1. Thomas Matagne, CEO co-fondateur Arnaud Bouffard, CTO co-fondateur
Equipe de 12 personnes :
• Développeurs expérimentés
• Communication et relation utilisateurs
• Développement de projets
Société :
• dédiée au développement de solutions de covoiturage
• SAS constituée en décembre 2014, inscrite dans l’économie sociale et solidaire (loi Hamon)
Reconnaissance extérieure : concours, pôles de compétitivité, accélérateurs, réseaux
Présentation ecov
16 juin 2016
Fabrique des mobilités, Nice
la voiture est un transport collectif
2. Résoudre le problème de la masse critique
avec une offre accessible à tous
offre
demande
Notre approche permet de résoudre d’emblée ce problème.
Pas besoin de smartphone, pas d’inscription préalable, pas d’horaire : nous
proposons aux habitants de covoiturer en temps réel grâce aux milliers de
sièges libres disponibles sur leurs trajets.
En allant chercher l’offre (les sièges vides) là ou elle se trouve, à savoir au bord
de la voirie.
Conducteurs : - pas de contrainte horaire
- tous peuvent participer, même sans être inscrits
Passagers : - pas de contrainte horaire
- temps d’attente faible et connu à l’avance
- expérience utilisateur similaire aux transports collectifs
3. Premier territoire d’expérimentation :
PNR du Vexin (Val d’Oise, Yvelines)
Les 6 premières stations installées début 2016
- 20 stations, dont 6 déjà
déployées depuis le début
de l’année
4. Faire de la voiture un transport collectif… en
partenariat avec les réseaux existants
L’objectif d’ecov est de valoriser les places libres dans les véhicules individuels pour les intégrer à l’offre de
transport collectif du territoire.
Cela nécessiterait :
- Une prise en compte du covoiturage comme d’un véritable mode de transport public complémentaire et non
concurrent des TC
- Des budgets publics dédiés, par exemple au sein des DSP
- Des incitatifs plus clairs pour les covoitureurs : places et voies réservées, avantages fiscaux, etc. ?
Exemple pour une agglomération de 200
000 habitants :
14 millions PKO (places kilomètre offertes)
chaque jour dans les véhicules particuliers,
soit 10 fois plus que l’offre du réseau TC
5. Les communs dont nous aurions besoin :
• Preuve Covoiturage : cette preuve permet de faire venir et participer de nombreuses parties
prenantes identifiées ou non identifiées : parking, péage, commerçants, … qui souhaitent
favoriser/soutenir le covoiturage
• Lieu de prise en charge : Base de donnée commune, Identification et signaletique d’un lieu de prise
en charge pour homogénéiser les zones de rencontre et avoir un meilleur maillage
• PF mutualisée pour s’inscrire et trouver covoiturage : permet de mutualiser des inscriptions sur les
différents sites, de partager des conducteurs. La répartition des gains peut se faire via une
chambre de compensation.
• Chèque covoiturage (type IKV, chèque restaurant) : en cours de développement , à tester puis
créer un message à destination des pouvoirs publics
• Lancer une étude type IKV pour qualifier/quantifier l’effet d’une aide financière de l’employeur sur
les changements de pratiques.
• Etude générale sur les incitatifs, changement comportement en cours par le CNRS. A compléter
éventuellement selon les résultats et le périmètre. Partager des besoins de formation sur des
sujets
• Se répartir des hypothèses à étudier entre “concurrents” sur différents territoires et partager les
résultats
Notes de l'éditeur
Nous developons une solution qui prend le meilleur de ces 4 dispositifs, ET QUI RESOUT DES SA CONCEPTION le probleme de la masse critique.
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En allant chercher l’offre (les sièges vides) là ou elle se trouve, à savoir au bord de la voirie.
Nous developons une solution qui prend le meilleur de ces 4 dispositifs, ET QUI RESOUT DES SA CONCEPTION le probleme de la masse critique.
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En allant chercher l’offre (les sièges vides) là ou elle se trouve, à savoir au bord de la voirie.