savoir, savoir faire, faire savoir : du bon dosage des technologies
Rapport pratique intelligence économique au maroc fffffinal
1. Sommaire
Introduction
• L’intérêt de l’intelligence économique et son importance
• Préciser la problématique
o Questions
o Hypothèses
• La démarche de l’étude
Le développement
La pratique de l’intelligence économique au Maroc
• la partie théorique
• La partie empirique : Analyse des résultats de l’étude
Conclusion
• Difficultés rencontrées
• enjeux et perspectives
Références
• Ouvrages
• Sites
2. Introduction
Aujourd’hui, l’analyse de la situation de l’entreprise et de son
environnement a pour mission de renseigner le dirigeant sur l’état réel de
son entreprise. L’intelligence économique alors joue donc un rôle
d’interface entre l’entreprise et son environnement. L’entreprise est
réceptive aux moindres évolutions de son environnement tout en
préservant ses informations stratégiques. Elle peut alors bâtir des
stratégies de différenciation de plus en plus complexes pour préserver sa
compétitivité et assurer sa pérennité.
• Importance et l’intérêt de l’intelligence économique
L’intelligence économique,un outil de compétitivité dans la mesure où elle
utilise tous les moyens d’information disponibles, l’intelligence économique
permet à l’entreprise d’appréhender son environnement : les stratégies de
ses concurrents, les tendances des marchés à venir, les dynamiques
territoriales, les pratiques locales et internationales …
Au delà des décisions stratégiques, elle concerne l’ensemble des acteurs
de l’entreprise à qui elle permet d’identifier et de minimiser les risques
commerciaux, financiers et juridiques.
L’intelligence économique induit tout à la fois des décisions offensives -
recherche et développement, transfert de technologie, conquête de
nouveaux marchés - et défensives - protection du patrimoine, sécurité,
maîtrise des risques industriels, commerciaux, d’altération de l’image.
Ainsi l’intelligence économique constitue le socle de la compétitivité de
l’entreprise et une condition à sa survie dans un contexte de concurrence
mondiale exacerbée.
3. L'intelligence économique est aussi un outil de valorisation du patrimoine
informationnel en livrant à l’entreprise une information fiable et utilisable par
l’entreprise.
• Définition de la problématique :
Aujourd’hui l’environnement des entreprises est caractérisé par la
mondialisation des marchés, le développement technologique, la
complexité des relations, la multiplicité des acteurs, l’augmentation des
opportunités et la multiplication des risques et des incertitudes.
La croissance exponentielle de la masse d’information crée des
opportunités mais génère en même temps des incertitudes. L’entreprise
doit s’adapter à ce contexte pour se maintenir et se développer. Il est
évident pour elle de rechercher de nouveaux moyens pour faire face aux
défis posés par l’instabilité de son environnement et l’abondance de
l’information.
• Notre problématique se fonde sur:
La pratique de l’Intelligence Economique au sein des entreprises
marocaines
• Notre étude portera, au sein des entreprises enquêtées, sur :
-Comment l’entreprise se procure-t-elle les informations ?
-L’importance accordée à l’intelligence économique par les entreprises
marocaines
-Quelle est la démarche appliquée et suivie et quels sont les outils
nécessaires ?
-Quels dispositifs d’IE pour les différents secteurs ?
4. • Hypothèses :
-Les entreprises marocaines commencent à s’intéresser à l’activité de
l’intelligence économique et surtout les grandes structures.
-Les entreprises suivent toutes les étapes du processus de l’IE.
Certaines entreprises accordent plus d’importance à des phases par
rapport à d’autres.
-Peut être qu’elles disposent de département dédié à la pratique de l’IE
-Et peut être qu’elles la pratiquent de façon informelle sans pour autant
disposer de département ou de service d’IE.
• Démarche de l’étude :
L’objectif de cette étude est de mettre l’accent sur le concept de
l’intelligence économique et ses différentes approches ainsi que donner
réponse à la problématique de la pratique de cette dernière dans les
entreprises Marocaines.
La pratique de l’intelligence économique ne se traduit pas forcément par
l’établissement d’un service ou d’une fonction qui l’assure, toutefois cette
pratique peut être d’une façon informelle ou masqué derrière d’autres
pratiques, ce qui nous a obligé à déterminer quelques traits distinctifs
afin d’opérer et de détecter cette pratique dans ses différentes formes .
Pour ce, le questionnaire a englobé bien essentiellement quelques
questions portant sur la détermination des besoins en information, la
collecte de l’information, le traitement de l’information, la mémorisation et
la sécurité de l’information et la diffusion de l’information afin de bien
déterminer les entreprises pratiquant de l’intelligence économique soit
5. d’une façon formelle ou informelle et qui intègrent cette notion au sein de
son organisation.
Le développement
La partie théorique
Le Maroc après l’indépendance a choisi une politique d’ouverture sur
l’international et par conséquent sur un environnement incertain et
complexe d’où l’intérêt de développer une démarche d’IE. « Discours
Azzeddine El Mountassir Billah : Directeur général de l’Agence nationale
de réglementation des télécommunications. Octobre 2011 »
Les grandes entreprises adoptent cette démarche que les PME/PMI ne
maîtrisent pas vraiment. De nos jours, depuis les années 90 les
organisations ont pris conscience de l’IE pour jouer un rôle important
dans la politique de sensibilisation à travers des plans, des programmes
et des conférences qui mettent l’accent sur l’importance de l’IE:
* Veille informationnelle et Documentaire : (HCP : Centre National de
Documentation www.cnd.hcp.ma 2010) qui concerne un certain nombre
de missions enrichissant le champ d’action du CND, qui concerne
essentiellement un projet de création d’un Centre d’Intelligence
Economique. L’objectif c’est d’assurer aux utilisateurs des sources
d’informations très fiables dans différents domaines afin de les aider à
pratiquer de l’intelligence économique et devenir compétitif sur un
environnement caractérisé par sa complexité.
* Au niveau du colloque « Intelligence économique et stratégies
d'influence » organisé par l’Association Marocaine d'IE le 14 janvier
2011- Casablanca, qui a montré la conscience que porte les
organisations à l’IE en tant que dispositif incontournable et une
6. démarche qui permet de détecter les signaux faibles et d’imaginer le
futur. Cette thématique a pu montrer la pratique de la démarche d’IE par
l’IRES qui consistait en un système d’information prospective qui collecte
des informations à travers un système de veille documentaire, les traiter
et les analyser (SIP) pour en extraire des synthèses. Ces dernières sont
envoyées sous forme d’alertes ou de notes d’orientations stratégiques
aux entreprises des secteurs concernés.
Ces structures (AMIE,IRES,CND) proposent une diversité de services (
Des rapports, des bases de données, des sites, des alertes) aux
entreprises de tous les secteurs d’activités pour permettre aux
entreprises d’accéder à des informations fiables et actualisées.
On remarque qu’un effort considérable est déployé par ces institutions
spécialisées pour promouvoir la pratique d’une démarche d’IE afin
d’assurer la croissance de l’édifice économique national.
Le problème au Maroc c’est qu’il y’a une mal compréhension du concept
d’IE qui est associé à l’achat du matériel de haute technologie afin de
rester compétitif, ainsi qu’il y’a une certaine réticence vis-à-vis de l’IE qui
est l’utilisation des NTIC. La plupart des PME/PMI adoptent et préfèrent
des approches de sous-traitance et de répondre aux exigences des
donneurs d’ordre (L’un des résultats de l’enquête menée par l’IMIST).
Ainsi qu’une prééminence de la veille sur l’intelligence économique,
considérée souvent comme une simple affaire de « logiciels » ou d’outils
de stockage de l’information.
Les avancées de l’IE restent limitées malgré l’importance des enjeux
(positionnement du Maroc dans la mondialisation, transitions
sociétales…) et la multitude des acteurs concernés (Etat, collectivités
locales, entreprises, société civile). Sans oublier l’absence d’un cadre
7. institutionnel de promotion de l’intelligence économique et d’une politique
publique volontariste en la matière.
La partie empirique
Les résultats de la pratique de l’Intelligence économique au sein des
entreprises Marocaines
Pour l’analyse des résultats on a procédé par l’interprétation de
croisements entre plusieurs variables pour rendre l’analyse plus
pertinente.
Le pourcentage de la pratique de l’intelligence économique au sein des
entreprises marocaines est de 40%. Ce qui montre l’importance portée à
ce concept durant ces dernières années.
Les différents domaines d’activités pratiquent l’intelligence économique
avec un pourcentage très important. (Voir annexe 2)
• On remarque qu’il y a une prépondérance des grandes entreprises sur
les autres types d’entreprises à savoir les PME et les TPE au niveau de
la connaissance, la perception et la pratique de l’IE ce qui nous renvoie
à dire que la réappropriation du terme reste toujours ambigue pour ces
types d’entreprises (TPE,PME) , cela ouvre le champ à d’autres
questions qui peuvent être objet d’une autre recherche . A cet égard
quelques hypothèses peuvent être formulées.
• On sait que l’IE adopte une approche globale qui s’intéresse au volet
interne qu’au volet externe de l’entreprise, toutefois la plupart des
entreprises sont soucieuses d’anticiper leur environnement externe et
en réduire l’incertitude et ce en se focalisant sur les notions de risque,
d’opportunités et de menaces et du marché .
8. • Les limites qui présentent le pourcentage le plus élevé sont le coût
élevé, la complexité de la mise en pratique de l’IE, la résistance du
personnel au changement et l’ambiguïté du concept ce qui renforce le
constat précédent sur la prépondérance des grandes entreprises au
niveau de la pratique de l’IE car ces derniers représentent des freins
pour la petite entreprise dans la plupart des cas.
(Voir Annexe 1 : Etat des lieux de l’IE)
• On remarque que les entreprises questionnées collectent la plupart
des informations afin de surveiller leur environnement et pour
pratiquer la veille. En utilisant différentes sources d’informations en
particuliers les bases de données professionnelles.
• La plupart des entreprises toute taille confondue n’utilisent que les
sources formelles pour le processus de collecte. Le processus de
traitement de l’information est primordial pour les entreprises
marocaines et surtout pour les grandes entreprises.
(Voir Annexe 3 et 4 : Collecte et traitement d’information)
• Les entreprises qui pratiquent l’IE partagent l’information à travers des
plateformes utilisables par l’ensemble des entreprises.
Comme au niveau du processus de l’intelligence économique la
mémorisation et la sécurisation de l’information sont des étapes
essentielles dans la pratique de cette démarche.
(Voir annexe 5,6 et 7)
9. • La veille :
La veille est pratiquée par la plupart des entreprises de l’échantillon : la
veille concurrentielle, technologique et réglementaire sont les plus
pratiquées par les entreprises marocaines de notre échantillon.
Il nécessaire de traiter le volet intelligence économique et veille
stratégique et leur pratique combinée. Les résultats de l’analyse vérifient
que la plupart des entreprises qui pratiquent l’intelligence économique
font de la veille.
A travers l’analyse de ces informations on peut conclure que
l’intelligence économique est une démarche assez connue par nos
entreprises marocaines surtout par les grandes entreprises et par la
suite les petites et moyennes entreprises. Les entreprises accordent une
grande importance à ce concept même si quelques entreprises, dû
essentiellement à la complexité du processus, en font l’exception.
Les différentes informations proviennent de sources formelles surtout
des bases de données professionnelles. La plupart des entreprises
utilisent des plateformes utilisables et partagées par l’ensemble des
niveaux de l’entreprise.
L’intelligence économique est pratiquée par les entreprises pour des
raisons stratégiques à savoir rester compétitif et garder sa position dans
un marché concurrentiel en pratiquant en parallèle une veille
concurrentielle et technologique.
L’intelligence économique est un processus à part entière qui regroupe
la collecte de l’information, son traitement et sa mémorisation assurent
la sécurité des données. Ce processus est bien respecté par les plupart
des entreprises enquêtées.
10. Les grandes entreprises sont très conscientes de l’intelligence
économique et veillent à la bonne pratique de celle ci.
Pour les PME la pratique de l’intelligence économique n’est pas assez
fréquente et encore plus chez les toutes petites entreprises.
On remarque alors que les organisations spécialisées en intelligence
économique déploient plusieurs efforts pour encourager cette pratique
notamment à travers la création d’un centre d’intelligence économique
d’ici 2015 afin d’aider les entreprises d’accéder à des informations
fiables collectées à partir de sources documentaires nationales et
étrangères et qui assure la veille informationnelle et documentaire.
L’objectif étant d’aider les entreprises à pratiquer l’intelligence
économique quel que soit leur secteur d’activité en assurant des bases
de données spécialisées. Et quel que soit leur taille en offrant des
services gratuit ou des services avec des prix raisonnables pour accéder
à des informations très fiables sous différents supports (Newsletters,
web news, sites web…).
Conclusion
Difficultés rencontrés lors de l’élaboration du travail :
Tout travail de recherche ne peut se réaliser sans difficultés, Les
difficultés rencontrées lors de l’élaboration de ce travail ont surtout été
d’ordre organisationnel, puisque cela implique la collaboration de toute
la promotion afin d’élaborer et d’administrer le questionnaire auprès de
différentes entreprises.
La deuxième limite était la difficulté d’accès aux entreprises et donc le
choix s’est principalement basé sur les connaissances personnelles et
les relations nouées lors des stages ce qui a rendu l’analyse un peu
difficile vu que l’échantillon ne représente pas vraiment la réalité
11. Enjeux & Perspectives :
L’intelligence économique est certes une démarche indispensable pour
toutes les entreprises. Mais certaines entreprises considèrent que c’est
un concept flou et complexe vu la difficulté de sa mise en œuvre. C’est
pour cette raison que les entreprises doivent adhérer aux organisations
spécialisées en intelligence économique pour la généraliser et rendre
facile la mise en place de cette démarche.
12. REFERENCES
http://www.france-lex.com/fr/presse/169/a_propos_de_l-importance_de_l-
intelligence_economique_dans_la_societe_de_l-immateriel.html
L’INTELLIGENCE ECONOMIQUE : La comprendre, l’implanter, l’utiliser,
JAKOBIAK FRANÇOIS, Paris, Éditions d’Organisation, , 2006.
http://www.creg.ac-versailles.fr/spip.php?article205
http://www.madrimasd.org/queesmadrimasd/socios_europeos/descripcionp
royectos/documentos/intelligence-economique-guide-integral.pdf
Date de consultation: 01/01/2012 & Heure de consultation: 20h00
http://lettre.imist.ma/spip.php?article214
Date de consultation: 03/01/2012 & Heure de consultation: 10h41
http://www.ires.ma/IMG/pdf_Presentation_IRES_AMI_14janvier2011.pdf
Date de consultation : 03/02/2012 Heure de consultation : 13h
http://www.veille.ma/+Videos-de-la-conference,4849+.html
Date de consultation : 03/01/2012 Heure de consultation : 14h
Vidéo: Discours Azzeddine El Mountassir Billah (Directeur général de
l’Agence nationale de réglementation des télécommunications) en Octobre
2011.
Vidéo: Veille stratégique au service de l’intelligence territoriale
Mohammed Tawfik Mouline (Directeur Général de l’Institut Royal des
Études Stratégiques): contexte national et international de l'IE
13. Annexes
Le questionnaire : http://www.sphinxonline.net/public/lapratiquedelie1/questionnaire.htm
Annexe1 : Etat des lieux de l’IE
Groupe n°2
Oui Non Dé finit
Oui 43 7 50
Non 0 3 3
Pe rce ption 43 10 53
TPE 2 1 3
PME 10 5 15
GE 31 4 35
Taille de l'e ntre pris e 43 10 53
Pratique par taille d'entreprise
Oui Non Total
TPE 1 2 3
PME 8 8 16
GE 32 3 35
Total 41 13 54
14. Motifs et motivations
Somme des pourcentages différente de 100 du fait des réponses multiples et des suppressions.
Nb % obs.
Détecter les opportunités et les menaces 35 58,3%
Améliorer sa position sur le marché 31 51,7%
Anticiper le risque 25 41,7%
Renforcer la capacité de l'entreprise à détecter ses forces et faiblesses 25 41,7%
Améliorer le système de prise de décision 31 51,7%
Maîtriser les informations ouvertes et fermées 14 23,3%
Comprendre la réalité des rapports de force 5 8,3%
Renforcer la capacité de détection des réseaux et des déploiements collectifs 6 10,0%
Total 60
Limites
Somme des pourcentages dif férente de 100 du fait des réponses multiples et des
suppressions.
Nb % obs.
Coût élevé 30 50,0%
Concept flou 19 31,7%
Incompétence du personnel 13 21,7%
Rigidité de la structure 13 21,7%
Complexité de la mise en place de la pratique 35 58,3%
Résistance au changement de la part du personnel 22 36,7%
Autres 4 6,7%
Total 60
Annexe 2 : Secteurs et pratique de l’IE
Pratique par domaine
Oui Non Total
Banques et assurances 9 0 9
Industries 14 5 19 Commercial (66,7%) Banques et assurances (100,0%)
Télécommunication 4 1 5
Services 12 6 18 Services (66,7%)
Commercial 2 1 3 Industries (73,7%)
Total 41 13 54
Télécommunication (80,0%)
15.
Annexe 3 : Collecte d’information
sources d'info par type
Informations faits et
Informations
nombres (analyse Informations
contact
des ratios, des internes (veille Total
(surveillance de
indicateurs et leur stratégique)
l'environnement)
interprétation)
Presse quotidienne et hebdomadaire 15 9 12 36
Bases de données professionnelles 29 22 26 77
Syndicats professionnels et fédérations 16 11 13 40
Internet 15 12 14 41
Congrès, séminaires, salons 22 14 17 53
Universités, laboratoires 3 3 3 9
bureaux d'études 11 5 11 27
Stagiaires 1 2 2 5
Clients 25 16 22 63
Fournisseurs 22 13 17 52
Collaborateurs 28 19 24 71
Total 187 126 161 474
canaux de diffusion par taille
Formels Informels Total
TPE 1 2 3
PME 12 1 13
GE 35 1 36
Total 48 4 52
16. Annexe 4: Analyse
analyse de l'info par type de firme
Analyse
Oui Non Total
Nb % cit.
TPE 1 1 2
Oui 44 83,0%
PME 10 5 15
Non 9 17,0% GE 33 3 36
Total 53 100,0% Total 44 9 53
Annexe 5: Partage de l’information
partage et IE
Implantés Non
Implantés Total
et utilisés existants
Oui 12 23 4 39
Non 1 1 9 11
Total 13 24 13 50
plate form e et style de m gm t
Implantés Implantés et utilisés Non existants Plateform e
Limité 7 13 11 31
Collectif 7 12 3 22
Participation 14 25 14 53
Limité 7 12 11 30
Collectif 7 13 3 23
Objectifs 14 25 14 53
Limité 6 12 8 26
Collectif 8 13 6 27
Autonom ie 14 25 14 53
Limité 2 3 4 9
Collectif 12 22 10 44
Coordination 14 25 14 53
17. Annexe 6 : Mémorisation
Pratique IE et m ém orisation
Oui Non Total
Oui 33 3 36
Non 6 8 14
Total 39 11 50
Annexe 7 : Sécurité de l’information
Pratique IE et sécurité de l'info
Oui Non Total
Oui 35 6 41
Non 6 3 9
Total 41 9 50
Annexe 8 : Veille
Type de veille pratiqué
Oui Non Total
Veille concurrentielle 26 1 27
Veille technologique 26 1 27
Veille sociétale 14 1 15
Veille financière 18 1 19
Veille réglementaire 22 0 22
Veille normative 12 1 13
Veille marketing 20 1 21
Total 138 6 144
18. Pratique de Veille(col) vs Pratique IE(ligne)
Oui Non Total
Oui 35 6 41
Non 2 9 11
Total 37 15 52