Support de la formation donnée aux agents de la médiathèque départementale du Pas-de-Calais en 4 sessions (8 et 9 septembre / 12 et 13 septembre / 3 et 4 octobre / 10 et 11 octobre 2016)
Le développement des services numériques en bibliothèque
1. LE DEVELOPPEMENT DES SERVICES
NUMERIQUES EN BIBLIOTHÈQUE
Anne-Gaëlle GAUDION
Médiathèque départementale
du Pas-de-Calais
8-9 septembre 2016
12-13 septembre 2016
3-4 octobre 2016
10-11 octobre 2016
2. Diaporama mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons
Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 France
LE DEVELOPPEMENT DES SERVICES NUMERIQUES
EN BIBLIOTHÈQUE
1. Enjeux et contexte de la transformation numérique
2. L 'importance de la veille professionnelle
3. Développer des services et des animations avec le
numérique en bibliothèque
3. Remerciements
Les diaporamas de l'ensemble de ce stage doivent
beaucoup aux présentations et/ou blogs de collègues avec
qui je collabore dans le cadre d'autres formations :
Renaud Aïoutz : http://ruralsmart.net/
Lionel Dujol : http://fr.slideshare.net/hulot
Lionel Maurel : http://scinfolex.wordpress.com
Silvère Mercier : http://www.bibliobsession.net/
Thomas Fourmeux : http://biblionumericus.fr/
Christophe Robert : http://fr.slideshare.net/Aspergillus1
Alice Bernard : http://geekstardust.blogspot.fr
Xavier Galaup : http://fr.slideshare.net/xgalaup
Thomas Chaimbault : http://www.vagabondages.org/
Franck Queyraud : http://fr.slideshare.net/memoire2silence
Julien Devriendt : http://www.animtic.fr/#bloganimtic
5. « Petite Poucette est née au début des années 1980. Elle a
une trentaine d'années aujourd'hui. Les gens comme moi,
nés d'avant l'ordinateur, nous travaillons AVEC lui. Nous
sommes en dehors de l'ordinateur. Petite Poucette, elle, vit
DANS l'ordinateur. Pour elle, l'ordinateur n'est pas un outil,
mais fait partie de ses conditions de vie. Elle est sur
Facebook, les réseaux sociaux, son téléphone est branché
avec elle… »
Michel Serres :
"Ce n'est pas une crise, c'est un
changement de monde"
6. Le terme “Digital Native” suggère à tort que les jeunes savent intuitivement comment
utiliser les nouvelles technologies. Cela perpétue la perception de certains parents,
enseignants et politiques, et fait qu’on omet d’intégrer dans les parcours scolaires la
transmission de compétences essentielles.
Les jeunes ont tendance à surestimer le niveau de leur compétence numérique.
Les évaluations pratiques montrent que si leur confiance en eux-mêmes est forte, leur
compétence dans l’usage des ordinateurs et d’internet est loin d’être accomplie.
En utilisant les technologies numériques, les jeunes acquièrent des
compétences du quotidien (usage des réseaux sociaux, de la vidéo, jeux...),
mais n’acquièrent pas les compétences requises sur le marché du travail.
Tous les citoyens devraient avoir la possibilité de développer leurs compétences
numériques et les jeunes ne doivent pas être mis de côté. Si les jeunes n’ont pas
accès à l’éducation numérique d’une manière et formelle et structurée, ils
pourraient ne jamais utiliser à plein le potentiel des nouvelles technologies – en
tant qu’apprenants, employés, entrepreneurs ou citoyens – et devenir une
génération perdue.
L’évidence montre que l’exposition à la technologie ne peut pas équivaloir à
l’aptitude à en faire usage. Dans les faits, un pourcentage substantiel des jeunes
Européens manquent des compétences numériques élémentaires.
Les « digital natives » n'existent pas !
Source : http://rue89.nouvelobs.com/2015/02/21/les-digital-natives-nexistent-257833
26. 38% des français jugent les objets connectés
intelligents et 30% les jugent utiles
Source : étude Deloitte Usages Mobiles 2015
http://www2.deloitte.com/fr/fr/pages/technology-media-and-telecommunications/articles/usages-mobiles-2015.html
27. Source : étude MaisonaPart.com La domotique et les objets connectés 2015
http://www.journaldugeek.com/2015/10/27/infographie-les-10-objets-connectes-preferes-des-francais/
28.
29. Source : Dix tendances tech qui vont bouleverser notre société
http://meta-media.fr/2016/04/05/dix-tendances-tech-qui-vont-bouleverser-notre-societe.html
35. L'économie de l'attention
Sur le web, ce qui est rare,
ce ne sont plus les contenus,
mais le temps disponible
pour les consulter…
A lire :
Pourquoi je suis « ami » avec mes étudiants. Affordance, 31/03/10
36.
37. Le ContentShock ou les dangers de l'infobésité
La surcharge informationelle ou infobésité, désigne le fait que nous avons
tous accès à une multitude de canaux, radio, internet, télévision, portable,
instantanément et en continu. Nous sommes ainsi pris sous une avalanche
d’informations que nous avons l’impression de pouvoir gérer, sans se rendre
compte que leur nombre nous fait perdre la notion de leur valeur. Et cela n’est
pas sans conséquences.
38. Réseaux sociaux ou médias sociaux ?
Médias sociaux : « les différentes activités
qui intègrent la technologie, l’interaction
sociale, et la création de contenu »
Réseau sociaux :
« points de rassemblement sur internet d’un
groupe d’individus, et qui met à leur disposition
des outils favorisant les échanges entre eux ».
CC BY-NC-ND s.red, Flickr
63. Le développement des MOOCs
Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File%3AMOOC_lamiot_cc_by_sa.jpg
64. Le développement des MOOCs
https://mooc-pole-emploi.fr/
http://flot.sillages.info/
https://openclassrooms.com/
https://fr.coursera.org/
https://www.fun-mooc.fr/
http://www.unow.fr/index.php/realisations
https://fr.khanacademy.org/
https://learnmoodle.enovationsolutions.fr/
74. Un enjeu de taille : la lutte contre l'e-exclusion
Certaines personnes peuvent se retrouver en situation
d’exclusion par rapport à l’outil informatique ou à l’outil internet
pour diverses raisons : âge, handicap, situation géographique,
revenus, environnement culturel, niveau d’éducation etc …On
parle d’e-exclusion pour signifier que ces personnes sont
exclues du monde numérique.
La politique d’e-inclusion vise quant à elle à réduire le fossé
subsistant dans l’utilisation des TIC et à promouvoir ceux-ci pour
vaincre l’exclusion et à améliorer les performances
économiques, les possibilités d’emploi, la qualité de vie et la
participation à la cohésion sociale.
75. Un enjeu de taille : la lutte contre l'e-exclusion
Comment créer une société de l’Information plus inclusive ?
Un certains nombre de facteurs peuvent favoriser une société de
l’information plus inclusive à savoir :
- l’amélioration de l’accessibilité numérique (e-accessibilité) et
l’usage des outils et services liés aux Technologies de
l’information et de la Communication.
- la réduction de la fracture numérique géographique.
- le développement des compétences et l’alphabétisation
numérique (lutte contre l'illectronisme).
76. Un enjeu de taille : l'éducation aux médias et à l'information
84. La littératie numérique, un enjeu pour les bibliothèques ?
Utiliser réfère à l’acquisition de connaissances techniques
permettant d’utiliser aisément l’ordinateur ou l’Internet.
Ces acquis sont les aptitudes et compétences de base constituant
un savoir-faire essentiel – utiliser, par exemple, des programmes
informatiques tels comme les logiciels de traitement de texte, les
navigateurs Web, le courriel électronique, les réseaux sociaux et
d’autres outils de communication – qui doit progressivement
atteindre un calibre de plus haut niveau pour nous permettre d’avoir
accès et d’utiliser des ressources d’information comme les
moteurs de recherche et les bases de données en ligne, de même
que les technologies émergentes comme le cloud computing.
Source : http://habilomedias.ca/principes-fondamentaux/quest-ce-que-leducation-aux-medias
85. La littératie numérique, un enjeu pour les bibliothèques ?
Comprendre, c’est acquérir un ensemble de compétences pour
saisir, mettre en contexte et évaluer avec circonspection les
médias numériques de manière à pouvoir prendre des
décisions éclairées sur nos agissements et nos découvertes
en ligne. Ce sont là des compétences essentielles qu’il nous faut
enseigner à nos enfants dès leurs premières expériences de
navigation sur le Net.
Comprendre signifie également savoir reconnaître de quelle
manière les nouvelles technologies agissent sur notre
comportement et nos perceptions, nos croyances et nos sentiments
vis-à-vis du monde qui nous entoure.
Comprendre nous prépare à appréhender une économie du
savoir pendant que nous faisons l’acquisition – au plan individuel
et collectif – d’aptitudes en gestion pour trouver, évaluer et utiliser à
bon escient l’information et ce, dans un but de communication, de
collaboration et de solution de problèmes.
Source : http://habilomedias.ca/principes-fondamentaux/quest-ce-que-leducation-aux-medias
86. La littératie numérique, un enjeu pour les bibliothèques ?
Créer, c’est savoir produire des contenus et communiquer
efficacement en utilisant divers outils et médias numériques.
Créer à partir de médias numériques exige des connaissances
dépassant largement l’utilisation du simple traitement de texte ou la
rédaction d’un courriel électronique : il faut savoir adapter son produit
selon le contexte et le public cible ; créer et communiquer via des
médias complexes et conjuguant, par exemple, l’image, le son et la
vidéo ; utiliser de manière efficace et responsable le contenu généré
par les utilisateurs et le Web y compris les blogs et les forums de
discussion, le partage de photos et vidéos, les jeux sociaux et autres
formes de médias sociaux.
→ Former la population à créer à partir de médias numériques,
c’est lui assurer le droit de jouer pleinement son rôle de citoyen
contribuant activement à la société numérique. La création est
au cœur de la citoyenneté et de l’innovation.
Source : http://habilomedias.ca/principes-fondamentaux/quest-ce-que-leducation-aux-medias
88. La veille : une activité incontournable
→ pour connaître son environnement
(technique, humain, institutionnel)
→ pour entretenir et développer ses
connaissances et compétences
→ pour être conscient des tendances et
les anticiper
→ pour rencontrer, communiquer,
échanger
Aujourd'hui, la veille n’est plus
l’apanage de spécialistes
(documentalistes, journalistes…).
C’est devenu une pratique amateur
L'importance de la veille
125. Par le biais de Scoop.it
http://www.scoop.it/t/bibliotheques-et-tablettes
http://www.scoop.it/t/numeriqueetbibliotheques
Diffuser et partager sa veille
128. Quelques sources pour développer sa culture numérique :
http://www.netpublic.fr/
http://cursus.edu/
http://www.educavox.fr
http://www.culture-numerique.fr
http://www.blogdumoderateur.com/
http://www.begeek.fr/
http://binaire.blog.lemonde.fr/
http://www.lemonde.fr/pixels/
http://www.internetactu.net/
http://meta-media.fr/
http://outilscollaboratifs.com
http://www.outilsfroids.net/
http://www.franceculture.fr/emissions/soft-power
http://www.franceculture.fr/emissions/la-vie-numerique
http://www.savoirscom1.info/
http://affordance.typepad.com/
http://www.bibliobsession.net
http://biblionumericus.fr
https://espacenumeriqueaulnay.blogspot.fr/
Faire sa veille sur Facebook en suivant des pages :
https://www.facebook.com/biblismart/
https://www.facebook.com/Veille-sur-les-bibliothèques-674286565962552/
https://www.facebook.com/veilledoc/
https://www.facebook.com/bibliobsession/
https://www.facebook.com/Format-Biblio-287160991673549/
https://www.facebook.com/bulletin.des.bibliotheques.de.france/
129. Diffuser et partager sa veille sur les réseaux sociaux à
partir d'outils d'automation / de dissémination
Source : Le marketing automation pour les fauchés / blog La fabrique à idées (médiathèque de la Canopée - La
Fontaine)
130. Diffuser et partager sa veille sur les réseaux sociaux à
partir d'outils d'automation / de dissémination
131. Diffuser et partager sa veille sur les réseaux sociaux à
partir d'outils d'automation / de dissémination
132. Diffuser et partager sa veille sur les réseaux sociaux à
partir d'outils d'automation / de dissémination
133. Diffuser et partager sa veille sur les réseaux sociaux à
partir d'outils d'automation / de dissémination
134. Diffuser et partager sa veille sur les réseaux sociaux à
partir d'outils d'automation / de dissémination
135. Pour conclure, quelques conseils :
→ Ne pas sous estimer l'analyse des besoins :
il est nécessaire de réévaluer régulièrement les sources
sélectionnées
→ Ne pas arrêter le processus à la collecte d'informations :
sans analyse, pas de réflexion sur les méthodes de diffusion
→ Ne pas penser que tout est affaire de technologies :
la veille c'est aussi des discussions (salons, journées d'étude),
des rencontres, des documents sous forme matérielle...
→ La veille doit servir à la prise de décision :
elle doit donc répondre aux attentes des décideurs, dans la
forme et le contenu
136. Diaporama mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons
Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 France
LE DEVELOPPEMENT DES SERVICES NUMERIQUES
EN BIBLIOTHÈQUE
1. Enjeux et contexte de la transformation numérique
2. L 'importance de la veille professionnelle
3. Développer des services et des animations avec le
numérique en bibliothèque
137. Développer des services numériques
Source : http://fr.slideshare.net/floragousset/panorama-du-numrique-en-bibliotheque-46140565
138. Développer des services numériques
http://www.netpublic.fr/2014/12/5-guides-pour-innover-avec-le-numerique-et-les-publics/
139. définir sa présence web
http://www.flickr.com/photos/carolinegagne/4755663402
Développer sa présence en ligne
140. Parmi la masse de contenus disponibles sur
Internet, cela devient de plus en plus difficile
pour l’internaute de trouver le contenu
pertinent qu’il recherche et par conséquent
votre site Internet, surtout si celui-ci ne met
pas en place une vraie stratégie de présence
en ligne.
Benjamin Romei, Consultant - http://blueboat.fr
Développer sa présence en ligne
141. «La médiation numérique des savoirs est une
démarche visant à mettre en œuvre des
dispositifs de nature techniques, éditoriaux ou
interactifs pour favoriser l’accès organisé ou
fortuit, l’appropriation ou la dissémination de
contenus à des fins de diffusion des savoirs et
des savoir-faire.»
Source : Silvère Mercier
Développer la médiation numérique des savoirs
143. par un responsable
documentaire, qui
connaît les contenus
pratique la veille
est formé à l'écriture
web
+ animation d'ateliers
pour des services
(du local au distant)
production/médiation
de contenus
recommandations
produits docs
médiation
d'accompagnement
< de formation
qui maîtrise les outils
d'éditorialisation
de mutualisation
de dissémination
(flux RSS, réseaux
sociaux)
la médiation
numérique
Développer la médiation numérique des savoirs
167. Développer de nouvelles formes de médiation
Bibliotube : les usagers parlent de la bibliothèque !
https://www.youtube.com/playlist?list=PLGbJwuJp8X72oZyZZx7I8jTY_Zmql0187
168. La chanson inavouable : mieux connaître les bibliothécaires !
http://www.dailymotion.com/playlist/x2w2br_bibliothequegrenoble_chanson-inavouable/1#video=x1ju03l
Développer de nouvelles formes de médiation
170. Ouvrons le carton : une présentation originale de sélections documentaires
https://www.youtube.com/channel/UCKa0zHKrfGQNwP8RJ5dYd3w
Développer de nouvelles formes de médiation
171. Louise & Michel : une présentation originale de la programmation culturelle
https://www.youtube.com/channel/UCKa0zHKrfGQNwP8RJ5dYd3w
Développer de nouvelles formes de médiation
172. La bibliothèque des
savoirs de Languidic en
partenariat avec le réseau
d'échanges et de partage
des compétences
Steeple.fr
Vous parlez très bien anglais mais voudriez
apprendre l'informatique ?
Trouvez quelqu'un parmi les adhérents de la
médiathèque qui veut apprendre l'anglais et qui
est doué en informatique !
Comment faire ? Inscrivez-vous sur notre
communauté en ligne Steeple :
https://www.steeple.fr/mediatheque-languidic/join
Développer de nouvelles formes de médiation
175. Source : blog BiblioNumericus
http://biblionumericus.fr/2016/03/14/overdrive-media-station-interface-de-mediation-des-ressources-numeriques-en-bibliotheque/
Développer de nouvelles formes de médiation
182. Le guide complet : http://moisdumultimedia.paysdevitre.org/wp-content/uploads/Guide-technique-complet.pdf
Développer de nouvelles formes de médiation
186. Mise en scène
de la BiblioBox
à la
bibliothèque de
Nancy
Développer de nouvelles formes de médiation
187. Une Bibliobox est un outil de stockage et partage de documents. Elle est
dérivée de la Piratebox, qui permet aux usagers, en plus du téléchargement,
de déposer eux-mêmes des fichiers. Elle a une portée de 15 à 30 mètres. La
confidentialité est assurée car aucune donnée n’est collectée lorsqu’un
usager se connecte à la Bibliobox. Un module statistique permet de
connaitre le nombre de téléchargement pour chaque fichier.
Développer de nouvelles formes de médiation
193. Le fournisseur Nedap a dévoilé
pour la première fois lors du
congrès de l’ABF 2014 son
nouvel automate dédié aux
tablettes numériques. Ce
distributeur peut contenir 16
iPad.
L’usager utilise sa carte de
lecteur pour déverrouiller et
emprunter une tablette, idem
pour la rendre.
Tablettes à emprunter
196. Le Club des Tablonautes
Identique aux clubs/comités de lecture traditionnels,
l'objectif est de proposer un rendez-vous régulier durant
lequel les usagers viennent présenter les dernières
applications découvertes.
Accompagnement à la découverte d'applications
203. Sélection d’applications pour une animation conte
numérique
Le marchand
de sable
Soledad Bravi
Le Petit
poucet
Lulu et le loup
bleu
Un jeu Lume Ma chenille qui
fait des trous
+ Monument Valley, Machinarium, Botanicula, Hamlet, Samorost ...
Accompagnement à la découverte d'applications
204. Atelier « J'apprends à me servir de ma tablette pour mes études »
On peut faire découvrir des applications que les collégiens, lycéens et
étudiants vont pouvoir réutiliser pour leurs études :
→ applications d’ocerisation pour leur permettre de scanner des
documents et les transformer ensuite en texte manipulable (Prizmo,
Mobile OCR, Scanner avec OCR)
→ applications de bureautique (SmartOffice, Docs To Go, Olive Office)
→ applications pour se construire un écosystème informationnel
(Evernote, Diigo, Pocket, Instapaper)
Prizmo Mobile OCR SmartOffice Docs To Go Evernote Diigo
Accompagnement à la découverte d'applications
205. Les applications dédiées à l'accompagnement scolaire et à la
préparation des examens sont très peu connues des
adolescents. Les bibliothécaires médiateurs ont un rôle important
à jouer dans la sélection et la médiation de ces applications.
S'entrainer tout au long de l'année
Accompagnement à la découverte d'applications
Atelier « S'entrainer et réviser »
DigiSchool
Orthographe
Kartable Nomad Education Mathway Itooch College
50 languages Busuu Antidote Ardoise 2
Orthofolie
206. Sélection Brevet des collèges
Accompagnement à la découverte d'applications
Atelier « S'entrainer et réviser »
IFSI
DigiSchool
Sélection Baccalauréat
DigiSchool
Sélection Préparation concours d'entrée dans les grandes écoles
DigiSchool Nomad Education
Nomad Education Nomad Education
Puissance 11
207. Les adolescents sont souvent peu informés des choix
d'orientation qui existent. Des applications peuvent leur
permettre de trouver leur voie … Mais cet atelier est aussi
pertinent à mettre en place pour les demandeurs d'emploi ou les
personnes en démarche de reconversion.
Accompagnement à la découverte d'applications
Atelier « Orientation professionnelle »
Ecoles Orientation Métiers d'enVIE Onisep
Onisep Nomad Education
208. Afin de proposer des animations « différentes » autour du
jeu vidéo, il est proposé des séances de jeu à plusieurs
sur une seule tablette. Il s'agit soit de jeux collaboratifs où
tous les joueurs doivent atteindre ensemble un but, soit de
jeux d'opposition.
Badland King of Opera Fruit Ninja Spaceteam
OLO Lub vs Dub Bang Bam Fu
Accompagnement à la découverte d'applications
Atelier « Jouer à plusieurs sur une tablette »
209. Que la bibliothèque propose ou non des jeux de société,
il semble pertinent de faire découvrir une sélection de
jeux de société adaptés sur tablettes. Ce sont souvent
des jeux multijoueurs qui permettent de créer un temps
convivial.
Catane L'île interditeTicket to ride Agricola Carcassonne
Accompagnement à la découverte d'applications
Atelier « Je joue à des jeux de société sur tablettes »
Splendor
210. Présentation Le jeu vidéo en bibliothèque : une activité culturelle
http://fr.slideshare.net/angiegaudion/les-jeux-vido-en-bibliothque-une-activite-culturelle-cnfpt-corse-juin-2014
Proposer du jeu vidéo
219. Les animations jeux vidéo
La transmission par les joueurs professionnels
http://www.redbull.com/fr/fr/games/stories/1331640957541/kayane-academy-video
227. Mettre en place des ateliers de création numérique
Face à l'usage traditionnel des technologies
numériques comme outil de communication et
d'information existe un autre usage, dit « créatif » qui
se développe depuis la fin des années 1990 parmi la
population française, dans le cadre des pratiques
de création en amateur.
La bibliothèque publique a tout lieu de
s'approprier cet usage et de le promouvoir
comme un nouveau service innovant et une
manière d'encourager une vision créative de la
culture numérique.
l’économiste Herbert Simon (Wikipédia) datant de 1971 : “Ce que l’information consomme est assez évident : l’information consomme l’attention de ceux qui la reçoivent. Du même coup, une grande quantité d’information créée une pauvreté de l’attention et le besoin de répartir efficacement cette attention entre des sources très nombreuses au milieu desquelles elle pourrait se dissoudre.”
biens public rivaux et non rivaux
http://www.demainlaveille.fr/2010/08/29/infobesite-arretez-avec-ce-non-sens/
Aujourd’hui je reviens à la charge en affirmant encore une fois que l’infobésité relève plutôt du non-sens puisque c’est une caractéristique intrinsèque de l’évolution de l’Homme et de son rapport à la connaissance. Récemment, le New York Times a publié un article invitant ses lecteurs à faire des pauses régulières dans l’utilisation des terminaux électroniques : iPad, Smartphone, Laptop… Selon le journal, le cerveau a besoin d’un temps de repos, (ah bon! je le savais pas!) et ce de manière régulière, pour éviter le burnout, et lui préserver toutes ses capacités de « calcul ».
Or, il faut savoir que déjà, à l’ère des livres, les mêmes problèmes se posaient aux utilisateurs et lecteurs : comment éviter les maux de tête et la fatigue pour trouver, lire et exploiter les bonnes ressources documentaires ? Robert Burton, dès 1621
C’est plutôt la conscience du fait qu’on a une capacité limitée de consommation qui nous « oblige » à s’organiser pour éviter de tomber dans l’excès (sauf exception bien sûr).
en effet : plusieurs réseaux sociaux territoriaux. commenter le slide, montrer le diversité, insisiter sur le lien local/global.
attention tout ça ne doit pas faire oublier les communautés locales. Aucune raison pour que les amateurs de musique sur place ne bénéficient pas du travail depublication / repérage / veille de la communauté d&apos;intérêt musique !
(ici exemple de peuplade qui localise sur un territoire des communautés d&apos;intérêt = les amamteurs de musique = la peuplade musique.)
Quand on fait de la veille, on doit la diffuser
Il y a 10-15 ans, les personnes puissantes étaient celles qui détenaient l’information et la gardaient pour soi.
Aujourd’hui, les personnes influences sont celles qui partagent l’information
Comment commencer à veiller ?
Trois exemples de portes d’entrée
Blogroll
Liste d’abonnements Twitter d’un compte identifié
Flux RSS recommandés par quelqu’un
Intermédiaires qui recommandent des billets
Rezo.net créé en 1999
Quand on fait de la veille, on doit la diffuser
Il y a 10-15 ans, les personnes puissantes étaient celles qui détenaient l’information et la gardaient pour soi.
Aujourd’hui, les personnes influences sont celles qui partagent l’information
Une rencontre en offre et demande
Je retiens : tout dispositif : physique.numérique
Accés et diffusion organisés ou fortuites
Et donc s’inscrit dans quel espace documentaire ?
médiation numérique doit créer un mouvement à la fois centrifuge (on est invité à sortir du cadre, à voir ailleurs) et centripète (on est invité à exploiter le maximum de ressources présentes sur le portail)
Les collections numériques ne doivent pas être considérées de manière isolée, mais bien dans leurs relations possibles et leurs interactions, l’objectif étant de multiplier les points d’accès aux documents (un document peut appartenir simultanément à plusieurs fonds ou collections numériques, ce qui est rarement le cas dans une bibliothèque physique), et de constituer les ensembles documentaires les plus pertinents possibles en puisant à des sources multiples
Dans une gestion de collection numérique, on ne peut donc pas mener une tâche sans avoir la vision d’ensemble de la chaîne de traitement des contenus, de la production à l’accès. Dans le cas de la répartition des tâches sur plusieurs équipes, une contractualisation accrue est nécessaire : les équipes doivent s’entendre sur un vocabulaire commun, des indicateurs qui leur permettent d’évaluer et de manipuler la collection conjointement, et prendre des engagements sur les tâches à effectuer dans un certain délai pour que les autres tâches dépendantes puissent être conduites.
le concept de collection numérique reste valide dans la mesure où les pratiques professionnelles lui donnent une cohérence et un sens. Cela est vrai lorsqu’on envisage les possibilités multiples offertes par le numérique d’établir des passerelles entre les gisements documentaires, et par le travail en concertation. Cela est encore vrai à considérer l’activité centrale de gestion de la collection numérique, activité encore jeune mais dont on sait déjà qu’elle mobilise des compétences particulières et nécessite des outils adaptés. Pour autant, il s’agit bien d’une activité qui relève pleinement du métier de bibliothécaire, dans la continuité des savoir-faire existants sur les collections traditionnelles, et en articulation avec eux
Rappelons ce principe élémentaire de notre métier et qui s&apos;applique tout autant aux ressources numériques que physiques : on ne produit ni ne diffuse des contenus pour produire et diffuser des contenus mais bien pour les mettre en relation avec des gens. A tout projet de médiation numérique sera par conséquent associé, au préalable, ce double questionnement : quels types de contenus numériques diffuser (au regard des moyens techniques, humains et organisationnels en présence) et quelles forme(s) et niveau(x) de médiation adopter (en fonction des publics visés et de leurs usages médiatiques) ?
On ne produit pas du contenu pour produire du contenu
= Pour être &quot;branché numérique&quot;, effet de mode, avoir son portail
On ne produit pas du contenu &quot;ex nihilo&quot;, à partir de rien, déconnecté des autres contenus = intégrés à la poldoc
Définir la médiation numérique, pour quoi faire ?
Ce travail de définition contribue à construire une identité professionnelle pour les personnes chargées d’accompagner les usages des technologies, services et médiasnumériques. Ces personnes peuvent être,
des professionnels spécialement affectés à cette mission : animateurs-trices multimédia dans des lieux d’accès publics à internet ou Espaces publics numériques, intervenants vacataires d’ateliers d’initiation,formateurs-trices intervenants auprès de publics en insertion sociale ou professionnelle, …
des personnes exerçant occasionnellement ce rôle dans le cadre de leurs fonctions professionnelles ou bénévoles : bibliothécaires, médiateurs-trices culturels, conseillers d’insertion, assistant-ede vie auprès de personnes âgées, éducateurs-trices auprès de personnes handicapées, …
La médiation numérique : un enjeu d’équité
Dans une société dite « de l’information » ou « de la connaissance », une maîtrise minimum des outils technologiques (ordinateur, guichets et bornes automatiques, téléphone mobile, etautres assistants numériques), compétences informationnelles pour se repérer dans la masse d’informations disponibles, de même qu’un rudiment de culture générale sur le numérique (principes defonctionnement des réseaux, éco-système des médias numériques, règles éthiques et juridiques, ...), tendent à devenir des compétences nécessaires pour exercer une citoyenneté de pleindroit.
Le fossé numérique, qui caractérise les disparités d’accès et d’utilisation de l’informatique et de l’internet, prend selon les spécialistes 3 dimensions :
générationnel : en fonction de l’âge
social : selon le niveau de revenus
culturel : selon le niveau d’instruction
On compte parmi les publics prioritaires des actions de médiation numérique :
les personnes âgées de plus de 55 ans,
personnes à faible revenus (revenus mensuels du ménage inférieur à 1.500 €)
femmes au foyer avec pas ou peu d’expérience professionnelle
femmes seules avec enfants (famille monoparentale)
chômeurs de longue durée
professions peu qualifiées, travailleurs manuels
personnes ayant un faible niveau d’instruction (Brevet ou fin de collège et moins)
personnes en situation d’illettrisme
personnes handicapées
Accompagner vers l’autonomie : apprendre à apprendre, plutôt que des procédures
La médiation numérique doit permettre aux publics d’exercer un choix et un regard critique sur les systèmes technologiques qu’ils apprennent à utiliser. Pour cela, il estindispensable que les savoirs procéduraux soient complétés par la construction de compétences informationnelles (ex : capacité à trouver l’information recherchée sur le net ou dans une base dedonnées) et de compétences stratégiques (ex : capacité à choix l’outil le mieux adapté pour effectuer une tâche précise ou obtenir un résultat particulier).
Internet Archive : sur un serveur OAI, donc moissonnable.
Youtube le premier moteur de recherche musical, même dans des domaines de niche (introuvables en musique électroacoustique, par ex)
Possibilité d’intégrer des players audio légalement : Spotify, FreeSound, BandCamp