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L'APPRENTISSAGE,
VOIE ROYALE POUR
L'EMBAUCHE
LE DYNAMISME ÉDUCATIF
DES RÉGIONS
RÉFORME DE LA TAXE:
LES NOUVEAUTÉS 2015
TAXE D’APPRENTISSAGE
2 0 1 5
©BARTEKSZEWCZYK
G U I D E
www.ines-expertise.fr
34 boulevard Haussman 75009 PARIS
COMPTEZ SUR L’UNE DES MEILLEURES
ÉCOLES PRÉPARATOIRES
AUX MÉTIERS DE L’EXPERTISE COMPTABLE ET DE L’AUDIT
DCG - DSCG - DEC
L’INES FORME
CHAQUE ANNÉE
PRÈS DE 550 ÉTUDIANTS,
VOS FUTURS
COLLABORATEURS
É D I T O
Elle en a fait du chemin depuis sa
création en 1925. La presque
centenaire taxe d’apprentissage
donne chaque année du fil à
retordre aux chefs d’entreprise qui,
par manque de connaissance ou
d’intérêt, ignorent à qui reverser
cet argent.
Elle se présente cette année sous
un nouveau jour qui change un peu
la donne financière et que ce
hors-série tente d’expliciter au
mieux. Avec, en toile de fond, le but fixé par le gouvernement :
développer l’apprentissage pour atteindre l’objectif de 500000
apprentis en France d’ici 2017. Si la réforme a modifié la répartition
des sommes versées (51% de fraction régionale, 26% pour le quota
et 23% pour le barème) et augmenté le montant total (0,68% de la
masse salariale brute au lieu de 0,5% l’an dernier), elle n’a en
revanche pas touché au point qui constitue la singularité de cet
impôt : la possibilité de choisir une partie de son affectation.
L’occasion, pour un dirigeant, d’accompagner l’école de son quar-
tier, celle qui vient d’ouvrir, celle qui connaît des difficultés, celle
d’où sont sortis diplômés ses employés, celle qui permettra de
compléter les équipes… Et d’encourager ainsi l’apprentissage,
formule de plus en plus appréciée des jeunes et des recruteurs.
Ces derniers sont en effet 82% à juger le contrat d’apprentissage
« fidélisant », valeur importante dans une société où tout va trop
vite. Si les filières traditionnelles (métiers de bouche, artisanat…)
demeurent les principales pourvoyeuses de contrats, les écoles
supérieures sont de plus en plus nombreuses à proposer des offres
en alternance permettant ainsi à de futurs ingénieurs ou cadres
de mettre un pied dans la vie active. Et de conforter ce chiffre
optimiste : 60% des apprentis décrochent un emploi en CDI à
l’issue de leur formation.
Pascal Lasserre
Directeur Délégué Emploi & Formation
Réformer pour relancer©DR
3
Édition et Commercialisation : FIGARO CLASSIFIEDS
Direction commerciale : O. Arriat. Tél. 01 76 62 31 73.
Conception et réalisation : Sopress - Presso. Photo de couverture : © Bartek Szewczyk/Fotolia.
Ont collaboré à ce numéro : V. Gardet, M. de Kerimel , R. Gourvennec
Cadre législatif et financier
Le dynamisme des régions
06 _ Un moteur pour la formation
08 _ La collecte : comment ça marche ?
10 _ L'affectation de la taxe
12 _ Payer moins, c'est possible
14 _ Un cadre éducatif adapté
16 _ Île-de-France / L'apprentissage, voie d'excellence
52 _ Rhône-Alpes / En route vers le big data
60 _ Sud-Est / Des experts aux cursus internationaux
64 _ Sud-Ouest / Artisans et techniciens recherchés
72 _ Grand Ouest / Cap sur les métiers d'avenir
78 _ Nord / Le numérique, un secteur qui recrute
82 _ Grand Est / L'apprentissage dépasse les frontières
85 _ Présentation des partenaires
I
II
S O M M A I R E
13
16
64
Fondée en 1949, située au coeur de Paris, à proximité de la tour Eiffel,
Paris ESLSCA Business School, dispose d'atouts exceptionnels dans
l'enseignement supérieur du management : un corps professoral com-
posé de spécialistes de haut niveau, des relations internationales
effectives, l'implication des entreprises dans les études et les stages, une
vie associative et culturelle enrichissante. 14000 anciens élèves
attestent de l'efficacité d'une formation directement adaptée à la vie
des affaires, reconnue par les entreprises.
Paris ESLSCA Business School a développé ces trente dernières années
plusieurs établissements ou programmes périphériques qui constituent
avec elle un groupe d'enseignement supérieur du management de tout
premier plan : 3èmes Cycles spécialisés, Programmes MBA et MBA
Spécialisés, Bachelor (INSAM/BBA), Pôle d'Intelligence Economique
(EGE), Classes Préparatoires (PCS), Centre de Formation
permanente.
La taxe d’apprentissage ? Basée sur
les salaires bruts versés par les
entreprises contribuables, elle
permet d’assurer le financement des
formations professionnelles et
technologiques. Le point, après la
dernière réforme survenue en 2014.
PAR MARTIN DE KERIMEL
Un moteur
pour la formation
6
©DR
E
lle a été créée en 1925 et concerne une
grande majorité des entreprises fran-
çaises. Pour une année considérée, elle
se calcule sur les salaires bruts versés l’année
précédente, avantages (en nature et en
argent) et pourboires attribués sous forme
de salaires compris. La taxe d’apprentissage
vient d’être réformée. Une constante : elle
est encore et toujours due par les entreprises
qui comptent au moins un salarié et sont
soumises à l’impôt sur les sociétés, voire à
l’impôt sur le revenu au titre des bénéfices
industriels et commerciaux. La réforme 2014
a en fait impacté son taux, qui a augmenté :
de 0,5% à 0,68% de la masse salariale consi-
dérée. Il intègre du même coup l’ancienne
CDA – Contribution pour le développement
de l’apprentissage, conçue jusqu’à présent
pour financer les Fonds régionaux de l’ap-
prentissage et de la formation profession-
nelle. Cependant, le texte de la réforme n’a
pas supprimé un autre des compléments
prévus à la taxe : la CSA (ou Contribution
supplémentaire à l’apprentissage). Ce dispo-
sitif complexe concerne uniquement cer-
taines entreprises, selon des cas précis pré-
vus par la loi (lire par ailleurs). Précision : des
dispositifs légaux permettent aux entreprises
qui « jouent le jeu » de l’apprentissage de
bénéficier d’un certain nombre d’allége-
ments ou d’aides financières. Par ailleurs, la
loi prévoit aussi des cas d’exonération de la
taxe d’apprentissage. Autre précision impor-
tante : comme c’était le cas auparavant, sous
le régime de l’ancien mode de calcul, les
départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et
de Moselle bénéficient toujours de taux
réduits.
Répartition et critères
Véritable contrat de travail, le contrat d’ap-
prentissage s’adresse aux jeunes âgés de 16
à 25 ans. Il en existe à tous les niveaux de
formation, dans tous les cursus. Du Centre
de formation d’apprentis pour les métiers
manuels aux écoles d’ingénieur, les profils
des candidats à l’apprentissage sont extrê-
mement variés. Le gouvernement veut
mieux garantir la qualité des formations et a
mis l’accent sur les qualifications de plus bas
EN CHIFFRES
66,8 %
des nouveaux
apprentis sont
des hommes
18,8 %
des nouveaux
apprentis sont
déjà diplômés à
Bac +2 et plus
Source : 2013 /
Ministère du Travail
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
©DR
INTERVIEW
François Moutot
DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’ASSEMBLÉE
PERMANENTE DES CHAMBRES DE MÉTIERS
ET DE L’ARTISANAT
Quels sont les objectifs
poursuivis par la
réforme de la taxe
d’apprentissage ?
Nous étions favorables
à ce que la taxe
d’apprentissage soit
bien réservée aux
formations essen-
tiellement tournées
vers l’apprentissage.
Il nous semblait
important qu’elle soit
distribuée proportion-
nellement à cet effort
pour l’apprentissage
et aux coûts des
formations concernées.
Aujourd’hui, il n’est pas
certain que le premier
objectif sera tenu. Nous
savons que le second
ne le sera pas.
Pour autant, cette
réforme va-t-elle
dans le sens d’un
développement du
nombre d’apprentis,
objectif évoqué par
le gouvernement ?
Nous avons besoin de
plus de moyens pour
les centres d’apprentis,
la seule porte possible
aujourd’hui pour
développer l’appren-
tissage. Or, les primes
que le président
de la République
avait annoncées au
1er
septembre n’ont
toujours pas été
votées. La réforme n’a
pas été poussée
jusqu’au bout.
Des raisons d’y croire,
malgré tout ?
Si je n’y croyais pas,
je ferais autre chose.
Je crois que nous
avons gagné le défi
de l’opinion publique,
aujourd’hui largement
favorable à
l’apprentissage, mais
aussi le combat
médiatique. Les jeunes
eux-mêmes
comprennent
désormais l’intérêt de
métiers concrets,
rémunérateurs.
Les jeunes
eux-mêmes
comprennent
désormais
l’intérêt de
métiers concrets
niveau. Un temps, François Hollande évo-
quait une barre à atteindre, fixée à 500 000
apprentis à l’horizon 2017 – les chiffres issus
du ministère du Travail font état de 415 000
contrats en cours en France métropolitaine
pour l’année 2013. Pour aller plus loin, l’autre
grand changement introduit par la réforme
de la taxe concerne la répartition de son
montant. Auparavant, il était partagé en
deux catégories : le quota et le barème, aux
parts variables en fonction des années.
Désormais, il sera découpé en trois : le quota
représentera 26% du montant et sera versé
aux Centres de formation d’apprentis, le
barème (23%) sera consacré à la formation
technologique et professionnelle hors-ap-
prentissage et le reste (51%) sera confié aux
régions, qui détermineront elles-mêmes les
choix d’affectation. Autre nouveauté : les
établissements susceptibles d’obtenir des
versements par le barème feront chaque
année l’objet d’une liste édictée par le préfet
de région. Ils devront respecter des critères
établis à l’échelon local, lesquels seront
basés notamment sur la reconnaissance par
l’État, le contrôle de la pédagogie et une
absence de caractère lucratif. L’objectif est
de répartir plus efficacement les très impor-
tantes sommes en jeu : ces dernières années,
le montant total des contributions à l’ap-
prentissage versées par les entreprises fran-
çaises a représenté environ deux milliards
d’euros par an.
EN CHIFFRES
49,3 %
des nouveaux
apprentis ont
signés pour
24 mois
38,2 %
des nouveaux
apprentis ont
rejoint une
entreprise
de moins
de 5 salariés
Source : 2013 /
Ministère du Travail
CSA, VOUS AVEZ DIT CSA ?
La Contribution supplémentaire à l’apprentissage (CSA) vise les
entreprises supérieures à 250 salariés et concerne – notamment –
celles qui ne respectent pas un quota de contrats d’alternance ou de
volontariats en entreprise. Elle est d’un taux variable, en fonction de
l’importance relative de la population salariée de l’entreprise
concernée, entre autres. Parmi les nombreux interlocuteurs possibles
des contribuables, les Chambres de commerce et d’industrie
disposent généralement de services d’information compétents pour
répondre précisément aux demandes de renseignement sur ce point.
7
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
Nationaux ou régionaux,
les organismes de collecte de la taxe
d’apprentissage sont présents sur
tout le territoire. Encore important
cette année, leur nombre sera
bientôt réduit, dans une logique de
rationalisation des procédures.
Explications.
PAR MARTIN DE KERIMEL
La collecte :
comment ça marche ?
8
©DR
L
a limite est fixée au 1er
mars. C’est avant
cette échéance que les entreprises
assujetties à la taxe d’apprentissage
doivent annuellement verser le montant qui
leur est imputable. Dans les régions, les orga-
nismes de collecte de la taxe d’apprentis-
sage (OCTA) répartiront, en respectant les
trois fractions définies par la réglementation,
les sommes concernées. Il existe aussi des
organes collecteurs nationaux : les orga-
nismes paritaires collecteurs agréés (OPCA).
Tournés vers le financement de la formation
professionnelle continue, ils sont aussi sus-
ceptibles de collecter la taxe d’apprentis-
sage, en tant que délégataire d’un OCTA.
Un échange avec les entreprises
Les entreprises conservent une marge de
manœuvre : même si elles passent obligatoi-
rement par un intermédiaire, elles peuvent
aussi décider elles-mêmes de l’affectation
d’une partie de leur taxe, proportion que les
textes désignent sous le vocable de barème.
Si aucun choix n’est exprimé, les instances
dirigeantes de l’OCTA décident elles-mêmes
de l’affectation de ce barème. Comment cela
fonctionne-t-il ? Les OCTA collectent auprès
des entreprises assujetties à la taxe la totalité
des sommes dues. Ils leur adressent à cet
effet un bordereau d’appel de collecte. C’est
sur ce document que les entreprises peuvent
librement désigner les centres, écoles et
autres organismes habilités qu’elles sou-
haitent voir destinataires de leurs verse-
ments. Toute mention préalable de choix
définis par l’OCTA est interdite. Pour faire
face aux dépenses consenties dans l’exercice
de leur mission, les OCTA peuvent prélever
des frais de collecte et de gestion. Ils sont
plafonnés et correspondent à un pourcen-
tage du montant de la collecte : en 2012, 3%
du montant pour une collecte inférieure à 5
millions d’euros, 2,2% pour les collectes entre
5 et 5 millions d’euros, 1,5% pour les collectes
encore supérieures. Pour éviter les conflits
d’intérêt, les administrateurs et salariés des
OCTA n’ont pas le droit d’exercer de fonction
d’administrateur ou de salarié dans les
centres de formation d’apprentis et sections
d’apprentissage. Par ailleurs, les OCTA sont
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
Organismes
collecteurs,
les OCTA
peuvent prélever
des frais de
gestion et
sont soumis
à un contrôle
de l’État.
©DR
INTERVIEW
Philippe Perfetti
DIRECTEUR ADJOINT EMPLOI ET FORMATION
À L’ASSEMBLÉE PERMANENTE DES
CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT
Comment choisir son
organisme de collecte ?
Il en existe au niveau
national et au niveau
régional. Au niveau
national, les organismes
de collecte de la taxe
d’apprentissage
(OCTA) sont adossés
aux organismes
paritaires collecteurs
agréés (OPCA).
À l’échelon régional,
après l’actuel régime
transitoire, il n’y aura
plus qu’un OCTA
régional, piloté par les
chambres consulaires.
Les entreprises devront
choisir un collecteur
unique.
S’adresser à un
organisme régional
apporte-t-il aux
entreprises l’assurance
que le montant de la
taxe sera affecté au
bénéfice de leur
propre territoire ?
Aujourd’hui, 51% du
montant de la taxe
constitue déjà une part
régionale, au bénéfice
des Centres de
formation d’apprentis.
Les sommes en jeu
reviennent au
Trésor Public, sont
mutualisées sur un
compte spécial et
finalement réparties
selon une clé définie
par la loi. La collecte
locale abonde souvent
les centres de
formation régionaux.
Un organisme de
collecte peut-il donner
des conseils aux
entreprises en matière
d’affectation de
la taxe ?
Non : la loi l’interdit
formellement !
Elle impose toutefois
aux entreprises
d’aviser les centres
de formation et
les sections
d’apprentissage
de l’affectation
de leur taxe.
Les entreprises devront
choisir un collecteur unique
tous soumis à un contrôle complet de l’État :
il s’exerce tant sur les procédures de collecte
que sur l’utilisation des ressources collectées.
Des vérifications sur pièces peuvent être
demandées par les inspecteurs sur l’origine
des fonds reçus, ainsi que sur la réalité des
dépenses engagées et la conformité de leur
utilisation. Autre obligation : chaque année,
les OCTA doivent transmettre un rapport
d’activité à différentes autorités publiques,
parmi lesquelles on retrouve le préfet de
région et le président du conseil régional.
Des statuts très diversifiés
Constat d’évidence : rien ne ressemble moins à
un OCTA… qu’un autre OCTA. Aujourd’hui, ces
collecteurs sont de natures très différentes : on
y trouve des fédérations, groupements ou
syndicats professionnels, ainsi notamment que
des Chambres des métiers ou des Chambres
de commerce et d’industrie. Publié en mars
2013, un rapport d’information du Sénat souli-
gnait le nombre toujours croissant de ces
organismes et notait que les dix plus impor-
tants collectaient à eux seuls 51% de la taxe
d’apprentissage prélevée à l’échelon national.
Ce même document évoquait «un dispositif
hétérogène» et pointait du doigt «des procé-
dures d’agrément sources de dérives», du fait
notamment du chevauchement géographique
des OCTA et d’une concurrence entre eux.
Pour les mêmes raisons, le rapport faisait état
de performances de gestion variables en fonc-
tion des organismes de collecte et de contrôles
déficients. Dans le texte : «Le système de liste
préfectorales ne permet pas d’identifier avec
précision les formations et établissements
éligibles. L’administration fiscale ne dispose
pas non plus de l’information relative au paie-
ment de la taxe d’apprentissage ». Sur ces
questions également, les lignes vont donc
bouger. Afin de rendre le système moins com-
plexe, le gouvernement et le législateur ont
en effet prévu, à très court terme, de réduire
drastiquement le nombre d’OCTA.
DES OCTA MOINS NOMBREUX ?
Harmoniser les coûts de formation des apprentis, mais également
rationnaliser les circuits de collecte de la taxe d’apprentissage : la
double tâche est complexe. Pour la mener à bien, le Parlement a
d’abord entendu simplifier les démarches des entreprises
contribuables : à compter de 2016, ces dernières devront verser leur
taxe d’apprentissage à un organisme collecteur unique. La loi du 5
mars dernier prévoit également une réduction drastique du nombre
d’OCTA, de 147 aujourd’hui, selon les derniers chiffres du ministère du
Travail, à moins de 50 fin 2015.
9
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
Une certaine liberté de choix.
La taxe d’apprentissage n’est pas
tout à fait un impôt comme les
autres. L’entreprise contribuable est
libre d’affecter elle-même une partie
de la somme dont elle est redevable.
La dernière réforme n’est pas
revenue sur ce principe.
PAR MARTIN DE KERIMEL
L’affectation
de la taxe
10
©DR
L
a taxe d’apprentissage a changé ! Sa
réforme récente a profondément
modifié les caractéristiques de l’impôt,
même si ce dernier est toujours mis à la
charge des entreprises et calculé sur leurs
masses salariales. Les nouveaux textes modi-
fient très largement les possibilités de choix
d’affectation des sommes versées. Dès la
prochaine collecte, les entreprises contri-
buables vont donc devoir redéfinir la poli-
tique d’attribution de leurs fonds, selon les
nouvelles contraintes. C’est la loi de finances
rectificative pour 2014 qui en dispose :
la taxe d’apprentissage se divise en trois
quotités. Dans le détail : la fraction régionale
pour l’apprentissage (51%), le quota (26%) et
le hors-quota – ou barème – (23%). La régle-
mentation prévoit par ailleurs que chacune
de ces subdivisions du montant total prélevé
est affectée à un usage particulier. Comme
son nom l’indique explicitement, la fraction
régionale est destinée aux régions : elle est
versée par les OCTA au Trésor Public.
Le quota, lui, est dédié aux seuls Centres et
sections d’apprentissage. Enfin, le barème
est destiné à des établissements dispensant
des formations technologiques et profes-
sionnelles initiales, en dehors du dispositif de
l’apprentissage. Complément possible, la
Contribution supplémentaire pour l’appren-
tissage (CSA) est quant à elle réservée aux
Centres de formation d’apprentis.
Un quota à géométrie variable
Avec une date limite de collecte fixée au
1er
mars, les entreprises contribuables qui
versent leurs contributions apprentissage
ont aussi la possibilité de désigner les éta-
blissements d’enseignement qui seront les
bénéficiaires des sommes versées. Sous la
seule réserve que ces derniers soient bien
habilités, les OCTA sont tenus d’exécuter
cette demande. Les versements directs des
entreprises contribuables à un établissement
donné sont et restent strictement prohibés.
Dans le cadre du quota d’apprentissage,
deux situations peuvent être distinguées.
Lorsque l’entreprise-contribuable a embau-
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
Première fraction
de la taxe (51%) :
la fraction
régionale pour
l’apprentissage
ché au moins un apprenti, la loi oblige à
(ou aux) l’organisme(s) de formation concer-
né(s) un concours financier égal au coût réel
de cette (ou ces) même(s) formations, dans
la limite évidemment du quota disponible.
C’est le préfet de région qui, chaque année,
doit publier une liste des coûts par apprenti
des différentes formations dispensées sur
son territoire. S’il ne fait pas l’objet d’une
publication, l’entreprise est néanmoins tenue
au versement d’un montant forfaitaire, fixé
alors par arrêté ministériel. Pour les entre-
prises qui n’accueillent aucun apprenti ou
disposent d’un solde de quota après cette
possible affectation obligatoire, la liberté
d’affectation est totale. La loi prévoit toute-
fois que l’entreprise est tenue d’aviser les
Centres de formation d’apprentis et les
sections d’apprentissage des montants
qu’elle doit ou décide de leur affecter.
Deux sous-catégories pour le barème
Désormais, ces mêmes Centres de formation
d’apprentis et sections d’apprentissage ne
sont donc plus éligibles au barème. La seule
exception subsistante concerne d’éventuels
compléments aux concours financiers, en
cas d’un montant de quota disponible insuf-
fisant pour couvrir les coûts de formation du
(ou) des apprenti(s) accueilli(s) par l’entre-
prise. Par décret, le gouvernement a prévu
également que ce barème devait être réparti
en deux parts, et non plus trois comme
jusqu’à l’année dernière. La première catégo-
rie (dite «A») correspond à 65% du barème,
elle doit financer des formations de niveau V
(CAP), IV (Bac) et III (Bac +2). La catégorie
« B » (35 % du barème) reviendra à des
formations de niveau II (Licence, Bac + 3
et 4) et I (Bac +5 et au-delà).
Précision : les entreprises dont le montant
brut de la taxe d’apprentissage n’excédera
pas 415 euros ne seront pas tenues de suivre
cette répartition.
11
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
TAXE D’APPRENTISSAGE
(0,5 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) :
100 % - QUOTA 57 % + BARÈME 43 %
Quota de 57% :
38% : Financement national du développement et de la modernisation
de l’apprentissage.
62 % : Financement des Centres de formation d’apprentis et sections
d’apprentissage.
Barème de 43% :
40% pour des formations de catégorie A (niveaux IV et V)
40% pour des formations de catégorie B (niveaux II et III)
20% pour des formations de catégorie C (niveau I)
EN COMPLÉMENT…
Contribution pour le développement de l’apprentissage (CDA) :
0,18% de la masse salariale brute.
Contribution supplémentaire pour l’apprentissage :
Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectif
annuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés.
TAXE TOTALE
(0,68 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) :
100% - FRACTION RÉGIONALE 51% + QUOTA 26% + BARÈME 23%
51% de fraction régionale
• Trésor Public – destinée aux régions
Quota de 26% : réparti en
• Contributions obligatoires : Centres de formation des apprentis
accueillis par l’entreprise.
• Solde : affectation libre par l’entreprise, aux Centres de formation
d’apprentis de son choix.
Barème de 23% : formations professionnelles initiales temps plein
65% pour des formations de catégorie A (niveaux III, IV et V)
35% pour des formations de catégorie B (niveaux I et II)
EN COMPLÉMENT…
Contribution supplémentaire pour l’apprentissage :
Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectif
annuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés.
AVA N T
M A I N T E N A N T
L’apprentissage, c’est également,
et malgré la taxe, une possible
aubaine financière : en faisant
le choix d’accueillir un ou
des apprenti(s), l’entreprise s’ouvre
aussi des droits à des aides
financières de l’État. Le point.
PAR MARTIN DE KERIMEL
Payer moins,
c’est possible
12
©DR
L
e contrat d’apprentissage n’est pas
tout à fait un contrat de travail ordi-
naire. L’employeur qui y a recours est
notamment exonéré des charges sociales
afférentes, à l’exception cependant de la
cotisation patronale pour les accidents du
travail et la maladie professionnelle. De la
même manière, la Contribution sociale géné-
ralisée (CSG) et la Contribution au rembour-
sement de la dette sociale (CRDS) ne sont
pas dues. Dans le détail, la législation prévoit
des cas d’exonération partielle. Ne peuvent
bénéficier du dispositif d’exonération totale
que les seuls artisans dûment inscrits
au répertoire des métiers – ou au registre
des entreprises pour trois départements :
Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle –, ainsi que
les employeurs comptant moins de 11 sala-
riés, hors apprentis bien sûr. Depuis janvier
2014, le contrat d’apprentissage peut égale-
ment être accompagné d’une prime. Desti-
née aux entreprises de moins de 11 salariés,
cette dernière remplace l’ancienne indemnité
compensatrice forfaitaire (ICF) : elle est ver-
sée par la région dans laquelle est situé l’éta-
blissement où travaille l’apprenti. Fixé par le
Conseil régional, son montant est au mini-
mum de 1000 euros par année de formation.
Autre disposition : les entreprises soumises
au régime réel d’imposition et qui emploient
un apprenti pendant plus d’un mois peuvent
bénéficier d’un crédit d’impôt. Celles qui,
tous établissements confondus, ont des
effectifs supérieurs à 250 salariés peuvent
aussi toucher une aide financière en
employant plus de 4% de jeunes en contrat
d’apprentissage. Le montant exact de cette
aide dépend aussi du pourcentage précis
d’alternants y ouvrant droit et sur la base
d’un montant forfaitaire de 400 euros par
employé alternant. Son versement suppose
que l’entreprise ait fait une déclaration sur
ses effectifs annuels moyens auprès d’un
organisme collecteur de la taxe. L’aide est
versée dans sa totalité dans les deux mois
qui suivent la réception de la demande.
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
Le versement
par une
entreprise d’un
don en nature
à un organisme
de formation
peut lui permettre
d’alléger le
montant de
sa taxe
d’apprentissage.
©DR
Déduire des dépenses…
Pour réduire le montant de sa taxe d’appren-
tissage, l’entreprise-contribuable peut aussi
utiliser d’autres arguments. Dans la limite
d’un plafond correspondant à un pourcen-
tage de la taxe brute, elle peut ainsi déduire
les dépenses engagées pour l’accueil de
stagiaire. Quelques conditions sont requises :
le stage doit s’intégrer dans un cursus de
formation et être obligatoire en vue de l’ob-
tention d’un diplôme technologique ou
professionnel ; le jeune doit avoir le statut
scolaire ou étudiant ; et une convention de
stage école / élève / entreprise doit être éta-
blie et signée. La déduction se calcule en
multipliant un forfait journalier (fixé à 25 ou
36 euros) par le nombre de jours de stage
effectués. Autre possibilité pour l’entreprise
de « payer moins » : faire un don en nature
d’un matériel neuf ou d’occasion à un orga-
nisme donné, en vue d’un usage pédago-
gique. Pour être prises en compte, ces sub-
ventions doivent être valorisées dans la
comptabilité du donneur et du bénéficiaire,
sur la base d’un calcul fait sur la base du prix
de revient, de la valeur sur inventaire ou de
la valeur résiduelle. Pour que le dispositif
fonctionne, l’établissement récipiendaire
choisi doit bien sûr être habilité à percevoir
la taxe d’apprentissage. Une attestation
d’intérêt pédagogique sera notamment
demandée comme justificatif.
Ne pas oublier…
La loi prévoit un cas d’exonération totale de
la taxe. Il concerne les entreprises qui res-
pectent deux critères précis et cumulatifs :
une masse salariale annuelle brute inférieure
à six fois le SMIC annuel et l’emploi d’un
apprenti au moins durant l’année de réfé-
rence. Calculée sur les salaires de l’année
écoulée, la taxe d’apprentissage est due par
les entreprises avant le 1er
mars de l’année
suivante. Ceux qui ne se seraient pas acquit-
tés des sommes qui leur sont imputables
prennent de gros risques et notamment celui
de devoir payer le double ! En cas de cession
d’activité, de cessation ou de liquidation judi-
ciaire, une déclaration doit être effectuée
dans les 60 jours. Ce délai est porté à six
mois en cas de décès de l’employeur.
ILS N’ONT RIEN À PAYER
De par leur nature, certaines entreprises sont totalement
dispensées du paiement de la taxe d’apprentissage. Cette courte
liste comprend les sociétés et personnes morales dont l’objet
exclusif est l’enseignement, quelle que soit leur forme. Libérés de
toute contribution également, les groupements d’employeurs
composés d’agriculteurs ou de sociétés civiles agricoles,
eux-mêmes exonérés. L’État lui-même, les collectivités territoriales
et leurs divers établissements publics ne sont pas assujettis non
plus, tout comme certains offices publics d’habitat, établis en
établissement public à caractère industriel et commercial.
13
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
Le don en nature - des ordinateurs par exemple - permet
de réduire le montant de la taxe d'apprentissage.
Il souffre parfois d’une image
faussée, comme s’il ne concernait
que les recalés du système éducatif
général. L’apprentissage réunit
pourtant toutes les filières et s’avère
une très bonne voie d’insertion
durable dans la vie active.
Explications.
PAR MARTIN DE KERIMEL
Un cadre éducatif
adapté
14
©DR
L
a France pourrait certainement mieux
faire en matière d’apprentissage.
Nombre d’exemples prouvent en tout
cas que ce contrat de travail alternant
s’adapte parfaitement aux emplois les plus
diversifiés. Cette façon de travailler combine
astucieusement un cursus théorique, dans
un centre de formation d’apprentis, à la fac
ou dans une grande école, avec la mise en
pratique immédiate des compétences
acquises. Elle fait donc aujourd’hui la preuve
formelle de son efficacité, de nombreux
jeunes apprentis s’insérant ensuite rapide-
ment sur le marché du travail proprement
dit, sans passer par la case chômage. Selon
une note publiée en mars dernier par le
ministère de l’Education nationale, 60% des
apprentis trouvent en effet un emploi en
contrat à durée indéterminée à l’issue de leur
formation. Sept mois après, ils sont près de
65%. Côté employeurs, une autre étude
récente établit que le contrat d’apprentis-
sage apporte en général une solution inté-
ressante, à court et à long terme. En termes
statistiques, 82% des employeurs le jugent
« fidélisant » et trois chefs d’entreprises sur
quatre estiment que le coût qu’il représente
est compensé par sa valeur ajoutée.
Différents niveaux de diplômes
Très concrètement, c’est dans son ensemble
que le système éducatif français peut favori-
ser l’apprentissage. Loin de n’être que l’ul-
time bouée de secours destinée aux cancres,
ce type de contrat est aussi tout à fait
adapté aux études supérieures. Pour preuve,
en 2014, et toujours selon les chiffres de
l’Education nationale, près d’un apprenti sur
trois (32,2 %) prétendait à un diplôme à
bac +2 au moins – et jusqu’à bac +5.
L’apprentissage concerne également des
bacs pro et BP (22,2 % de l’ensemble des
apprentis) et des CAP-BEP (43%). Les textes
législatifs définissent cinq niveaux, numéro-
tés en chiffres romains : I, II, III, IV et V. Plus le
chiffre est bas, plus la formation est élevée.
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
En 2014, près
d’un apprenti
sur trois prétend
à un diplôme
à bac +2
au moins.
©DR
©DR
INTERVIEW
Damien Désir
ÉTUDIANT EN MASTER À LA KEDGE
BUSINESS SCHOOL (BORDEAUX)
Vous êtes en
apprentissage chez
Orange Business
Services, la branche du
groupe Orange dédiée
aux entreprises.
Comment cela se
passe-t-il ?
Sur les douze mois de
chacune de mes deux
années d’alternance,
je suis tenu d’en passer
huit dans l’entreprise
et quatre à l’école.
Lors de cette première
année, mes cours sont
regroupés en cycles
de quatre semaines.
L’année prochaine, je
les ferai tous d’un coup
dans le cadre d’un
échange. J’aimerais
partir en Amérique
latine, si possible au
Mexique ou au
Venezuela.
Quel est l’avantage pour
vous d’avoir un contrat
d’apprentissage ?
C’est le moyen d’être
intégré dans
l’entreprise et d’y avoir
des responsabilités.
Je suis considéré
comme un vrai salarié.
D’un point de vue
financier, c’est
intéressant aussi :
Orange prend en
charge le coût de
ma formation.
Une fois formé,
pensez-vous avoir une
chance d’être embauché
chez Orange ?
Des perspectives
immédiates, je ne sais
pas, mais Orange va
recruter dans les cinq
à dix années qui
viennent. D’après ce
que je vois, la promotion
interne fonctionne bien.
Ceux qui auront déjà
une expérience dans
la société auront
sûrement une chance
supplémentaire.
Je suis considéré comme
un vrai salarié
Exemple : le niveau V concerne les apprentis
en CAP, le III les BTS et DUT, le I les diplômes
d’ingénieur et les masters. Les professions
les plus diversifiées s’ouvrent donc aux étu-
diants-apprentis, qu’elles soient manuelles
ou de bureau. Bâtiment, commerce, hôtelle-
rie, restauration, agriculture, esthétique… Les
secteurs traditionnels demeurent de gros
pourvoyeurs de contrats. L’apprentissage
évolue aussi dans les services : les entrées
y progressent tant que la plupart des
apprentis sont formés dans le secteur
tertiaire - 56% selon une étude publiée par le
ministère du Travail en juillet dernier. Les
autres secteurs demandeurs sont l’industrie
(22,1 %), le commerce auto (18,8 %) et la
construction (18,7%). Le BTP forme 80000
apprentis chaque année, celui de l’artisanat
200000. Quant à la filière alimentaire, elle
devrait générer 150000 contrats d’ici à 2017.
Si 55% des apprentis ont rejoint une société
de moins de dix salariés, ils sont aussi plus
de 17 % dans une très grande entreprise,
supérieure à 250 salariés. Pour le recrute-
ment post-apprentissage, ce sont les
domaines de la santé (85%), de l’informa-
tique (82 %) et du génie civil (77 %) qui
s’avèrent les plus efficaces aujourd’hui.
EN BONNE ET DUE FORME
L’apprentissage repose bel et bien sur un contrat de travail.
Les apprentis formés par les entreprises françaises sont donc
rémunérés : selon le degré d’ancienneté dans l’entreprise et l’âge
de l’apprenti, la loi définit précisément la rémunération due par
l’employeur – une part variable du SMIC. Un certain nombre
d’aides financières est consenti à l’employeur qui embauche un
ou plusieurs apprentis. Ce système gagnant-gagnant permet aux
entreprises de participer à la formation de leurs futurs
collaborateurs. Hormis certains cas prévus par des conventions
particulières, l’employé embauché en contrat à durée indéterminée
au terme d’une formation en alternance ne pourra être soumis à
une période d’essai.
15
C A D R E E T F I N A N C E M E N T
L É G I S L A T I O N
16
©POLADAMONTE
C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R
R É G I O N S
L’apprentissage,
voie d’excellence
À
la rentrée 2014, les CFA franciliens ont ouvert
plus de 3 500 nouvelles places et plus de
mille métiers sont accessibles par l’apprentis-
sage pour tous les niveaux de formation, du CAP au
Master professionnel en passant par les diplômes des
Grandes écoles. Depuis dix ans, la Région Île-de-
France mise sur l’apprentissage en augmentant
chaque année le budget qu’elle lui consacre. « Les
besoins des entreprises franciliennes dans le secteur
des services sont importants, c’est pourquoi nous
avons fait le choix de soutenir son développement en
ouvrant de nombreuses formations dans le supérieur,
indique Jean-Paul Huchon, président de la Région
Île-de-France. Cela a largement contribué à changer
l’image de l’apprentissage, auparavant considérée
comme une orientation par défaut et désormais vue
comme une voie d’excellence».
Avec 10% de son
budget consacré
à l’apprentissage,
la région Île-de-France
place cette forme
d’enseignement au cœur
de sa politique pour
l’emploi. Plus de la
moitié des apprentis
franciliens sont inscrits
dans le supérieur.
ÎLE-DE-FRANCE
Double
compétence et
internationalisation
des cursus sont
les atouts majeurs
des formations
franciliennes.
PAR ROZENN GOURVENNEC
17
©GettyImages/iStockphoto
L’apprentissage,
un levier contre le chômage
L’apprentissage a en effet prouvé au fil des années
son pouvoir de levier contre le chômage des jeunes :
plus de 70% des apprentis trouvent un poste dans
les sept mois après leur formation, dont 65% en CDI.
Singularité de l’Ile-de-France, 55% sont inscrits dans
le supérieur. Un fait qui s’explique, selon Jean-Paul
Huchon, par la structure de l’économie francilienne :
«En Île-de-France, les cadres et professions intellec-
tuelles supérieures représentent 29 % de l’emploi
francilien, contre 17% en France métropolitaine. Sans
surprise, les apprentis suivent la même tendance :
58% des apprentis préparent une formation dans les
services en Île-de-France contre 40 % au niveau
national. Nous sommes aujourd’hui vigilants à ce que
l’apprentissage dans le supérieur bénéficie à ceux qui
en ont le plus besoin. Nous avons ainsi renforcé notre
soutien sur les premiers niveaux de qualification
(CAP et Bac pro) qui correspondent aux jeunes qui
sont le plus en difficulté sur le marché du travail».
Insérer les jeunes dans l’entreprise
L’insertion des jeunes alternants dans un emploi
durable est également un challenge que les entre-
prises veulent relever. 112 grands noms du SDF 120 et
du CAC 40 sont réunis depuis 1982 au sein de l’AFEP,
l’Association françaises des entreprises privées, pour
défendre leurs intérêts auprès des pouvoirs publics.
L’association s’implique dans l’emploi des jeunes
avec la démarche « Jeunes et entreprises », lancée en
2013. «Cette initiative part d’un constat : les grandes
entreprises ont un rôle à jouer dans l’emploi des
jeunes car elles ont les moyens financiers et humains
de les former en alternance, indique France Henry-
Labordère, directrice des affaires sociales à l’AFEP.
Or, avec la crise, elles ne peuvent pas forcément les
embaucher à l’issue de leur formation. D’où l’idée de
la mise en place d’un portail «Engagement pour les
jeunes», qui met en relation les jeunes en alternance
et les PME-PMI susceptibles de les recruter, et ce, sur
toute la France et dans tous les secteurs. D’un côté,
les jeunes mettent en ligne leur CV sur cette base, de
l’autre les entreprises y postent leurs offres d’emploi.
92 entreprises ont aujourd’hui rejoint ce portail. 1463
jeunes alternants y ont activé un compte. 1819 postes
ont été ouverts aux jeunes diplômés. Les retours des
entreprises sont très positifs ».
C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R
– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
18
TÉMOIGNAGE
Nicolas Burckel
DIRECTEUR DU PÔLE ENTREPRISES
DU GROUPE ESSEC
«Pour la partie quota de la taxe d’apprentissage, nous percevons
environ onze millions d’euros qui nous servent à financer les études
de nos 660 étudiants en apprentissage. Pour la partie barème, qui
sera réduite aux deux-tiers en raison de la réforme, nous devrions
recevoir un million d’euros que nous utiliserons pour le matériel,
le financement d’une vingtaine de chaires pour la spécialisation
de nos étudiants, et le lancement de deux nouvelles formations :
le Master of sciences Data scientists and business analysts et une
nouvelle formule du BBA. Environ 1900 entreprises différentes
nous reversent la taxe, mais 90% de la somme totale provient de
200 entreprises. Un-tiers des apprentis sont embauchés dans les
entreprises qui les ont formés.»
Environ 1900
entreprises
différentes nous
reversent la taxe,
mais 90% de la
somme totale
provient de
200 entreprises.
EN CHIFFRES
635 353
étudiants
17
universités
Plus de 350
établissements
d’enseignement
supérieur non
universitaires
Source : Atlas régional
effectifs d’étudiants en
2012-2013, édition avril
2014.
Attribuez à la formation des kinésithérapeutes
CEE
Institut de Formation en Masso-kinésithérapie agréé par le Ministère de la Santé
Centre Européen en Rééducation et Réadaptation Fonctionnelle
Campus Paramédical Porte de Paris - 36 rue Pinel 93200 Saint-Denis – www.ceerrf.fr
zueibtrAt gesaisntrepp’ae daxe ttrvo stepeuraéthsiékinesn dioatrmfolaà
TÉMOIGNAGE
Élodie Bapst
RESPONSABLE DU RECRUTEMENT ET
DE LA MARQUE EMPLOYEUR CHEZ ALTRAN
«Nous adressons le montant de notre taxe
d’apprentissage à tous types de structures :
les écoles d’ingénieurs et de commerces, mais
aussi des universités, des lycées, des écoles de
reconversion, des associations qui font la
promotion de la filière ingénieur. C’est un
moyen pour nous de gagner en visibilité auprès
des étudiants. Altran est reconnu comme un
acteur incontournable dans le marché de
l’ingénierie, mais il est important de présenter
aux jeunes le type de carrières possibles dans
le groupe car le métier de consultant offre une
infinité d’activités. Cela permet aussi de créer
une relation privilégiée avec les structures pour
intégrer des jeunes en stage, des alternants et
des apprentis, dans l’optique d’en recruter
certains par la suite.»
La taxe d’apprentissage
est un moyen pour nous
de gagner en visibilité
auprès des étudiants (…)
et de créer une relation
privilégiée avec les
structures.
Diversifier les sources de talents
L’association ouvre aussi davantage les portes des
grandes entreprises aux étudiants d’université titu-
laires d’un Master 2, grâce au dispositif « Booster »,
mis en place en mars 2014. « Souvent les grandes
entreprises recrutent des étudiants issus des écoles
de management ou d’ingénieurs, poursuit France
Henry-Labordère. Or, la diversification du recrute-
ment est un facteur de richesse dans l’entreprise.
Avec « Booster », les entreprises partenaires se
rendent dans les universités pour rencontrer les
étudiants et étudier ensemble leur projet profes-
sionnel. Nous travaillons pour
l’instant avec trois universités :
Aix-Marseille, Pierre et Marie
Curie et Sorbonne-Nouvelle.
Nous nous sommes fixés d’ac-
compagner une centaine d’étu-
diants vers l’emploi en 2014 et
pas moins de mille en 2015 ».
Croiser les savoir-faire
Pour répondre à la demande
croissante des entreprises en
profils double compétence, les
établissements créent des par-
tenariats. Objectif : mixer les
savoir-faire des étudiants afin
de déployer des formations
encore plus pointues. L’Edhec
Business School et l’ESTP Paris
proposent par exemple un diplôme hybride axé sur
le management et l’ingénierie. Telecom ParisTech et
l’Ecole Polytechnique se sont associés à la rentrée
2014 pour créer le Master 2 Advanced Communica-
tion Networks (ACN), une formation d’excellence
dans le domaine des réseaux. L’ESSEC va lancer en
septembre prochain un MSc in data sciences and
business analytics dispensé conjointement avec
l’Ecole Centrale Paris. « Le monde est devenu digital,
note Jean-Michel Blanquer, directeur général de
l’ESSEC. Aujourd’hui, l’objectif des entreprises est de
recruter des talents qui ont intégré cette nouvelle
donne, et pour cela, il faut inventer des formations
d’un genre nouveau. L’ambition de l’ESSEC et de
Centrale Paris est de former ces talents, notamment
«Le monde est
devenu digital.
Aujourd’hui,
l’objectif des
entreprises est de
recruter des talents
qui ont intégré cette
nouvelle donne, et
pour cela, il faut
inventer des
formations d’un
genre nouveau»,
note Jean-Michel
Blanquer, directeur
général de l’ESSEC.
C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R
– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
20
7 pôles de compétitivité
81,9% de taux de réussite au bac (2012)
26 423 étudiants en CPGE
31 887 étudiants ingénieurs
EN CHIFFRES
Source : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014
PARTICIPEZ À L’AMBITION DE
CHIMIE PARISTECH !
TAXE D’APPRENTISSAGE 2014 Catégories C (+ B)
COMMENT VERSER
LA TAXE D’APPRENTISSAGE ?
Chimie ParisTech est habilitée à percevoir la taxe d’apprentissage
pour les catégories cadres supérieurs (C) et cadres moyens (B) (à
condition de tenir compte de
la règle du cumul pour la catégorie B).
Pour verser la taxe d’apprentissage au titre de l’année 2014, vous
devez obligatoirement adresser vos versements à un organisme
collecteur (OCTA) agréé, avant le 1er
mars 2014.
Merci de préciser sur le bordereau de l’OCTA :
École Nationale Supérieure de Chimie de Paris,
(Chimie ParisTech), 11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Paris.
Votre contact :
Direction du Développement des Relations Industrielles et de la
Formation Permanente
Hélène Fischer, Responsable administrative
01 44 27 67 53 - drienscp@chimie-paristech.fr
VOTRE CONTRIBUTION NOUS EST PRÉCIEUSE !
Chimie ParisTech est un établissement socialement responsable, engagé dans une procédure de mise aux normes qui devra
conduire à la certification ISO 14001. L’École a le souci constant d’améliorer l’environnement général et technique dans lequel ses
étudiants et enseignants s’épanouissent.
Chimie ParisTech
École Nationale Supérieure de Chimie de Paris
11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Paris
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Chimie ParisTech est membre fondateur de PSL
www.parissciencesetlettres.org
100% d’insertion professionnelle
des débouchés variés dans tous les domaines industriels
Une formation qui couvre tous les domaines de la chimie
chimie organique, chimie des matériaux, chimie physique, chimie analytique, génie des procédés, énergie, modélisation, ...
Une formation importante en sciences humaines et sociales
110 chercheurs et enseignants-chercheurs
De nombreux doubles diplômes
Des petites promotions soudées par une vie associative intense
Un important réseau d’écoles partenaires en France et à l’étranger
ParisTech, Paris Sciences et Lettres, Fédération Gay-Lussac, IdeaLeague
Un réseau académique et industriel international à travers 20 pays
Un important réseau d’anciens élèves
Des liens forts avec les entreprises
partenariats, parrainage des promotions, stages, interventions d’industriels dans le cadre de séminaires, chaires
d’entreprises, tables rondes et ateliers, visites d’usines et de centres R&D, conseil de perfectionnement composé
d’industriels
CHIMIE PARISTECH : EN FRANCE, LA MEILLEURE ÉCOLE
D’INGÉNIEURS SPÉCIALISÉE EN CHIMIE
dans le cadre de leur alliance». Cette formation com-
mune portera à la fois sur les outils informatiques,
l’analyse quantitative, la compréhension de l’environ-
nement économique, et la manière pour le décideur
d’évoluer dans son entreprise armé de cette connais-
sance. « C’est un programme d’un genre nouveau car
il ne s’agit pas d’un double diplôme, souligne Lionel
Gabet, professeur des universités en mathématiques
appliquées à l’Ecole Centrale Paris. Ce n’est pas la
simple addition de nos expertises, mais la synthèse :
un programme conçu, produit et dispensé en com-
mun. Notre objectif est de former des managers qui
seront d’emblée à 100% des dirigeants alliant culture
scientifique et orientation business et qui seront
essentiellement des digital leaders».
Le luxe a la cote
Autre filière d’excellence parisienne : le luxe. Un sec-
teur qui plébiscite l’apprentissage pour transmettre
les savoir-faire traditionnels et conserver son mono-
pole sur le marché international. Le groupe INSEEC a
inauguré en septembre dernier un Bachelor en com-
mercialisation des vins et spiritueux et un MBA Wine
C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R
– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
22
TÉMOIGNAGE
Laura Ferri-Fioni
CHEF DU DÉPARTEMENT STAGES, ORIENTATION, INSERTION
PROFESSIONNELLE DE L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE PARIS
«La taxe sert à financer différents outils pédagogiques :
les équipements techniques des salles, des amphithéâtres et des
laboratoires de recherche, les bourses des élèves en stage en France
comme à l’international, les logiciels, l’accès aux banques de données
de la bibliothèque, le déploiement du e-learning… Les entreprises
donatrices sont aussi bien des grands groupes que des PME-PMI.
Nous leur permettons de mieux se faire connaître auprès de nos
étudiants. Et pour élargir le portfolio des entreprises partenaires,
nous nous appuyons sur nos anciens élèves qui font passer le
message auprès des sociétés dans lesquelles ils travaillent. Grâce à
la contribution de ces entreprises, l’École fait évoluer en permanence
son enseignement pour qu’il réponde aux enjeux du 21e
siècle.»
Grâce à la
contribution
des entreprises,
l’École fait évoluer
en permanence
son enseignement
pour qu’il réponde
aux enjeux du
21e
siècle.
EN CHIFFRES
+ de 400
millions d’euros
consacrés par
la Région à
l’apprentissage
en 2013
163
CFA en 2014
Source :
Région Île de France.
©GettyImages/iStockphoto
Former des Psychomotriciens pour répondre aux
grands plans de Santé Publique lancés par le
Gouvernement Plan Maladies Neuro-dégénératives
Troisième Plan Cancer • Plan Autisme • Plan Petite enfance
Plan de santé au travail • Plan Psychiatrie • Création
d’une fondation pour la recherche en psychomotricité et
maladies de civilisation (Fondation de France)
Former des Psychoomotriciens pour répondre aux
PSYCHOMOTRICIEN DE*
UN MÉTIER QUI A DU SENS
Établissement d’enseignement supérieur libre agréé par le Ministère de l’Éducation Nationale et le Ministère de la Santé
pour la préparation au diplôme d’État de psychomotricien - Autorisations Conseils Régionaux Ile de France et Provence Alpes Côte d’Azur
TAXE D’APPRENTISSAGE
DONNEZ UN AUTRE SENS
À VOTRE VERSEMENT
SITE POLE EURO-UNIVERSITAIRE DE SANTÉ
Pour donner un autre sens à votre versement de
Taxe d’Apprentissage, contactez Gérard Hermant.
19-25 rue Gallieni - 92100 Boulogne -Billancourt • Tél.: 01 58 17 18 50 • E-mail: taxe@isrp.fr
www.isrp.fr
À l’issue de 4 ans (1+3) d’études médicales et psy-
chologiques, le psychomotricien intervient auprès:
• D’enfants en difficulté scolaire
• De personnes souffrant de
handicap mental ou moteur
• D’adultes en situation d’échec ou de blocage
• De personnes âgées présentant des
pathologies dégénératives
• D’entreprises soucieuses de prévenir
les risques liés au stress au travail.
Nous attirons votre attention sur l’importance de la
psychomotricité, citée dans les différents plans de Santé
Publique gouvernementaux mentionnés ci-dessus.
Les étudiants futurs professionnels attendent votre
soutien pour que soient financées de nouvelles actions
de formation plus spécifiques, toujours en lien avec
ces pathologies nouvelles.
Les deux ISRP de Paris et de Marseille sont habilités
à recevoir la taxe d’apprentissage au titre du barème
catégorie A pour Paris, B pour Marseille.
En versant tout ou partie de votre taxe d’apprentis-
sage à l’ISRP, vous contribuez à une amélioration de
la formation, à une meilleure prise en charge future
des pathologies psychomotrices et à la prévention
des risques psychosociaux en entreprise.
*DIPLÔMED’ÉTATDÉLIVRÉPARLEMINISTÈREDELASANTÉ
©photos:BenjaminBrolet
TOUS, nous sommes ou nous serons concernés par la nécessité d’un développement psychomoteur
harmonieux ou du maintien d’un équilibre personnel et d’une efficacité psychocorporelle.
TÉMOIGNAGE
Nathalie
Gormezano
DIRECTRICE GÉNÉRALE DE L’ISIT
«La taxe d’apprentissage sert à financer
l’année de formation en apprentissage par
l’intermédiaire du quota pour les 40 apprentis
de l’ISIT qui bénéficient chaque année de cette
opportunité d’étudier une semaine sur deux à
l’ISIT et en entreprise, pour l’obtention de leur
Master. Avec le hors quota, nous développons
une politique d’égalité des chances en attirant
les meilleurs talents français et internationaux.
Principalement via un dispositif de bourses
suffisamment attractif et la gratuité des frais
de scolarité pour des étudiants d’excellence
issus des milieux les plus modestes.
Pour accompagner le développement des
formations au service des étudiants, nous
avons également investi dans des modalités
de transmission des savoirs innovants et
interactifs.»
Avec le hors quota,
nous développons
une politique d’égalité
des chances en
attirant les meilleurs
talents français et
internationaux.
Marketing & Management accessible à bac+2. Son
objectif : devenir le leader mondial de l’éducation sur
le luxe, le vin et le digital. L’école de management
Istec lance quant à elle un «Summer program» inti-
tulé « French Business and Luxury Brand Manage-
ment», une formation qui aura lieu tous les ans en été
et qui répond aux besoins d’étudiants étrangers dési-
reux de bénéficier de l’expertise française.
L’American Business School propose depuis la ren-
trée 2014 un «Bachelor in fashion, luxury and retail
management » dédié aux métiers de l’industrie du
luxe. Un secteur qui ne connaît pas la crise et où les
débouchés sont nombreux à l’international. «Cette
formation correspond à un besoin du marché, sou-
ligne Jarlath Dillon, directeur du programme. Elle est
conçue en partenariat avec des professionnels du
luxe qui ont proposé, avant même l’ouverture
du Bachelor, des stages et des postes à pourvoir
de vendeurs online ou physiques. Le secteur du luxe
prévoit une croissance d’environ 7% par an, grâce au
développement de circuits de distribution dans les
BRICS et les nouveaux marchés émergents que sont
le Nigeria, la Turquie, la Malaisie, l’Indonésie. Il y a donc
un important besoin en recrutement. Le fait de pro-
poser une formation tout en anglais permettra aux
jeunes diplômés de travailler à l’international».
L’ouverture à l’international
Pour asseoir une notoriété mondiale et permettre aux
futurs cadres de construire une carrière au-delà de nos
frontières, les grandes écoles jouent la carte de l’inter-
national de différentes manières : programmes bilin-
gues ou uniquement en anglais, doubles diplômes en
France et à l’étranger, campus à l’autre bout du
monde… À l’instar du groupe INSEEC qui va ouvrir un
campus à San Francisco courant 2015 et qui déve-
loppe des partenariats avec Shanghaï, Genève, la
Corée du Sud et le Japon. Ou encore l’IDRAC Business
School qui s’implante en République Tchèque avec
l’ouverture d’un campus à Brno. De son côté, l’école
d’ingénieurs EPF propose une formation franco-alle-
mande en collaboration avec la Hochschule de Munich.
Un cursus en alternance géographique pendant cinq
ans qui permet d’obtenir un diplôme conjoint en pro-
duction et automatisation. Réservé aux excellents
étudiants à la fois en langues et dans leur spécialité !
C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R
– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
24
103 591 apprentis au 15 janvier 2014
55% des apprentis inscrits dans le supérieur
28% d’étudiants étrangers
EN CHIFFRES
Sources : Étude BVA/Campus France - Région Île de France.
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Bienveillance - Exigence - Excellence
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À VOTRE TAXE
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un projet centré sur
l’accompagnement
des apprentis
Comment nous verser la taxe d’apprentissage ?
Vous devez verser votre taxe par l’intermédiaire d’un OCTA agréé
(Organisme Collecteur de Taxe d’Apprentissage).
Le CFA Stephenson est habilité à percevoir la totalité de la taxe d’apprentissage :
quota/hors quota* ainsi que la CSA.
Vos instructions doivent indiquer :
nom du bénéficiaire : CFA Stephenson / n° établissement : 0752206R.
*en complément du montant versé au titre du solde du quota lorsque ce montant est inférieur
à celui des concours obligatoires dus au CFA Stephenson.
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COMMUNIQUÉ
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fidélisation des collaborateurs, le CFA
Stephenson, en veille permanente sur
les problématiques économiques et sociales,
répond aux exigences de l’entreprise en pro-
posant une solution globale : une équipe struc-
turée étudie les besoins, met en place des
actions de pré-recrutement, organise des
journées de recrutement et simplifie les pro-
cédures administratives.
Pourquoi nous confier la taxe ?
Favoriser la culture de la relation
entreprise : création d’un département
dédié aux relations avec les entreprises afin
d’apporter des solutions adaptées à leurs
besoins et permettre la sécurisation du par-
cours des apprentis en les accompagnant,
dès la recherche d’un contrat d’apprentis-
sage jusqu’à l’obtention du diplôme et l’inser-
tion en entreprise. Pour cela ils sont suivis
par des formateurs « Chargés de Relations
Entreprises », eux-mêmes issus de la profes-
sion qui connaissent les prérequis des entre-
prises, se rendent sur le terrain, co-réalisent
des bilans avec les maîtres d’apprentissage.
Eviter les ruptures en cours de for-
mation : accompagnement personnalisé
tout au long de l’année par des formateurs
référents, création d’outils éveillant les jeunes
à une démarche « compétences » et à la valo-
risation de leur employabilité.
Encourager l’ouverture : création d’un
poste de « responsable projet handicap et
développement international ».
En relation avec les associations, participer
aux engagements citoyens des entreprises
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Commerce - Hôtellerie - Tourisme
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CFA TRAJECTOIRE UAI 0782093 B
C F A
CFA ACADEMIQUE TRAJECTOIRE 0782093 B
COMMUNIQUÉ
L
e CFA TRAJECTOIRE (UAI 0782093 B)
est un centre de formation crée en 1993
à l’initiative du ministère de l’éducation
nationale, la Région Ile de France, des entre-
prises. Le CFA TRAJECTOIRE organise
chaque année au profit de 430 apprentis, des
formations de qualité du CAP à la licence pro,
préparant aux métiers de l’hôtellerie, de la
restauration, du management, du tourisme,
de l’alimentation et du commerce.
Le CFA TRAJECTOIRE est
composé de plusieurs antennes :
• CFA du lycée Hôtelier et du tourisme
de GUYANCOURT (78)
• Université de Versailles/Saint Quentin (78)
• UFA du lycée Camille CLAUDEL à Mantes
la ville (78)
• UFA du lycée Santos Dumont à Saint Cloud (92)
• UFA du lycée Auguste Escoffier à Eragny (95)
• UFA du lycée St Pierre à Brunoy (91)
Nos 6 établissements réunissent des forma-
tions de la filière professionnelle du CAP au
MASTER, en formation initiale et continue,
sous statut scolaire ou par l’apprentissage
avec + de 3000 élèves sous statut scolaire.
Nos engagements :
Mutualiser les outils et ressources péda-
gogiques, valoriser l’apprentissage et les
démarches innovantes, développer les passe-
relles, maitriser les coûts de formation, adap-
ter nos enseignements aux nouvelles techno-
logies, développer la mobilité internationale.
Nos élèves inscrits sur les dispositifs passe-
relles (SDAM, passerelle Handicap, passerelle
Universitaire) effectuent des stages dans les
entreprises. Nos élèves en formation initiale
sous statut scolaire (CAP,BAC PRO, MC, BTS,
MAN) effectuent des stages dans les entre-
prises de 16 à 22 semaines en fonction des
diplômes en France et à l’étranger.
Contribuez, dès aujourd’hui à la qualité de leur formation.
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CFA DE LA PHARMACIE PARIS ILE DE FRANCE
COMMUNIQUÉ
Parce que nous subventionner, c’est :
• Assurer aux 1000 jeunes que nous formons chaque année une formation de qualité,
• Offrir à nos entreprises partenaires - (pharmacies officinales et hospitalières, parapharmacies,
maisons de retraites, crèches, centres de rééducation) - des collaborateurs efficaces et pro-
fessionnels.
• Accompagner nos diplômés tout au long de leurs carrières avec nos formations continues.
En 2014, 24% du financement de nos formations a été assuré par la perception de la taxe
d’apprentissage. Cette subvention, certes modeste, nous a permis de poursuivre des actions
indispensables à la formation de ces futurs professionnels :
• Maintien du niveau de formation des jeunes qui nous sont confiés,
• Développement de nos capacités d’innovation pédagogique,
• Adaptation des formations,
• Renforcement de nos relations avec les professionnels.
Notre dynamisme, notre volonté de coller au terrain, notre responsabilité face aux jeunes
et aux entreprises qui nous font confiance ont besoin de soutien financier.
La dernière réforme de la taxe d’apprentissage restreint nos habilitations et fragilise un équilibre
déjà précaire. Pour maintenir nos filières d’apprentissage et garantir notre pérennité, nous vous
serions reconnaissants de nous affecter vos versements dans les catégories QUOTA et/ou CSA,
lors de votre règlement à votre OCTA.
Nous espérons vivement que vous nous accorderez votre confiance.
Au nom de l’ensemble des apprentis et du personnel du Centre, nous vous adressons nos
plus sincères remerciements.
Françoise TISSEUIL Michel BAZENNERYE,
Pharmacien, Présidente de l’ACPPP Pharmacien, Directeur du CFA
Et si cette année vous souteniez notre centre de
formation avec votre taxe d’apprentissage ?
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Vous nous adressez :
• le premier exemplaire de votre déclaration
de versement signée,
• les pièces justificatives de vos déductions,
• le règlement à l’ordre de la CCI Paris IDF.
Vous recevrez :
• un accusé de réception de votre paiement
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un contact simplifié.
• un état des reversements qui seront effectués
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pour accord, avant envoi des règlements
aux établissements bénéficiaires.
• le reçu libératoire au titre des versements
d’apprentissage et le cas échéant, de la CSA.
Nous nous chargeons
• de vérifier l’ensemble de votre dossier,
• d’informer les CFA et sections d’apprentissage
des montants que vous leur versez avant le 16 mai,
• d’établir votre reçu libératoire,
• de verser vos fonds aux établissements
habilités de votre choix,
• de reverser la part revenant au Trésor Public,
• d’assurer le suivi complet de votre dossier
auprès de l’administration fiscale.
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L’ÉCOLE DE L’INGÉNIERIE
ÉCO-ÉNERGÉTIQUE
ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
L’ENSIATE est parfaitement adaptée à l’ensemble des métiers d’avenir dans les
domaines de l’énergie, de l’environnement et du développement durable.
Nous formons des professionnels multi-compétences en phase avec les besoins
de recrutement des entreprises. Notre formation fait une large place à la profes-
sionnalisation au travers du principe d’alternance en entreprise. La présence de
professeurs en activité dans des entreprises et un coaching réalisé par des chefs
d’entreprise et des cadres, externes à l’ENSIATE, permet à nos élèves de béné-
ficier d’un accompagnement de tuteurs séniors.
L’éco-énergétique conjugue les quatre savoir-faire dans le domaine des énergies
(classiques et renouvelables). Nos élèves deviennent des experts techniques de
premier ordre dans des domaines très recherchés :
• les énergies et la thermique • le traitement de la pollution
• l’efficacité énergétique • le génie climatique
Ils bénéficient, à la sortie de l’ENSIATE, d’une expérience réelle de l’ordre de deux
ans, du fait de leurs études en cycle alterné. Les élèves, issus de l’ENSIATE, sont
d’autant plus recherchés qu’ils possèdent, aux yeux des entreprises, ces deux
caractéristiques déterminantes, l’expertise et l’expérience. La grande majorité
des étudiants est embauchée dès la fin de leurs études. Le cycle alterné école/
entreprise de dernière année s’effectue de plus en plus souvent dans le cadre
d’un contrat de travail.
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ENSIATE
COMMUNIQUÉ
Notre Projet
Grâce à votre aide, nous serons en mesure
d’améliorer notre plate‐forme technique des‐
tinée aux travaux pratiques et à la recherche
et développement.
Performance et Innovation
Nos élèves expérimentent sur ces bancs
d’essais, les dernières technologies liées :
• aux énergies renouvelables,
• Photovoltaïque,
• Solaire thermique,
• Eolien,
• au génie climatique,
• pompe a chaleur,
• CTA Centrale de traitement de l’air,
• à la performance énergétique
du bâtiment,
• à la CO‐Génération.
La plate‐forme utilisée par nos élèves est
également ouverte pour la formation Profes‐
sionnelle des entreprises.
Ce projet a reçu le concours
du FEDER Fonds Européen
de Développement Régional
DEPUIS 2003 NOUS FORMONS
NOS ÉLÈVES À L’ECO‐ÉNERGÉ‐
TIQUE. EN VERSANT VOTRE
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Association loi 1901.
Titre niveau 1, bac +5
reconnu par l’état
ÉTUDIANTS
250
ENSEIGNANTS
6professeurs permanents
et 40vacataires
DIPLÔMÉS
300
Voici comment les fonds de votre taxe d’apprentissage
seront utilisés par notre école.
L’ENS
L’école Normale Sociale c’est :
• un centre de formation aux métiers du vivre ensemble
• un centre social, l’Espace Torcy, un lieu d’engagement
et de promotion sociale et collective
INformatIoNS :
2, rue de torcy - 75018 ParIS
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tél : 01 40 38 67 00
L’ENS est une association loi 1901
L’ENS est membre adhérent de l’UNAFORIS,
du PREFAS-GRIF et de la Fédération des centres
sociaux et sociaux culturels de Paris et de France.
Solidarité
Partage
Citoyenneté
laboratoire
du travail social
Sa vocation :
• former aux métiers du travail social, en formations initiales,
supérieures et continues
• appliquer son expérience dans son centre social, espace d’animation
ouvert sur le quartier de La Chapelle à Paris et ses habitants
ensparis.fr
’
’
É C O L E N O R M A L E S O C I A L E
ENS
COMMUNIQUÉ
Soutenir la formation au travail social :
un investissement pour l’avenir
Interview de Martine Trapon,
Directrice générale de l’ENS.
QUELLE EST LA SPÉCIFICITÉ DE L’ENS ?
L’ENS est à la fois un lieu d’apprentissage et un
lieu d’intervention sociale : l’ENS est pionnière
depuis 1911 dans le travail social, et notamment
dans la formation des travailleurs sociaux, de la
préparation aux concours d’entrée en formation
sociale aux diplômes d’Etat d’assistant de
service social (DEASS) ; et depuis 1987, l’ENS
est aussi un centre social, l’Espace Torcy.
POURQUOI SOUTENIR LA FORMATION
AU TRAVAIL SOCIAL ?
Le travail social est un espace de rencontre
et d’échanges qui permet d’accompagner les
personnes, de les aider à surmonter leurs
difficultés, de les guider dans leurs démarches.
L’action sociale nous concerne tous : l’amélio-
ration de chaque situation individuelle concourt
à l’équilibre de toute la société. C’est pourquoi
la formation à l’action sociale est un investisse-
ment pour l’avenir.
QUE REPRÉSENTE LA TAXE
D’APPRENTISSAGE POUR L’ENS ?
Elle est une ressource indispensable à notre
centre de formation. Les actions soutenues
grâce à cette contribution permettent de parti-
ciper au financement de voyages d’études et
à l’amélioration de nos outils pédagogiques.
Nous sommes habilités à recevoir la taxe
d’apprentissage hors quota pour le niveau
Bac +2, catégorie B, et la formation au DEASS
est celle susceptible de recevoir la Taxe.
POURQUOI VERSER CETTE TAXE À L’ENS ?
En nous soutenant, vous faites plus que donner
à nos étudiants des moyens leur permettant de
suivre leur formation dans les meilleures condi-
tions : vous vous inscrivez avec nous dans une
démarche solidaire et une action citoyenne.
TÉMOIGNAGE DE RIHAM,
en formation initiale d’Assistante de service social.
«Grâce à la taxe d’apprentissage, nous sommes partis
à Berlin pour un projet d’étude sur l’appropriation de
l’espace urbain et la création de jardins partagés. Nous
avons découvert la spécificité de chaque jardin, leur
finalité, leur organisation, en rencontrant les responsables
et les adhérents. Une expérience très formatrice !»
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Infirmiers/ères Aides-soignants/tes Auxiliaires de puériculture
I F S I
INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS
COMMUNIQUÉ
L’Institut de Formation en Soins
Infirmiers de l’Institut Hospitalier
Franco-britannique a été créé en
1959. Installé d’abord à LEVALLOIS-
PERRET il a déménagé en août 2014 au
CNIT 3 à la Défense dans des locaux spa-
cieux et modernes situés dans un envi-
ronnement prestigieux.
L’IFSI comprend deux départements
de formation :
• Un département de formation initiale ;
• Un département de formation continue.
Le département de formation
initiale dispense les formations
suivantes :
• Diplôme d’Etat d’infirmier/ère :
90 étudiants par promotion, 3 années de
formation. Rentrée en septembre.
• Diplôme d’Etat d’aide-soignant/te :
60 élèves par promotion, 1 année de
formation. Rentrée en janvier.
• Diplôme d’Etat d’auxiliaire de puériculture :
45 élèves par promotion, 1 année de
formation. Rentrée en septembre.
• Diplôme d’Etat d’infirmier/ère pour les
médecins titulaires d’un doctorat en
médecine obtenu hors de la Communauté
Européenne.
Le département de formation
continue assure les formations
suivantes :
• VAE (Validation des Acquis de l’Expé-
rience) pour les aides-soignants/tes
les auxiliaires de puériculture.
• Formation à l’AFGSU (Attestation
de Formation aux Gestes et Soins
d’Urgence).
• Formations d’approfondissement
destinées aux infirmiers/ères (tutorat,
analyse des pratiques professionnelles…).
• Préparation aux concours d’entrée en
formation infirmière, aide-soignante et
auxiliaire de puériculture.
Résolument tourné vers l’avenir l’IFSI a
signé la Charte ERASMUS et crée un parte-
nariat avec différents pays européens, il est
aussi engagé dans une charte qualité.
L’évolution des techniques nous oblige à
développer en permanence nos outils de
formation et à actualiser les connaissances,
la taxe d’apprentissage constitue donc une
partie importante de nos ressources.
Elle nous permet notamment d’acquérir le
matériel informatique, multimédia et pratique
nécessaire à la formation de professionnels
compétents répondant aux besoins de santé
des populations de notre bassin d’emploi.
Un versement obligatoire qui peut devenir une action de santé publique.
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INSTITUT NATIONAL DE FORMATION ET D’APPLICATION
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’INFA (Institut National de Formation et d’Application) est une association à but non lucratif
issue du Centre de Culture Ouvrière, créé en 1945, qui oriente, accompagne et forme avec
passion, chaque année, au travers de ses différentes composantes, des milliers de jeunes et
d’adultes en vue de favoriser leur réussite par la qualification professionnelle.
Dans un contexte de chômage élevé, l’ambition de l’INFA est de contribuer à faciliter l’accès ou le
retour à l’emploi, la reconversion et la mobilité professionnelle ou la promotion des jeunes et
adultes accueillis chaque année dans ses centres, par une offre de formation répondant aux
besoins des entreprises et grâce à un travail pédagogique élaboré, héritage d’une longue pratique
de la formation professionnelle qualifiante des adultes.
La taxe d’apprentissage :
un soutien indispensable pour mener à bien nos projets
Les premières formations technologiques et
professionnelles ainsi que l’apprentissage, qui
sont financées en partie par cette taxe, consti-
tuent des voies d’avenir pour les jeunes que
nous accueillons en formation. L’INFA et le CFA
de l’INFA ont besoin de votre contribution pour :
• Continuer à améliorer la communication
auprès des jeunes et attirer plus de jeunes
vers les métiers préparés par la voie de l’ap-
prentissage.
• Poursuivre l’introduction de la formation
ouverte et à distance (FOAD) dans toutes nos
formations au travers de la plate-forme d’en-
seignement à distance « INFA Chorus ».
• Renforcer la relation terrain professionnel /
centre de formation, afin d’optimiser la pro-
fessionnalisation
• Maintenir à niveau notre matériel pédago-
gique afin que les jeunes soient formés au
plus près de la réalité des environnements de
travail des entreprises.
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nouvelles formations répondant aux besoins
d’emploi et de qualification des entreprises.
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Centre d’enseignement
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R e c h e R c h e b i o m é d i c a l e
Centre d’enseignement de l’institut Pasteur
COmmuniQuÉ
D
epuis la création en 1889 du premier
cours de microbiologie au monde,
l’enseignement constitue une des
missions de l’Institut Pasteur, avec la
recherche et la santé publique.
Formation reconnue au niveau international, le
Centre d’Enseignement de l’Institut Pasteur
offre un dispositif exceptionnel : situé au
cœur d’un campus où sont implantés nos
laboratoires et nos plateformes technologiques,
il accueille tout à la fois étudiants,
scientifiques, médecins, pharmaciens,
ingénieurs et vétérinaires.
Fidèles à la tradition pasteurienne, les cours
s’organisent en 3 pôles thématiques : Biologie
des microorganismes (Centré sur l’étude des
microorganismes pathogènes, bactéries,
champignons et virus), Epidémiologie et
santé publique (Consacré à l’épidémiologie et
à la santé publique dans le domaine des
maladies infectieuses et tropicales) et
Mécanismes du vivant (Dédié aux
mécanismes fondamentaux du vivant, de la
molécule à la cellule et à l’organisme)
Assurés par des scientifiques de haut
niveau, les cours mettent l’accent sur les
interactions entre les intervenants et les
participants, ainsi que sur l’expérience acquise
lors des travaux pratiques et des discussions.
En partenariat avec les universités d’Ile-de-
France et le Cnam, de nombreux cours sont
accrédités dans des cursus universitaires de
masters 2 (M2), de formations doctorales et
du mastère spécialisé en santé publique, ou
peuvent donner lieu à l’obtention de diplômes
d’université (DU).
Demain, ces nouveaux chercheurs mettront
leurs connaissances et leur curiosité au
service de la lutte contre les maladies du
XXIe siècle.
Centre de QualitÉ reCOnnu
au niveau internatiOnal, le
Centre d’enseignement de
l’institut Pasteur fOrme
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Diplômes
30 formations diplômantes de
niveau de 2nd cycle universitaire
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«Pasteur-Paris University international
doctoral program»
500
nouveaux chercheurs formés chaque
année
750
conférenciers français et étrangers
30
formations diplômantes
27
cours proposés
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nationalités représentées
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75724 Paris Cedex 15
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Institut de Recherche et de Formation à l’Action Sociale de l’Essonne
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’IRFASE a pour vocation de travailler
en étroite collaboration avec les
professionnels des secteurs sanitaire,
social et médico social, la recherche et les
pouvoirs publics.
Son projet s’articule autour des axes suivants :
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et intelligence de territoire
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citoyenneté, interculturalité et accès aux
droits pour tous
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Ces principaux axes sont déclinés tout au long
du parcours de formation et abordés selon
différentes approches disciplinaires. Il s’agit,
pour l’IRFASE, de contribuer avec l’ensemble
des acteurs aux débats du secteur.
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École d’Ingénieurs
du Numérique
É C O L E D ’ I N G É N I E U R
ISEP
COMMUNIQUÉ
Entretien avec Michel Ciazynski,
Directeur Général de l’ISEP
et Dieudonné Abboud, Directeur de
l’Enseignement.
POUVEZ-VOUS NOUS DIRE EN QUOI CONSISTE
« L’APPROCHE MÉTIERS » ?
D. Abboud : Partant du postulat que l’entreprise
recherche des diplômés opérationnels, l’apprentis-
sage par projet introduit à l’ISEP se révèle très
efficace et garantit l’adéquation entre la formation
et les réalités du monde économique. Les élèves
travaillent en petites équipes sur des projets inspi-
rés de la réalité professionnelle et acquièrent ainsi
une très grande autonomie.
M. Ciazynski : À cet apprentissage s’ajoute une
très forte implication des entreprises : coaching,
tutorat, simulation d’entretiens ou participation d’in-
tervenants professionnels, à l’instar de Capgemini
dans le parcours «systèmes d’information &
Finances» ou General Electrics dans le tout nou-
veau parcours «numérique et santé». Tout cela
favorise l’émergence d’un projet professionnel
personnalisé.
QU’ENTENDEZ-VOUS PAR « CURSUS À LA CARTE » ?
D. Abboud : Après la première année de tronc
commun, la formation se décline en «parcours»
librement choisis. Les possibilités sont aussi nom-
breuses que passionnantes : des parcours abou-
tissent à une double compétence dans un domaine
particulier comme la Finance ou la Santé, d’autres
participent à la personnalisation du cursus : stage
dans les laboratoires de recherche de l’université
Stanford aux États-Unis, double diplôme « ingé-
nieur manager » en partenariat avec Audencia
Nantes, «ingénieur-chercheur» avec Supelec…
Certains élèves choisissent aussi de compléter leur
formation à l’ISEP par un Mastère Spécialisé à
l’ESSEC ou HEC par exemple.
COMMENT SE TRADUIT LA DIMENSION
MANAGÉRIALE DANS L’ENSEIGNEMENT ?
D. Abboud : Manager une équipe, un projet ou un
budget ne s’improvise pas et les élèves bénéficient
à l’ISEP d’une formation managériale complète.
Dès le début du cycle ingénieur des cours de
management et de finances sont dispensés et de
nombreux autres cours tels que «macroéconomie»,
«marketing» ou «stratégie» sont proposés pour
construire un socle de compétences solide. Les
isépiens peuvent aussi se former à l’entrepreneu-
riat, comme Gabriel Jarrosson qui a suivi l’Electif
«création d’entreprise». Gabriel a d’ailleurs reçu le
prix de la meilleure start-up numérique en 2013 !
Citons aussi comme autre point fort du dispositif,
le partenariat avec l’incubateur d’Arts et Métiers
ParisTech et l’association ISEP Business Angels.
QUE DIRE DE LA JUNIOR ENTREPRISE DE L’ISEP ?
M. Ciazynski : Junior ISEP est certainement la
meilleure Junior Entreprise Ingénieur française sur
ces 10 dernières années, avec notamment deux Prix
d’Excellence, devant les meilleures grandes écoles
et, au niveau européen, un remarquable «Excellent
Award» en 2013 et le «label ingénieur» en 2014 !
S’impliquer dans une telle association est une
manière moins académique de renforcer ses com-
pétences managériales. De façon générale, la vie
associative est fortement encouragée à l’école.
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FACULTÉ DE PHARMACIE - UNIVERSITÉ PARIS-SUD
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L
a Faculté de Pharmacie forme chaque
année près de 270 pharmaciens
diplômés à des métiers multiples dans de
nombreux domaines (hospitalier, industriel,
officine, la recherche). Leur préparation à la
vie active doit être de plus en plus
adaptée aux exigences des métiers de la
pharmacie et les moyens accordés à l’Univer-
sité par l’Etat ne sont pas toujours à la hauteur
de nos ambitions pédagogiques. Aussi, la taxe
d’apprentissage est un complément financier
capital pour maintenir nos formations au
niveau d’excellence qu’elles se doivent
d’atteindre.
Nous verser la taxe, c’est participer à
l’amélioration et à la valorisation du cursus
pédagogique de nos futurs docteurs en
pharmacie et diplômés en master, servi par un
corps professoral de qualité. Elle permet
également d’investir dans des équipements
TICE et professionnels spécifiques pour
l’aménagement de salles spécialisées (labora-
toires de langues/de travaux pratiques).
Un gage pour l’avenir
La faculté se caractérise par un choix étendu
de formations, où une place prépondérante est
attribuée à la recherche et à l’apprentissage en
entreprise. Ainsi, elle offre un excellent taux de
placement de nos diplômés.
Notre établissement bénéficie également de
relations privilégiées avec les industriels
pharmaceutiques, les organismes de santé
ainsi que les pharmaciens d’officine. Véritable
atout, ces échanges permettent aux étudiants
de bénéficier d’un réseau de professionnels
solide et de s’adapter à un secteur en
perpétuelle évolution.
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Diplôme de Docteur en Pharmacie,
Diplôme Master Professionnel et
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3 250
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270Diplômés en Master
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U n i v e r s i t é P a r i s - s U d
UFR ScienceS et techniqUe deS APS
COMMUNIQUÉ
L’UFR STAPS propose :
• 4 spécialités de Licence comprenant 5
parcours et 2 licences professionnelles
• 8 spécialités de Master réparties en 3
masters recherche et 5 masters profes-
sionnels
• 3 DU (prévention des blessures, de la
douleur et du dopage)
dans les domaines de management du sport,
entraînement sportif, activités physiques
adaptées, remise en forme, animation et poli-
tique de la ville, enseignement physique et
sportif ou de recherche en sciences du sport
et du sport humain
Elle est également le sceau principal de l’Ecole
Doctorale « Sciences de la Motricité, du Mou-
vement Humain »
L’évolution de l’offre de formation de l’UFR
STAPS de l’Université Paris Sud s’inscrit dans
le cadre de la création de l’Université Paris
Saclay où elle aura une place majeure dans la
School « Sciences du Sport et du Mouvement
Humain » qui ouvrira ses premières forma-
tions en septembre 2015.
La Taxe d’apprentissage pour quoi faire ?
L’UFR STAPS est l’une des pionnières sur les
questions d’insertion et de professionnalisa-
tion des étudiants. Pour répondre à la
constante évolution de leurs demandes et
celles des entreprises, l’établissement doit être
en mesure de maintenir et développer la qua-
lité de ses formations en étant force de propo-
sition. Cela passe par des investissements
importants en équipements sportifs, informa-
tiques, vidéo-multimédias … grâce à la contri-
bution des partenaires économiques et
sociaux.
Donnez un sens à votre taxe
En choisissant de nous verser cette dernière,
vous apportez un soutien précieux à notre
UFR. Votre entreprise aura la possibilité de
confier à certains de nos étudiants une mis-
sion dans le cadre de projets tuteurés, de nous
envoyer vos collaborateurs en formation conti-
nue ou devenir intervenants auprès de notre
public.
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de l’eNseIGNeMeNt, dU haNdICaP, de
l’eNtraîNeMeNt sPOrtIf et dU MaNaGe-
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C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R
R É G I O N S
En route
vers le big data
T
erre riche de formations de haut niveau, la
région Rhône-Alpes est reconnue pour ses
pôles d’excellence en ingénierie, micro et
nanotechnologies, santé, chimie, logiciels, énergies
renouvelables et développement durable. Dans le
domaine de la santé, deux grands projets sont d’ail-
leurs actuellement en travaux : le pôle Ecotox de
Rovaltain, structure de recherche qui va se consacrer
à l’étude d’impact des substances chimiques sur l’en-
vironnement et la santé ; et l’école de cancérologie
Rhône-Alpes-Auvergne, un réseau de recherche des
doctorants pour faciliter l’échange et la mobilité
des chercheurs de Clermont-Ferrand, Lyon, Saint-
Étienne et Grenoble. La plateforme de recherche en
écotoxicologie et en toxicologie aura pour vocation
d’évaluer et de prévoir les risques sur la santé et sur
Au deuxième rang des
régions françaises en
matière d’enseignement
supérieur et de
recherche, la région
Rhône-Alpes propose
une offre de formation
large et innovante.
Cette année, l’accent
est mis sur les nouveaux
secteurs porteurs :
le big data et les Moocs.
RHÔNE-ALPES
La région innove
en répondant
aux nouveaux
besoins de la
société.
PAR ROZENN GOURVENNEC
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  • 1. L'APPRENTISSAGE, VOIE ROYALE POUR L'EMBAUCHE LE DYNAMISME ÉDUCATIF DES RÉGIONS RÉFORME DE LA TAXE: LES NOUVEAUTÉS 2015 TAXE D’APPRENTISSAGE 2 0 1 5 ©BARTEKSZEWCZYK G U I D E
  • 2. www.ines-expertise.fr 34 boulevard Haussman 75009 PARIS COMPTEZ SUR L’UNE DES MEILLEURES ÉCOLES PRÉPARATOIRES AUX MÉTIERS DE L’EXPERTISE COMPTABLE ET DE L’AUDIT DCG - DSCG - DEC L’INES FORME CHAQUE ANNÉE PRÈS DE 550 ÉTUDIANTS, VOS FUTURS COLLABORATEURS
  • 3. É D I T O Elle en a fait du chemin depuis sa création en 1925. La presque centenaire taxe d’apprentissage donne chaque année du fil à retordre aux chefs d’entreprise qui, par manque de connaissance ou d’intérêt, ignorent à qui reverser cet argent. Elle se présente cette année sous un nouveau jour qui change un peu la donne financière et que ce hors-série tente d’expliciter au mieux. Avec, en toile de fond, le but fixé par le gouvernement : développer l’apprentissage pour atteindre l’objectif de 500000 apprentis en France d’ici 2017. Si la réforme a modifié la répartition des sommes versées (51% de fraction régionale, 26% pour le quota et 23% pour le barème) et augmenté le montant total (0,68% de la masse salariale brute au lieu de 0,5% l’an dernier), elle n’a en revanche pas touché au point qui constitue la singularité de cet impôt : la possibilité de choisir une partie de son affectation. L’occasion, pour un dirigeant, d’accompagner l’école de son quar- tier, celle qui vient d’ouvrir, celle qui connaît des difficultés, celle d’où sont sortis diplômés ses employés, celle qui permettra de compléter les équipes… Et d’encourager ainsi l’apprentissage, formule de plus en plus appréciée des jeunes et des recruteurs. Ces derniers sont en effet 82% à juger le contrat d’apprentissage « fidélisant », valeur importante dans une société où tout va trop vite. Si les filières traditionnelles (métiers de bouche, artisanat…) demeurent les principales pourvoyeuses de contrats, les écoles supérieures sont de plus en plus nombreuses à proposer des offres en alternance permettant ainsi à de futurs ingénieurs ou cadres de mettre un pied dans la vie active. Et de conforter ce chiffre optimiste : 60% des apprentis décrochent un emploi en CDI à l’issue de leur formation. Pascal Lasserre Directeur Délégué Emploi & Formation Réformer pour relancer©DR 3
  • 4. Édition et Commercialisation : FIGARO CLASSIFIEDS Direction commerciale : O. Arriat. Tél. 01 76 62 31 73. Conception et réalisation : Sopress - Presso. Photo de couverture : © Bartek Szewczyk/Fotolia. Ont collaboré à ce numéro : V. Gardet, M. de Kerimel , R. Gourvennec Cadre législatif et financier Le dynamisme des régions 06 _ Un moteur pour la formation 08 _ La collecte : comment ça marche ? 10 _ L'affectation de la taxe 12 _ Payer moins, c'est possible 14 _ Un cadre éducatif adapté 16 _ Île-de-France / L'apprentissage, voie d'excellence 52 _ Rhône-Alpes / En route vers le big data 60 _ Sud-Est / Des experts aux cursus internationaux 64 _ Sud-Ouest / Artisans et techniciens recherchés 72 _ Grand Ouest / Cap sur les métiers d'avenir 78 _ Nord / Le numérique, un secteur qui recrute 82 _ Grand Est / L'apprentissage dépasse les frontières 85 _ Présentation des partenaires I II S O M M A I R E 13 16 64
  • 5. Fondée en 1949, située au coeur de Paris, à proximité de la tour Eiffel, Paris ESLSCA Business School, dispose d'atouts exceptionnels dans l'enseignement supérieur du management : un corps professoral com- posé de spécialistes de haut niveau, des relations internationales effectives, l'implication des entreprises dans les études et les stages, une vie associative et culturelle enrichissante. 14000 anciens élèves attestent de l'efficacité d'une formation directement adaptée à la vie des affaires, reconnue par les entreprises. Paris ESLSCA Business School a développé ces trente dernières années plusieurs établissements ou programmes périphériques qui constituent avec elle un groupe d'enseignement supérieur du management de tout premier plan : 3èmes Cycles spécialisés, Programmes MBA et MBA Spécialisés, Bachelor (INSAM/BBA), Pôle d'Intelligence Economique (EGE), Classes Préparatoires (PCS), Centre de Formation permanente.
  • 6. La taxe d’apprentissage ? Basée sur les salaires bruts versés par les entreprises contribuables, elle permet d’assurer le financement des formations professionnelles et technologiques. Le point, après la dernière réforme survenue en 2014. PAR MARTIN DE KERIMEL Un moteur pour la formation 6 ©DR E lle a été créée en 1925 et concerne une grande majorité des entreprises fran- çaises. Pour une année considérée, elle se calcule sur les salaires bruts versés l’année précédente, avantages (en nature et en argent) et pourboires attribués sous forme de salaires compris. La taxe d’apprentissage vient d’être réformée. Une constante : elle est encore et toujours due par les entreprises qui comptent au moins un salarié et sont soumises à l’impôt sur les sociétés, voire à l’impôt sur le revenu au titre des bénéfices industriels et commerciaux. La réforme 2014 a en fait impacté son taux, qui a augmenté : de 0,5% à 0,68% de la masse salariale consi- dérée. Il intègre du même coup l’ancienne CDA – Contribution pour le développement de l’apprentissage, conçue jusqu’à présent pour financer les Fonds régionaux de l’ap- prentissage et de la formation profession- nelle. Cependant, le texte de la réforme n’a pas supprimé un autre des compléments prévus à la taxe : la CSA (ou Contribution supplémentaire à l’apprentissage). Ce dispo- sitif complexe concerne uniquement cer- taines entreprises, selon des cas précis pré- vus par la loi (lire par ailleurs). Précision : des dispositifs légaux permettent aux entreprises qui « jouent le jeu » de l’apprentissage de bénéficier d’un certain nombre d’allége- ments ou d’aides financières. Par ailleurs, la loi prévoit aussi des cas d’exonération de la taxe d’apprentissage. Autre précision impor- tante : comme c’était le cas auparavant, sous le régime de l’ancien mode de calcul, les départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de Moselle bénéficient toujours de taux réduits. Répartition et critères Véritable contrat de travail, le contrat d’ap- prentissage s’adresse aux jeunes âgés de 16 à 25 ans. Il en existe à tous les niveaux de formation, dans tous les cursus. Du Centre de formation d’apprentis pour les métiers manuels aux écoles d’ingénieur, les profils des candidats à l’apprentissage sont extrê- mement variés. Le gouvernement veut mieux garantir la qualité des formations et a mis l’accent sur les qualifications de plus bas EN CHIFFRES 66,8 % des nouveaux apprentis sont des hommes 18,8 % des nouveaux apprentis sont déjà diplômés à Bac +2 et plus Source : 2013 / Ministère du Travail C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N
  • 7. ©DR INTERVIEW François Moutot DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’ASSEMBLÉE PERMANENTE DES CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT Quels sont les objectifs poursuivis par la réforme de la taxe d’apprentissage ? Nous étions favorables à ce que la taxe d’apprentissage soit bien réservée aux formations essen- tiellement tournées vers l’apprentissage. Il nous semblait important qu’elle soit distribuée proportion- nellement à cet effort pour l’apprentissage et aux coûts des formations concernées. Aujourd’hui, il n’est pas certain que le premier objectif sera tenu. Nous savons que le second ne le sera pas. Pour autant, cette réforme va-t-elle dans le sens d’un développement du nombre d’apprentis, objectif évoqué par le gouvernement ? Nous avons besoin de plus de moyens pour les centres d’apprentis, la seule porte possible aujourd’hui pour développer l’appren- tissage. Or, les primes que le président de la République avait annoncées au 1er septembre n’ont toujours pas été votées. La réforme n’a pas été poussée jusqu’au bout. Des raisons d’y croire, malgré tout ? Si je n’y croyais pas, je ferais autre chose. Je crois que nous avons gagné le défi de l’opinion publique, aujourd’hui largement favorable à l’apprentissage, mais aussi le combat médiatique. Les jeunes eux-mêmes comprennent désormais l’intérêt de métiers concrets, rémunérateurs. Les jeunes eux-mêmes comprennent désormais l’intérêt de métiers concrets niveau. Un temps, François Hollande évo- quait une barre à atteindre, fixée à 500 000 apprentis à l’horizon 2017 – les chiffres issus du ministère du Travail font état de 415 000 contrats en cours en France métropolitaine pour l’année 2013. Pour aller plus loin, l’autre grand changement introduit par la réforme de la taxe concerne la répartition de son montant. Auparavant, il était partagé en deux catégories : le quota et le barème, aux parts variables en fonction des années. Désormais, il sera découpé en trois : le quota représentera 26% du montant et sera versé aux Centres de formation d’apprentis, le barème (23%) sera consacré à la formation technologique et professionnelle hors-ap- prentissage et le reste (51%) sera confié aux régions, qui détermineront elles-mêmes les choix d’affectation. Autre nouveauté : les établissements susceptibles d’obtenir des versements par le barème feront chaque année l’objet d’une liste édictée par le préfet de région. Ils devront respecter des critères établis à l’échelon local, lesquels seront basés notamment sur la reconnaissance par l’État, le contrôle de la pédagogie et une absence de caractère lucratif. L’objectif est de répartir plus efficacement les très impor- tantes sommes en jeu : ces dernières années, le montant total des contributions à l’ap- prentissage versées par les entreprises fran- çaises a représenté environ deux milliards d’euros par an. EN CHIFFRES 49,3 % des nouveaux apprentis ont signés pour 24 mois 38,2 % des nouveaux apprentis ont rejoint une entreprise de moins de 5 salariés Source : 2013 / Ministère du Travail CSA, VOUS AVEZ DIT CSA ? La Contribution supplémentaire à l’apprentissage (CSA) vise les entreprises supérieures à 250 salariés et concerne – notamment – celles qui ne respectent pas un quota de contrats d’alternance ou de volontariats en entreprise. Elle est d’un taux variable, en fonction de l’importance relative de la population salariée de l’entreprise concernée, entre autres. Parmi les nombreux interlocuteurs possibles des contribuables, les Chambres de commerce et d’industrie disposent généralement de services d’information compétents pour répondre précisément aux demandes de renseignement sur ce point. 7 C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N
  • 8. Nationaux ou régionaux, les organismes de collecte de la taxe d’apprentissage sont présents sur tout le territoire. Encore important cette année, leur nombre sera bientôt réduit, dans une logique de rationalisation des procédures. Explications. PAR MARTIN DE KERIMEL La collecte : comment ça marche ? 8 ©DR L a limite est fixée au 1er mars. C’est avant cette échéance que les entreprises assujetties à la taxe d’apprentissage doivent annuellement verser le montant qui leur est imputable. Dans les régions, les orga- nismes de collecte de la taxe d’apprentis- sage (OCTA) répartiront, en respectant les trois fractions définies par la réglementation, les sommes concernées. Il existe aussi des organes collecteurs nationaux : les orga- nismes paritaires collecteurs agréés (OPCA). Tournés vers le financement de la formation professionnelle continue, ils sont aussi sus- ceptibles de collecter la taxe d’apprentis- sage, en tant que délégataire d’un OCTA. Un échange avec les entreprises Les entreprises conservent une marge de manœuvre : même si elles passent obligatoi- rement par un intermédiaire, elles peuvent aussi décider elles-mêmes de l’affectation d’une partie de leur taxe, proportion que les textes désignent sous le vocable de barème. Si aucun choix n’est exprimé, les instances dirigeantes de l’OCTA décident elles-mêmes de l’affectation de ce barème. Comment cela fonctionne-t-il ? Les OCTA collectent auprès des entreprises assujetties à la taxe la totalité des sommes dues. Ils leur adressent à cet effet un bordereau d’appel de collecte. C’est sur ce document que les entreprises peuvent librement désigner les centres, écoles et autres organismes habilités qu’elles sou- haitent voir destinataires de leurs verse- ments. Toute mention préalable de choix définis par l’OCTA est interdite. Pour faire face aux dépenses consenties dans l’exercice de leur mission, les OCTA peuvent prélever des frais de collecte et de gestion. Ils sont plafonnés et correspondent à un pourcen- tage du montant de la collecte : en 2012, 3% du montant pour une collecte inférieure à 5 millions d’euros, 2,2% pour les collectes entre 5 et 5 millions d’euros, 1,5% pour les collectes encore supérieures. Pour éviter les conflits d’intérêt, les administrateurs et salariés des OCTA n’ont pas le droit d’exercer de fonction d’administrateur ou de salarié dans les centres de formation d’apprentis et sections d’apprentissage. Par ailleurs, les OCTA sont C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N Organismes collecteurs, les OCTA peuvent prélever des frais de gestion et sont soumis à un contrôle de l’État.
  • 9. ©DR INTERVIEW Philippe Perfetti DIRECTEUR ADJOINT EMPLOI ET FORMATION À L’ASSEMBLÉE PERMANENTE DES CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT Comment choisir son organisme de collecte ? Il en existe au niveau national et au niveau régional. Au niveau national, les organismes de collecte de la taxe d’apprentissage (OCTA) sont adossés aux organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA). À l’échelon régional, après l’actuel régime transitoire, il n’y aura plus qu’un OCTA régional, piloté par les chambres consulaires. Les entreprises devront choisir un collecteur unique. S’adresser à un organisme régional apporte-t-il aux entreprises l’assurance que le montant de la taxe sera affecté au bénéfice de leur propre territoire ? Aujourd’hui, 51% du montant de la taxe constitue déjà une part régionale, au bénéfice des Centres de formation d’apprentis. Les sommes en jeu reviennent au Trésor Public, sont mutualisées sur un compte spécial et finalement réparties selon une clé définie par la loi. La collecte locale abonde souvent les centres de formation régionaux. Un organisme de collecte peut-il donner des conseils aux entreprises en matière d’affectation de la taxe ? Non : la loi l’interdit formellement ! Elle impose toutefois aux entreprises d’aviser les centres de formation et les sections d’apprentissage de l’affectation de leur taxe. Les entreprises devront choisir un collecteur unique tous soumis à un contrôle complet de l’État : il s’exerce tant sur les procédures de collecte que sur l’utilisation des ressources collectées. Des vérifications sur pièces peuvent être demandées par les inspecteurs sur l’origine des fonds reçus, ainsi que sur la réalité des dépenses engagées et la conformité de leur utilisation. Autre obligation : chaque année, les OCTA doivent transmettre un rapport d’activité à différentes autorités publiques, parmi lesquelles on retrouve le préfet de région et le président du conseil régional. Des statuts très diversifiés Constat d’évidence : rien ne ressemble moins à un OCTA… qu’un autre OCTA. Aujourd’hui, ces collecteurs sont de natures très différentes : on y trouve des fédérations, groupements ou syndicats professionnels, ainsi notamment que des Chambres des métiers ou des Chambres de commerce et d’industrie. Publié en mars 2013, un rapport d’information du Sénat souli- gnait le nombre toujours croissant de ces organismes et notait que les dix plus impor- tants collectaient à eux seuls 51% de la taxe d’apprentissage prélevée à l’échelon national. Ce même document évoquait «un dispositif hétérogène» et pointait du doigt «des procé- dures d’agrément sources de dérives», du fait notamment du chevauchement géographique des OCTA et d’une concurrence entre eux. Pour les mêmes raisons, le rapport faisait état de performances de gestion variables en fonc- tion des organismes de collecte et de contrôles déficients. Dans le texte : «Le système de liste préfectorales ne permet pas d’identifier avec précision les formations et établissements éligibles. L’administration fiscale ne dispose pas non plus de l’information relative au paie- ment de la taxe d’apprentissage ». Sur ces questions également, les lignes vont donc bouger. Afin de rendre le système moins com- plexe, le gouvernement et le législateur ont en effet prévu, à très court terme, de réduire drastiquement le nombre d’OCTA. DES OCTA MOINS NOMBREUX ? Harmoniser les coûts de formation des apprentis, mais également rationnaliser les circuits de collecte de la taxe d’apprentissage : la double tâche est complexe. Pour la mener à bien, le Parlement a d’abord entendu simplifier les démarches des entreprises contribuables : à compter de 2016, ces dernières devront verser leur taxe d’apprentissage à un organisme collecteur unique. La loi du 5 mars dernier prévoit également une réduction drastique du nombre d’OCTA, de 147 aujourd’hui, selon les derniers chiffres du ministère du Travail, à moins de 50 fin 2015. 9 C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N
  • 10. Une certaine liberté de choix. La taxe d’apprentissage n’est pas tout à fait un impôt comme les autres. L’entreprise contribuable est libre d’affecter elle-même une partie de la somme dont elle est redevable. La dernière réforme n’est pas revenue sur ce principe. PAR MARTIN DE KERIMEL L’affectation de la taxe 10 ©DR L a taxe d’apprentissage a changé ! Sa réforme récente a profondément modifié les caractéristiques de l’impôt, même si ce dernier est toujours mis à la charge des entreprises et calculé sur leurs masses salariales. Les nouveaux textes modi- fient très largement les possibilités de choix d’affectation des sommes versées. Dès la prochaine collecte, les entreprises contri- buables vont donc devoir redéfinir la poli- tique d’attribution de leurs fonds, selon les nouvelles contraintes. C’est la loi de finances rectificative pour 2014 qui en dispose : la taxe d’apprentissage se divise en trois quotités. Dans le détail : la fraction régionale pour l’apprentissage (51%), le quota (26%) et le hors-quota – ou barème – (23%). La régle- mentation prévoit par ailleurs que chacune de ces subdivisions du montant total prélevé est affectée à un usage particulier. Comme son nom l’indique explicitement, la fraction régionale est destinée aux régions : elle est versée par les OCTA au Trésor Public. Le quota, lui, est dédié aux seuls Centres et sections d’apprentissage. Enfin, le barème est destiné à des établissements dispensant des formations technologiques et profes- sionnelles initiales, en dehors du dispositif de l’apprentissage. Complément possible, la Contribution supplémentaire pour l’appren- tissage (CSA) est quant à elle réservée aux Centres de formation d’apprentis. Un quota à géométrie variable Avec une date limite de collecte fixée au 1er mars, les entreprises contribuables qui versent leurs contributions apprentissage ont aussi la possibilité de désigner les éta- blissements d’enseignement qui seront les bénéficiaires des sommes versées. Sous la seule réserve que ces derniers soient bien habilités, les OCTA sont tenus d’exécuter cette demande. Les versements directs des entreprises contribuables à un établissement donné sont et restent strictement prohibés. Dans le cadre du quota d’apprentissage, deux situations peuvent être distinguées. Lorsque l’entreprise-contribuable a embau- C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N Première fraction de la taxe (51%) : la fraction régionale pour l’apprentissage
  • 11. ché au moins un apprenti, la loi oblige à (ou aux) l’organisme(s) de formation concer- né(s) un concours financier égal au coût réel de cette (ou ces) même(s) formations, dans la limite évidemment du quota disponible. C’est le préfet de région qui, chaque année, doit publier une liste des coûts par apprenti des différentes formations dispensées sur son territoire. S’il ne fait pas l’objet d’une publication, l’entreprise est néanmoins tenue au versement d’un montant forfaitaire, fixé alors par arrêté ministériel. Pour les entre- prises qui n’accueillent aucun apprenti ou disposent d’un solde de quota après cette possible affectation obligatoire, la liberté d’affectation est totale. La loi prévoit toute- fois que l’entreprise est tenue d’aviser les Centres de formation d’apprentis et les sections d’apprentissage des montants qu’elle doit ou décide de leur affecter. Deux sous-catégories pour le barème Désormais, ces mêmes Centres de formation d’apprentis et sections d’apprentissage ne sont donc plus éligibles au barème. La seule exception subsistante concerne d’éventuels compléments aux concours financiers, en cas d’un montant de quota disponible insuf- fisant pour couvrir les coûts de formation du (ou) des apprenti(s) accueilli(s) par l’entre- prise. Par décret, le gouvernement a prévu également que ce barème devait être réparti en deux parts, et non plus trois comme jusqu’à l’année dernière. La première catégo- rie (dite «A») correspond à 65% du barème, elle doit financer des formations de niveau V (CAP), IV (Bac) et III (Bac +2). La catégorie « B » (35 % du barème) reviendra à des formations de niveau II (Licence, Bac + 3 et 4) et I (Bac +5 et au-delà). Précision : les entreprises dont le montant brut de la taxe d’apprentissage n’excédera pas 415 euros ne seront pas tenues de suivre cette répartition. 11 C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N TAXE D’APPRENTISSAGE (0,5 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) : 100 % - QUOTA 57 % + BARÈME 43 % Quota de 57% : 38% : Financement national du développement et de la modernisation de l’apprentissage. 62 % : Financement des Centres de formation d’apprentis et sections d’apprentissage. Barème de 43% : 40% pour des formations de catégorie A (niveaux IV et V) 40% pour des formations de catégorie B (niveaux II et III) 20% pour des formations de catégorie C (niveau I) EN COMPLÉMENT… Contribution pour le développement de l’apprentissage (CDA) : 0,18% de la masse salariale brute. Contribution supplémentaire pour l’apprentissage : Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectif annuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés. TAXE TOTALE (0,68 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) : 100% - FRACTION RÉGIONALE 51% + QUOTA 26% + BARÈME 23% 51% de fraction régionale • Trésor Public – destinée aux régions Quota de 26% : réparti en • Contributions obligatoires : Centres de formation des apprentis accueillis par l’entreprise. • Solde : affectation libre par l’entreprise, aux Centres de formation d’apprentis de son choix. Barème de 23% : formations professionnelles initiales temps plein 65% pour des formations de catégorie A (niveaux III, IV et V) 35% pour des formations de catégorie B (niveaux I et II) EN COMPLÉMENT… Contribution supplémentaire pour l’apprentissage : Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectif annuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés. AVA N T M A I N T E N A N T
  • 12. L’apprentissage, c’est également, et malgré la taxe, une possible aubaine financière : en faisant le choix d’accueillir un ou des apprenti(s), l’entreprise s’ouvre aussi des droits à des aides financières de l’État. Le point. PAR MARTIN DE KERIMEL Payer moins, c’est possible 12 ©DR L e contrat d’apprentissage n’est pas tout à fait un contrat de travail ordi- naire. L’employeur qui y a recours est notamment exonéré des charges sociales afférentes, à l’exception cependant de la cotisation patronale pour les accidents du travail et la maladie professionnelle. De la même manière, la Contribution sociale géné- ralisée (CSG) et la Contribution au rembour- sement de la dette sociale (CRDS) ne sont pas dues. Dans le détail, la législation prévoit des cas d’exonération partielle. Ne peuvent bénéficier du dispositif d’exonération totale que les seuls artisans dûment inscrits au répertoire des métiers – ou au registre des entreprises pour trois départements : Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle –, ainsi que les employeurs comptant moins de 11 sala- riés, hors apprentis bien sûr. Depuis janvier 2014, le contrat d’apprentissage peut égale- ment être accompagné d’une prime. Desti- née aux entreprises de moins de 11 salariés, cette dernière remplace l’ancienne indemnité compensatrice forfaitaire (ICF) : elle est ver- sée par la région dans laquelle est situé l’éta- blissement où travaille l’apprenti. Fixé par le Conseil régional, son montant est au mini- mum de 1000 euros par année de formation. Autre disposition : les entreprises soumises au régime réel d’imposition et qui emploient un apprenti pendant plus d’un mois peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt. Celles qui, tous établissements confondus, ont des effectifs supérieurs à 250 salariés peuvent aussi toucher une aide financière en employant plus de 4% de jeunes en contrat d’apprentissage. Le montant exact de cette aide dépend aussi du pourcentage précis d’alternants y ouvrant droit et sur la base d’un montant forfaitaire de 400 euros par employé alternant. Son versement suppose que l’entreprise ait fait une déclaration sur ses effectifs annuels moyens auprès d’un organisme collecteur de la taxe. L’aide est versée dans sa totalité dans les deux mois qui suivent la réception de la demande. C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N Le versement par une entreprise d’un don en nature à un organisme de formation peut lui permettre d’alléger le montant de sa taxe d’apprentissage.
  • 13. ©DR Déduire des dépenses… Pour réduire le montant de sa taxe d’appren- tissage, l’entreprise-contribuable peut aussi utiliser d’autres arguments. Dans la limite d’un plafond correspondant à un pourcen- tage de la taxe brute, elle peut ainsi déduire les dépenses engagées pour l’accueil de stagiaire. Quelques conditions sont requises : le stage doit s’intégrer dans un cursus de formation et être obligatoire en vue de l’ob- tention d’un diplôme technologique ou professionnel ; le jeune doit avoir le statut scolaire ou étudiant ; et une convention de stage école / élève / entreprise doit être éta- blie et signée. La déduction se calcule en multipliant un forfait journalier (fixé à 25 ou 36 euros) par le nombre de jours de stage effectués. Autre possibilité pour l’entreprise de « payer moins » : faire un don en nature d’un matériel neuf ou d’occasion à un orga- nisme donné, en vue d’un usage pédago- gique. Pour être prises en compte, ces sub- ventions doivent être valorisées dans la comptabilité du donneur et du bénéficiaire, sur la base d’un calcul fait sur la base du prix de revient, de la valeur sur inventaire ou de la valeur résiduelle. Pour que le dispositif fonctionne, l’établissement récipiendaire choisi doit bien sûr être habilité à percevoir la taxe d’apprentissage. Une attestation d’intérêt pédagogique sera notamment demandée comme justificatif. Ne pas oublier… La loi prévoit un cas d’exonération totale de la taxe. Il concerne les entreprises qui res- pectent deux critères précis et cumulatifs : une masse salariale annuelle brute inférieure à six fois le SMIC annuel et l’emploi d’un apprenti au moins durant l’année de réfé- rence. Calculée sur les salaires de l’année écoulée, la taxe d’apprentissage est due par les entreprises avant le 1er mars de l’année suivante. Ceux qui ne se seraient pas acquit- tés des sommes qui leur sont imputables prennent de gros risques et notamment celui de devoir payer le double ! En cas de cession d’activité, de cessation ou de liquidation judi- ciaire, une déclaration doit être effectuée dans les 60 jours. Ce délai est porté à six mois en cas de décès de l’employeur. ILS N’ONT RIEN À PAYER De par leur nature, certaines entreprises sont totalement dispensées du paiement de la taxe d’apprentissage. Cette courte liste comprend les sociétés et personnes morales dont l’objet exclusif est l’enseignement, quelle que soit leur forme. Libérés de toute contribution également, les groupements d’employeurs composés d’agriculteurs ou de sociétés civiles agricoles, eux-mêmes exonérés. L’État lui-même, les collectivités territoriales et leurs divers établissements publics ne sont pas assujettis non plus, tout comme certains offices publics d’habitat, établis en établissement public à caractère industriel et commercial. 13 C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N Le don en nature - des ordinateurs par exemple - permet de réduire le montant de la taxe d'apprentissage.
  • 14. Il souffre parfois d’une image faussée, comme s’il ne concernait que les recalés du système éducatif général. L’apprentissage réunit pourtant toutes les filières et s’avère une très bonne voie d’insertion durable dans la vie active. Explications. PAR MARTIN DE KERIMEL Un cadre éducatif adapté 14 ©DR L a France pourrait certainement mieux faire en matière d’apprentissage. Nombre d’exemples prouvent en tout cas que ce contrat de travail alternant s’adapte parfaitement aux emplois les plus diversifiés. Cette façon de travailler combine astucieusement un cursus théorique, dans un centre de formation d’apprentis, à la fac ou dans une grande école, avec la mise en pratique immédiate des compétences acquises. Elle fait donc aujourd’hui la preuve formelle de son efficacité, de nombreux jeunes apprentis s’insérant ensuite rapide- ment sur le marché du travail proprement dit, sans passer par la case chômage. Selon une note publiée en mars dernier par le ministère de l’Education nationale, 60% des apprentis trouvent en effet un emploi en contrat à durée indéterminée à l’issue de leur formation. Sept mois après, ils sont près de 65%. Côté employeurs, une autre étude récente établit que le contrat d’apprentis- sage apporte en général une solution inté- ressante, à court et à long terme. En termes statistiques, 82% des employeurs le jugent « fidélisant » et trois chefs d’entreprises sur quatre estiment que le coût qu’il représente est compensé par sa valeur ajoutée. Différents niveaux de diplômes Très concrètement, c’est dans son ensemble que le système éducatif français peut favori- ser l’apprentissage. Loin de n’être que l’ul- time bouée de secours destinée aux cancres, ce type de contrat est aussi tout à fait adapté aux études supérieures. Pour preuve, en 2014, et toujours selon les chiffres de l’Education nationale, près d’un apprenti sur trois (32,2 %) prétendait à un diplôme à bac +2 au moins – et jusqu’à bac +5. L’apprentissage concerne également des bacs pro et BP (22,2 % de l’ensemble des apprentis) et des CAP-BEP (43%). Les textes législatifs définissent cinq niveaux, numéro- tés en chiffres romains : I, II, III, IV et V. Plus le chiffre est bas, plus la formation est élevée. C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N En 2014, près d’un apprenti sur trois prétend à un diplôme à bac +2 au moins.
  • 15. ©DR ©DR INTERVIEW Damien Désir ÉTUDIANT EN MASTER À LA KEDGE BUSINESS SCHOOL (BORDEAUX) Vous êtes en apprentissage chez Orange Business Services, la branche du groupe Orange dédiée aux entreprises. Comment cela se passe-t-il ? Sur les douze mois de chacune de mes deux années d’alternance, je suis tenu d’en passer huit dans l’entreprise et quatre à l’école. Lors de cette première année, mes cours sont regroupés en cycles de quatre semaines. L’année prochaine, je les ferai tous d’un coup dans le cadre d’un échange. J’aimerais partir en Amérique latine, si possible au Mexique ou au Venezuela. Quel est l’avantage pour vous d’avoir un contrat d’apprentissage ? C’est le moyen d’être intégré dans l’entreprise et d’y avoir des responsabilités. Je suis considéré comme un vrai salarié. D’un point de vue financier, c’est intéressant aussi : Orange prend en charge le coût de ma formation. Une fois formé, pensez-vous avoir une chance d’être embauché chez Orange ? Des perspectives immédiates, je ne sais pas, mais Orange va recruter dans les cinq à dix années qui viennent. D’après ce que je vois, la promotion interne fonctionne bien. Ceux qui auront déjà une expérience dans la société auront sûrement une chance supplémentaire. Je suis considéré comme un vrai salarié Exemple : le niveau V concerne les apprentis en CAP, le III les BTS et DUT, le I les diplômes d’ingénieur et les masters. Les professions les plus diversifiées s’ouvrent donc aux étu- diants-apprentis, qu’elles soient manuelles ou de bureau. Bâtiment, commerce, hôtelle- rie, restauration, agriculture, esthétique… Les secteurs traditionnels demeurent de gros pourvoyeurs de contrats. L’apprentissage évolue aussi dans les services : les entrées y progressent tant que la plupart des apprentis sont formés dans le secteur tertiaire - 56% selon une étude publiée par le ministère du Travail en juillet dernier. Les autres secteurs demandeurs sont l’industrie (22,1 %), le commerce auto (18,8 %) et la construction (18,7%). Le BTP forme 80000 apprentis chaque année, celui de l’artisanat 200000. Quant à la filière alimentaire, elle devrait générer 150000 contrats d’ici à 2017. Si 55% des apprentis ont rejoint une société de moins de dix salariés, ils sont aussi plus de 17 % dans une très grande entreprise, supérieure à 250 salariés. Pour le recrute- ment post-apprentissage, ce sont les domaines de la santé (85%), de l’informa- tique (82 %) et du génie civil (77 %) qui s’avèrent les plus efficaces aujourd’hui. EN BONNE ET DUE FORME L’apprentissage repose bel et bien sur un contrat de travail. Les apprentis formés par les entreprises françaises sont donc rémunérés : selon le degré d’ancienneté dans l’entreprise et l’âge de l’apprenti, la loi définit précisément la rémunération due par l’employeur – une part variable du SMIC. Un certain nombre d’aides financières est consenti à l’employeur qui embauche un ou plusieurs apprentis. Ce système gagnant-gagnant permet aux entreprises de participer à la formation de leurs futurs collaborateurs. Hormis certains cas prévus par des conventions particulières, l’employé embauché en contrat à durée indéterminée au terme d’une formation en alternance ne pourra être soumis à une période d’essai. 15 C A D R E E T F I N A N C E M E N T L É G I S L A T I O N
  • 17. C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R R É G I O N S L’apprentissage, voie d’excellence À la rentrée 2014, les CFA franciliens ont ouvert plus de 3 500 nouvelles places et plus de mille métiers sont accessibles par l’apprentis- sage pour tous les niveaux de formation, du CAP au Master professionnel en passant par les diplômes des Grandes écoles. Depuis dix ans, la Région Île-de- France mise sur l’apprentissage en augmentant chaque année le budget qu’elle lui consacre. « Les besoins des entreprises franciliennes dans le secteur des services sont importants, c’est pourquoi nous avons fait le choix de soutenir son développement en ouvrant de nombreuses formations dans le supérieur, indique Jean-Paul Huchon, président de la Région Île-de-France. Cela a largement contribué à changer l’image de l’apprentissage, auparavant considérée comme une orientation par défaut et désormais vue comme une voie d’excellence». Avec 10% de son budget consacré à l’apprentissage, la région Île-de-France place cette forme d’enseignement au cœur de sa politique pour l’emploi. Plus de la moitié des apprentis franciliens sont inscrits dans le supérieur. ÎLE-DE-FRANCE Double compétence et internationalisation des cursus sont les atouts majeurs des formations franciliennes. PAR ROZENN GOURVENNEC 17 ©GettyImages/iStockphoto
  • 18. L’apprentissage, un levier contre le chômage L’apprentissage a en effet prouvé au fil des années son pouvoir de levier contre le chômage des jeunes : plus de 70% des apprentis trouvent un poste dans les sept mois après leur formation, dont 65% en CDI. Singularité de l’Ile-de-France, 55% sont inscrits dans le supérieur. Un fait qui s’explique, selon Jean-Paul Huchon, par la structure de l’économie francilienne : «En Île-de-France, les cadres et professions intellec- tuelles supérieures représentent 29 % de l’emploi francilien, contre 17% en France métropolitaine. Sans surprise, les apprentis suivent la même tendance : 58% des apprentis préparent une formation dans les services en Île-de-France contre 40 % au niveau national. Nous sommes aujourd’hui vigilants à ce que l’apprentissage dans le supérieur bénéficie à ceux qui en ont le plus besoin. Nous avons ainsi renforcé notre soutien sur les premiers niveaux de qualification (CAP et Bac pro) qui correspondent aux jeunes qui sont le plus en difficulté sur le marché du travail». Insérer les jeunes dans l’entreprise L’insertion des jeunes alternants dans un emploi durable est également un challenge que les entre- prises veulent relever. 112 grands noms du SDF 120 et du CAC 40 sont réunis depuis 1982 au sein de l’AFEP, l’Association françaises des entreprises privées, pour défendre leurs intérêts auprès des pouvoirs publics. L’association s’implique dans l’emploi des jeunes avec la démarche « Jeunes et entreprises », lancée en 2013. «Cette initiative part d’un constat : les grandes entreprises ont un rôle à jouer dans l’emploi des jeunes car elles ont les moyens financiers et humains de les former en alternance, indique France Henry- Labordère, directrice des affaires sociales à l’AFEP. Or, avec la crise, elles ne peuvent pas forcément les embaucher à l’issue de leur formation. D’où l’idée de la mise en place d’un portail «Engagement pour les jeunes», qui met en relation les jeunes en alternance et les PME-PMI susceptibles de les recruter, et ce, sur toute la France et dans tous les secteurs. D’un côté, les jeunes mettent en ligne leur CV sur cette base, de l’autre les entreprises y postent leurs offres d’emploi. 92 entreprises ont aujourd’hui rejoint ce portail. 1463 jeunes alternants y ont activé un compte. 1819 postes ont été ouverts aux jeunes diplômés. Les retours des entreprises sont très positifs ». C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R – Î L E - D E - F R A N C E – R É G I O N S 18 TÉMOIGNAGE Nicolas Burckel DIRECTEUR DU PÔLE ENTREPRISES DU GROUPE ESSEC «Pour la partie quota de la taxe d’apprentissage, nous percevons environ onze millions d’euros qui nous servent à financer les études de nos 660 étudiants en apprentissage. Pour la partie barème, qui sera réduite aux deux-tiers en raison de la réforme, nous devrions recevoir un million d’euros que nous utiliserons pour le matériel, le financement d’une vingtaine de chaires pour la spécialisation de nos étudiants, et le lancement de deux nouvelles formations : le Master of sciences Data scientists and business analysts et une nouvelle formule du BBA. Environ 1900 entreprises différentes nous reversent la taxe, mais 90% de la somme totale provient de 200 entreprises. Un-tiers des apprentis sont embauchés dans les entreprises qui les ont formés.» Environ 1900 entreprises différentes nous reversent la taxe, mais 90% de la somme totale provient de 200 entreprises. EN CHIFFRES 635 353 étudiants 17 universités Plus de 350 établissements d’enseignement supérieur non universitaires Source : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014.
  • 19. Attribuez à la formation des kinésithérapeutes CEE Institut de Formation en Masso-kinésithérapie agréé par le Ministère de la Santé Centre Européen en Rééducation et Réadaptation Fonctionnelle Campus Paramédical Porte de Paris - 36 rue Pinel 93200 Saint-Denis – www.ceerrf.fr zueibtrAt gesaisntrepp’ae daxe ttrvo stepeuraéthsiékinesn dioatrmfolaà
  • 20. TÉMOIGNAGE Élodie Bapst RESPONSABLE DU RECRUTEMENT ET DE LA MARQUE EMPLOYEUR CHEZ ALTRAN «Nous adressons le montant de notre taxe d’apprentissage à tous types de structures : les écoles d’ingénieurs et de commerces, mais aussi des universités, des lycées, des écoles de reconversion, des associations qui font la promotion de la filière ingénieur. C’est un moyen pour nous de gagner en visibilité auprès des étudiants. Altran est reconnu comme un acteur incontournable dans le marché de l’ingénierie, mais il est important de présenter aux jeunes le type de carrières possibles dans le groupe car le métier de consultant offre une infinité d’activités. Cela permet aussi de créer une relation privilégiée avec les structures pour intégrer des jeunes en stage, des alternants et des apprentis, dans l’optique d’en recruter certains par la suite.» La taxe d’apprentissage est un moyen pour nous de gagner en visibilité auprès des étudiants (…) et de créer une relation privilégiée avec les structures. Diversifier les sources de talents L’association ouvre aussi davantage les portes des grandes entreprises aux étudiants d’université titu- laires d’un Master 2, grâce au dispositif « Booster », mis en place en mars 2014. « Souvent les grandes entreprises recrutent des étudiants issus des écoles de management ou d’ingénieurs, poursuit France Henry-Labordère. Or, la diversification du recrute- ment est un facteur de richesse dans l’entreprise. Avec « Booster », les entreprises partenaires se rendent dans les universités pour rencontrer les étudiants et étudier ensemble leur projet profes- sionnel. Nous travaillons pour l’instant avec trois universités : Aix-Marseille, Pierre et Marie Curie et Sorbonne-Nouvelle. Nous nous sommes fixés d’ac- compagner une centaine d’étu- diants vers l’emploi en 2014 et pas moins de mille en 2015 ». Croiser les savoir-faire Pour répondre à la demande croissante des entreprises en profils double compétence, les établissements créent des par- tenariats. Objectif : mixer les savoir-faire des étudiants afin de déployer des formations encore plus pointues. L’Edhec Business School et l’ESTP Paris proposent par exemple un diplôme hybride axé sur le management et l’ingénierie. Telecom ParisTech et l’Ecole Polytechnique se sont associés à la rentrée 2014 pour créer le Master 2 Advanced Communica- tion Networks (ACN), une formation d’excellence dans le domaine des réseaux. L’ESSEC va lancer en septembre prochain un MSc in data sciences and business analytics dispensé conjointement avec l’Ecole Centrale Paris. « Le monde est devenu digital, note Jean-Michel Blanquer, directeur général de l’ESSEC. Aujourd’hui, l’objectif des entreprises est de recruter des talents qui ont intégré cette nouvelle donne, et pour cela, il faut inventer des formations d’un genre nouveau. L’ambition de l’ESSEC et de Centrale Paris est de former ces talents, notamment «Le monde est devenu digital. Aujourd’hui, l’objectif des entreprises est de recruter des talents qui ont intégré cette nouvelle donne, et pour cela, il faut inventer des formations d’un genre nouveau», note Jean-Michel Blanquer, directeur général de l’ESSEC. C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R – Î L E - D E - F R A N C E – R É G I O N S 20 7 pôles de compétitivité 81,9% de taux de réussite au bac (2012) 26 423 étudiants en CPGE 31 887 étudiants ingénieurs EN CHIFFRES Source : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014
  • 21. PARTICIPEZ À L’AMBITION DE CHIMIE PARISTECH ! TAXE D’APPRENTISSAGE 2014 Catégories C (+ B) COMMENT VERSER LA TAXE D’APPRENTISSAGE ? Chimie ParisTech est habilitée à percevoir la taxe d’apprentissage pour les catégories cadres supérieurs (C) et cadres moyens (B) (à condition de tenir compte de la règle du cumul pour la catégorie B). Pour verser la taxe d’apprentissage au titre de l’année 2014, vous devez obligatoirement adresser vos versements à un organisme collecteur (OCTA) agréé, avant le 1er mars 2014. Merci de préciser sur le bordereau de l’OCTA : École Nationale Supérieure de Chimie de Paris, (Chimie ParisTech), 11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Paris. Votre contact : Direction du Développement des Relations Industrielles et de la Formation Permanente Hélène Fischer, Responsable administrative 01 44 27 67 53 - drienscp@chimie-paristech.fr VOTRE CONTRIBUTION NOUS EST PRÉCIEUSE ! Chimie ParisTech est un établissement socialement responsable, engagé dans une procédure de mise aux normes qui devra conduire à la certification ISO 14001. L’École a le souci constant d’améliorer l’environnement général et technique dans lequel ses étudiants et enseignants s’épanouissent. Chimie ParisTech École Nationale Supérieure de Chimie de Paris 11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Paris www.chimie-paristech.fr Chimie ParisTech est membre fondateur de PSL www.parissciencesetlettres.org 100% d’insertion professionnelle des débouchés variés dans tous les domaines industriels Une formation qui couvre tous les domaines de la chimie chimie organique, chimie des matériaux, chimie physique, chimie analytique, génie des procédés, énergie, modélisation, ... Une formation importante en sciences humaines et sociales 110 chercheurs et enseignants-chercheurs De nombreux doubles diplômes Des petites promotions soudées par une vie associative intense Un important réseau d’écoles partenaires en France et à l’étranger ParisTech, Paris Sciences et Lettres, Fédération Gay-Lussac, IdeaLeague Un réseau académique et industriel international à travers 20 pays Un important réseau d’anciens élèves Des liens forts avec les entreprises partenariats, parrainage des promotions, stages, interventions d’industriels dans le cadre de séminaires, chaires d’entreprises, tables rondes et ateliers, visites d’usines et de centres R&D, conseil de perfectionnement composé d’industriels CHIMIE PARISTECH : EN FRANCE, LA MEILLEURE ÉCOLE D’INGÉNIEURS SPÉCIALISÉE EN CHIMIE
  • 22. dans le cadre de leur alliance». Cette formation com- mune portera à la fois sur les outils informatiques, l’analyse quantitative, la compréhension de l’environ- nement économique, et la manière pour le décideur d’évoluer dans son entreprise armé de cette connais- sance. « C’est un programme d’un genre nouveau car il ne s’agit pas d’un double diplôme, souligne Lionel Gabet, professeur des universités en mathématiques appliquées à l’Ecole Centrale Paris. Ce n’est pas la simple addition de nos expertises, mais la synthèse : un programme conçu, produit et dispensé en com- mun. Notre objectif est de former des managers qui seront d’emblée à 100% des dirigeants alliant culture scientifique et orientation business et qui seront essentiellement des digital leaders». Le luxe a la cote Autre filière d’excellence parisienne : le luxe. Un sec- teur qui plébiscite l’apprentissage pour transmettre les savoir-faire traditionnels et conserver son mono- pole sur le marché international. Le groupe INSEEC a inauguré en septembre dernier un Bachelor en com- mercialisation des vins et spiritueux et un MBA Wine C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R – Î L E - D E - F R A N C E – R É G I O N S 22 TÉMOIGNAGE Laura Ferri-Fioni CHEF DU DÉPARTEMENT STAGES, ORIENTATION, INSERTION PROFESSIONNELLE DE L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE PARIS «La taxe sert à financer différents outils pédagogiques : les équipements techniques des salles, des amphithéâtres et des laboratoires de recherche, les bourses des élèves en stage en France comme à l’international, les logiciels, l’accès aux banques de données de la bibliothèque, le déploiement du e-learning… Les entreprises donatrices sont aussi bien des grands groupes que des PME-PMI. Nous leur permettons de mieux se faire connaître auprès de nos étudiants. Et pour élargir le portfolio des entreprises partenaires, nous nous appuyons sur nos anciens élèves qui font passer le message auprès des sociétés dans lesquelles ils travaillent. Grâce à la contribution de ces entreprises, l’École fait évoluer en permanence son enseignement pour qu’il réponde aux enjeux du 21e siècle.» Grâce à la contribution des entreprises, l’École fait évoluer en permanence son enseignement pour qu’il réponde aux enjeux du 21e siècle. EN CHIFFRES + de 400 millions d’euros consacrés par la Région à l’apprentissage en 2013 163 CFA en 2014 Source : Région Île de France. ©GettyImages/iStockphoto
  • 23. Former des Psychomotriciens pour répondre aux grands plans de Santé Publique lancés par le Gouvernement Plan Maladies Neuro-dégénératives Troisième Plan Cancer • Plan Autisme • Plan Petite enfance Plan de santé au travail • Plan Psychiatrie • Création d’une fondation pour la recherche en psychomotricité et maladies de civilisation (Fondation de France) Former des Psychoomotriciens pour répondre aux PSYCHOMOTRICIEN DE* UN MÉTIER QUI A DU SENS Établissement d’enseignement supérieur libre agréé par le Ministère de l’Éducation Nationale et le Ministère de la Santé pour la préparation au diplôme d’État de psychomotricien - Autorisations Conseils Régionaux Ile de France et Provence Alpes Côte d’Azur TAXE D’APPRENTISSAGE DONNEZ UN AUTRE SENS À VOTRE VERSEMENT SITE POLE EURO-UNIVERSITAIRE DE SANTÉ Pour donner un autre sens à votre versement de Taxe d’Apprentissage, contactez Gérard Hermant. 19-25 rue Gallieni - 92100 Boulogne -Billancourt • Tél.: 01 58 17 18 50 • E-mail: taxe@isrp.fr www.isrp.fr À l’issue de 4 ans (1+3) d’études médicales et psy- chologiques, le psychomotricien intervient auprès: • D’enfants en difficulté scolaire • De personnes souffrant de handicap mental ou moteur • D’adultes en situation d’échec ou de blocage • De personnes âgées présentant des pathologies dégénératives • D’entreprises soucieuses de prévenir les risques liés au stress au travail. Nous attirons votre attention sur l’importance de la psychomotricité, citée dans les différents plans de Santé Publique gouvernementaux mentionnés ci-dessus. Les étudiants futurs professionnels attendent votre soutien pour que soient financées de nouvelles actions de formation plus spécifiques, toujours en lien avec ces pathologies nouvelles. Les deux ISRP de Paris et de Marseille sont habilités à recevoir la taxe d’apprentissage au titre du barème catégorie A pour Paris, B pour Marseille. En versant tout ou partie de votre taxe d’apprentis- sage à l’ISRP, vous contribuez à une amélioration de la formation, à une meilleure prise en charge future des pathologies psychomotrices et à la prévention des risques psychosociaux en entreprise. *DIPLÔMED’ÉTATDÉLIVRÉPARLEMINISTÈREDELASANTÉ ©photos:BenjaminBrolet TOUS, nous sommes ou nous serons concernés par la nécessité d’un développement psychomoteur harmonieux ou du maintien d’un équilibre personnel et d’une efficacité psychocorporelle.
  • 24. TÉMOIGNAGE Nathalie Gormezano DIRECTRICE GÉNÉRALE DE L’ISIT «La taxe d’apprentissage sert à financer l’année de formation en apprentissage par l’intermédiaire du quota pour les 40 apprentis de l’ISIT qui bénéficient chaque année de cette opportunité d’étudier une semaine sur deux à l’ISIT et en entreprise, pour l’obtention de leur Master. Avec le hors quota, nous développons une politique d’égalité des chances en attirant les meilleurs talents français et internationaux. Principalement via un dispositif de bourses suffisamment attractif et la gratuité des frais de scolarité pour des étudiants d’excellence issus des milieux les plus modestes. Pour accompagner le développement des formations au service des étudiants, nous avons également investi dans des modalités de transmission des savoirs innovants et interactifs.» Avec le hors quota, nous développons une politique d’égalité des chances en attirant les meilleurs talents français et internationaux. Marketing & Management accessible à bac+2. Son objectif : devenir le leader mondial de l’éducation sur le luxe, le vin et le digital. L’école de management Istec lance quant à elle un «Summer program» inti- tulé « French Business and Luxury Brand Manage- ment», une formation qui aura lieu tous les ans en été et qui répond aux besoins d’étudiants étrangers dési- reux de bénéficier de l’expertise française. L’American Business School propose depuis la ren- trée 2014 un «Bachelor in fashion, luxury and retail management » dédié aux métiers de l’industrie du luxe. Un secteur qui ne connaît pas la crise et où les débouchés sont nombreux à l’international. «Cette formation correspond à un besoin du marché, sou- ligne Jarlath Dillon, directeur du programme. Elle est conçue en partenariat avec des professionnels du luxe qui ont proposé, avant même l’ouverture du Bachelor, des stages et des postes à pourvoir de vendeurs online ou physiques. Le secteur du luxe prévoit une croissance d’environ 7% par an, grâce au développement de circuits de distribution dans les BRICS et les nouveaux marchés émergents que sont le Nigeria, la Turquie, la Malaisie, l’Indonésie. Il y a donc un important besoin en recrutement. Le fait de pro- poser une formation tout en anglais permettra aux jeunes diplômés de travailler à l’international». L’ouverture à l’international Pour asseoir une notoriété mondiale et permettre aux futurs cadres de construire une carrière au-delà de nos frontières, les grandes écoles jouent la carte de l’inter- national de différentes manières : programmes bilin- gues ou uniquement en anglais, doubles diplômes en France et à l’étranger, campus à l’autre bout du monde… À l’instar du groupe INSEEC qui va ouvrir un campus à San Francisco courant 2015 et qui déve- loppe des partenariats avec Shanghaï, Genève, la Corée du Sud et le Japon. Ou encore l’IDRAC Business School qui s’implante en République Tchèque avec l’ouverture d’un campus à Brno. De son côté, l’école d’ingénieurs EPF propose une formation franco-alle- mande en collaboration avec la Hochschule de Munich. Un cursus en alternance géographique pendant cinq ans qui permet d’obtenir un diplôme conjoint en pro- duction et automatisation. Réservé aux excellents étudiants à la fois en langues et dans leur spécialité ! C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R – Î L E - D E - F R A N C E – R É G I O N S 24 103 591 apprentis au 15 janvier 2014 55% des apprentis inscrits dans le supérieur 28% d’étudiants étrangers EN CHIFFRES Sources : Étude BVA/Campus France - Région Île de France.
  • 25. M A R C O R E L LES MÉTIERS DU GRAPHISME ET DE LA COMMUNICATION Marcorel – 16, villa Frédéric Mistral 75015 Paris – 01 53 98 88 44 info@marcorel.com – www.marcorel.com FORMER DES PROFESSIONNELS OPÉRATIONNELS SUR LE TERRAIN FORMATIONS CERTIFIANTES NIVEAU III infographiste chaîne graphique infographiste multimédia FORMATIONS CERTIFIANTES NIVEAU II cricom (concepteur-réalisateur en communication) FORMATIONS SUR MESURE MODULES COURTS parcours professionnalisants Nos formations longues ou sur mesure s’adressent à un public très large (entreprises, salariés, travailleurs indépendants, demandeurs d’emploi…) N’hésitez pas à nous contacter, nous étudierons ensemble votre solution de financement (CIF, DIF/CPF, PSE, CSP, VAE...) Établissement privé, enregistré sous le numéro 11754771875. Cet enregistrement ne vaut pas agrément de l’État. FORMATIONS CERTIFIANTES
  • 26. Bienveillance - Exigence - Excellence Donnez du sens À VOTRE TAXE Partager un projet centré sur l’accompagnement des apprentis Comment nous verser la taxe d’apprentissage ? Vous devez verser votre taxe par l’intermédiaire d’un OCTA agréé (Organisme Collecteur de Taxe d’Apprentissage). Le CFA Stephenson est habilité à percevoir la totalité de la taxe d’apprentissage : quota/hors quota* ainsi que la CSA. Vos instructions doivent indiquer : nom du bénéficiaire : CFA Stephenson / n° établissement : 0752206R. *en complément du montant versé au titre du solde du quota lorsque ce montant est inférieur à celui des concours obligatoires dus au CFA Stephenson. Votre contact au CFA Stephenson Nathalie BEDER, Directrice des Relations Entreprises Tél. +33 (0)1 44 92 88 53 - Mail. nbeder@cfa-stephenson.fr Développer une offre de formation adaptée Promouvoir l’alternance comme formation d’excellence
  • 27. C F A S T E P H E N S O N RELATION CLIENT ET MANAGEMENT COMMUNIQUÉ F ace aux enjeux de recrutement et de fidélisation des collaborateurs, le CFA Stephenson, en veille permanente sur les problématiques économiques et sociales, répond aux exigences de l’entreprise en pro- posant une solution globale : une équipe struc- turée étudie les besoins, met en place des actions de pré-recrutement, organise des journées de recrutement et simplifie les pro- cédures administratives. Pourquoi nous confier la taxe ? Favoriser la culture de la relation entreprise : création d’un département dédié aux relations avec les entreprises afin d’apporter des solutions adaptées à leurs besoins et permettre la sécurisation du par- cours des apprentis en les accompagnant, dès la recherche d’un contrat d’apprentis- sage jusqu’à l’obtention du diplôme et l’inser- tion en entreprise. Pour cela ils sont suivis par des formateurs « Chargés de Relations Entreprises », eux-mêmes issus de la profes- sion qui connaissent les prérequis des entre- prises, se rendent sur le terrain, co-réalisent des bilans avec les maîtres d’apprentissage. Eviter les ruptures en cours de for- mation : accompagnement personnalisé tout au long de l’année par des formateurs référents, création d’outils éveillant les jeunes à une démarche « compétences » et à la valo- risation de leur employabilité. Encourager l’ouverture : création d’un poste de « responsable projet handicap et développement international ». En relation avec les associations, participer aux engagements citoyens des entreprises dans leur démarche handicap. Grâce à l’obtention du label « ERASMUS + », le CFA Stephenson renforce la qualité de l’apprentissage à l’échelle européenne. FORMER DES APPRENTIS QUI PARTICIPERONT DEMAIN AU SUCCÈS DE L’ENTREPRISE, LES ACCOMPAGNER VERS L’EXCELLENCE : C’EST NOTRE VOCATION. CONTRIBUER AU DÉVELOPPEMENT D’UNE OFFRE PÉDAGOGIQUE CONFORME À VOS EXIGENCES : C’EST VOTRE CHOIX. 48, rue Stephenson 75018 PARIS - France Tél + 33 (0)1 44 92 88 88 - Fax +33 (0)1 44 92 88 54 www.cfa-stephenson.fr ≥ DIPLÔME Diplôme d’État ≥ SECTEURS Commerce - Hôtellerie - Tourisme Vente/Négociation - Banque ≥ STATUT CFACentre Formation d’Apprentis ≥ JEUNES FORMÉS/AN 1 200 ≥ FORMATIONS 30 formations du CAP au Master II ≥ RÉSULTATS 88%de réussite aux examens ≥ SUIVI DES JEUNES 1 700visites en entreprise/an
  • 28. Nous formons vos apprentis, vos futurs collaborateurs, vos futurs interlocuteurs... Contribuez, dès aujourd'hui au développement de l'apprentissage. Contribuez, dès aujourd’hui à la qualité de leur formation. Contribuez dès aujourd’hui à l’ouverture de nouvelles formations. Contribuez dès aujourd’hui à faciliter l'insertion professionnelle. CFA TRAJECTOIRE UAI 0782093 B
  • 29. C F A CFA ACADEMIQUE TRAJECTOIRE 0782093 B COMMUNIQUÉ L e CFA TRAJECTOIRE (UAI 0782093 B) est un centre de formation crée en 1993 à l’initiative du ministère de l’éducation nationale, la Région Ile de France, des entre- prises. Le CFA TRAJECTOIRE organise chaque année au profit de 430 apprentis, des formations de qualité du CAP à la licence pro, préparant aux métiers de l’hôtellerie, de la restauration, du management, du tourisme, de l’alimentation et du commerce. Le CFA TRAJECTOIRE est composé de plusieurs antennes : • CFA du lycée Hôtelier et du tourisme de GUYANCOURT (78) • Université de Versailles/Saint Quentin (78) • UFA du lycée Camille CLAUDEL à Mantes la ville (78) • UFA du lycée Santos Dumont à Saint Cloud (92) • UFA du lycée Auguste Escoffier à Eragny (95) • UFA du lycée St Pierre à Brunoy (91) Nos 6 établissements réunissent des forma- tions de la filière professionnelle du CAP au MASTER, en formation initiale et continue, sous statut scolaire ou par l’apprentissage avec + de 3000 élèves sous statut scolaire. Nos engagements : Mutualiser les outils et ressources péda- gogiques, valoriser l’apprentissage et les démarches innovantes, développer les passe- relles, maitriser les coûts de formation, adap- ter nos enseignements aux nouvelles techno- logies, développer la mobilité internationale. Nos élèves inscrits sur les dispositifs passe- relles (SDAM, passerelle Handicap, passerelle Universitaire) effectuent des stages dans les entreprises. Nos élèves en formation initiale sous statut scolaire (CAP,BAC PRO, MC, BTS, MAN) effectuent des stages dans les entre- prises de 16 à 22 semaines en fonction des diplômes en France et à l’étranger. Contribuez, dès aujourd’hui à la qualité de leur formation. Nous développons l’apprentissage. Contribuez dès aujourd’hui à l’ouverture de nouvelles formations. Nous développons l’enseignement technique. Contribuez dès aujourd’hui à faciliter l’insertion professionnelle. LA TAXE D’APPRENTISSAGE REPRÉSENTE NOTRE PRINCIPALE SOURCE DE FINANCEMENT POUR NOS FORMATIONS : NOUS FORMONS VOS APPRENTIS, VOS FUTURS COLLABORATEURS, VOS FUTURS INTERLOCUTEURS. CFA TRAJECTOIRE (Siège social) UAI 0782093 B Place François RABELAIS - BP 67 - 78042 GUYANCOURT Tél. : 01 30 96 12 01 - Fax : 01 30 44 24 91 www.cfa-trajectoire-hotellerie.ac-versailles.fr STATUT CFA ACADEMIQUE DIPLÔMES 15diplômes du niveau V au niveau II UNITÉS DE FORMATION 6en Île de France APPRENTIS 430(+ 15%) ÉTUDIANTS +de3000élèves dans nos établissements TAUX DE RÉUSSITE 92% TAUX D’INSERTION 90% TAUX DE RUPTURE EN ALTERNANCE -9%(moyenne 20%)
  • 30. DEVENEZ PRÉPARATEUR EN PHARMACIE envie de travailler en officine ? Formation gratuite et rémunérée 2 ans d’alternance en officine Insertion professionnelle garantie INFORMATIONS ET INSCRIPTIONS sur CFPP.org
  • 31. PHARMACIE / COMMERCE / SERVICE À LA PERSONNE CFA DE LA PHARMACIE PARIS ILE DE FRANCE COMMUNIQUÉ Parce que nous subventionner, c’est : • Assurer aux 1000 jeunes que nous formons chaque année une formation de qualité, • Offrir à nos entreprises partenaires - (pharmacies officinales et hospitalières, parapharmacies, maisons de retraites, crèches, centres de rééducation) - des collaborateurs efficaces et pro- fessionnels. • Accompagner nos diplômés tout au long de leurs carrières avec nos formations continues. En 2014, 24% du financement de nos formations a été assuré par la perception de la taxe d’apprentissage. Cette subvention, certes modeste, nous a permis de poursuivre des actions indispensables à la formation de ces futurs professionnels : • Maintien du niveau de formation des jeunes qui nous sont confiés, • Développement de nos capacités d’innovation pédagogique, • Adaptation des formations, • Renforcement de nos relations avec les professionnels. Notre dynamisme, notre volonté de coller au terrain, notre responsabilité face aux jeunes et aux entreprises qui nous font confiance ont besoin de soutien financier. La dernière réforme de la taxe d’apprentissage restreint nos habilitations et fragilise un équilibre déjà précaire. Pour maintenir nos filières d’apprentissage et garantir notre pérennité, nous vous serions reconnaissants de nous affecter vos versements dans les catégories QUOTA et/ou CSA, lors de votre règlement à votre OCTA. Nous espérons vivement que vous nous accorderez votre confiance. Au nom de l’ensemble des apprentis et du personnel du Centre, nous vous adressons nos plus sincères remerciements. Françoise TISSEUIL Michel BAZENNERYE, Pharmacien, Présidente de l’ACPPP Pharmacien, Directeur du CFA Et si cette année vous souteniez notre centre de formation avec votre taxe d’apprentissage ? DEPUIS PLUS DE 60 ANS, NOUS FORMONS LES JEUNES EN ALTERNANCE AUX MÉTIERS DE LA PHARMACIE ET DE L’AIDE À LA PERSONNE, FONDANT NOS ENSEIGNEMENTS SUR LA RIGUEUR ET LE SÉRIEUX INHÉRENTS AUX MÉTIERS. CFPP : 59 rue Planchat - 75020 Paris Tél. 01 43 56 30 30 - www.cfpp.org DIPLÔMES D’ÉTAT PRÉPARÉS BP Préparateur en Pharmacie BAC PRO Commerce et ASSP ÉTUDIANTS ALTERNANTS 1000 STAGIAIRES 170(formation continue) FORMATEURS 55dont 32professionnels
  • 32. .taxe2015.frwww • 01 55 65 68 50.taxe2015.frwww
  • 33. DES SERVICES À VOTRE SERVICE Appui juridique : 01 55 65 68 50 infotaxe@cci-paris-idf.fr Tout sur la taxe d’apprentissage calcul, déclaration et paiement sécurisé en ligne : www.taxe2015.fr Votre CCI vous propose également : • une newsletter spéciale mi-janvier, • une rencontre dédiée le 13 janvier 2015, • le guide pratique 2015. Rendez-vous : www.dfcta.cci-paris-idf.fr Retrouvez-nous : QUI MIEUX QUE NOUS VOUS PERMET D’INVESTIR DANS L’AVENIR GRÂCE À LA TAXE D’APPRENTISSAGE. Plus qu’un simple organisme collecteur, votre CCI est à votre écoute et à votre disposition pour vous informer sur la taxe d’apprentissage et faciliter vos démarches tout au long de l’année. Au quotidien, elle innove pour mieux vous accompagner et vous simplifier la gestion de votre taxe d’apprentissage. En choisissant votre CCI, reposez vous sur un professionnalisme reconnu et comptez sur une disponibilité, une efficacité et une transparence exemplaires. CHOISISSEZ LA PRESTATION QUI VOUS CONVIENT LE MIEUX Formule internet • aide au calcul de votre taxe sur internet, • possibilité de déclarer et régler en ligne. Formule papier Vous nous adressez : • le premier exemplaire de votre déclaration de versement signée, • les pièces justificatives de vos déductions, • le règlement à l’ordre de la CCI Paris IDF. Vous recevrez : • un accusé de réception de votre paiement avec le numéro de votre dossier, vous permettant un contact simplifié. • un état des reversements qui seront effectués en votre nom, que nous vous proposons pour accord, avant envoi des règlements aux établissements bénéficiaires. • le reçu libératoire au titre des versements d’apprentissage et le cas échéant, de la CSA. Nous nous chargeons • de vérifier l’ensemble de votre dossier, • d’informer les CFA et sections d’apprentissage des montants que vous leur versez avant le 16 mai, • d’établir votre reçu libératoire, • de verser vos fonds aux établissements habilités de votre choix, • de reverser la part revenant au Trésor Public, • d’assurer le suivi complet de votre dossier auprès de l’administration fiscale. DIRECTION DES FORMALITÉS ET DE LA COLLECTE DE LA TAXE D’APPRENTISSAGE 6 avenue de la Porte de Champerret CS10040 - 75849 Paris cedex 17 WWW.DFCTA.CCI-PARIS-IDF.FR www.taxe2015.fr C O M M U N I Q U É
  • 34. L’ÉCOLE DE L’INGÉNIERIE ÉCO-ÉNERGÉTIQUE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE L’ENSIATE est parfaitement adaptée à l’ensemble des métiers d’avenir dans les domaines de l’énergie, de l’environnement et du développement durable. Nous formons des professionnels multi-compétences en phase avec les besoins de recrutement des entreprises. Notre formation fait une large place à la profes- sionnalisation au travers du principe d’alternance en entreprise. La présence de professeurs en activité dans des entreprises et un coaching réalisé par des chefs d’entreprise et des cadres, externes à l’ENSIATE, permet à nos élèves de béné- ficier d’un accompagnement de tuteurs séniors. L’éco-énergétique conjugue les quatre savoir-faire dans le domaine des énergies (classiques et renouvelables). Nos élèves deviennent des experts techniques de premier ordre dans des domaines très recherchés : • les énergies et la thermique • le traitement de la pollution • l’efficacité énergétique • le génie climatique Ils bénéficient, à la sortie de l’ENSIATE, d’une expérience réelle de l’ordre de deux ans, du fait de leurs études en cycle alterné. Les élèves, issus de l’ENSIATE, sont d’autant plus recherchés qu’ils possèdent, aux yeux des entreprises, ces deux caractéristiques déterminantes, l’expertise et l’expérience. La grande majorité des étudiants est embauchée dès la fin de leurs études. Le cycle alterné école/ entreprise de dernière année s’effectue de plus en plus souvent dans le cadre d’un contrat de travail. PENSEZ À LA PLANÈTE, OUI, PENSEZ À SOI, AUSSI. UN MÉTIER, UN EMPLOI, DES OPPORTUNITÉS POUR TOUS. DES FORMATIONS NOUVELLES DANS L’ÉNERGIE ET L’ENVIRONNE- MENT, LE GÉNIE CLIMATIQUE ET LES ÉNERGIES RENOUVELABLES, L’ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE. TITRE NIVEAU 1, BAC+5,RECONNU PAR L’ÉTAT. ENSIATE : 79, rue Charles Duflos - 92270 Bois Colombes Tél. : 01 47 84 81 39 - email : ensiate@ensiate.fr - www.ensiate.fr ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR D’INGÉNIERIE APPLIQUÉE À LA THERMIQUE, À L’ENERGIE ET À L’ENVIRONNEMENT
  • 35. E N S E I G N E M E N T S U P É R I E U R D ’ I N G É N I E R I E A P P L I Q U É E ENSIATE COMMUNIQUÉ Notre Projet Grâce à votre aide, nous serons en mesure d’améliorer notre plate‐forme technique des‐ tinée aux travaux pratiques et à la recherche et développement. Performance et Innovation Nos élèves expérimentent sur ces bancs d’essais, les dernières technologies liées : • aux énergies renouvelables, • Photovoltaïque, • Solaire thermique, • Eolien, • au génie climatique, • pompe a chaleur, • CTA Centrale de traitement de l’air, • à la performance énergétique du bâtiment, • à la CO‐Génération. La plate‐forme utilisée par nos élèves est également ouverte pour la formation Profes‐ sionnelle des entreprises. Ce projet a reçu le concours du FEDER Fonds Européen de Développement Régional DEPUIS 2003 NOUS FORMONS NOS ÉLÈVES À L’ECO‐ÉNERGÉ‐ TIQUE. EN VERSANT VOTRE TAXE D’APPRENTISSAGE À L’ENSIATE, POUR LES CATÉGORIES B ET C, VOUS PARTICIPEZ AU DÉVELOPPE‐ MENT DE NOTRE PROJET, ET VOUS PERMETTREZ À NOS ÉTUDIANTS DE DEVENIR LES FUTURS EXPERTS DE VOS ENTREPRISES. ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR D’INGÉNIERIE APPLIQUÉE À LA THERMIQUE, À L’ÉNERGIE ET À L’ENVIRONNEMENT 79 rue Charles DUFLOS ‐ 92270 BOIS COLOMBES Tél. 01 47 84 81 39 ‐ email : ensiate@ensiate.fr ‐ www.ensiate.fr STATUT Association loi 1901. Titre niveau 1, bac +5 reconnu par l’état ÉTUDIANTS 250 ENSEIGNANTS 6professeurs permanents et 40vacataires DIPLÔMÉS 300 Voici comment les fonds de votre taxe d’apprentissage seront utilisés par notre école.
  • 36. L’ENS L’école Normale Sociale c’est : • un centre de formation aux métiers du vivre ensemble • un centre social, l’Espace Torcy, un lieu d’engagement et de promotion sociale et collective INformatIoNS : 2, rue de torcy - 75018 ParIS contact@ensparis.fr tél : 01 40 38 67 00 L’ENS est une association loi 1901 L’ENS est membre adhérent de l’UNAFORIS, du PREFAS-GRIF et de la Fédération des centres sociaux et sociaux culturels de Paris et de France. Solidarité Partage Citoyenneté laboratoire du travail social Sa vocation : • former aux métiers du travail social, en formations initiales, supérieures et continues • appliquer son expérience dans son centre social, espace d’animation ouvert sur le quartier de La Chapelle à Paris et ses habitants ensparis.fr ’ ’
  • 37. É C O L E N O R M A L E S O C I A L E ENS COMMUNIQUÉ Soutenir la formation au travail social : un investissement pour l’avenir Interview de Martine Trapon, Directrice générale de l’ENS. QUELLE EST LA SPÉCIFICITÉ DE L’ENS ? L’ENS est à la fois un lieu d’apprentissage et un lieu d’intervention sociale : l’ENS est pionnière depuis 1911 dans le travail social, et notamment dans la formation des travailleurs sociaux, de la préparation aux concours d’entrée en formation sociale aux diplômes d’Etat d’assistant de service social (DEASS) ; et depuis 1987, l’ENS est aussi un centre social, l’Espace Torcy. POURQUOI SOUTENIR LA FORMATION AU TRAVAIL SOCIAL ? Le travail social est un espace de rencontre et d’échanges qui permet d’accompagner les personnes, de les aider à surmonter leurs difficultés, de les guider dans leurs démarches. L’action sociale nous concerne tous : l’amélio- ration de chaque situation individuelle concourt à l’équilibre de toute la société. C’est pourquoi la formation à l’action sociale est un investisse- ment pour l’avenir. QUE REPRÉSENTE LA TAXE D’APPRENTISSAGE POUR L’ENS ? Elle est une ressource indispensable à notre centre de formation. Les actions soutenues grâce à cette contribution permettent de parti- ciper au financement de voyages d’études et à l’amélioration de nos outils pédagogiques. Nous sommes habilités à recevoir la taxe d’apprentissage hors quota pour le niveau Bac +2, catégorie B, et la formation au DEASS est celle susceptible de recevoir la Taxe. POURQUOI VERSER CETTE TAXE À L’ENS ? En nous soutenant, vous faites plus que donner à nos étudiants des moyens leur permettant de suivre leur formation dans les meilleures condi- tions : vous vous inscrivez avec nous dans une démarche solidaire et une action citoyenne. TÉMOIGNAGE DE RIHAM, en formation initiale d’Assistante de service social. «Grâce à la taxe d’apprentissage, nous sommes partis à Berlin pour un projet d’étude sur l’appropriation de l’espace urbain et la création de jardins partagés. Nous avons découvert la spécificité de chaque jardin, leur finalité, leur organisation, en rencontrant les responsables et les adhérents. Une expérience très formatrice !» NOTRE VOCATION EST DE FORMER DES PROFESSIONNELS À UNE ACTION SOCIALE CITOYENNE, COLLECTIVE ET TERRITORIALE. EN VOUS ENGAGEANT À NOS CÔTÉS, VOUS PARTICIPEZ À UNE DÉMARCHE SOLIDAIRE. 2, rue de Torcy - 75018 Paris Tél + 33 (0)1 40 38 67 00 contact@ensparis.fr www.ensparis.fr DIPLÔME De Bac + 2 à Bac + 5 ÉTUDIANTS EN 2013 160en formation initiale et 80en formation supérieure INTERVENANTS 6cadres permanents et 140universitaires et intervenants de terrain RÉSULTATS 80%de réussite aux examens
  • 38. Un versement obligatoire qUi peUt devenir une action de santé publique Laformations’inscritdansunedynamiquereposantsurdeséchangesréciproquesentreformateur et apprenant ainsi que sur une pédagogie visant à rendre l’étudiant acteur de sa formation taxe d’apprentissage 2015 nos formations CNIT 3 - 2 place de la Défense 92 800 PUTEAUX Tel: 01 41 45 66 01 votre soUtien noUs est indispensable, nous comptons sur vous ! Infirmiers/ères Aides-soignants/tes Auxiliaires de puériculture
  • 39. I F S I INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS COMMUNIQUÉ L’Institut de Formation en Soins Infirmiers de l’Institut Hospitalier Franco-britannique a été créé en 1959. Installé d’abord à LEVALLOIS- PERRET il a déménagé en août 2014 au CNIT 3 à la Défense dans des locaux spa- cieux et modernes situés dans un envi- ronnement prestigieux. L’IFSI comprend deux départements de formation : • Un département de formation initiale ; • Un département de formation continue. Le département de formation initiale dispense les formations suivantes : • Diplôme d’Etat d’infirmier/ère : 90 étudiants par promotion, 3 années de formation. Rentrée en septembre. • Diplôme d’Etat d’aide-soignant/te : 60 élèves par promotion, 1 année de formation. Rentrée en janvier. • Diplôme d’Etat d’auxiliaire de puériculture : 45 élèves par promotion, 1 année de formation. Rentrée en septembre. • Diplôme d’Etat d’infirmier/ère pour les médecins titulaires d’un doctorat en médecine obtenu hors de la Communauté Européenne. Le département de formation continue assure les formations suivantes : • VAE (Validation des Acquis de l’Expé- rience) pour les aides-soignants/tes les auxiliaires de puériculture. • Formation à l’AFGSU (Attestation de Formation aux Gestes et Soins d’Urgence). • Formations d’approfondissement destinées aux infirmiers/ères (tutorat, analyse des pratiques professionnelles…). • Préparation aux concours d’entrée en formation infirmière, aide-soignante et auxiliaire de puériculture. Résolument tourné vers l’avenir l’IFSI a signé la Charte ERASMUS et crée un parte- nariat avec différents pays européens, il est aussi engagé dans une charte qualité. L’évolution des techniques nous oblige à développer en permanence nos outils de formation et à actualiser les connaissances, la taxe d’apprentissage constitue donc une partie importante de nos ressources. Elle nous permet notamment d’acquérir le matériel informatique, multimédia et pratique nécessaire à la formation de professionnels compétents répondant aux besoins de santé des populations de notre bassin d’emploi. Un versement obligatoire qui peut devenir une action de santé publique. Votre soutien nous est donc indispensable nous comptons sur vous ! NOTRE IFSI DIPLÔME CHAQUE ANNÉE 90 INFIRMIERS/ÈRES, 60 AIDES-SOIGNANTS/TES, 45 AUXILIAIRES DE PUÉRICULTURE. GRÂCE À VOTRE SOUTIEN LES ÉTUDIANTS POURRONT BÉNÉFICIER D’UN ÉQUIPEMENT INFORMATIQUE, MULTIMÉDIA ET PRATIQUE QUI CONTRIBUERA À LA QUALITÉ DE LA FORMATION DISPENSÉE. INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS INSTITUT HOSPITALIER FRANCO-BRITANNIQUE CNIT 3 - 2 place de la Défense - 92800 PUTEAUX Tél. 01 41 45 66 01 - www.ifsi-ihfb92.fr
  • 40. VERSEZ VOTRE TAXE D’APPRENTISSAGE À L’INFA UN INVESTISSEMENT POUR VOTRE ENTREPRISE UN SOUTIEN À NOTRE ACTION XEATTREOVVERSEZ AINF’LÀGEAPPRENTISSA’D ENTREPRISETREOVPOURINVESTISSEMENTUN TIONCATRENOÀSOUTIENUN Pour tout savoir sur la TAXE D’APPRENTISSAGE Emmanuelle ROISIN ROGIE Tél. : 01 45 14 64 63 Mail : eroisinrogie@infa-formation.com CONTACTEZ 70 ans d’expérience au service de la qualification professionnelle de vos salariés • Une offre de formation adaptée en permanence à vos besoins et à l’évolution des métiers, • Un champ d’intervention complet : orientation, aide à la construction de projet professionnel, bilan de compétences, accompagnement démarche de validation des acquis de l’expérience (V.A.E.), Formation Ouverte et ADistance(FOAD),formationprofessionnellequalifiante,formationcontinuesurmesure(intraouinterentreprises), formation en alternance (contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation). Une offre de formation multi-filières : Tourisme de loisirs et d’affaires Hôtellerie - Restauration Social - Médico-social - Animation Commerce -Vente -Téléservices Audiovisuel - Multimédia Métiers d’art et du spectacle 40 lieux de formation en France www.infa-formation.comomtion.corma.infa-fwwww ww.infa-formation.comomtion.corma.infa-fwww omtion.corma.infa-fwww
  • 41. C F A M U L T I M É T I E R S E N Î L E D E F R A N C E INSTITUT NATIONAL DE FORMATION ET D’APPLICATION COMMUNIQUÉ L ’INFA (Institut National de Formation et d’Application) est une association à but non lucratif issue du Centre de Culture Ouvrière, créé en 1945, qui oriente, accompagne et forme avec passion, chaque année, au travers de ses différentes composantes, des milliers de jeunes et d’adultes en vue de favoriser leur réussite par la qualification professionnelle. Dans un contexte de chômage élevé, l’ambition de l’INFA est de contribuer à faciliter l’accès ou le retour à l’emploi, la reconversion et la mobilité professionnelle ou la promotion des jeunes et adultes accueillis chaque année dans ses centres, par une offre de formation répondant aux besoins des entreprises et grâce à un travail pédagogique élaboré, héritage d’une longue pratique de la formation professionnelle qualifiante des adultes. La taxe d’apprentissage : un soutien indispensable pour mener à bien nos projets Les premières formations technologiques et professionnelles ainsi que l’apprentissage, qui sont financées en partie par cette taxe, consti- tuent des voies d’avenir pour les jeunes que nous accueillons en formation. L’INFA et le CFA de l’INFA ont besoin de votre contribution pour : • Continuer à améliorer la communication auprès des jeunes et attirer plus de jeunes vers les métiers préparés par la voie de l’ap- prentissage. • Poursuivre l’introduction de la formation ouverte et à distance (FOAD) dans toutes nos formations au travers de la plate-forme d’en- seignement à distance « INFA Chorus ». • Renforcer la relation terrain professionnel / centre de formation, afin d’optimiser la pro- fessionnalisation • Maintenir à niveau notre matériel pédago- gique afin que les jeunes soient formés au plus près de la réalité des environnements de travail des entreprises. • Développer l’apprentissage en ouvrant de nouvelles formations répondant aux besoins d’emploi et de qualification des entreprises. L’INFA, UNE AMBITION. FACILITER L’ACCÈS OU LE RETOUR À L’EMPLOI, LA RECONVERSION ET LA MOBILITÉ PROFESSIONNELLE OU LA PROMOTION DES JEUNES ET ADULTES ACCUEILLIS CHAQUE ANNÉE DANS SES CENTRES, PAR UNE OFFRE DE FORMATION RÉPONDANT AUX BESOINS DES ENTREPRISES. INFA - Siège social et centre de formation Île de France 5-9, rue Anquetil - 94130 NOGENT SUR MARNE www.infa-formation.com www.facebook.com/INFA.FORMATION - Twitter @infaformation SECTEURS 6filières de formation 150cycles de formation préparant à plus de 50métiers CHIFFRES 20000 personnes formées par an 40lieux de formation en France
  • 42. Le traitement d’avenir contre Les maLadies est entre vos mains Maladies infectieuses, cancers, maladies du cerveau… En versant votre taxe d’apprentissage 2015 au Centre d’enseignement de l’Institut Pasteur, vous serez à l’origine des grandes découvertes à venir. Centre d’enseignement de l’Institut Pasteur : ➜ 500 nouveaux chercheurs formés chaque année. ➜ 500 nouveaux espoirs de découvertes. taXe d’aPPrentissaGe 2015 Pour toute question sur la Taxe d’apprentissage : 01 45 68 81 11 - taxe-apprentissage@pasteur.fr 25-28, rue du Docteur Roux - 75724 Paris Cedex 15 - www.pasteur.fr ©Maxyma-masterfile
  • 43. R e c h e R c h e b i o m é d i c a l e Centre d’enseignement de l’institut Pasteur COmmuniQuÉ D epuis la création en 1889 du premier cours de microbiologie au monde, l’enseignement constitue une des missions de l’Institut Pasteur, avec la recherche et la santé publique. Formation reconnue au niveau international, le Centre d’Enseignement de l’Institut Pasteur offre un dispositif exceptionnel : situé au cœur d’un campus où sont implantés nos laboratoires et nos plateformes technologiques, il accueille tout à la fois étudiants, scientifiques, médecins, pharmaciens, ingénieurs et vétérinaires. Fidèles à la tradition pasteurienne, les cours s’organisent en 3 pôles thématiques : Biologie des microorganismes (Centré sur l’étude des microorganismes pathogènes, bactéries, champignons et virus), Epidémiologie et santé publique (Consacré à l’épidémiologie et à la santé publique dans le domaine des maladies infectieuses et tropicales) et Mécanismes du vivant (Dédié aux mécanismes fondamentaux du vivant, de la molécule à la cellule et à l’organisme) Assurés par des scientifiques de haut niveau, les cours mettent l’accent sur les interactions entre les intervenants et les participants, ainsi que sur l’expérience acquise lors des travaux pratiques et des discussions. En partenariat avec les universités d’Ile-de- France et le Cnam, de nombreux cours sont accrédités dans des cursus universitaires de masters 2 (M2), de formations doctorales et du mastère spécialisé en santé publique, ou peuvent donner lieu à l’obtention de diplômes d’université (DU). Demain, ces nouveaux chercheurs mettront leurs connaissances et leur curiosité au service de la lutte contre les maladies du XXIe siècle. Centre de QualitÉ reCOnnu au niveau internatiOnal, le Centre d’enseignement de l’institut Pasteur fOrme les meilleurs CherCheurs POur vainCre les maladies. 500 nOuveaux CherCheurs sOnt fOrmÉs ChaQue annÉe, Ce sOnt 500 nOuveaux esPOirs de dÉCOuvertes… Diplômes 30 formations diplômantes de niveau de 2nd cycle universitaire 1 programme doctoral international «Pasteur-Paris University international doctoral program» 500 nouveaux chercheurs formés chaque année 750 conférenciers français et étrangers 30 formations diplômantes 27 cours proposés 60 nationalités représentées Centre d’enseignement de l’institut Pasteur 25-28 rue du docteur roux 75724 Paris Cedex 15 www.pasteur.fr/enseignement
  • 44. 5, Terrasses de l’Agora • 91034 EVRY CEDEX Tél. : 01 60 79 47 47 • Fax : 01 60 79 34 39 www.irfase.com • Email : irfase.idf@irfase.com Nous situer : face à la Poste principale Gare routière et RER D Evry Courcouronnes Centre TAXE D’APPRENTISSAGE année 2015 AVEC VOTRE SOUTIEN, CONSTRUISONS ENSEMBLE LES COMPÉTENCES DE DEMAIN. IRFASE, l’Institut de Recherche et de Formation à l’Action Sociale de l’Essonne.
  • 45. IRFASE Institut de Recherche et de Formation à l’Action Sociale de l’Essonne COMMUNIQUÉ L ’IRFASE a pour vocation de travailler en étroite collaboration avec les professionnels des secteurs sanitaire, social et médico social, la recherche et les pouvoirs publics. Son projet s’articule autour des axes suivants : - Autonomie et nouvelles technologies - Inscription du parcours de vie des usagers et intelligence de territoire - Innovation des pratiques professionnelles ; citoyenneté, interculturalité et accès aux droits pour tous - Art, culture et médias pour la rencontre Ces principaux axes sont déclinés tout au long du parcours de formation et abordés selon différentes approches disciplinaires. Il s’agit, pour l’IRFASE, de contribuer avec l’ensemble des acteurs aux débats du secteur. En nous soutenant dans nos projets, vous deviendrez partenaires à part entière de la formation des futurs travailleurs sociaux qui construiront la solidarité de demain. LA TAXE D’APPRENTISSAGE EST OBLIGATOIRE ET VISE À SOUTENIR LES FORMATIONS INITIALES. CHAQUE ENTREPRISE PEUT CHOISIR L’ÉTABLISSEMENT QUI EN SERA LE BÉNÉFICIAIRE. EN LA VERSANT À L’IRFASE, VOUS CONTRIBUEREZ À LA FORMATION DE + DE 800 ÉTUDIANTS. 5, Terrasses de l’Agora 91034 Evry Cedex - France Tél + 33 (0)1 60 79 47 47 - Fax +33 (0)1 60 79 34 39 www.irfase.com ≥ STATUT Centre de formation agrée initiale et continue +20 ansd’expérience ≥ DIPLÔMES 7diplômes d’État 2certificats de qualification ≥ DIPLÔMÉS 96%de réussite (Moyenne sur plusieurs années) ≥ ÉTABLISSEMENTS D’ACCUEIL 3500Ets pour nos stagiaires ≥ ÉQUIPE ENCADRANTE 40enseignants permanents 110intervenants extérieurs 20administratifs
  • 46. SUR 130 AU CLASSEMENT GÉNÉRAL ÉCOLE FRANÇAISE DU NUMÉRIQUE Avec l’ISEP, Investissez dans les Ingénieurs du Numérique TAXE D’APPRENTISSAGE 2015 SUR LES SALAIRES 2014 Email : taxe@isep.fr Tél. : 01 49 54 52 46 Pour nous contacter Électronique Informatique Télécommunications Multimédia www.isep.fr École d’Ingénieurs du Numérique
  • 47. É C O L E D ’ I N G É N I E U R ISEP COMMUNIQUÉ Entretien avec Michel Ciazynski, Directeur Général de l’ISEP et Dieudonné Abboud, Directeur de l’Enseignement. POUVEZ-VOUS NOUS DIRE EN QUOI CONSISTE « L’APPROCHE MÉTIERS » ? D. Abboud : Partant du postulat que l’entreprise recherche des diplômés opérationnels, l’apprentis- sage par projet introduit à l’ISEP se révèle très efficace et garantit l’adéquation entre la formation et les réalités du monde économique. Les élèves travaillent en petites équipes sur des projets inspi- rés de la réalité professionnelle et acquièrent ainsi une très grande autonomie. M. Ciazynski : À cet apprentissage s’ajoute une très forte implication des entreprises : coaching, tutorat, simulation d’entretiens ou participation d’in- tervenants professionnels, à l’instar de Capgemini dans le parcours «systèmes d’information & Finances» ou General Electrics dans le tout nou- veau parcours «numérique et santé». Tout cela favorise l’émergence d’un projet professionnel personnalisé. QU’ENTENDEZ-VOUS PAR « CURSUS À LA CARTE » ? D. Abboud : Après la première année de tronc commun, la formation se décline en «parcours» librement choisis. Les possibilités sont aussi nom- breuses que passionnantes : des parcours abou- tissent à une double compétence dans un domaine particulier comme la Finance ou la Santé, d’autres participent à la personnalisation du cursus : stage dans les laboratoires de recherche de l’université Stanford aux États-Unis, double diplôme « ingé- nieur manager » en partenariat avec Audencia Nantes, «ingénieur-chercheur» avec Supelec… Certains élèves choisissent aussi de compléter leur formation à l’ISEP par un Mastère Spécialisé à l’ESSEC ou HEC par exemple. COMMENT SE TRADUIT LA DIMENSION MANAGÉRIALE DANS L’ENSEIGNEMENT ? D. Abboud : Manager une équipe, un projet ou un budget ne s’improvise pas et les élèves bénéficient à l’ISEP d’une formation managériale complète. Dès le début du cycle ingénieur des cours de management et de finances sont dispensés et de nombreux autres cours tels que «macroéconomie», «marketing» ou «stratégie» sont proposés pour construire un socle de compétences solide. Les isépiens peuvent aussi se former à l’entrepreneu- riat, comme Gabriel Jarrosson qui a suivi l’Electif «création d’entreprise». Gabriel a d’ailleurs reçu le prix de la meilleure start-up numérique en 2013 ! Citons aussi comme autre point fort du dispositif, le partenariat avec l’incubateur d’Arts et Métiers ParisTech et l’association ISEP Business Angels. QUE DIRE DE LA JUNIOR ENTREPRISE DE L’ISEP ? M. Ciazynski : Junior ISEP est certainement la meilleure Junior Entreprise Ingénieur française sur ces 10 dernières années, avec notamment deux Prix d’Excellence, devant les meilleures grandes écoles et, au niveau européen, un remarquable «Excellent Award» en 2013 et le «label ingénieur» en 2014 ! S’impliquer dans une telle association est une manière moins académique de renforcer ses com- pétences managériales. De façon générale, la vie associative est fortement encouragée à l’école. À L’ISEP, PÉDAGOGIE INNOVANTE, EXPERTISE TECHNIQUE ET FORMATION MANAGÉRIALE SE CONJUGUENT POUR FONDER UN PROFIL D’INGÉNIEUR DU NUMÉRIQUE TRÈS RECHERCHÉ DES ENTREPRISES. UNE FORTE OUVERTURE INTERNATIONALE ET DES MODULES À LA CARTE (MANAGEMENT, RECHERCHE, CRÉATION D’ENTREPRISE, ETC.) PERMETTENT AUX ÉLÈVES DE CONSTRUIRE LEUR PROPRE PARCOURS PROFESSIONNEL. CAMPUS DE PARIS : 28, rue Notre Dame des Champs 75006 Paris CAMPUS D’ISSY-LES-MOULINEAUX : 10, rue de Vanves 92130 Issy-les-Moulineaux www.isep.fr LES CHIFFRES 100% taux net d’emploi 39200€ salaire d’embauche moyen 14e école d’ingénieur de France (Usine Nouvelle) 2e école du numérique de France (Usine Nouvelle) 103universités partenaires dans le monde entier 1semestre académique à l’étranger obligatoire 3e année du cycle ingénieur, tous les cours sont en anglais Le service emploi de l’école reçoit près de 3000 offres par an !
  • 48.
  • 49. U n i v e r s i t é FACULTÉ DE PHARMACIE - UNIVERSITÉ PARIS-SUD COMMUNIQUÉ L a Faculté de Pharmacie forme chaque année près de 270 pharmaciens diplômés à des métiers multiples dans de nombreux domaines (hospitalier, industriel, officine, la recherche). Leur préparation à la vie active doit être de plus en plus adaptée aux exigences des métiers de la pharmacie et les moyens accordés à l’Univer- sité par l’Etat ne sont pas toujours à la hauteur de nos ambitions pédagogiques. Aussi, la taxe d’apprentissage est un complément financier capital pour maintenir nos formations au niveau d’excellence qu’elles se doivent d’atteindre. Nous verser la taxe, c’est participer à l’amélioration et à la valorisation du cursus pédagogique de nos futurs docteurs en pharmacie et diplômés en master, servi par un corps professoral de qualité. Elle permet également d’investir dans des équipements TICE et professionnels spécifiques pour l’aménagement de salles spécialisées (labora- toires de langues/de travaux pratiques). Un gage pour l’avenir La faculté se caractérise par un choix étendu de formations, où une place prépondérante est attribuée à la recherche et à l’apprentissage en entreprise. Ainsi, elle offre un excellent taux de placement de nos diplômés. Notre établissement bénéficie également de relations privilégiées avec les industriels pharmaceutiques, les organismes de santé ainsi que les pharmaciens d’officine. Véritable atout, ces échanges permettent aux étudiants de bénéficier d’un réseau de professionnels solide et de s’adapter à un secteur en perpétuelle évolution. En versant la taxe d’apprentissage à notre établissement, vous soutenez directement l’insertion professionnelle de nos étudiants, qui seront demain nos futurs experts de la santé. DEPUIS PLUS DE 40 ANS, LA FACULTÉ DE PHARMACIE FORME NOS FUTURS PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ, QUI EXERCERONT LEURS ACTIVITÉS AUSSI BIEN EN OFFICINE QUE DANS LE MILIEU HOSPITALIER OU INDUSTRIEL. ELLE JOUE AINSI UN RÔLE MAJEUR DANS LE MONDE PHARMACEUTIQUE. 5 rue Jean-Baptiste Clément 92296 Châtenay-Malabry Cedex - France Tél + 33 (0)1 46 83 53 33 - Fax +33 (0)1 46 83 57 35 www.pharmacie.u-psud.fr ≥ STATUT Composante de l’Université Paris-Sud ≥ DIPLÔME Diplôme de Docteur en Pharmacie, Diplôme Master Professionnel et Recherche ≥CAMPUS 9hectares et 8 tours de recherches ≥ ÉTUDIANTS 3 250 ≥ DIPLÔMÉS 270 Docteurs en Pharmacie 270Diplômés en Master ≥ CORPS PROFESSORAL 210enseignants-chercheurs ©J-RLecompt/UniversitéParis-Sud
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  • 51. U n i v e r s i t é P a r i s - s U d UFR ScienceS et techniqUe deS APS COMMUNIQUÉ L’UFR STAPS propose : • 4 spécialités de Licence comprenant 5 parcours et 2 licences professionnelles • 8 spécialités de Master réparties en 3 masters recherche et 5 masters profes- sionnels • 3 DU (prévention des blessures, de la douleur et du dopage) dans les domaines de management du sport, entraînement sportif, activités physiques adaptées, remise en forme, animation et poli- tique de la ville, enseignement physique et sportif ou de recherche en sciences du sport et du sport humain Elle est également le sceau principal de l’Ecole Doctorale « Sciences de la Motricité, du Mou- vement Humain » L’évolution de l’offre de formation de l’UFR STAPS de l’Université Paris Sud s’inscrit dans le cadre de la création de l’Université Paris Saclay où elle aura une place majeure dans la School « Sciences du Sport et du Mouvement Humain » qui ouvrira ses premières forma- tions en septembre 2015. La Taxe d’apprentissage pour quoi faire ? L’UFR STAPS est l’une des pionnières sur les questions d’insertion et de professionnalisa- tion des étudiants. Pour répondre à la constante évolution de leurs demandes et celles des entreprises, l’établissement doit être en mesure de maintenir et développer la qua- lité de ses formations en étant force de propo- sition. Cela passe par des investissements importants en équipements sportifs, informa- tiques, vidéo-multimédias … grâce à la contri- bution des partenaires économiques et sociaux. Donnez un sens à votre taxe En choisissant de nous verser cette dernière, vous apportez un soutien précieux à notre UFR. Votre entreprise aura la possibilité de confier à certains de nos étudiants une mis- sion dans le cadre de projets tuteurés, de nous envoyer vos collaborateurs en formation conti- nue ou devenir intervenants auprès de notre public. GrâCe à sON Offre de fOrMatION INItIale et CONtINUe de la lICeNCe aU dOCtOrat, l’Ufr staPs PrÉPare ÉtU- dIaNts et PrOfessIONNels aUx MÉtIers de l’eNseIGNeMeNt, dU haNdICaP, de l’eNtraîNeMeNt sPOrtIf et dU MaNaGe- MeNt dU sPOrt. Ufr staPs - UNIversItÉ ParIs-sUd Bât. 335 - rue Pierre de Coubertin - 91405 Orsay Cedex tél + 33 (0)1 69 15 30 79 www.staps.u-psud.fr Æ étudiants 1360 équipe pédagogique Æ enseignants 71 Æ professionnels et vacataires 247 Æ administratifs 37 taux de réussite Æ licences 70% Æ licences profession- nelles et masters 92% taux d’insertion professionnelle Æ toutes formations 95%
  • 53. C E Q U ’ I L FA U T S AV O I R R É G I O N S En route vers le big data T erre riche de formations de haut niveau, la région Rhône-Alpes est reconnue pour ses pôles d’excellence en ingénierie, micro et nanotechnologies, santé, chimie, logiciels, énergies renouvelables et développement durable. Dans le domaine de la santé, deux grands projets sont d’ail- leurs actuellement en travaux : le pôle Ecotox de Rovaltain, structure de recherche qui va se consacrer à l’étude d’impact des substances chimiques sur l’en- vironnement et la santé ; et l’école de cancérologie Rhône-Alpes-Auvergne, un réseau de recherche des doctorants pour faciliter l’échange et la mobilité des chercheurs de Clermont-Ferrand, Lyon, Saint- Étienne et Grenoble. La plateforme de recherche en écotoxicologie et en toxicologie aura pour vocation d’évaluer et de prévoir les risques sur la santé et sur Au deuxième rang des régions françaises en matière d’enseignement supérieur et de recherche, la région Rhône-Alpes propose une offre de formation large et innovante. Cette année, l’accent est mis sur les nouveaux secteurs porteurs : le big data et les Moocs. RHÔNE-ALPES La région innove en répondant aux nouveaux besoins de la société. PAR ROZENN GOURVENNEC 53 ©GettyImages/iStockphoto