenaires Le Village Microsoft Pour la 5 ème année consécutive, Microsoft France et Documation s'associent pour organiser le Village Microsoft, un espace dédié à la découverte des nouvelles fonctionnalités et offres de solutions collaboratives à l'heure du Cloud. Le Village FNTC Pour la 5 ème année consécutive, le Village FNTC, tenu par la Fédération des Tiers de Confiance, rassemblera les acteurs de la chaîne de confiance, sur des thèmes comme : identification, confidentialité, intégrité, archivage des documents électroniques, conservation des informations.
  • 15. 15 Documation/MIS 2014, les temps forts Les études dévoilées à l’occasion de Documation / MIS Thème : Big Data L’étude Big Data du CXP repose sur une enquête construite sur un questionnaire en ligne complété d’entretiens individuels, auprès de 274 entreprises utilisatrices de plusieurs pays européens. Ces entreprises ont été interrogées sur les usages qu’elles font des Big Data, sur les bénéfices qu’elles en ont tirés ou prévoient d’en tirer et sur les problèmes rencontrés. Laurence Dubrovin, Analyste CXP, présentera certains aspects de cette étude lors de la conférence Experts MIS « L’analytique au service des métiers » le jeudi 27 mars à 15H00. Pour plus d’informations sur l’étude Big Data, rendez-vous sur le stand B59, Thème : Archivage numérique MARKESS profitera de Documation pour annoncer en exclusivité les résultats clés de sa dernière étude « Conservation & archivage de contenus numériques : pré-requis et solutions en réponse aux enjeux des entreprises » A quels enjeux répond la conservation de contenus numériques ? Quel périmètre couvre-t-elle dans l'entreprise ? Sur quelles solutions technologiques sont basés les projets d'archivage et de conservation ? Quelles modalités sont privilégiées pour l'exploitation de ces solutions ? Vers quels acteurs se tournent les entreprises ? Quelles tendances se dessinent sur ce marché d'ici 2016 ? Présentation par les analystes le jeudi 27 mars de 12h30 à 13h15 sur le salon, avec remise en avant-première des liens vers un livre-blanc de plus de 15 pages contenant les principaux résultats présentés. Thème : Données à caractère personnel Navigation sur internet, utilisation d’applications sur les smartphones, partage d’informations via les réseaux sociaux, chacun de nos comportements liés au numérique laisse des traces à propos de nos goûts, de nos habitudes, de nos opinions… SerdaLAB dévoilera, à l’occasion de Documation / MIS 2014, les résultats de son étude sur les pratiques en matière de gestion des données personnelles. Présentation des résultats en avant-première des résultats lors d’une conférence de presse le mercredi 26 mars de 12h30 à 13h30 en salle de presse Documation / MIS.
  • 16. 16 Thème : Dématérialisation des flux ITESOFT présentera en exclusivité le 26 mars sur le salon Documation, les principaux résultats de la seconde édition 2014 du Baromètre CXP « Optimisation des processus clients par la dématérialisation des flux », en partenariat avec ITESOFT et Fujitsu. Ce second volet d’un baromètre sur les usages et les pratiques de dématérialisation des flux documentaires clients dans les entreprises, a pour vocation de créer un outil de connaissance du marché et de benchmarking des pratiques afin d’aider à améliorer la relation client. La synthèse de l’étude sera disponible sur le Stand ITESOFT (D32) Thème de l’étude : Gestion des commandes clients Une gestion efficace des commandes est nécessaire pour garantir un traitement dans les délais et contribuer à la satisfaction clients. Le CXP - cabinet de conseil et d'analyse en solutions logicielles - et Esker - éditeur de solutions de dématérialisation des processus documentaires – ont mené en février 2014 une enquête pour dresser un état des lieux des différents modes de gestion des commandes au sein des entreprises et des défis à relever pour améliorer la performance de ce processus clé. Cette enquête apportera notamment des éclairages sur : * les processus de gestion des commandes les plus fréquemment observés, * le mode de circulation de l’information tout au long du processus, * les outils de pilotage mis en œuvre dans les entreprises, * les objectifs que se sont fixé les entreprises pour 2014. Les résultats de l’enquête seront disponibles sur le Stand Esker (C35)
  • 17. 17 Documation/MIS 2014, les thématiques clés Big Data : les premiers projets arrivent Source Archimag Les chiffres clés Le chiffre d’affaire du marché mondial du « big data » (logiciels et services) s’élève à 31 milliards de dollars en 2013. En France, ce marché devrait croître à un rythme annuel de 27 % entre 2012 et 2017, passant de 152 millions à 494 millions d’euros. Seuls 20 à 30 % des données sont exploitées par les entreprises. En 2012, seuls 6 % des décideurs impliqués dans une telle problématique avaient concrètement engagé des projets liés au « big data ». Les principaux freins résident encore dans le coût des infrastructures (45 %), le manque de compréhension des bénéfices par les métiers (39 %) et le manque de compétences pour analyser les données (27 %). Sources : ABI Research, IDC et Forrester. Problématique et enjeux Volume, vélocité et variété : les 3V du « big data » peuvent effrayer. En abordant la problématique du « big data » de façon trop globale, les entreprises mettent un frein à leurs projets et risquent de rater des opportunités. Pour traiter le « big data », il faut commencer petit ! … et soigner ses métadonnées. Retour d’expérience : Eurotoll récolte plusieurs centaines de milliers de données par seconde Eurotoll est un opérateur de services proposant aux transporteurs routiers des équipements embarqués dédiés à la facturation des transactions péages. Souhaitant fin 2012 optimiser les performances et les processus de ses clients, elle fait appel au groupe Klee pour participer au développement des applications de géolocalisation de leur flotte. S’appuyant sur la technologie Mongo DB, Klee permet désormais à Eurotoll de capter et de récolter des flux de plusieurs centaines de milliers de données par seconde afin de les restituer en temps quasi réel aux transporteurs. Klee se charge également d’héberger ces données. La solution est en exploitation depuis janvier 2014.
  • 18. 18 Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014 ► L’offre big data d’EMC est basée sur l’élaboration d’une plateforme d’infrastructure avec un stockage scale-out, des fonctions d’analyse prédictive unifiée, et des outils de développement des applications et des processus métiers. ► Sinequa propose une plateforme d’accès unifié à l’information fournie avec des connecteurs à de multiples sources de données et avec de fortes capacités d’analyse de contenu. Son architecture en grille permet l’extrême scalabilité et flexibilité requises pour traiter le Big Data. ► La Luxid Content Enrichment Platform développée par Temis permet d’extraire des informations structurées des contenus afin de les analyser. Personnalisable et capable de s’adapter à différents domaines et usages, elle peut traiter une large gamme d’applications stratégiques Big Data. ► La plateforme Big Data intégrée d’IBM est articulée autour de quatre fonctionnalités de base : analyse Hadoop, stream computing, entrepôts de données, intégration des informations et gouvernance. 3 questions à Philippe Nieuwbourg, Decideo.fr Quels sont les écueils possibles d'un projet "big data" mené par une entreprise ? Le principal écueil est de voir trop grand, de tenter de refonder l’entreprise autour du big data. C’est sans doute là que la « pensée globalisante » française nous fait prendre du retard face à d’autres pays plus pragmatiques. Vouloir tout prévoir avant de démarrer c’est impossible. Donc on doit limiter le projet, oser prendre des risques mais avancer par étape et mesurer en permanence les impacts. Autre écueil, croire ou faire croire que c’est un projet technologique ! Un projet Big Data ce n’est pas mettre en place Hadoop ! C’est un projet business avant tout. Avant de voir "Big", ne faut-il pas commencer "petit" en soignant ses métadonnées ? Complètement ! Un projet Big Data pour réussir doit être « small ». Sinon ce sera une usine à gaz. Soigner ses métadonnées, certainement. Mais pas plus que de soigner ses données, ses analyses, ses processus de valorisation. Un projet big data c’est du raffinage, au sens pétrolier du terme. Je prends des données brutes, je les transforme, croise, analyse, représente pour leur donner de la valeur. En quoi la visualisation est-elle la clé pour retirer de la valeur des données d'une entreprise ? 765,87 ; 845,54 ; 398,89 ; 798,45… que voyez-vous ? Une suite de chiffres… moi, je vois le chiffre d’affaires trimestriel avec une forte baisse au 3ème trimestre. Si je vous avais montré une courbe, vous auriez vu la même chose que moi. Et plus on a de données, plus leur représentation visuelle est importante.
  • 19. 19 Documation/MIS 2014, les thématiques clés Dématérialisation, GED et gestion de contenus Source Archimag Les chiffres clés Le marché français de la dématérialisation a été estimé par SerdaLab à 2,32 milliards d’euros en 2011 (étude « Dématérialisation des processus documentaires : marché et tendances en 2013-2015 »). Selon les prévisions de ce cabinet, ce marché atteindrait 2,7 milliards d’euros en 2015. Problématique et enjeux Aujourd’hui, la dématérialisation est à la fois permise et poussée par les avancées réglementaires. Depuis la reconnaissance de l’écrit électronique comme preuve (loi du 13 mars 2000), les avancées juridiques se sont multipliées. Le numérique est même parfois une obligation. Par ailleurs, il faut se pencher sur la question de la dématérialisation des processus. Retour d’expérience : certification électronique pour les petites communes, exemple de la Mairie de Rully Dans les petites communes, les maires sont souvent les signataires directs des différents actes administratifs ; dans un contexte de dématérialisation, ils ont besoin de disposer d’une identité numérique. Certinomis (Docapost EBS, groupe La Poste) a adapté pour ces utilisateurs sa solution de certification électronique, leur permettant de s’authentifier et de signer électroniquement. Concrètement, l’élu demande son certificat en ligne ; il sélectionne la durée de son certificat et choisit le bureau de poste où il ira retirer sa carte à puce ou clé USB « Certinomis Élu ». Cette démarche physique permet de garantir l’identité du détenteur. La carte à puce ou la clé USB contient un certificat d’authentification et de signature électronique qui répond aux obligations du Référentiel général de sécurité (RGS) régissant les échanges administratifs. Pour signer un acte, l’élu connecté à la plateforme n’a qu’à insérer son certificat dans le lecteur, la sécurité étant assurée par la saisie d’un code PIN. La Mairie de Rully (727 habitants, département de l’Oise) a expérimenté cette solution.
  • 20. 20 Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014 ► Cecurity.com : Coffre-fort électronique Communicant (CFEC) ; bénéficie du label FNTC-CFE et de la certification NF logiciel coffre-fort numérique délivrée par Afnor Certification. ► CertEurope (Oodrive) : certificats numériques, horodatage, archivage. ► Docapost DPS : Espace Sécurisé de Conservation (ESC) ; bénéficie du label FNTC-CFE. 3 questions à Eric Barbry, avocat, Directeur du pôle droit numérique du Cabinet Alain Bensoussan Quel point global pouvez-vous dresser sur le droit de la dématérialisation en matière juridique ? Il faut retenir le double numérique en terme de facture dématérialisée, la signature électronique des arrêts de la cour de cassation, l’usage des tablettes graphiques par les gendarmes et les douaniers ou encore le procédé 2D Doc, qui traite, pour la première fois, de la problématique de la rematérialisation de documents nativement électroniques. Mais si l’on veut retenir les grandes dates de la dématérialisation, on parlera de l’année 2000, qui donne corps au droit de l’électronique et au droit à l’électronique ; de 2004 qui, avec l’adoption de la loi pour la confiance dans l’économie numérique, crée un vrai droit à la dématérialisation et, de 2008 qui crée une véritable obligation en termes de dématérialisation. 2014 s’annonce comme l’année de la dématérialisation pour tous ou presque, avec la renaissance de la signature électronique grâce aux certificats éphémères et la généralisation des tablettes signantes… Les prestataires du domaine de la confiance (signature électronique, coffre-fort...) disent leurs solutions "conformes", mais à quel point sont-ils ou devraient-ils être responsables ? Il n’est effectivement pas facile de faire la part des choses entre les prestataires de services de certification électronique (PSCE) qui se revendiquent tous d’une « conformité légale ». Mais derrière les discours commerciaux, il faut analyser trois choses : 1 - quels sont les engagements contractuels pris par le PCSE ? 2 - quel est son périmètre assurantiel ? 3 - que propose le PCSE si par malheur il venait à disparaître ? Les choses devraient par ailleurs s’éclaircir un peu avec l’adoption annoncée du règlement de l’Union Européenne sur l’identité numérique et les prestataires de confiance. Le droit de la dématérialisation fait d'abord référence à des documents ; qu’en est-il des processus ? En réalité la dématérialisation couvre les deux : les documents, bien sûr, car qui dit facture, bulletin de paye, décision de justice, … dit « document », mais aussi des processus, voire une chaîne de relations complètes. On pense ici au Réseau privé virtuel des avocats (RPVA), par exemple, qui fixe les relations entre avocats et Palais. On peut aussi parler de « processus » lorsqu’on l’on met en place une chaîne dématérialisée d’approvisionnement (de la commande au paiement), du process finance (télédéclaration, télépaiement), ou de la chaîne ressources humaines (de la signature électronique du contrat de travail au bulletin de paye dématérialisé).
  • 21. 21 Documation/MIS 2014, les thématiques clés Archivage, records management et tiers de confiance Source Archimag Les chiffres clés 50 ans, 100 ans : c’est la pérennité des données annoncée par la Bibliothèque Nationale de France via son système d’archivage numérique SPAR ouvert aux tiers, privés comme publics. Problématique et enjeux Les problématiques de confiance progressent dans les entreprises mais elles se retrouvent face à une offre qui peut sembler confuse. Toutes les solutions prétendant proposer du records management, de l’archivage électronique, de la certification… proposent-elles le même niveau de conformité ? Il faut pouvoir définir des exigences clés pour évaluer ses besoins. Retour d’expérience d’Arnaud Jules, Directeur Gestion et conservation de l’information, Groupe Orange Le Groupe Orange a lancé en 2005 un vaste projet de gouvernance de l’information doté d’un fort volet dédié au Records management. L’entreprise a mis en place une plateforme de GED capable de traiter une production documentaire colossale et hétérogène : contacts, clients, exploitation du réseau, R&D, textes réglementaires… La politique de records management priorise certains documents et est couplée à des impératifs de sécurité informationnels particulièrement forts. Aujourd’hui, la gestion de l’information est pratiquée en mode « grand angle » : GED, archivage électronique, numérisation, veille… De nombreuses entreprises s’adressent à Orange pour étudier ce retour d’expérience de gouvernance de l’information globale.
  • 22. 22 Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014 ► Locarchives propose différents types de prestation : archivage électronique, hébergement sécurisé, archivage électronique à valeur probatoire… ► Novarchives propose des prestations de dématérialisation de documents, des solutions d’hébergement et de consultation des archives numériques. ► EverTeam propose une solution sécurisée et évolutive d’archivage mixte de documents électroniques et papier. ► Cecurity.com propose un coffre-fort numérique bénéficiant de la certification NF Logiciel Coffre-fort numérique délivré par Afnor Certification. 3 questions à Michel Thomas, consultant Quels conseils donner à une entreprise qui souhaite passer à l'archivage électronique ? 1. Dresser la liste complète par type et volume des documents utilisés par les diverses activités de l’entreprise : quels documents sont reçus et sous quelle forme par les divers processus ? 2. Quels documents sont émis et sous quelle forme par ces mêmes processus ? Pour chaque type de documents, définir les contraintes réglementaires et juridiques qui lui sont associées. 3. Définir le périmètre documentaire et organisationnel demandant le respect de la norme NFZ 42-013. Faut-il mener un chantier d'archivage électronique en interne ou l'externaliser ? 1. Puis-je prendre le risque d’un accès à mes documents par des personnes extérieures à l’entreprise ? 2. Puis-je contrôler efficacement la sécurité et la fiabilité du SAE du tiers archiveur ? 3. Puis-je accepter que mes documents soient stockés en dehors de mon pays d’origine ? 4. Puis-je récupérer facilement les archives (documents et métadonnées) si nécessaire, et tout particulièrement en cas de défaillance ou de rachat du tiers archiveur ? Une réponse négative ou douteuse à une de ces questions fera pencher le choix vers un archivage en interne. Quel est le rôle des tiers de confiance ? Un tiers archiveur adhérent de la FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance) respecte une charte déontologique qui vous donne un certain nombre de garanties, comme la réversibilité de vos archives par exemple, ou leur conservation en cas de défaillance du tiers. Le tiers de confiance, quand il archive les documents ou les empreintes des documents, apporte une garantie d’intégrité des archives, tout particulièrement pour les documents émis par l’entreprise.
  • 23. 23 Documation/MIS 2014, les thématiques clés Partager la connaissance : les nouvelles formes de gouvernance pour réussir sa transformation numérique Source Archimag Les chiffres clés Seulement 11 % des employés français ont recours à des outils de collaboration sociale, contre 25 % aux Pays-Bas, 19 % en Allemagne et 16 % en Angleterre (Etude Deloitte). Problématique et enjeux Affaire de technologie, de management, de génération… ? Aujourd’hui, les entreprises adoptent de plus en plus un mode de travail collaboratif pouvant être ouvert à des partenaires ou concurrents (« coopétiton ») et permettant un fonctionnement mobile. Reste à organiser les contenus et préserver un système d’information cohérent. Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014 ► Ardans édite des logiciels dédiés à la gestion des connaissances et propose des prestations de conseil et d’expertise dans le domaine de l’ingénierie des connaissances. ► Digimind commercialise des solutions de veille complètes : collecte, diffusion, analyse et publication des informations. ► Jalios propose une série d’outils dédiés au partage des connaissances : réseaux sociaux d’entreprise, portails personnalisés, logiciels de gestion de contenus, intranets collaboratifs… ► KB Crawl édite des solutions de veille sous forme de plate-forme collaborative. Sa solution complète, KB Crawl Suite, est disponible dans les nuages. ► Knowings propose une plate-forme collaborative qui permet de gérer, valoriser et diffuser les contenus des entreprises : Ged, gestion des connaissances, réseaux sociaux d’entreprise. ► Qwam Content Intelligence développe des services de fourniture de contenus professionnels et propose des moteurs de recherche fédérée et des portails d’information.
  • 24. 24 Témoignage d’Alain Berger, Directeur général Ardans L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) est chargée par l’État de mettre en œuvre des solutions sûres de gestion des déchets radioactifs français. Pour mener à bien à cette mission, l’Andra dispose d’un référentiel de connaissances déployé par la société Ardans. Baptisé « Socle de connaissances », ce référentiel donne aux agents de l’Andra une vision globale des déchets : choix de filière, inventaire, études… L’outil Ardans exploite déjà 50 000 éléments de connaissances (valeurs, textes, illustrations…) et l’Andra continue d’enrichir et de valoriser ce socle de connaissances. 3 questions à Fabrice Papy, Professeur des Universités de Sciences de l'Information et de la Communication, Université de Lorraine L'entreprise 2.0 est-elle devenue une réalité et quelles formes prend-elle ? L’expression « entreprise 2.0 » constitue un mythe qui ne correspond guère aux orientations sociales et participatives formulées par O’Reilly en 2004 à propos du Web 2.0. Si les TIC se sont imposées dans l’entreprise, l’organisation du travail n’en a pas été modifiée pour autant. L‘organisation verticale (et hiérarchique) du travail n’a ainsi pas été remplacée par une organisation horizontale. Les pouvoirs de décision sont demeurés très centralisées. Ce qui a changé pour les salariés, c’est la nécessité induite par les TIC de communiquer plus rapidement et plus efficacement avec un plus grand nombre d’interlocuteurs au sein de l’entreprise. Les outils collaboratifs démultiplient les échanges au sein des organisations. Dès lors, comment définir une gouvernance de l'information ? L’adage « Trop d’information tue l’information » que les spécialistes de RI connaissent bien s’est invité définitivement dans les entreprises avec la généralisation des outils de communication numériques. L’augmentation des interactions numériques a engendré un volume considérable de données et de documents qu’il est urgent d’organiser et de structurer afin d’éviter la dissolution des informations stratégiques et les risques de surcharge informationnelle. Toute gouvernance de l’information devra s’attacher à répondre à ces enjeux. Dans ce contexte, quelle est la place des professionnels de l'information ? Doivent-ils se repositionner ? Avec la mutation numérique que connaissent aujourd’hui les entreprises, exacerbée par la mondialisation et la compétition économique, les professionnels de l’information maintiendront un rôle déterminant d’infomédiaire. Leurs compétences en matière d’organisation et de gestion de l’information continueront à être sollicitées, mais ils devront les reconfigurer pour les adapter aux exigences des flux numériques qui cadencent, accélèrent et amplifient les communications internes et externes.
  • 25. 25 Documation/MIS 2014, les thématiques clés La maîtrise informationnelle des entreprises françaises Source Archimag Les chiffres clés 93 % des entreprises françaises de plus de 250 salariés ont subi des pertes de données en 2012 (Source : Etude Iron Mountain et PwC sur la gestion des risques de l’information dans les entreprises européennes, juin 2013). La quantité de données produites dans le monde est sur le point de doubler tous les deux ans. D’ici la prochaine décennie, la quantité de données gérées par les entreprises pourrait être multipliée par 50. (Source : Cabinet IDC Extracting value from chaos, 2011). Problématique et enjeux Pour une entreprise, développer son activité suppose aujourd’hui de maîtriser son environnement informationnel. Cela se traduit par des démarches de veille, e-réputation, influence, sécurité, protection de la propriété industrielle, …. Encore loin du niveau de leurs concurrentes anglo-saxonnes, les entreprises françaises sont cependant en progrès. Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014 ► Dédiées à l’intégration de données, à la recherche avancée et à la veille collaborative, les solutions Information Factory, Finder Suite et Collaboration Services d’Antidot maximisent la valeur informationnelle des organisations ► Spécialisé dans la surveillance et la mesure de l’environnement média, M-Brain propose différentes offres de veille, d’information de veille stratégique et d’analyse afin de détecter les tendances à venir. ► Les solutions logicielles d’analyse sémantique de Noopsis automatisent l'extraction et la recherche d'informations à partir de contenus textuels en langue naturelle, avec des applications d’intelligence économique et de veille. ► Grâce à sa suite de reporting operationnel StarQuery, Symtrax permet l’extraction de données en utilisant l’environnement Excel tout en permettant une administration centralisée des rapports et de la sécurité. Retour d’expérience de Woptimo Agence de référencement et de webmarketing, Woptimo souhaitait intégrer, début 2013, une plateforme de traitement automatique des langues et d’ingénierie des connaissances à Woptilex, sa solution de repérage de mots-clés. Son objectif : le calcul de la pertinence et l’optimisation du référencement. Développée par le spécialiste de la sémantique opérationnelle Noopsis, Semiolabs a répondu à ces attentes. Disponible en version bêta au printemps 2014, Woptilex permettra d’accélérer la correspondance entre mots-clés et page web, afin de savoir si un contenu est optimisé et le plus proche possible des algorithmes Google.
  • 26. 26 3 questions à Stéphane Rosenwald, CEO RV Conseil – Real Value Consulting, Membre de Global Market Intelligence Alliance, Président du Groupe IES ESCP Europe, Animateur de la commission IE de l'AMRAE (Association pour le management des Risques et des Assurances de l’entreprise) La récente affaire Snowden a-t-elle agi comme un révélateur de faiblesses françaises dans la guerre de l’information ? La maîtrise de l’information est aujourd’hui le moteur de la performance durable des organisations car celles-ci sont au centre d’écosystèmes dynamiques dans lesquels l’information est, de plus en plus, le levier majeur de création ou de destruction de valeur. En effet, notre monde est en (r)évolution toujours plus rapide, où apparaissent sans cesse de nouvelles concurrences, où émergent des menaces et des opportunités, des contraintes et obligations inédites, et où le rouleau compresseur des Big Data se répand partout. Il est donc capital pour toutes les organisations de mettre effectivement l’information au service de leur performance. L’information, nerf de la guerre, oui ! Mais pas une information brute qui, en soi, n’a pas de valeur ; plutôt une information comme base de la chaîne de valeur que l’organisation saura construire, permettant : d’anticiper l’ensemble des risques positifs et négatifs ; de nourrir la définition des stratégies et sécuriser la prise de décision des décideurs ; et de fournir la matière permettant de construire l’intelligence collective, boostant ainsi la capacité des équipes à inventer, innover et prendre les bonnes décisions opérationnelles. Matière première du patrimoine immatériel (capital intellectuel) de l’entreprise, l'information constitue plus que jamais sa véritable valeur et dois donc être protégée et sécurisée. Mais l'information est aussi le vecteur des communications des différentes parties prenantes de l’organisation, qui aboutissent à construire son influence toujours plus déterminante sur son environnement. L’enjeu pour les organisations réside donc dans leur capacité à mieux maîtriser l’information, sur un mode offensif, préventif, et défensif, au service de leur performance dans ces 3 domaines d’actions. Quels sont les atouts de la France et des entreprises françaises dans la guerre de l’information ? Les entreprises françaises sont-elles mieux loties que leurs voisines européennes ? Les entreprises Françaises sont malheureusement en retard dans cette démarche cruciale : c'est ce que prouvent les résultats de l’enquête mondiale (Market Intelligence Survey) menée par RV Conseil en 2013 avec l’ensemble des membres du réseau Global Intelligence Alliance : par exemple, seules 39 % des entreprises françaises déclarent avoir mis en place un dispositif de Market Intelligence/Intelligence Economique, ce qui est largement inférieur aux autres pays étudiés. Ce retard est dû à plusieurs faiblesses : la 1 ère d'entre elles est culturelle. Les Français considèrent encore trop les richesses comme matérielles sans accorder d'importance suffisante à l’immatériel et à son support : l’information. Ils sont donc réticents à investir des ressources dans la mise en œuvre des 3 domaines d’actions autour de l’information évoqués précédemment : récupération et utilisation, protection et sécurisation, communication coordonnée et influence…
  • 27. 27 Les organisations sont, de plus, souvent trop hiérarchisées et en silos, pénalisant la culture "projet", la circulation transverse de l’information et donc la construction de l’intelligence collective. Enfin, ces organisations ont souvent des stratégies insuffisamment définies et partagées en interne : comment alors organiser le concert informationnel ? Car pour bien chercher et protéger l’information, il faut définir les domaines de recherche et de confidentialité. Et pour bien communiquer et influencer, il faut avoir une stratégie claire sur ce que l’on veut obtenir, afin de déterminer quoi dire à qui. Certes des entreprises françaises ont su construire une vraie performance informationnelle : en particulier des grandes entreprises ayant réussi à développer un leadership mondial. Celles-ci disposent toutes dans leur ADN, sans exception, de cette culture de la maîtrise de l’information. La France a de nombreux atouts grâce à sa richesse culturelle, à ses niveaux de connaissances, à ses réseaux d’experts reconnus ici comme à l’étranger, ainsi qu'à sa créativité. Mais si une prise de conscience se dessine aux niveaux publics et privés, il y a pourtant urgence ! Dans ce contexte, pouvez-vous donner trois recommandations fondamentales à destination des responsables de systèmes d’information ? Les responsables de systèmes d’information ont un rôle fondamental à jouer dans cette mise en œuvre de la performance informationnelle. Et ce à plusieurs niveaux. Ils doivent contribuer à sensibiliser l’ensemble des collaborateurs à l'importance de l'information à tous les niveaux de l’organisation. Et cela en participant notamment à la formation de leurs collaborateurs aux 3 dimensions de la performance informationnelle afin que les parties prenantes sachent collecter, analyser, partager, utiliser, protéger, communiquer vertueusement et efficacement l’information. Mais aussi pour que l’organisation puisse accéder à la performance liée à la maîtrise de l’information. Ils doivent participer à la mise en place de « l’information compétitive » ® (1) dans l’organisation et à la construction de l’intelligence collective pour faire du management de l’information un outil de performance de l’entreprise. Sur la base de la stratégie de l’entreprise, les responsables de systèmes d’information vont participer, en particulier, à la construction de l’organisation d’intelligence économique et des "plans de renseignement" qui permettront de collecter les informations importantes pour l’entreprise dans son environnement externe et interne. Ils doivent également participer à l'élaboration des "plans de protection et de sécurité" qui préciseront les informations clés et les domaines de confidentialité et installeront le cycle de "protection / sécurité" de l’information dans l’entreprise. Ils doivent également participer à la création et l'installation des "plans de communication et d’influence" qui détermineront les objectifs de l’entreprise à la construction et la mise en œuvre d’un plan stratégique de communication coordonné. Et enfin, ils doivent mettre à disposition les systèmes d’information adaptés aux besoins, au service des flux d’informations internes et externes, permettant de créer et de protéger la valeur dans l’organisation : en partant de la culture, de la stratégie et des hommes pour choisir et implanter les bonnes pratiques, processus et éventuellement les outils nécessaires ; mais aussi en privilégiant les systèmes souples, flexibles, agiles, dynamiques, évolutifs, proactifs, intuitifs, et conviviaux ; et en contribuant à la cohérence des données utilisées par les différents services de l’organisation. (1) “l’Information Compétitive - SAS, BOP, METHODE C4“ ®, la 1ère approche globale de création de valeur par la maîtrise de l’Information compétitive. http://rvconseil.com/
  • 28. 28 Documation/MIS 2014, les thématiques clés Sécurité des données et intelligence collective : Les enjeux de sécurité face au développement de l’économie numérique Source Archimag Les chiffres clés La gouvernance de l’information revêt un caractère d’autant plus important que les systèmes d'information « représentent une partie significative de la valeur ajoutée créée par les entreprises et les administrations. En moyenne, ils représentent 15 à 20 % du chiffre d'affaires des entreprises, soit environ 50 % de la valeur ajoutée générée par les entreprises. Mondialement, cela représente un montant de l'ordre de 20 000 à 25 000 milliards de dollars » (source : http://www.cegsi.eu/) Problématique et enjeux Travail collaboratif et réseaux sociaux sont un facteur de risque pour l’information et le système d’information des entreprises : problèmes d’accès, de sécurité des contenus, de protection des données personnelles… Il faut pouvoir limiter les risques sans brider les initiatives et l’innovation. Retour d’expérience de PSA Peugeot Citroën : archivage électronique avec RSD PSA Peugeot Citroën est confronté à la forte réglementation internationale de son secteur, avec la nécessité de gérer chaque année des dizaines de millions de données et de documents papier ou numérique. Les documents produits sont liés à la conception des véhicules, à la fabrication, à la distribution et aux services de financement. Le Groupe souhaite déployer une démarche outillée de records management pour être efficace dans ses réponses à des exigences de conformité (documents engageants) et de capitalisation de connaissances. Le déploiement d’un système d’archivage d’entreprise est en cours, prenant en compte le processus d’archivage et la gestion du cycle de vie de l’information, ceci en cohérence avec l’organisation de l’entreprise. Le projet est mené par l’équipe de records managers, en collaboration avec des référents métier pour élaborer le référentiel de conservation et prendre en compte les besoins des utilisateurs finaux. Technologiquement, c’est RSD Glass qui est retenue, solution de gouvernance de l’information s’appuyant notamment sur la norme de records management Iso 15489. Lancé en septembre 2010, le projet a connu ses premiers déploiements début 2012.
  • 29. 29 Quelques solutions présentées sur Documation/MIS 2014 ► Archimed : solution Elise de Ged comportant des fonctionnalités de records management et qui entend répondre aux normes Z42-013 pour l’archivage électronique et Iso 15489 pour le records management ; elle est partenaire de Cecurity.com pour la certification électronique. ► Ever Team : solution de gestion de contenu EverSuite répondant à des problématiques de Ged et workflow, d’archivage des documents, dans le respect des normes Z42-013 pour l’archivage électronique et Iso 15489 pour le records management ► Groupe Serda : les consultants de Serda sont spécialisés dans l’archivage et la gouvernance de l’information ; deux livres blancs sur la gouvernance de l’information ont été publiés. ► RSD : avec sa solution RSD Glass, l’éditeur met l’accent sur sa capacité à répondre à une préoccupation de gouvernance de l’information : création de l’information, utilisation, archivage et destruction 3 questions à Diane Rambaldini, présidente de ISSA France (Information Systems Security Association), conseil en management des risques opérationnels et informationnels. Quelle place concrète le management des risques doit-il occuper dans la gouvernance de l’information ? Comment peut-il prendre en compte le facteur intelligence collective ? Le risque est indissociable de la gouvernance de l’information. Dans l’entreprise, l’information est multiple et génère du risque, un risque économique. Mais appliquons réellement la gouvernance ! L’art de gérer le risque repose sur la capacité de l’entreprise à asseoir une « bonne gouvernance », véritable entonnoir de conversion de maîtrise informationnelle. Le marketing, le juridique, la SSI, la DSI, le risk management… tous ces services ont sans exception une expertise à défendre en gestion de l’information. C’est pourtant dans l’acceptation collective de perdre un peu de sa souveraine expertise et dans une stratégique convergence de tous à répondre aux besoins des métiers que la gouvernance se crée. Que son système reste polycéphale ou que la gouvernance décide d’être chapeautée par une entité unique, elle ne peut percevoir et gérer le risque que par un échange permanent et en instaurant une culture de l’équilibre décisionnel au service des intérêts métier. De plus, il faut s’ouvrir à la perspective de l’intelligence collective. S’ils représentent des menaces, les outils collaboratifs et les réseaux sociaux véhiculent aussi d’infinies opportunités. La valorisation de l’information passe par une politique claire, issue de la gouvernance en cohérence avec la stratégie globale de l’entreprise. Elle s’appuie sur une sensibilisation et une communication top-down aux forces vives de l’entreprise, chacune étant invitée à participer, sans frustration.
  • 30. 30 En matière de sécurité de l’information, quelles sont les dispositifs prioritaires à mettre en œuvre par l’entreprise ? Attention de ne pas se précipiter sur des mesures techniques faussement sécurisantes ! Mieux vaut commencer par un certain nombre d’actions en amont : identifier ce que l’entreprise doit protéger, localiser ces informations, maîtriser les workflow métier et le mapping entre processus métier et processus IT. Cela doit permettre d’arrêter une stratégie et d’éviter autant le surdimensionnement que le sous-dimensionnement sécuritaires. Ces démarches sécurité sont la seule parade aux cybercriminels. Si les entreprises n’ont pas cette patience, une chose est certaine : les cybercriminels l’ont pour elles. Sur le plan juridique, les entreprises disposent-elles d’un arsenal suffisant pour protéger leurs données ? Le droit appréhende les réseaux sociaux comme des services de communication. La liberté d’expression y est donc protégée sans tenir compte de l’interactivité et de l’absence de contrôle a priori du contenu dont l’utilisateur est l’éditeur. Par l’agrégation des contenus, l’intelligence collaborative comme l’intelligence économique profitent de ces quantités d’informations publiées. En même temps, il faut faire face au phishing, à l’usurpation d’identité, à l’accès frauduleux aux systèmes d’information de l’entreprise. Face à l’absence de maîtrise des contenus publiés, des usages et des risques techniques, l’entreprise est contrainte de développer une stratégie défensive pour protéger son patrimoine informationnel. Certes le législateur s’efforce d’améliorer la qualité de la réponse juridique et de mettre en place une protection directe du patrimoine informationnel avec le délit de violation du secret des affaires, plus large que la classique incrimination du vol de données ou que les délits informatiques. Les tribunaux semblent même infléchir leur jurisprudence vers une prise en compte de l’intention délictuelle de l’auteur au-delà de la disponibilité ou non de l’information (voir Cour d’appel de Paris Pôle 4, chambre 10, arrêt du 5 février 2014, Olivier L. / Ministère public). L’efficacité de la stratégie répressive reste pourtant limitée en pratique. Les procédures sont lourdes et la preuve difficile à rapporter : auteur anonyme, durée limitée de conservation des données, règles applicables aux constats de l’infraction, preuve de l’intention délictuelle. Surtout, la réparation a posteriori des dommages résultant de la violation de la confidentialité des informations est impossible et à tout le moins imparfaite. Confrontée aux limites de fait et de droit de l’arsenal répressif, les entreprises doivent chercher une parade dans la mise en place d’outils techniques renforçant leur cybersécurité. Ce qui s’accompagne d’une démarche managériale s’appuyant sur une sensibilisation et des chartes d’usage des matériels informatiques pour réguler l’accès et le contenu diffusé. Bien sûr, l’adhésion des salariés de l’entreprise constitue une condition de réussite. Gardons en mémoire cette citation de Jean de La Bruyère : « Toute révélation d'un secret est la faute de celui qui l'a confié ».
  • 31. 31 Infos pratiques Accès et horaires La 20 ème édition du salon Documation se tient les 26 & 27 mars 2014, au CNIT Paris - La Défense. • Horaires Mercredi 26 mars de 9h00 à 18h30 / Jeudi 27 mars de 9h00 à 18h00 • Accès piéton Station La Défense - Grande Arche, sortie en face du CNIT Métro : ligne 1 / Tramway : ligne T2 / RER : ligne A / Bus : de Paris n°73, de l’ouest parisien n°141-144-159-258-262-272-275-278- 360 ou 378 , du nord n°161-174 ou 178 - Prendre la sortie E "Le parvis" • Accès routiers Depuis Paris : - Sortir Porte Maillot La Défense - Suivre la direction de Neuilly (av. Charles de Gaulle - Emprunter le Pont de Neuilly, puis prendre le Bdvd circulaire - Sortir à La Défense 6 Depuis les autoroutes A14 et A86 - Sortie La Défense - 'La Défense toutes directions' et 'La Défense 1 à 8' Parkings - Parking visiteurs CNIT (sortie 6) : 400 places - Parking exposants et livraisons CNIT (sortie 6) : 250 places - Parking Centre (sortie 4) : 950 places - Parking Coupole (sortie 6) : 2600 places Depuis ces parkings, prendre les ascenseurs accès niveau 0 place du Cnit.
  • 32. 32 Infos pratiques Liste des exposants (au 10-02-2014) Salon Société Stand Salon Société Stand DOCUMATION ABBYY C29 DOCUMATION BANCTEC E13 DOCUMATION AFI (Agence Française d'informatique) C24 DOCUMATION BLUE XML F37 DOCUMATION AIDEL B30 DOCUMATION BONITASOFT A43 MIS ALCHEMY A13 DOCUMATION CADIC SERVICES D23 DOCUMATION ALFRESCO E44 DOCUMATION CD-DOC SERVICES B38 DOCUMATION ALGOBA - ORPHEA C37 DOCUMATION CECURITY.COM D48 MIS ANTIDOT B07 DOCUMATION CINCOM E38 DOCUMATION ARCHIMED C36 DOCUMATION CITE DE MÉMOIRE C37 DOCUMATION ARCHIV SYSTEM F17 DOCUMATION CLARISSE - COGILYS F13 DOCUMATION ARCSYS SOFTWARE D41 MIS COEXEL POWERED BY MYTWIP A20 MIS ARDANS B14 DOCUMATION COMARCH C14 DOCUMATION ARIADNEXT E46 DOCUMATION COMTECH SERVICES E20 DOCUMATION ARKHENUM DOCUMATION COTRANET B32 MIS ARMADILLO B23 DOCUMATION CRYPTOLOG B24 DOCUMATION ASTEC - MADCAP SOFTWARE E18 DOCUMATION CXP B59 DOCUMATION ASTERION France E45 DOCUMATION DATA SYSCOM D43 DOCUMATION ATOL CD E44 DOCUMATION DECALOG C17 DOCUMATION AVANTEAM D26 DOCUMATION DIGIMIND B31
  • 33. 33 DOCUMATION AVISION EUROPE GMBH E31 DOCUMATION DIP SYSTEMES D17 Salon Société Stand Salon Société Stand DOCUMATION DOCAPOST - GROUPE LA POSTE B43 DOCUMATION INGE-COM E50 DOCUMATION DOCUWARE France B38 DOCUMATION INIST CNRS C23 DOCUMATION DPII TELECOM ET SERVICES SAS E43 DOCUMATION INOTEC ORGANISATION SYSTÈME E31 MIS EBSCO INFORMATION SERVICES A11 DOCUMATION ISCOPE B26 DOCUMATION ELO DIGITAL OFFICE C48-D49 DOCUMATION ISIS PAPYRUS E26 DOCUMATION ELP F50 DOCUMATION ITESOFT D32 DOCUMATION EMC B44 DOCUMATION JALIOS C32 MIS EPHOTO A38 DOCUMATION JLB INFORMATIQUE B60 DOCUMATION ERIC ARCHIVAGE E35 DOCUMATION JOUVE D20 DOCUMATION ERIC ARCHIVAGE E31 DOCUMATION K2 France D50 DOCUMATION ESKER C35 MIS KB CRAWL SAS A26 DOCUMATION EVER TEAM D38 DOCUMATION KEEPEEK C19 DOCUMATION FNTC D44 DOCUMATION KENTIKA D31 DOCUMATION FWA E48 DOCUMATION KNOWINGS C31 MIS GB CONCEPT B12 DOCUMATION KODAK E32 MIS GFII A25 DOCUMATION KOFAX France D51 DOCUMATION GPO MAGAZINE E14 DOCUMATION LINGUA ET MACHINA B21 DOCUMATION GROUPE NUMERIAL D47 DOCUMATION LOCARCHIVES C26 DOCUMATION GROUPE SERDA D18 DOCUMATION MAPPING SUITE E36 DOCUMATION HYLAND SOFTWARE D47 MIS M-BRAIN A36 DOCUMATION I.R.I.S D13 DOCUMATION M-FILES C20 DOCUMATION IBM France C44 DOCUMATION NAELAN C59
  • 34. 34 Salon Société Stand DOCUMATION NEODOC B21 DOCUMATION NEOPOST France D09 MIS NOOPSIS B17 DOCUMATION NOVARCHIVE C43 DOCUMATION NUXEO C41 DOCUMATION O2I SOFTWARE E19 DOCUMATION Oodrive E41 MIS OPEN WIDE B35 MIS OPENSEARCHSERVER B05 MIS OPSOMAI A30 DOCUMATION ORKIS D31 DOCUMATION PANASONIC C49 DOCUMATION PDF TOOLS AG D37 DOCUMATION PERFECT MEMORY F45 DOCUMATION PFU IMAGING SOLUTIONS EUROPE LTD C54 DOCUMATION PMB SERVICES A44 MIS QWAM CONTENT INTELLIGENCE A32
  • 35. 35 Infos pratiques Fiche d’identité du salon et organisateurs A propos des salons Documation et MIS 2014 – www.documation.fr Documation est l’événement de référence de la gestion de documents et d’informations. Le salon accueille chaque année plus de 160 exposants venus présenter leurs solutions pour dématérialiser, archiver, rechercher, structurer, partager et diffuser des documents et du contenu, et plus de 6 500 visiteurs pour des rencontres professionnelles autour des ateliers de démonstrations et des conférences. Co-organisé par Veille Magazine (www.veillemag.com), le magazine professionnel de l’Intelligence économique et du management des connaissances et Reed Expositions France, le MIS (Management-Information-Stratégie) se veut la manifestation de référence sur le management de l’information stratégique, ses impacts et ses usages à l’heure de l’entreprise 2.0, avec des conférences expert, des démonstrations de solutions, des tables rondes et des rencontre- débats. A propos de Reed Expositions – www.reedexpo.fr Reed Expositions France est une filiale de Reed Exhibitions, premier organisateur mondial de salons. Avec 60 salons professionnels et grand public en France, Reed Expositions France organise des salons dans 18 secteurs d’activité différents : l'art, l'audiovisuel, la bijouterie, le confort, la construction, la communication, l'édition, l'environnement, la franchise, l'hôtellerie, l’industrie, l’informatique, les loisirs, les professionnels de la mer, la santé, la sécurité, le tourisme et le transport. Reed Exhibitions est présent sur les cinq continents avec 460 événements. Reed Exhibitions appartient au groupe Reed Elsevier, leader mondial dans l’édition et la diffusion d’informations professionnelles (salons, publications professionnelles, services Internet et marketing direct). Contacts : Laurent Eydieu Directeur de Documation/MIS laurent.eydieu@reedexpo.fr Guillaume Settembrini Responsable Commercial guillaume.settembrini@reedexpo.fr Sandra Barone Responsable Marketing & Communication sandra.barone@reedexpo.fr