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TRAUMATISMES CARTILAGETRAUMATISMES CARTILAGE
CROISSANCECROISSANCE
A . BENAMIROUCHEA . BENAMIROUCHE
EHS BENAKNOUNEHS BENAKNOUN
TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE
 décollement epiphysaire =décollement epiphysaire =
trait de fracture intéressetrait de fracture intéresse
le cartilage de croissance.le cartilage de croissance.
 Ou : décollement en blocOu : décollement en bloc
de l’épiphyse et de lade l’épiphyse et de la
plaque conjugale, de laplaque conjugale, de la
métaphyse.métaphyse.
TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE
– Le cartilage de croissanceLe cartilage de croissance
est : une zone radioest : une zone radio
transparente (CLAIRE).transparente (CLAIRE).
– Se situ entre la métaphyseSe situ entre la métaphyse
et l’épiphyse des extrémitéset l’épiphyse des extrémités
osseuses.osseuses.
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la croissance en longueurla croissance en longueur
des os longs.des os longs.
TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE
 Urgence thérapeutique : urgence de réduction.Urgence thérapeutique : urgence de réduction.
 Traumatismes fréquents : 15% des fractures deTraumatismes fréquents : 15% des fractures de
l’enfant.l’enfant.
 Diagnostic : surtout radiologique (intérêt desDiagnostic : surtout radiologique (intérêt des
radiographies comparatives.radiographies comparatives.
 Sont graves : par leur complication avec perturbationSont graves : par leur complication avec perturbation
de la croissance (inégalité de longueur et déviationde la croissance (inégalité de longueur et déviation
axial).axial).
 Le pronostic est sombre si la plaque basale estLe pronostic est sombre si la plaque basale est
touchée.touchée.
TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE
 Schématiquement, le cartilageSchématiquement, le cartilage
de croissance est constitue dede croissance est constitue de
trois parties :trois parties :
les cellules.les cellules.
la substance fondamentale.la substance fondamentale.
la virole perichondrale.la virole perichondrale.
LES CELLULESLES CELLULES
 couche germinative ou plaquecouche germinative ou plaque
basalebasale : qui est une réserve de: qui est une réserve de
petites cellules (chondrocytespetites cellules (chondrocytes
 Couche proliférative ou sériéeCouche proliférative ou sériée ::
véritable moteur de croissance,véritable moteur de croissance,
 Couche hypertrophiqueCouche hypertrophique : zone: zone
de maturationde maturation
 Couche degenerative ouCouche degenerative ou
osteoideosteoide : couche d’ossification: couche d’ossification
(début du processus menant a(début du processus menant a
l’ossification.l’ossification.
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ZONE DE CROISSANCE→ ZONE DE MATURATION → ZONE D’OSSIFICATION
LA SUBSTANCE FONDAMENTALELA SUBSTANCE FONDAMENTALE
Elle joue le rôle d’intermédiaire entre lesElle joue le rôle d’intermédiaire entre les
cellules et le front d’ossification.cellules et le front d’ossification.
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Elle limite latéralement le cartilage deElle limite latéralement le cartilage de
croissance et joue un rôle mécanique decroissance et joue un rôle mécanique de
soutien.soutien.
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 SYSTEME EPIPHYSAIRE :SYSTEME EPIPHYSAIRE :
qui est forme par les rameauxqui est forme par les rameaux
de l’artère epiphysaire, quide l’artère epiphysaire, qui
assure la nutrition des deuxassure la nutrition des deux
première couches du cartilagepremière couches du cartilage
de croissance.de croissance.
 SYSTEME METAPYSAIRE :SYSTEME METAPYSAIRE :
provient pour la plus grandeprovient pour la plus grande
partie des vaisseauxpartie des vaisseaux
médullairesmédullaires
 La périphérie du cartilage deLa périphérie du cartilage de
croissance est vasculariséecroissance est vascularisée
par les vaisseaux periostiquespar les vaisseaux periostiques
CROISSANCE EN LONGUEURCROISSANCE EN LONGUEUR
Croissance bipolaireCroissance bipolaire
etet
asymétriqueasymétrique
MECANISMEMECANISME
 Le disque conjugal est solidement implanteLe disque conjugal est solidement implante
sur l’épiphyse osseuse. Il existe au niveausur l’épiphyse osseuse. Il existe au niveau
de la jonction metaphyse-cartilage, unede la jonction metaphyse-cartilage, une
zone de moindre résistance entre couchezone de moindre résistance entre couche
hypertrophique et couche osteoide, auhypertrophique et couche osteoide, au
niveau de la quelle se produit leniveau de la quelle se produit le
décollement en bloc de la plaque conjugaledécollement en bloc de la plaque conjugale
et l’épiphyse, de la métaphyseet l’épiphyse, de la métaphyse
MECANISMEMECANISME
 +++ La résistance de+++ La résistance de
cette zone de faiblessecette zone de faiblesse
est inférieure a celleest inférieure a celle
des ligaments,des ligaments,
expliquant la raretéexpliquant la rareté
des entorses gravesdes entorses graves
chez l’enfant et lachez l’enfant et la
fréquence desfréquence des
décollementsdécollements
epiphysaires.epiphysaires.
ETIOLOGIESETIOLOGIES
 FREQUENCEFREQUENCE ::
-15% des fractures de l’enfant.-15% des fractures de l’enfant.
- 2 pics : → naissance : violence du traumatisme obstétrical sur une épiphyse mal- 2 pics : → naissance : violence du traumatisme obstétrical sur une épiphyse mal
bordee par les structures périphériquebordee par les structures périphérique
→→ Adolescent (12 – 14 ans) : période d’augmentation de l’activité duAdolescent (12 – 14 ans) : période d’augmentation de l’activité du
cartilage de croissance, d’amincissement de la virole perichondrale, et l'imprudance acartilage de croissance, d’amincissement de la virole perichondrale, et l'imprudance a
cet age.cet age.
 SEXESEXE :: 2/3 masculins et 1/3 féminins.2/3 masculins et 1/3 féminins.
 TopographieTopographie :: 2/3 membres supérieurs, 1/3 membres inférieurs.2/3 membres supérieurs, 1/3 membres inférieurs.
 Accidents responsablesAccidents responsables ::
-acc domestiques, sportifs, voie publique, de circulation, les traumatismes obstétricaux-acc domestiques, sportifs, voie publique, de circulation, les traumatismes obstétricaux
et les traumatismes iatrogènes.et les traumatismes iatrogènes.
CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et
HARRISHARRIS
– TYPE 1 :TYPE 1 : 6%6%
 décollement epiphysaire pure.décollement epiphysaire pure.
 Fréquent dans lesFréquent dans les
traumatismes obstétricaux.traumatismes obstétricaux.
 Le trait passe entre laLe trait passe entre la
métaphyse et l’épiphyse sansmétaphyse et l’épiphyse sans
fracture associée.fracture associée.
 S’il n’y a pas de déplacement,S’il n’y a pas de déplacement,
le diagnostique est difficile etle diagnostique est difficile et
repose sur la clinique surtout,repose sur la clinique surtout,
ainsi que les radioainsi que les radio
comparatives.comparatives.
 Le traumatisme est horizontal,Le traumatisme est horizontal,
la plaque basale est intactela plaque basale est intacte
donc le pronostique estdonc le pronostique est
excellent.excellent.
CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et
HARRISHARRIS
– TYPE 2TYPE 2 : 75%: 75%
 « décollement – fracture« décollement – fracture
métaphysaire ».métaphysaire ».
 est un décollement epiphysaireest un décollement epiphysaire
partiel avec un très de fracturepartiel avec un très de fracture
métaphysaire.métaphysaire.
 Le trait de fracture passe dans leLe trait de fracture passe dans le
cartilage de croissance sauf à unecartilage de croissance sauf à une
extrémité ou il s’infléchit et détacheextrémité ou il s’infléchit et détache
un coin métaphysaire.un coin métaphysaire.
 Est de loin le plus fréquent surtoutEst de loin le plus fréquent surtout
l’adolescent.l’adolescent.
 Traumatisme horizontal, la plaqueTraumatisme horizontal, la plaque
basale est intacte, de réductionbasale est intacte, de réduction
facile et donc le pronostique estfacile et donc le pronostique est
généralement bon.généralement bon.
CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et
HARRISHARRIS
TYPE 3 : 10% CLASSIFICATION DE
SALTER et HARRIS
« décollement- fracture epiphysaire ».
Décollement epiphysaire partiel, avec trait
de fracture emportant un coin epiphysaire.
Le trait est d’abord trans. epiphysaire, puis
se poursuit dans le cartilage de croissance.
Traumatisme vertical, donc fracture
articulaire nécessitant une réduction
anatomique.
La plaque basale touchée, mal réduite, le
pronostique est moins bon (risque
d’epiphysiodese).
Ex : fracture de TILLAUX → fracture type
SALTER 3, qui isole un fragment
anteroexterne de l’épiphyse tibiale ou
s’insère le ligament peroneo-tibal antérieur.
CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et
HARRISHARRISTYPE 4 :
Fracture articulaire avec trait vertical.
Le trait est d’abord trans-epiphysaire, il
traverse le cartilage de croissance dans
toute son épaisseur et se poursuit dan la
métaphyse.
Donc la plaque basale est touchée, et le
pronostique est réserve.
Ex : fracture de MAC FARLAND → est une
fracture emportant la malléole interne de
type SALTER 4. Le trait traverse l’épiphyse
près de la malléole interne, puis le cartilage
de croissance, sépare un fragment
metapysaire interne ou posterointerne
souvent petits. Des cliches de 3/4 sont
souvent nécessaire pour le visualiser.
. Touche surtout les sujets entre 13 et 15
ans.
. Nécessitant une réduction chirurgicale et un
vissage.
CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et
HARRISHARRIS
TYPE 5 :TYPE 5 :
 réalise un écrasement du cartilageréalise un écrasement du cartilage
de croissance (couche basale).de croissance (couche basale).
 Diagnostique difficile (+ ou – clichesDiagnostique difficile (+ ou – cliches
comparatifs a la recherche d’unecomparatifs a la recherche d’une
asymétrie de l’épaisseur du cartilageasymétrie de l’épaisseur du cartilage
de croissance).de croissance).
 Souvent diagnostique rétrospectif.Souvent diagnostique rétrospectif.
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precedants types.precedants types.
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évoluer vers l’epiphysiodese.évoluer vers l’epiphysiodese.
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COMPARATIFS) → type, anapath et guide le traitement.COMPARATIFS) → type, anapath et guide le traitement.
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semaines pour le décollement epiphysairesemaines pour le décollement epiphysaire
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associée.associée.
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« epiphysiodese»« epiphysiodese»
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PRONOSTIPRONOSTIcc
 EVALUATION DU PRONOSTICEVALUATION DU PRONOSTIC::
 Type anatomique → type 3,4 et 5 sont graves.Type anatomique → type 3,4 et 5 sont graves.
 Le jeune age est un facteur aggravant.Le jeune age est un facteur aggravant.
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radial sont graves car risque de nécroseradial sont graves car risque de nécrose
(vascularisation terminale).(vascularisation terminale).
 Qualité et modalité de la réduction.Qualité et modalité de la réduction.
 Ouverture cutanée avec risque de sepsis et deOuverture cutanée avec risque de sepsis et de
chondrolyse et d’epiphysiodesechondrolyse et d’epiphysiodese
TRAITEMENTTRAITEMENT
REDUCTION ORTHOPEDIQUEREDUCTION ORTHOPEDIQUE
 Rapidement, car de jour en jour, plus difficile etRapidement, car de jour en jour, plus difficile et
plus dangereuse.(proscrite après 1o j.)plus dangereuse.(proscrite après 1o j.)
 - elle se fait sous anesthésie générale et sous- elle se fait sous anesthésie générale et sous
control scopique.control scopique.
 Qualité de réduction moins exigeante (remodelageQualité de réduction moins exigeante (remodelage
croissance) pour type 1 et 2.croissance) pour type 1 et 2.
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REDUCTION CHIRURGICALEREDUCTION CHIRURGICALE
 Fréquente dans les types III, constanteFréquente dans les types III, constante
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 Pas de geste traumatisant pour le cartilagePas de geste traumatisant pour le cartilage
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croissance et de la surface articulairecroissance et de la surface articulaire
TRAITEMENTTRAITEMENT
CONTENTIONCONTENTION ::
 Par un appareil plâtre enPar un appareil plâtre en
prenant l’articulation sus etprenant l’articulation sus et
sous jacentes.sous jacentes.
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peuvent traverser sipeuvent traverser si
nécessaire le cartilage denécessaire le cartilage de
croissance en son centrecroissance en son centre
( pas en périphérie).( pas en périphérie).
 Matériel enlevé au bout deMatériel enlevé au bout de
quatre à six semaines.quatre à six semaines.
INDICATIONSINDICATIONS
 TYPE 1 et 2 →TYPE 1 et 2 → - Réduction orthopédique sous anesthésie- Réduction orthopédique sous anesthésie
générale et plâtregénérale et plâtre
- consolidation 3 a 6 semaines.- consolidation 3 a 6 semaines.
 TYPE 3 →TYPE 3 → - Réduction orthopédique parfaite, si non- Réduction orthopédique parfaite, si non
chirurgie et plâtre.chirurgie et plâtre.
- Consolidation 4 a 6 semaines.- Consolidation 4 a 6 semaines.
 TYPE 4 →TYPE 4 → - Réduction chirurgicale, broches et plâtre.- Réduction chirurgicale, broches et plâtre.
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 TYPE 5 →TYPE 5 → - Souvent méconnu, simple immobilisation- Souvent méconnu, simple immobilisation
plâtre pour 3 semainesplâtre pour 3 semaines
- Pronostic réserve et grand risque- Pronostic réserve et grand risque
d’epiphysiodesed’epiphysiodese
ConclusionConclusion
 Pathologie fréquentePathologie fréquente
 Diagnostic le plus souventDiagnostic le plus souvent
facile, mais attention àfacile, mais attention à
certaines formes (Type V)certaines formes (Type V)
 Traitement le plus souventTraitement le plus souvent
aisé ( cf. critères déjà cités)aisé ( cf. critères déjà cités)
 Consolidation toujoursConsolidation toujours
obtenueobtenue
 Attention au risque deAttention au risque de
séquelles ( 10%)séquelles ( 10%)
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Facture cartilage

  • 1. TRAUMATISMES CARTILAGETRAUMATISMES CARTILAGE CROISSANCECROISSANCE A . BENAMIROUCHEA . BENAMIROUCHE EHS BENAKNOUNEHS BENAKNOUN
  • 2. TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE  décollement epiphysaire =décollement epiphysaire = trait de fracture intéressetrait de fracture intéresse le cartilage de croissance.le cartilage de croissance.  Ou : décollement en blocOu : décollement en bloc de l’épiphyse et de lade l’épiphyse et de la plaque conjugale, de laplaque conjugale, de la métaphyse.métaphyse.
  • 3. TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE – Le cartilage de croissanceLe cartilage de croissance est : une zone radioest : une zone radio transparente (CLAIRE).transparente (CLAIRE). – Se situ entre la métaphyseSe situ entre la métaphyse et l’épiphyse des extrémitéset l’épiphyse des extrémités osseuses.osseuses. – De forme discoïde, assurantDe forme discoïde, assurant la croissance en longueurla croissance en longueur des os longs.des os longs.
  • 4. TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE  Urgence thérapeutique : urgence de réduction.Urgence thérapeutique : urgence de réduction.  Traumatismes fréquents : 15% des fractures deTraumatismes fréquents : 15% des fractures de l’enfant.l’enfant.  Diagnostic : surtout radiologique (intérêt desDiagnostic : surtout radiologique (intérêt des radiographies comparatives.radiographies comparatives.  Sont graves : par leur complication avec perturbationSont graves : par leur complication avec perturbation de la croissance (inégalité de longueur et déviationde la croissance (inégalité de longueur et déviation axial).axial).  Le pronostic est sombre si la plaque basale estLe pronostic est sombre si la plaque basale est touchée.touchée.
  • 5. TRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCETRAUMATISMES CARTILAGE DE CROISSANCE  Schématiquement, le cartilageSchématiquement, le cartilage de croissance est constitue dede croissance est constitue de trois parties :trois parties : les cellules.les cellules. la substance fondamentale.la substance fondamentale. la virole perichondrale.la virole perichondrale.
  • 6. LES CELLULESLES CELLULES  couche germinative ou plaquecouche germinative ou plaque basalebasale : qui est une réserve de: qui est une réserve de petites cellules (chondrocytespetites cellules (chondrocytes  Couche proliférative ou sériéeCouche proliférative ou sériée :: véritable moteur de croissance,véritable moteur de croissance,  Couche hypertrophiqueCouche hypertrophique : zone: zone de maturationde maturation  Couche degenerative ouCouche degenerative ou osteoideosteoide : couche d’ossification: couche d’ossification (début du processus menant a(début du processus menant a l’ossification.l’ossification. épiphysemétaphyse ZONE DE CROISSANCE→ ZONE DE MATURATION → ZONE D’OSSIFICATION
  • 7. LA SUBSTANCE FONDAMENTALELA SUBSTANCE FONDAMENTALE Elle joue le rôle d’intermédiaire entre lesElle joue le rôle d’intermédiaire entre les cellules et le front d’ossification.cellules et le front d’ossification. VIROLE PRICHONDRALEVIROLE PRICHONDRALE :: Elle limite latéralement le cartilage deElle limite latéralement le cartilage de croissance et joue un rôle mécanique decroissance et joue un rôle mécanique de soutien.soutien.
  • 8. VASCULARISATIONVASCULARISATION  SYSTEME EPIPHYSAIRE :SYSTEME EPIPHYSAIRE : qui est forme par les rameauxqui est forme par les rameaux de l’artère epiphysaire, quide l’artère epiphysaire, qui assure la nutrition des deuxassure la nutrition des deux première couches du cartilagepremière couches du cartilage de croissance.de croissance.  SYSTEME METAPYSAIRE :SYSTEME METAPYSAIRE : provient pour la plus grandeprovient pour la plus grande partie des vaisseauxpartie des vaisseaux médullairesmédullaires  La périphérie du cartilage deLa périphérie du cartilage de croissance est vasculariséecroissance est vascularisée par les vaisseaux periostiquespar les vaisseaux periostiques
  • 9. CROISSANCE EN LONGUEURCROISSANCE EN LONGUEUR Croissance bipolaireCroissance bipolaire etet asymétriqueasymétrique
  • 10. MECANISMEMECANISME  Le disque conjugal est solidement implanteLe disque conjugal est solidement implante sur l’épiphyse osseuse. Il existe au niveausur l’épiphyse osseuse. Il existe au niveau de la jonction metaphyse-cartilage, unede la jonction metaphyse-cartilage, une zone de moindre résistance entre couchezone de moindre résistance entre couche hypertrophique et couche osteoide, auhypertrophique et couche osteoide, au niveau de la quelle se produit leniveau de la quelle se produit le décollement en bloc de la plaque conjugaledécollement en bloc de la plaque conjugale et l’épiphyse, de la métaphyseet l’épiphyse, de la métaphyse
  • 11. MECANISMEMECANISME  +++ La résistance de+++ La résistance de cette zone de faiblessecette zone de faiblesse est inférieure a celleest inférieure a celle des ligaments,des ligaments, expliquant la raretéexpliquant la rareté des entorses gravesdes entorses graves chez l’enfant et lachez l’enfant et la fréquence desfréquence des décollementsdécollements epiphysaires.epiphysaires.
  • 12. ETIOLOGIESETIOLOGIES  FREQUENCEFREQUENCE :: -15% des fractures de l’enfant.-15% des fractures de l’enfant. - 2 pics : → naissance : violence du traumatisme obstétrical sur une épiphyse mal- 2 pics : → naissance : violence du traumatisme obstétrical sur une épiphyse mal bordee par les structures périphériquebordee par les structures périphérique →→ Adolescent (12 – 14 ans) : période d’augmentation de l’activité duAdolescent (12 – 14 ans) : période d’augmentation de l’activité du cartilage de croissance, d’amincissement de la virole perichondrale, et l'imprudance acartilage de croissance, d’amincissement de la virole perichondrale, et l'imprudance a cet age.cet age.  SEXESEXE :: 2/3 masculins et 1/3 féminins.2/3 masculins et 1/3 féminins.  TopographieTopographie :: 2/3 membres supérieurs, 1/3 membres inférieurs.2/3 membres supérieurs, 1/3 membres inférieurs.  Accidents responsablesAccidents responsables :: -acc domestiques, sportifs, voie publique, de circulation, les traumatismes obstétricaux-acc domestiques, sportifs, voie publique, de circulation, les traumatismes obstétricaux et les traumatismes iatrogènes.et les traumatismes iatrogènes.
  • 13. CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et HARRISHARRIS – TYPE 1 :TYPE 1 : 6%6%  décollement epiphysaire pure.décollement epiphysaire pure.  Fréquent dans lesFréquent dans les traumatismes obstétricaux.traumatismes obstétricaux.  Le trait passe entre laLe trait passe entre la métaphyse et l’épiphyse sansmétaphyse et l’épiphyse sans fracture associée.fracture associée.  S’il n’y a pas de déplacement,S’il n’y a pas de déplacement, le diagnostique est difficile etle diagnostique est difficile et repose sur la clinique surtout,repose sur la clinique surtout, ainsi que les radioainsi que les radio comparatives.comparatives.  Le traumatisme est horizontal,Le traumatisme est horizontal, la plaque basale est intactela plaque basale est intacte donc le pronostique estdonc le pronostique est excellent.excellent.
  • 14. CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et HARRISHARRIS – TYPE 2TYPE 2 : 75%: 75%  « décollement – fracture« décollement – fracture métaphysaire ».métaphysaire ».  est un décollement epiphysaireest un décollement epiphysaire partiel avec un très de fracturepartiel avec un très de fracture métaphysaire.métaphysaire.  Le trait de fracture passe dans leLe trait de fracture passe dans le cartilage de croissance sauf à unecartilage de croissance sauf à une extrémité ou il s’infléchit et détacheextrémité ou il s’infléchit et détache un coin métaphysaire.un coin métaphysaire.  Est de loin le plus fréquent surtoutEst de loin le plus fréquent surtout l’adolescent.l’adolescent.  Traumatisme horizontal, la plaqueTraumatisme horizontal, la plaque basale est intacte, de réductionbasale est intacte, de réduction facile et donc le pronostique estfacile et donc le pronostique est généralement bon.généralement bon.
  • 15. CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et HARRISHARRIS TYPE 3 : 10% CLASSIFICATION DE SALTER et HARRIS « décollement- fracture epiphysaire ». Décollement epiphysaire partiel, avec trait de fracture emportant un coin epiphysaire. Le trait est d’abord trans. epiphysaire, puis se poursuit dans le cartilage de croissance. Traumatisme vertical, donc fracture articulaire nécessitant une réduction anatomique. La plaque basale touchée, mal réduite, le pronostique est moins bon (risque d’epiphysiodese). Ex : fracture de TILLAUX → fracture type SALTER 3, qui isole un fragment anteroexterne de l’épiphyse tibiale ou s’insère le ligament peroneo-tibal antérieur.
  • 16. CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et HARRISHARRISTYPE 4 : Fracture articulaire avec trait vertical. Le trait est d’abord trans-epiphysaire, il traverse le cartilage de croissance dans toute son épaisseur et se poursuit dan la métaphyse. Donc la plaque basale est touchée, et le pronostique est réserve. Ex : fracture de MAC FARLAND → est une fracture emportant la malléole interne de type SALTER 4. Le trait traverse l’épiphyse près de la malléole interne, puis le cartilage de croissance, sépare un fragment metapysaire interne ou posterointerne souvent petits. Des cliches de 3/4 sont souvent nécessaire pour le visualiser. . Touche surtout les sujets entre 13 et 15 ans. . Nécessitant une réduction chirurgicale et un vissage.
  • 17. CLASSIFICATION DE SALTER etCLASSIFICATION DE SALTER et HARRISHARRIS TYPE 5 :TYPE 5 :  réalise un écrasement du cartilageréalise un écrasement du cartilage de croissance (couche basale).de croissance (couche basale).  Diagnostique difficile (+ ou – clichesDiagnostique difficile (+ ou – cliches comparatifs a la recherche d’unecomparatifs a la recherche d’une asymétrie de l’épaisseur du cartilageasymétrie de l’épaisseur du cartilage de croissance).de croissance).  Souvent diagnostique rétrospectif.Souvent diagnostique rétrospectif.  Ce type de lésion peut s’associer auxCe type de lésion peut s’associer aux precedants types.precedants types.  Son pronostique est grave et peutSon pronostique est grave et peut évoluer vers l’epiphysiodese.évoluer vers l’epiphysiodese.
  • 18. CLINIQUE - RADIOLOGIECLINIQUE - RADIOLOGIE  Enfant se présente pour un traumatisme du membre, leEnfant se présente pour un traumatisme du membre, le plus souvent suite a une chute.plus souvent suite a une chute.  l’interrogatoire : recherche les circonstances, mécanismel’interrogatoire : recherche les circonstances, mécanisme de l’accident, les antecedants et l’heure du dernier repas.de l’accident, les antecedants et l’heure du dernier repas.  Signes fonctionnels : douleur en regard du CC etSignes fonctionnels : douleur en regard du CC et impotence fonctionnelle.impotence fonctionnelle.  Signes physiques : oedeme, déformation, pointsSignes physiques : oedeme, déformation, points douloureux exquis et rechercher les troubles vasculo-douloureux exquis et rechercher les troubles vasculo- nerveux.nerveux.  Radiographie : membre traumatise (F + P +Radiographie : membre traumatise (F + P + COMPARATIFS) → type, anapath et guide le traitement.COMPARATIFS) → type, anapath et guide le traitement.
  • 19. EVOLUTIONEVOLUTION  se fait toujours vers la consolidation.se fait toujours vers la consolidation.  La consolidation est obtenue en troisLa consolidation est obtenue en trois semaines pour le décollement epiphysairesemaines pour le décollement epiphysaire et jusqu’a six semaines pour la fractureet jusqu’a six semaines pour la fracture associée.associée.  Le délai de consolidation est réduit chezLe délai de consolidation est réduit chez l’enfant jeune.l’enfant jeune.
  • 20. COMPLICATIONSCOMPLICATIONS « epiphysiodese»« epiphysiodese»  Epiphysiodese est la fusion osseuse prématurée de la métaphyse et deEpiphysiodese est la fusion osseuse prématurée de la métaphyse et de l’épiphyse.l’épiphyse.  Tout décollement epiphysaire et quelques soit son type peut seTout décollement epiphysaire et quelques soit son type peut se compliquer d’une epiphysiodese.compliquer d’une epiphysiodese.  en cas d’atteinte totale du CC on aura :en cas d’atteinte totale du CC on aura : -une inégalité de longueur sur un segment a un seul os.-une inégalité de longueur sur un segment a un seul os. -Une inégalité de longueur a laquelle s’ajoute, sur un segment a-Une inégalité de longueur a laquelle s’ajoute, sur un segment a 2 os, une déviation axiale par l’inégalité relative de ces deux os.2 os, une déviation axiale par l’inégalité relative de ces deux os.  ..
  • 21. COMPLICATIONSCOMPLICATIONS  En cas d’atteinte partielle du CC,En cas d’atteinte partielle du CC, l’epiphysiodese périphérique va entraînerl’epiphysiodese périphérique va entraîner une désaxation a type de varus, valgus,une désaxation a type de varus, valgus, flessum et recurvatum.flessum et recurvatum.  L’epiphysiodese centrale entraîne uneL’epiphysiodese centrale entraîne une déformation de l’articulation.déformation de l’articulation.
  • 23. PRONOSTIPRONOSTIcc  EVALUATION DU PRONOSTICEVALUATION DU PRONOSTIC::  Type anatomique → type 3,4 et 5 sont graves.Type anatomique → type 3,4 et 5 sont graves.  Le jeune age est un facteur aggravant.Le jeune age est un facteur aggravant.  Les décollements epiphysaire du col fémoral etLes décollements epiphysaire du col fémoral et radial sont graves car risque de nécroseradial sont graves car risque de nécrose (vascularisation terminale).(vascularisation terminale).  Qualité et modalité de la réduction.Qualité et modalité de la réduction.  Ouverture cutanée avec risque de sepsis et deOuverture cutanée avec risque de sepsis et de chondrolyse et d’epiphysiodesechondrolyse et d’epiphysiodese
  • 24. TRAITEMENTTRAITEMENT REDUCTION ORTHOPEDIQUEREDUCTION ORTHOPEDIQUE  Rapidement, car de jour en jour, plus difficile etRapidement, car de jour en jour, plus difficile et plus dangereuse.(proscrite après 1o j.)plus dangereuse.(proscrite après 1o j.)  - elle se fait sous anesthésie générale et sous- elle se fait sous anesthésie générale et sous control scopique.control scopique.  Qualité de réduction moins exigeante (remodelageQualité de réduction moins exigeante (remodelage croissance) pour type 1 et 2.croissance) pour type 1 et 2.  Qualité de réduction parfaite pour types 3 et 4.Qualité de réduction parfaite pour types 3 et 4.
  • 25. TRAITEMENTTRAITEMENT REDUCTION CHIRURGICALEREDUCTION CHIRURGICALE  Fréquente dans les types III, constanteFréquente dans les types III, constante dans les types IVdans les types IV  Pas de geste traumatisant pour le cartilagePas de geste traumatisant pour le cartilage  Réduction exacte du cartilage deRéduction exacte du cartilage de croissance et de la surface articulairecroissance et de la surface articulaire
  • 26. TRAITEMENTTRAITEMENT CONTENTIONCONTENTION ::  Par un appareil plâtre enPar un appareil plâtre en prenant l’articulation sus etprenant l’articulation sus et sous jacentes.sous jacentes.  Fixation par broches quiFixation par broches qui peuvent traverser sipeuvent traverser si nécessaire le cartilage denécessaire le cartilage de croissance en son centrecroissance en son centre ( pas en périphérie).( pas en périphérie).  Matériel enlevé au bout deMatériel enlevé au bout de quatre à six semaines.quatre à six semaines.
  • 27. INDICATIONSINDICATIONS  TYPE 1 et 2 →TYPE 1 et 2 → - Réduction orthopédique sous anesthésie- Réduction orthopédique sous anesthésie générale et plâtregénérale et plâtre - consolidation 3 a 6 semaines.- consolidation 3 a 6 semaines.  TYPE 3 →TYPE 3 → - Réduction orthopédique parfaite, si non- Réduction orthopédique parfaite, si non chirurgie et plâtre.chirurgie et plâtre. - Consolidation 4 a 6 semaines.- Consolidation 4 a 6 semaines.  TYPE 4 →TYPE 4 → - Réduction chirurgicale, broches et plâtre.- Réduction chirurgicale, broches et plâtre. - Consolidation 4 a 6 semaines.- Consolidation 4 a 6 semaines.  TYPE 5 →TYPE 5 → - Souvent méconnu, simple immobilisation- Souvent méconnu, simple immobilisation plâtre pour 3 semainesplâtre pour 3 semaines - Pronostic réserve et grand risque- Pronostic réserve et grand risque d’epiphysiodesed’epiphysiodese
  • 28. ConclusionConclusion  Pathologie fréquentePathologie fréquente  Diagnostic le plus souventDiagnostic le plus souvent facile, mais attention àfacile, mais attention à certaines formes (Type V)certaines formes (Type V)  Traitement le plus souventTraitement le plus souvent aisé ( cf. critères déjà cités)aisé ( cf. critères déjà cités)  Consolidation toujoursConsolidation toujours obtenueobtenue  Attention au risque deAttention au risque de séquelles ( 10%)séquelles ( 10%) L’enfant n’est pas un adulte miniaturisé L’enfant est un être en croissance