Présentation rapide de la première machine à calculer, la Pascaline inventée par Blaise Pascal à 17 ans.

1. La Pascaline
Yves Serra, décembre 2009

2. La Pascaline
La première machine à calculer,
inventée par Blaise Pascal en 1640.
Neuf exemplaires de la Pascaline existent encore,
4 à Paris (CNAM), 2 à Clermont (musée du Ranquet),
1 à Dresde (Staatlicher Mathematisch salon)
1 dans la collection privée de Léon Parcé
1 dans la collection d'IBM.
- la machine
- l'homme de sciences
Yves Serra, décembre 2009

3. La machine
Comme toute machine à calculer,
- un inscripteur
- un mécanisme à totaliser, soustraire,...
- un affichage des résultats partiels et finaux
Yves Serra, décembre 2009

4. L'inscripteur
Yves Serra, décembre 2009

5. Les engrenages et l'affichage
Yves Serra, décembre 2009

6. Yves Serra, décembre 2009

7. Yves Serra, décembre 2009

8. 6 3
6
3
1 3 7
7 4
L'addition : 63 + 74 = 137
Yves Serra, décembre 2009

9. unités dizaines
Pour ne plus oublier les retenues : le sautoir
Yves Serra, décembre 2009

10. Yves Serra, décembre 2009

11. livres
sous
deniers
Une machine qui compte en base 12, 20, 10
Yves Serra, décembre 2009

12. Pour passer de l'addition à la soustraction,
- la chute du sautoir est irréversible
- les roues de l'engrenage ne peuvent pas tourner à l'envers
...
Yves Serra, décembre 2009

13. 0 0 0 1 3 7
9 9 9 8 6 2
la soustraction par le complément à 9
Yves Serra, décembre 2009

14. 9 9 9 8 5 6
0 0 0 1 4 3
inscrire 999856 pour voir apparaître 143
la soustraction : 143 - 62
Yves Serra, décembre 2009

15. inscrire 62, ...
999856 + 62 = 999918
9 9 9 9 1 8
0 0 0 0 8 1
la soustraction : 143 - 62 = 81
Yves Serra, décembre 2009

16. Les autres fonctions,
Par principe, l'addition en série est facilement réalisée.
Les séries d'additions et de soustractions également,
si on maîtrise l'art du complément à 9 ...
En revanche, la remise à zéro n'est pas automatique,
elle est facilitée par les rayons marqués.
Pour la multiplication, procéder par additions successives,
ou attendre la machine de Leibniz (1694).
Yves Serra, décembre 2009