Music 9 - 4th quarter - Vocal Music of the Romantic Period.pptx
Schools as Community Hubs Nov 09
1. Hubs for All: Merging Education and Community in Everybody’s Schools Toronto District School Board Inner City Advisory Committee November 17, 2009 _____________________________________________ Presentation by David Clandfield
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3. 1. Everybody Likes Hubs Hubs: only the name is new Early 1990s: “integrated services” watchword (MoE) 1980s: Inner City project schools (Toronto) 1970s: school daycare and the seamless day 1960s: the Community School which began in the 1930s: variants of the urban neighbourhood school 1920s: the progressive schools and John Dewey Always: village schools, North and South
5. 1. Everybody Likes Hubs Minister of Education Kathleen Wynne Premier of Ontario Dalton McGuinty Dr. Charles Pascal With Our Best Future in Mind Dr. Chris Spence, TDSB Director of Education
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8. school community The City The Region daycare food health inter- generational learning centres sports fitness recreation culture performing arts visual arts food kitchen garden daycare + family services environmental showplaces waste, transport, snow, leaves green energy public mental adult ed settlement solar wind local history neighbourhood library geothermal
9. Schools and Gardens School garden, Bridgenorth Elementary, Ont., 1920 Footprint garden (FoodShare), James S Bell School, Toronto Eco-Platinum School, Rose Avenue, Toronto Green Thumbs/Growing Kids at Winchester School, Toronto
10. Firgrove Public School Toronto Schools with Community Kitchens Willow Park Public School Nelson Mandela Park Public School
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12. Intergenerational Learning Centres In 2009, Buena Vista P.S., Colorado Springs, first closed, then resurrected as the New West Center for Intergenerational Learning Intergenerational Learning Center, West Seattle since 1991 2009: Lochrie report in UK recommends that Sure Start children’s centres evolve into intergenerational learning centres** **NB. A Sure Start model has been proposed in the Pascal report, but not the intergenerational dimension Reading Angels Baycrest School, Toronto Toronto Intergenerational Partnerships Volunteers in 100+ TDSB schools
13. Photovoltaic panels here reversed unpopular closing and became an Energy Hub - geothermal heating system with Gas Tax Fund grant Wind turbine, solar panels and… Schools as energy hubs Green roof Abbotsford Middle School, B.C. Wells-Barkerville Elementary School, B.C. Island Public/Natural Science School Jackman Public School TDSB bicycle energy
14. B.C. Neighbourhoods of Learning New elementary school and multipurpose complex Instructional space for 50 (!) students Community Kitchen Community Library Seniors’ meeting room Teen room Neighbourhood Centres for Learning and Development Port Clements, B.C. Vancouver School Board, B.C. - 2009 Pilot Projects
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18. As schools close, others take the displaced students: When a neighbourhood school closes, a hub is lost, so a community suffers, especially a disadvantaged one. When a neighbourhood schools reduces hub space, a community suffers, especially a disadvantaged one. 2. What Exactly is a Hub?
26. Solution D. The Model School (Heart of the Community) Public Art Stonemasque Mosaics Willow Park JPS Somali Women and Childrens Network Settlement Worker Public Health Kingsview Village JS
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32. 5. Barriers and Solutions: Local Govt. Why a joint role for School Boards and Municipal Councils? Community Development Planning brings the City into it Integrating Community and Learning brings the School Board into it Bringing the two together provides a local tax base for hub development
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40. Bringing education and community together in a full two-way partnership and protecting the public interest at the local level Hubs for All: Merging Education and Community in Everybody’s Schools
Editor's Notes
LES ARTS DU GOÛT : de la gourmandise à une culture générale de l’alimentation La question du goût traverse la quasi-totalité des savoirs enseignés à l’École. Elle se pose aussi, évidemment, dans les cantines scolaires, où le plaisir gustatif doit trouver sa place aux côtés des impératifs essentiels que sont la sécurité alimentaire et le respect de la diététique. Éduquer le goût revient, dans cette perspective, à favoriser l’accès à la richesse des patrimoines culinaires dont la vitalité demeure intimement liée à la connaissance et à la pratique qu’en auront les jeunes générations. Comment décrire une saveur ? Selon quelle logique se construit un repas ? Qu’est-ce que le «risque alimentaire»? Comment s’invente une variété de fruits ou de légumes? Notre ambition est simple : doter chaque élève d’une véritable culture générale alimentaire, qui lui sera utile tout au long de sa vie, sollicitant la gourmandise que Rousseau appelle «la passion de l’enfance». Le goût s’articule aux savoirs enseignés Le plan pour les arts et la culture à l’École à l’École, à l’histoire, à la géographie, à l’expression orale et écrite qui permettent de dépasser le « j’aime/je n’aime pas » et d’argumenter sur ses préférences alimentaires. Les grandes orientations visent à : • Favoriser l’acquisition des catégories fondamentales du goût dès le plus jeune âge, la connaissance des saveurs, des textures, des grandes familles d’aliments, afin de permettre aux enfants de découvrir et de réfléchir à la richesse de la palette gustative. • Articuler les connaissances techniques aux patrimoines culinaires régionaux, en s’appuyant sur la géographie (climat, sol) et l’histoire culturelle (croisement des peuples dans une même région). • Faire cuisiner les élèves dans des classes de goût, avec des professionnels qualifiés (spécialistes des sciences du goût ou cuisiniers) et dans des locaux adaptés, pour initier enfants et adolescents aux logiques (notamment diététiques) à l’oeuvre dans un repas (en relation aussi avec les principes et les contraintes de confection des menus des cantines scolaires), à la transformation des aliments, à la mise en oeuvre inventive des recettes. • Favoriser et développer les initiatives existant sur le terrain : le cahier des charges diététiques pour les cantines, les «journées des mamies dans les cantines», les kits éducatifs, les visites et les partenariats avec les artisans, etc.
LES ARTS DU GOÛT : de la gourmandise à une culture générale de l’alimentation La question du goût traverse la quasi-totalité des savoirs enseignés à l’École. Elle se pose aussi, évidemment, dans les cantines scolaires, où le plaisir gustatif doit trouver sa place aux côtés des impératifs essentiels que sont la sécurité alimentaire et le respect de la diététique. Éduquer le goût revient, dans cette perspective, à favoriser l’accès à la richesse des patrimoines culinaires dont la vitalité demeure intimement liée à la connaissance et à la pratique qu’en auront les jeunes générations. Comment décrire une saveur ? Selon quelle logique se construit un repas ? Qu’est-ce que le «risque alimentaire»? Comment s’invente une variété de fruits ou de légumes? Notre ambition est simple : doter chaque élève d’une véritable culture générale alimentaire, qui lui sera utile tout au long de sa vie, sollicitant la gourmandise que Rousseau appelle «la passion de l’enfance». Le goût s’articule aux savoirs enseignés Le plan pour les arts et la culture à l’École à l’École, à l’histoire, à la géographie, à l’expression orale et écrite qui permettent de dépasser le « j’aime/je n’aime pas » et d’argumenter sur ses préférences alimentaires. Les grandes orientations visent à : • Favoriser l’acquisition des catégories fondamentales du goût dès le plus jeune âge, la connaissance des saveurs, des textures, des grandes familles d’aliments, afin de permettre aux enfants de découvrir et de réfléchir à la richesse de la palette gustative. • Articuler les connaissances techniques aux patrimoines culinaires régionaux, en s’appuyant sur la géographie (climat, sol) et l’histoire culturelle (croisement des peuples dans une même région). • Faire cuisiner les élèves dans des classes de goût, avec des professionnels qualifiés (spécialistes des sciences du goût ou cuisiniers) et dans des locaux adaptés, pour initier enfants et adolescents aux logiques (notamment diététiques) à l’oeuvre dans un repas (en relation aussi avec les principes et les contraintes de confection des menus des cantines scolaires), à la transformation des aliments, à la mise en oeuvre inventive des recettes. • Favoriser et développer les initiatives existant sur le terrain : le cahier des charges diététiques pour les cantines, les «journées des mamies dans les cantines», les kits éducatifs, les visites et les partenariats avec les artisans, etc.
LES ARTS DU GOÛT : de la gourmandise à une culture générale de l’alimentation La question du goût traverse la quasi-totalité des savoirs enseignés à l’École. Elle se pose aussi, évidemment, dans les cantines scolaires, où le plaisir gustatif doit trouver sa place aux côtés des impératifs essentiels que sont la sécurité alimentaire et le respect de la diététique. Éduquer le goût revient, dans cette perspective, à favoriser l’accès à la richesse des patrimoines culinaires dont la vitalité demeure intimement liée à la connaissance et à la pratique qu’en auront les jeunes générations. Comment décrire une saveur ? Selon quelle logique se construit un repas ? Qu’est-ce que le «risque alimentaire»? Comment s’invente une variété de fruits ou de légumes? Notre ambition est simple : doter chaque élève d’une véritable culture générale alimentaire, qui lui sera utile tout au long de sa vie, sollicitant la gourmandise que Rousseau appelle «la passion de l’enfance». Le goût s’articule aux savoirs enseignés Le plan pour les arts et la culture à l’École à l’École, à l’histoire, à la géographie, à l’expression orale et écrite qui permettent de dépasser le « j’aime/je n’aime pas » et d’argumenter sur ses préférences alimentaires. Les grandes orientations visent à : • Favoriser l’acquisition des catégories fondamentales du goût dès le plus jeune âge, la connaissance des saveurs, des textures, des grandes familles d’aliments, afin de permettre aux enfants de découvrir et de réfléchir à la richesse de la palette gustative. • Articuler les connaissances techniques aux patrimoines culinaires régionaux, en s’appuyant sur la géographie (climat, sol) et l’histoire culturelle (croisement des peuples dans une même région). • Faire cuisiner les élèves dans des classes de goût, avec des professionnels qualifiés (spécialistes des sciences du goût ou cuisiniers) et dans des locaux adaptés, pour initier enfants et adolescents aux logiques (notamment diététiques) à l’oeuvre dans un repas (en relation aussi avec les principes et les contraintes de confection des menus des cantines scolaires), à la transformation des aliments, à la mise en oeuvre inventive des recettes. • Favoriser et développer les initiatives existant sur le terrain : le cahier des charges diététiques pour les cantines, les «journées des mamies dans les cantines», les kits éducatifs, les visites et les partenariats avec les artisans, etc.