L'Atelier BNP Paribas dévoile le portrait robot de l'entrepreneur innovant en France, selon une étude Sofrès de décembre 2013. Après des études supérieures et une dizaine d'années en entreprise, ils - le plus souvent des hommes - se lancent dans l'aventure vers 35 ans. La start-up leur permet alors une meilleure réactivité et une plus grande souplesse de fonctionnement qu'une entreprise déjà établie pour développer leur envie d'entreprendre et exprimer leur créativité. Inventeurs, entrepreneurs ou bâtisseurs, après 3 années, ils sont 78% à déclarer vouloir recommencer si l'opportunité se représentait et 92% à être satisfaits ou très satisfaits (47%) de leur vie à la tête de leur affaire.

1. Inventeur, conquérant ou bâtisseur le
startuper est heureux !
L’Atelier BNP Paribas dévoile le portrait-robot
de l’entrepreneur innovant en France
Une étude L’Atelier BNP Paribas, réalisée par TNS Sofres – Décembre 2013

2. Les nouveaux visages du Startuper
Découvrez le portrait robot de
l'entrepreneur innovant en France
1
Une approche en miroir
5
2
Vous avez dit startup ?
7
3
Startupers, qui êtes-vous ?
14
4
La startup, de la création à aujourd'hui
31
5
... et demain ?
39
2

3. Stop aux idées reçues et à la morosité !
Une vision positive et innovante
o Dynamiques à 81%
o Créatifs à 75%
o Visionnaires à 60%
Investis avant tout
o Passionnés à 83%
o Aimant le risque à 60%
Performants & expérimentés
o Agés de 35 ans en moyenne
o Diplômés du supérieur à 93%
o Forts d’une expérience de 11 ans en moyenne avant de se lancer
dans l’aventure
3

4. Le succès dès aujourd'hui et pour demain !
Un bilan actuel très positif…
o Satisfaits à 92%
o Prêts à retenter l’aventure à 78%
… doublé d’une véritable ambition pour demain …
o S’agrandir à 71%
o Avoir une implantation internationale à 60%
o Être leader en France à 58%
4

5. 1
Une approche en miroir
5

6. Croiser les points de vue
Les Français
Les Startupers
1016 personnes âgées de 15 ans et plus
représentatives :
17 entretiens approfondis (p.41) d’une
heure avec des créateurs de startup




Sexe
Age
CSP
Région et catégorie d’agglomération
Interrogées par téléphone
(26 au 28 novembre 2013)
 Entretiens en face à face ou par téléphone
(2ème quinzaine d’octobre)
200 interviews de 18 minutes par
téléphone (19 au 25 novembre 2013)
 Entreprises tous secteurs
(mais pour l’essentiel de l’économie numérique)
 Ayant au maximum 8 années d’ancienneté
ANNÉE DE CRÉATION
2005-2008
29%
2009-2010
32%
2011-2013
39%
6

7. 2
Vous avez dit startup ?
7

8. « Startup » : quelle définition ?
« Société innovante à fort potentiel de croissance, en recherche d'un business
model nouveau et réplicable. Une fois que le business model est exploité, la
startup devient une PME. »
« Jeune entreprise innovante, dans le
secteur des nouvelles technologies »
8

9. Les Startupers se reconnaissent-ils dans cette appellation ?
93%
considèrent que l’entreprise qu’ils ont créée est une
Utilisée au quotidien
75%
70%
70%
68%
Utilisée avec leurs banquiers
61%
Utilisée avec leurs clients
"startup"
58%
Utilisée avec leurs partenaires
Utilisée avec leurs amis-relations
Utilisée avec leur famille
Connotation positive
62%
Connotation négative
9%
Aucune connotation particulière
15%
Ça dépend
12%
"vis à vis de l’extérieur, hors clients je suis une startup,
vis à vis de mes clients, je suis une entreprise. C'est
beaucoup + simple d’être une startup en B to C qu’en B to B"
9

10. Les Startupers se reconnaissent-ils dans cette appellation ?
Les entretiens approfondis ont en effet montré que,
selon les Startupers eux-mêmes, …
La startup renvoie, en positif, à:
 une entreprise audacieuse
 à forte croissance
 sachant prendre des risques et se réinventer
en permanence
 s’émancipant des codes & modes de travail
traditionnels
 érigeant le bien être et l’environnement de
Mais peut également véhiculer
l’image d’une entreprise
 Éphémère, possiblement superficielle et
instable
 Uniquement axée sur les nouvelles
technologies
 Sans process réellement établit et pouvant
manquer de sérieux.
travail confortable et décomplexé comme une
règle
 et, dans laquelle la grande majorité des
collaborateurs adhère et partage un système
de valeurs spécifique (dont solidarité, esprit
communautaire) et / ou un projet commun.
D’où en effet,
une utilisation plus prudente du terme dans les
relations avec les banques et avec les clients plus
traditionnels.
10

11. Pourquoi une startup
plutôt qu’une entreprise "plus traditionnelle"?
 Pour être plus libre, plus indépendant
36%
 Avoir un développement plus rapide, être rentable plus rapidement
34%
 Sortir des codes du travail traditionnels, vivre le travail différemment
33%
 Avoir un mode de travail plus collaboratif, plus d’échanges et de partage
30%
"j’ai eu de très belles expériences, j’étais promu régulièrement, XXXX
m’a même sponsorisé pour un MBA en Angleterre, c’était super, mais
j’avais envie d’être maître de mon destin, de créer quelque chose
qui ne soit pas qu’être un bon cadre, peut être laisser quelque
chose derrière moi aussi » "Je pense pas être fait pour travailler
dans une grande boite. D’avoir des fonctions où il n’y a pas assez de
responsabilités, où on prend pas assez de risques"
"Casual...
Pas de costards
ici mais des jeans"
"saisir les opportunités
quand elles arrivent"
11

12. Engagement
Collaboration
Indépendance
Humilité
Honnêteté
Liberté
Ouverture
Simplicité
Du coup, les principales valeurs
qui définissent la startup…
Échange
Partage
Autonomie
Souplesse
Adaptabilité
Bonheur
Réactivité
Épanouissement
Écoute
Créativité
Dynamisme Transparence
12

13. Les Startupers : seuls ou en réseau?
Les relations professionnelles
avec d'autres créateurs de startup :
 S’échangent des conseils
87%
 Partagent leurs compétences, leurs expériences
 Se rendent des services
 S’entre-aident financièrement
 Aucune relation
76%
75%
12%
8%
57% font partie d'un cercle ou d'une association de créateurs ou d'entrepreneurs
13

14. 3
Startupers, qui êtes-vous ?
14

15. La carte d’identité du Startuper
homme
89%
Un
38 ans
en moyenne aujour'dhui
35 ans à la création
de son entreprise
93% ont fait des
études supérieures
7% Autodidacte,
Bac ou moins
dont 35% 2ème ou 3ème cycle de l’université
24% une école d'ingénieur
20% une école de commerce
78% sont mariés ou en concubinage
61% ont des enfants
15

16. Des entrepreneurs différents mais des entrepreneurs avant tout
Il se décrit comme :
 Un entrepreneur
 Un développeur d’idées
35%
17%
42% estiment avoir une
mission à accomplir
pour aider à la reprise économique
73% ont le sentiment qu'il y a toujours eu
des entrepreneurs semblables à
eux à toutes les générations
51%, il y a une tradition de
création d’entreprises dans la famille
Pour
(vs 57% ont un objectif personnel de développement
de leur projet )
16% des Français le pensent,
parmi les 63% qui ont déjà
entendu parler des startups
ou l’entourage proche.
16

17. Un passionné avant tout… doublé d’une "vision"
Des personnalités très impliquées et motivées, enthousiastes…
que le travail ne rebute pas…
Une mentalité de créateur et de défricheur plus que de gestionnaire.
Un attrait pour la découverte, l’enrichissement personnel
(rencontres humaines, acquisition de nouvelles compétences…).
Le Startuper se dit :
 Passionné
83%
 Dynamique
81%
 « Drogué » du travail
34%
Le Startuper se dit :
 Créatif
75%
 Visionnaire
60%
"Je recule plutôt devant rien"
"on s’est dit on se donne deux ans
pour exploser, pour tout tester,
pour échouer, et dans deux ans,
pas de regret, on aura essayé."
"Partir de zéro, être à 100 à
l’heure, j’aime avoir les idées,
créer, construire… C'est des
rencontres, des idées… Le coté
gestionnaire, c'est plus de rigueur,
de patience, et c’est pas mes
principales qualités"
17

18. … et d’un goût du risque
Le goût du risque, la capacité à rebondir, à tirer les leçons.
L’échec vu comme un moyen de progresser, de s’améliorer.
Le Startuper se dit :
 Ambitieux
72%
 Aimant le risque
60%
"Il faut des échecs
pour avancer, et du
caractère pour avancer
après un échec"
"de toute façon des échecs tu en
auras plein avant d’avoir un oui
tu auras 99 non, et il faut être
persévérant. …c'est tellement
facile de baisser les bras"
"Tu as le côté lune de miel, enfin, tu
as démarré, y’a un côté exaltant, et
en même temps, tu as la peur, ça
te prend les tripes, tu ne sais pas
où tu mets les pieds, tu n’as plus de
salaire en fin de mois… (mais bon)
j’avais pas trop de doutes"
18

19. Pour autant, ils gardent les pieds sur terre
Et en même temps, le Startuper se dit également :
Le Startuper se dit :
 Pragmatique
 Gestionnaire
75%
60%
19

20. Un rapport aux autres assez exemplaire !
Dans les fonctions au sein de la société et les relations, rien de pré-déterminé,
une hiérarchie souple et flottante.
Egalement, une culture du partage et de la mise en commun pour un même
objectif.
Enfin, un environnement de travail sympathique, détendu, devant permettre
aux employés de se sentir bien.
Le Startuper se dit :
 Ouvert aux suggestions
 A l’écoute
 Exigeant
 Convivial
 Bienveillant
 Fédérateur
 Impatient
 Difficile à suivre
 Charismatique
81%
80%
78%
76%
72%
70%
"Je suis quelqu’un qui n’aime pas
la hiérarchie, qui n’aime pas être
dans un cadre strict, qui n’aime
pas l’autorité, et qui a besoin de
liberté, de pouvoir parler
librement avec tel ou tel salarié"
47%
42%
39%
20

21. Des motivations multiples
Le Startuper a été poussé par :
 Le goût d'entreprendre, les défis
84%
 La créativité, l'innovation
74%
70%
69%
 La liberté, l’indépendance
 L'aventure humaine, le goût du travail en équipe
 L’évolution dans un environnement de travail différent
 Le goût du risque
 La réussite financière
52%
47%
42%
 Rebondir professionnellement
29%
 La difficulté à conduire un projet dans la précédente entreprise
20%
Les Français qui ont
entendu parler des
startups les voient avant
tout motivés par la créativité,
l’innovation (46%) et par la
réussite financière (45%).
21

22. Les circonstances de la création
 Ils avaient une idée, une innovation à laquelle
ils pensaient ou travaillaient depuis longtemps
 L'idée ou l'innovation est née assez
peu de temps avant la création de la société
 L'idée n'était pas vraiment précise, ils avaient
simplement envie de devenir entrepreneur
50%
32%
49%
17%
22

23. 3 profils plus nuancés
Les
nouveaux
Galilée
44%
Les
conquérants
ambitieux
23%
Les
bâtisseurs
33%
23

24. 44%
Les Nouveaux Galilée
Un profil d’inventeurs avant tout.
Ils ont une idée souvent ancienne et très
personnelle qui leur tient à cœur. Elle
s’accompagne d’une volonté très forte de la
réaliser et d’une conviction (quasi-mystique)
de son bien-fondé.
"laisser une trace…
d’ici 5 ans il y aura une
personne sur deux qui
utilisera un outil
comme le nôtre."
95% d’entre eux avaient une
idée, une innovation à laquelle
ils pensaient ou travaillaient
depuis longtemps
Pour 91%, c’est l’innovation,
la création d’un nouveau
produit ou service qui les a
poussés à créer leur entreprise
vs 74% pour l’ensemble
"Avancer avec
une conviction"
24

25. 44%
Les Nouveaux Galilée
Ils sont passionnés, ont l’envie de transmettre et
de partager cette passion, cette envie, cette idée.
Des personnalités dynamiques, créatives, qui
aiment ébranler, agiter, "faire bouger"les choses.
Ils veulent d’ailleurs être leaders en France et dans
le monde.
Ils sont aussi utopistes et tirent une fierté
personnelle et un sentiment
d’accomplissement (voire un certain orgueil) à
leur aventure.
Sur le plan des relations professionnelles : ils se
disent conviviaux et ouverts aux suggestions;
leur mode de gestion semble en revanche plus
empirique.
Dans leur rapport au travail,
ils se disent :
 Passionnés
 Dynamiques
 Créatifs
 Aimant le risque
vs l’ens.
99%
97%
90%
76%
83%
93%
89%
81%
76%
77%
58%
70%
60%
81%
75%
60%
Dans leur rapport aux autres
au travail, ils se disent :
 Ouverts aux suggestions
 Conviviaux
Les objectifs qu’ils visent :
 Etre leader en France
 Avoir une implantation
internationale
25

26. 23%
Les conquérants ambitieux
Des entrepreneurs avant tout.
Ils ont eu l’idée peu de temps avant la
création et ont été influencés par des
"success story", des startups à
"à l’américaine" et leurs figures associées
(Zuckerberg, Jobs)
"J’ai rencontré pas mal de gens,…y’a
pas mal de Français dans la Silicon
Valley, et ça m’a permis de
comprendre l’écosystème, de
savoir qui faisait quoi, de connaître
aussi toutes les galères,… tous les
mythes autour des levées de fond,
les « success story » etc"
Pour 95%, l'idée ou
l'innovation est née assez peu
de temps avant la création de
la société
Pour 88%, c’est le goût
d'entreprendre, affronter de
nouveaux défis qui les a
poussés à créer leur entreprise
52% estiment qu’ils ont une
mission à accomplir pour aider
à la reprise économique
vs 42% pour l’ensemble
26

27. 23%
Les conquérants ambitieux
Ils se décrivent comme visionnaires,
dynamiques, ambitieux, business-man,
avant-gardistes.
Il se disent également charismatiques et
difficiles à suivre.
Dans leur rapport au travail,
ils se disent :
 Dynamiques
 Ambitieux
 Visionnaire
vs l’ens.
97%
90%
83%
81%
72%
60%
Dans leur rapport aux autres
au travail, ils se disent :
 Charismatiques
 Difficiles à suivre
69%
61%
39%
42%
Les objectifs qu’ils visent :
"je ne fais rien de ce que
les gens de mon âge font,
mais ça me va bien"
 Des business-man
 Des avant-gardistes
15%
14%
7%
7%
27

28. 23%
Les conquérants ambitieux
Ils recherchent de manière plus ou moins
explicite à susciter l’envie et/ou la fierté (de
l’entourage).
Des Startupers généralement plus âgés, plus
expérimentés.
Ce qui les satisfait dans
le développement de leur
entreprise :
 La capacité à innover, à tester
des idées
93%
 Ils ont
"Exploser la boîte"
"je dois renvoyer
du rêve"
40 ans en moyenne
 Ils ont
13 ans d’expérience en
25% ont 50 ans ou plus
moyenne
28

29. 33%
Les bâtisseurs
Une envie de devenir entrepreneur avant
tout et de développer une société pérenne
ainsi que des emplois.
vs l’ens.
43%, l'idée n'était pas
17%
 Pour
Une approche plus pragmatique et plus réaliste
de l’aventure startup.
 Pour
67%, l’intention principale était
48%
vraiment précise, ils avaient
simplement envie de devenir
entrepreneur
de développer une société pérenne
pour eux et leurs collaborateurs
 En premier, ils se disent
pragmatiques (64%)
"La création a été très réfléchie
(…) l’expérience m’a montré
que ce qui était important, c’était
les finances, le produit, le
marketing, et la tête"
 58% aimeraient qu’on les décrivent
comme des entrepreneurs
 Aujourd’hui,
31% se donnent
encore quelques années avant
d’envisager la suite
49% se voient toujours diriger
cette entreprise dans 5 ans
35%
20%
42%
29

30. 33%
Les bâtisseurs
Dans la conduite de la startup, un management et
un mode de gestion plus structurés.
Des profils davantage axés sur la coordination des
talents, la mise en musique des équipes autour
d’un objectif commun et laissant davantage de
place à l’analyse (du marché, des situations), à la
réflexion, à la stratégie, à la préparation, à
l’anticipation.
Un environnement de travail qui reste détendu
et confortable et une énergie toujours très
positive mais moins intense.
En priorité, ils se disent :
 A l’écoute
 Fédérateurs
65%
61%
Les objectifs visés sont plus…
 Une stabilité économique
qui assure de rester viable
73%
… que :
 Une implantation internationale 40%
"Je me sentais capable de recruter des
gens, de manager des équipes " ; "Y’a
toutes ces aventures aussi de gestion
d’une équipe qui rythment très
fortement la vie de la boite, et les
émotions qu’on peut en retirer"
 Être leader en France
35%
30

31. 4
La startup, de la création à aujourd'hui
31

32. Le Startuper à la création de son entreprise
45 ans
et +
20%
35-44
ans
27%
< 25
ans
16%
37%
25-34
ans
 Moins de 35 ans
53%
72%
 En activité professionnelle
 PDG/DG, indépendant
 Cadre supérieur
 Cadre moyen, agent de maîtrise
13%
31%
Fonction dirigeante : 44%
15%
 Etudiant ou stagiaire
17%
 Expérience en entreprise
11 ans en moyenne
32

33. Certains avaient déjà été entrepreneurs
Création d’une entreprise auparavant 35%
 Une startup
22%
Plusieurs : 16%
26% chez les bâtisseurs
Qu’est devenue l’entreprise (base 100 : anciens créateurs) ?
 Elle s'est arrêtée pour des raisons économiques
34%
 Elle a été revendue
23%
 Les parts ont été cédées aux co-fondateurs
21%
 Il en est toujours le dirigeant
16%
Pourquoi se lancer dans un nouveau projet ?
 Opportunité de business
67%
 Nouvelle idée
61%
 Nouveau challenge
60%
33

34. L’implantation de la startup
Le siège de son entreprise
se situe dans la région…
A la création, il y avait…
 Où il exerçait son activité professionnelle
76%
 Où il a suivi ses études supérieures
52%
14%
59%
 Où il a suivi ses études secondaires
4 cofondateurs
47%
 Où il est né
En région parisienne :
 Paris même
62%
32%
Un seul
fondateur
24%
22%
3 cofondateurs
40%
2 cofondateurs
73% chez les conquérants ambitieux
"on est dans le sentier parce que c’est là que sont
toutes les startups, il y a une sorte d’émulation (…) .
Tu va voir des entrepreneurs qui ont réussi, d’autres qui
n’ont pas réussi, tu discutes, tu vois pourquoi ils ont réussi
ou pas, ça va t’encourager à redoubler d’effort, et ça
compte pour la moitié du succès de ta boite."
34

35. Les proches face à la création de la startup
La famille et les proches à l’annonce de
l’intention de créer une entreprise :
 Ils les ont soutenus, encouragés
 Ils ont été inquiets
89
%
49%
 Ils ont été surpris
18%
 Ils ont essayé de les dissuader
11%
Les doutes et les craintes :
 Problèmes financiers
88%
 Ne pas réussir à se payer
48%
 Trop de stress
25%
 Plus de temps disponible
pour la famille
9%
"on s’est mis tous les trois au chômage, grâce à l’alternance, on a
pu toucher le chômage, dans les 800 euros par mois, pas grand chose
mais quand on vit à Rouen, qu’on a une vie d’étudiant, des pâtes, ça
suffit, et on s’est dit, combien de temps on a devant nous, pour ne
faire que le projet, combien de temps on peut consacrer totalement
au projet sans avoir à gagner de l’argent à coté, et à manger"
Alexis Jamet, Bunkr
35

36. L’ambition de la création à aujourd’hui
L’intention principale à la création :
 Développer une société pérenne
48%
 Développer un business pour, à terme, vendre la société
26%
 Diffuser son idée au plus grand nombre
21%
 Se créer une réputation en tant qu'entrepreneur
Aujourd’hui :
3%
71
 Ils comptent s’agrandir
%
 Avoir une implantation internationale
 Etre leader en France
67% chez les bâtisseurs
60%
58%
71% chez les Nouveaux Galilée
57% ont ouvert leur capital
afin de lever plus de fond
36

37. Un bilan positif
"dans 10 ans, j’aurais fait un tour du monde,
j’aurais eu des enfants, et j’aurais redémarré
une autre aventure entrepreneuriale"
Céline Lazorthes, Leetchi
Si c’était à refaire,
78% retenteraient
certainement
l’aventure
92%
sont satisfaits de leur vie à la
tête de leur entreprise
47%
sont même
très satisfaits
Les insatisfaits (8%) :
Les difficultés qu’ils rencontrent dans le
développement de leur entreprise :
 Le manque d’argent
 Le fait de devoir tout faire
Et plus personnellement : se sentir incompris par
leurs proches.
37

38. De la fierté aux frustrations
Le Startuper est satisfait :
Ce qui est difficile :
pour l’entreprise
 Du produit/du service développé
83%
 De la capacité à innover
81%
 De l’ambiance de travail
74%
 De la cohésion d’équipe
71%
 Du développement des partenariats
51%
 De sa rentabilité
32%
 Le manque d’argent
65%
 Les contraintes administratives
60%
 De devoir tout faire
57%
 Convaincre partenaires
et banquiers
 Convaincre clients/prospects
50%
pour soi
 Le stress
 Le manque de temps
pour les loisirs
"au bout de 3 mois, on a mis un produit sur
le marché, on était très fier de ça mais
pourtant on s'est heurté au marché, avec
des gens intéressés mais qui ne
comprenaient pas tout ce que l’on faisait"
Clément Moreau, Sculpteo
53%
 Le manque de temps
pour les proches
52%
42%
41%
38

39. 5
... et demain ?
39

40. Votre startup dans 5 ans ?
Quel avenir :
 Elle sera toujours là et j’en serai le dirigeant
 Je l’aurai revendue
42%
33%
 Sera arrêtée pour des raisons économiques
5%
 J’aurai cédé mes parts à mes co-fondateurs
2%
 Aucune idée
Quel projet ensuite?
 Créer une nouvelle entreprise
 Vivre des gains acquis
 Rejoindre un projet créé par d’autres
 …
 Aucune idée
18%
49%
10%
5%
28%
40

41. Startups qui ont participé à l’étude qualitative
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
->
Nicolas Dessaigne, Algolia
Alexis Jamet, Bunkr
Frédéric Plais, Commerce Guys
Stéphane Lee, Dimelo
Margaux Pelen, anciennement Home'n'go
Céline Lazorthes, Leetchi
Jonathan Benhamou, Novapost
Khalid Elguitti, Pricematch
Martin de Charrette, Pricing Assistant
Stéphanie Delestre, Qapa
Pierre Moreau, Sauverlemondedeshommes
Clément Moreau, Sculptéo
Samuel Boury, UBleam
Alexandre Boucherot, Ulule
Alexandre Plé, Umanlife
Thibaut Jarousse, 10-Vins
41

42. Contacts Presse :
Natacha Heurtault
natacha.heurtault@communication-rp.fr
06 12 23 58 60
Anne-Sophie Trémouille
anne-sophie.tremouille@bnpparibas.com
01 58 16 84 99
42