64. .
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“Ce qui doit paraître étonnant… de faire d’un monstre tel que Hakem, l’objet
de leurs adorations et de leur culte.
Il n’y a aucune vraisemblance que Hamza eût jamais réussi à établir une
croyance si insensée, s’il n’eût trouvé les esprits préparés depuis longtemps à adopter
ses dogmes”(92)
.
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Exposé de la Religion des Druzes, Introduction p. IV. )(
138. «)(
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:
“Il est facile de reconnaître… que les druzes ne sont pas éloignés de la
doctrine des Motazales, en ce qui concerne les attributs de Dieu…
Les druzes ont encore beaucoup d’affinité avec les Motazales en ce qui
concerne la doctrine du libre arbitre”(112)
.
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Exposé de la Religion des Druzes, p. 13-14. (١١٢)
152. »«»«.
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“Il n’est pas nécessaire qu’un être qui donne possède ce qu’il donne… l’être
qui donne doit être considéré comme supérieur à ce qu’il donne… l’être primitif est
au delà des êtres qui viennent après lui. L’être qui donne est au delà de ses dons, il
leur est supérieur”(156)
.
:
“Le principe n’est rien de ce dont il est le principe, rien ne peut être affirmé de lui, ni
l’être, ni la substance, ni la vie. Mais c’est qui est supérieur à tout cela”(157)
.
Les Ennéades (VI, VII, 7). )(
Les Ennéades (III, VIII, ch. 10). )(
153. :
“Il n’est pas même être, mais le générateur de l’être”(158)
.
“Il es au-delà de l’essence”(159)
.
.
“La première de toutes choses, doit être au delà de l’intelligence. S’il pensait,
il ne serait pas au delà de l’intelligence, mais serait intelligence” (V, 3, 11, p. 65).
“L’un est au delà de la connaissance, comme il est au delà de l’intelligence, il
n’a pas plus besoin de la connaissance que de nulle autre chose” (V, 3, 12, p. 66).
:
“Il ne faut en dire ni ceci, ni cela, mais ce sont nos propres sentiments qu’il
faut essayer d’annoncer par nos paroles” (VI, 9, 3, p. 176).
:
“Il faut nous pardonner si, en parlant de lui, nous sommes forcés d’employer
des mots que nous ne voulons pas employer en toute rigueur” (VI, 8, 13, p. 151).
Les Ennéades (V, II, ch. 1). )(
Les Ennéades (VI, VIII, ch. 9). )(
154. “En réalité, aucun nom ne lui convient, pourtant, puisqu’il faut le nommer, il
convient de l’appeler l’Un” (VI, 9, 5, p. 178). “L’Un n’est pas une certaine chose dont
on dit ensuite Un… dire qu’elle est une, ce n’est pas point lui attribuer un prédicat,
mais nous la désignons même autant qu’il est possible” (II, 9, 1, p. 111).
»«
(l’Un)
:
“Le nom d’Un ne convient peut être rien que la négation de multiples” (V, 5,
6, p. 98).
“Le Bien”“Cause de
la cause”.
“Nous appelons Bien que nous ne pouvons pas le désigner autrement, le Bien
n’est genre de rien” (VI, 2, 7, p. 117).
“Nous dirons qu’il est une cause, mais c’est attribuer un accident non pas à lui,
mais à nous” (VI, 9, 3, p. 176).
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155. :»
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:
“Car puisque la nature de l’Un est génératrice de tout, elle n’est rien de ce
qu’elle engendre, elle n’a qualité, ni quantité… elle n’est pas dans le lieu ni dans le
temps”(164)
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Les Ennéades (VI, IX, ch. 3). )(
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172. .
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:
“Dieu… prit toute la masse des choses visible, qui n’était pas en repos, mais se
mouvait sans règle et sans ordre, et la fit passer du désordre à l’ordre, estimant que
l’ordre était préférable à tous égards”(19)
.
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:
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)(.Timée 29, ch 35b
)(/..
173. “Pour la former, il prit la substance indivisible et toujours la même, et la
substance divisible qui devient toujours, et. en les combinant, il en fut une troisième
intermédiaire”(21)
.
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.
:
“Pour les autres espèces d’animaux, comme il ne pouvait les façonner lui-
même sans les rendre égales aux dieux, il chargea les dieux subalternes de les former
en mêlant le mortel à l’immortel”(23)
.
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)(:Timée 34, ch. 25a
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)():(Notice sur le Timée, p. 384.
174. «)(
PhilèbeCause de la cause
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180. “Quiconque a vu l’ensemble de cette puissance à multiples faces l’appelle
substance, en tant qu’elle est un sujet à déterminer mouvement, en tant qu’elle voit la
vie qui est en elle; repos, en tant qu’elle est dans le même état; altérité et aussi
identité, en tant que les êtres intelligibles pris ensemble forment une unité”(42)
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181. :».
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:
“Suspendues à l’unité et communiquant entre elles par leur extrémité
supérieure… se projettent ça et là, comme une lumière qui arrive près de la terre, se
distribue dans nos maisons bien qu’elle ne soit pas fragmentée et qu’elle n’en soit pas
moins une”(47)
.
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182. .
:
“A nous tous, nous ne faisons qu’un être. Mais nous ignorons cette unité parce
que nous regardons hors de l’être dont nous dépendons. Nous sommes tous une tête à
plusieurs visages tournés vers le dehors tandis qu’elle se termine ver le dedans par un
sommet unique.”(48)
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184. .
“Puisque le bien n’existe pas seul, il y a nécessairement dans la série des
choses qui sortent de lui, ou si l’on veut, qui en descendent, un terme dernier après
lequel rien ne peut plus être engendré, ce terme c’est le mal.. telle est la nécessité de
mal”(53)
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189. .
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:
“Le système de deux principes n’est pas même, étranger à la religion des
Druzes puisqu’on y trouve partout un rival puissant opposé à l’Intelligence
universelle, un véritable Ahriman en opposition avec cette créature immédiate de
Dieu, avec cet autre Ormuzd, source de toute bonté et de toute science”(70)
.
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)(.
Exposé de la Religion des Druzes, Introduction p. XXVII. )(
413. :
“Pour entrer dans la race des dieux, cela n’est pas permis à qui n’a pas été
philosophe et n’est point parti entièrement pur, ce droit n’appartient qu’à l’ami du
savoir”(46)
.
.
:
“Elles sont emprisonnées, dans des natures qui correspondent à la conduite
qu’elles ont eue pendant la vie… par exemple ceux qui se sont a bondonnés à la
gloutonnerie, à la violence, à l’ivrognerie sans retenue entrent naturellement dans des
corps d’ânes et des bêtes analogues… et ceux qui on choisi l’injustice, la tyrannie, la
rapine entrent dans des corps de loups, de faucons, de milans…pour les autres aussi, il
est facile de voir où chacun d’eux va, en accord avec ses propres habitudes… Ceux
d’entre eux qui son les plus heureux et qui vont à la meilleure place sont ceux qui ont
pratiqué la vertu civile et sociale qu’on appelle tempérance et justice, et qui leur est
venue par l’habitude et l’exercice, sans philosophie ni intelligence… Il est naturel
qu’ils reviennent dans une race sociale et douce comme eux, comme celle des
abeilles, des guêpes, des fourmis, ou qu’ils rentrent dans la même race, la race
humaine où ils engendreront l’honnêtes gens”(47)
.
Phèdre
Phédon 81 d-82 b, page 136. )(
Phédon 81 d-82 b, page 136. )(
414. .
.
:
“En effet, aucune âme ne revient au lieu d’où elle est partie avant dix mille
années, car elle ne recouvre pas ses ailes avant ce laps de temps, à moins qu’elle n’aît
l’âme d’un homme qui ait cherché la vérité avec un cœur simple ou qui ait aimé les
jeunes gens d’un amour philosophique. Alors à la troisième période de mille ans, si
elle a embrassé trois fois de suite ce genre de vie, elle reprend ses ailes et retourne
vers les dieux après la trois millième année. Pour les autres… elles subissent un
jugement… les unes et les autres reviennent pour prendre part à un nouveau
partage… Alors l’âme d’un homme entre dans le corps d’une bête, et l’âme d’une
bête entre les corps d’un homme, pourvu qu’elle ait été déjà un homme”(48)
.
.
.
.
»«
:
Phédon 248 e-249 d, page 128. )(
415. “Il ne faut pas non plus d’ailleurs rejeter l’argument qui prescrit d’avoir égard,
pour chaque être, non pas à sa situation actuelle, mais aux périodes antérieures et
aussi à son avenir. Par là s’établit la justice distributive, de ceux qui étaient maîtres
dans une vie antérieure, elle fait des esclaves, s’ils ont été de mauvais maîtres… ceux
qui ont mal usé de leur richesse deviennent des pauvres… ceux qui ont tué
unjustiment sont tués à leur… ce n’est pas par une rencontre accidentelle de
circonstance qu’on est esclave, prisonnier de guerre, ou que l’on subit des violences,
c’est que l’on avait commis autrefois les actes dont on est maintenant la victime, qui a
tué sa mère, renaître femme pour être tué par son fils, qui a vilonté une femme
deviendra femme pour être violentée”(49)
.
»«Phédon
.
“Maurice de Gandillac”:
“Quiconque a venu au niveau de la bête retombera nécessairement dans un
corps d’animal et ceux qui ont mené une vie de plante se réincarneront dans le règne
végétal”(50)
.
»«
Les Ennéades (III, 2, ch. 13). )(
La sagesse de Plotin p. 77, voir les Ennéades (III, 4, ch. 2). )(
503. .
»«
.
.
.
:
“Si les sensations aident à la connaissance, c’est chez l’ignorant qui a le
malheur d’avoir oublié et non chez celui qui n’a ni besoin ni oubli”(58)
.
:
:
“C’est donc en s’intériorisant que l’âme a la connaissance de tout”(59)
.
:
Les Ennéades (IV, IV, ch. 29). )(
Pour connaître la pensée de Plotin, Massé-Bastide, p. 50. )(
504. “Elles imposent des limites et une mesure à nos désirs et à toutes nos passions,
elles nous délivrent de nos erreurs”(60)
.
:
“En se séparant du corps l’âme se recueille en elle- même. Elle est à fait
impassible, elle ne sent plus que les plaisirs indispensable… elle ne sent plus les
souffrances… elle désire le boire et le manger pour satisfaire les besoins du corps et
nos pour elle-même”(61)
.
:
“De même, l’esprit mettant un voile sur les autres choses et se recueillant en
son intimité, contemple sans rien voir une lumière qui n’est pas autres chose en autre
chose, mais qui est pure en elle-même et lui apparaît d’un coup”(62)
.
.
.
.
.
Les Ennéades (I, II, ch. 2). )(
Les Ennéades (I, II, ch. 5). )(
Les Ennéades (V, V,, ch. 7) . )(
505. .
.
»«
»
...
«)(
.
:
“Il faut s’éloigner de la science et de ses objets, il faut abandonner toute autre
contemplation même celle du Beau. L’âme doit être dépourvue de formes pour qu’il
ne s’y loge aucun obstacle qui l’empêche d’être remplie et éclairée par la nature
première”(64)
.
.
)(»«.
Les Ennéades (VI, IX, ch. 6 et 7). )(