22. 1- Imprimé vs Ecran :
- La lecture à l’écran ?
- Texte à l’écran : quelle valeur ajoutée ?
L’hyperlien - TD hyperliè un texte
Multimédia - TD photos/vidéos libre de droit
L’interactivité
Dissémination virale
2 - Une écriture web ? :
- La pyramide inversée et faire court !
- Titre incitatif / titre indicatif - TD
- Hyperliens explicites
3 - Disséminer nos contenus : la force des flux rss !
- Automatiser la diffusion de nos contenus sur les
réseaux sociaux.
- TD : disséminer avec dlvr.it
49. • Bienvenue la France !
• Maigret broie du noir
• Une voix en or
http://www.flickr.com/photos/mscolly/65256846
• USA : les français bien accueillis
• Georges Simenon est mort
• Disque d’or pour Thomas Fersen
59. Pointer les signaux faibles
Valeur ajoutée informationelle
http://www.flickr.com/photos/billselak/3051569295
60. « Plus vous faites sortir vos internautes
de vos pages, plus ils y reviennent »
Eric Mettout
Source : http://www.slideshare.net/Mettout/ecrire-pour-le-web-v1
63. Appellation des liens
Pour plus d'infos cliquez ici
Pour plus d'infos, visitez le site de zep
<a href="http://www.zeporama.com/">cliquez ici</a>
<a href="http://www.zeporama.com/">le site de zep</a>
71. Trouver et réutiliser des contenus sous licences libres
Source : http://www.flickr.com/photos/giuli-o/3421327165
72. 72
Le mode de fonctionnement
des licences libres
« Tout ce qui n’est pas
interdit est permis »
Pas d’autorisation
à demander tant
qu’on reste dans
le cadre de la
licence
Il faudra conclure un contrat pour lever
une restriction posée par la licence
Exemple des licences
Creative Commons
4 conditions et
6 contrats Source : Lionel Maurel
86. « Parce qu’il est visible et pérenne
au pied de la page, le commentaire
participe à la construction d’une
réflexion collective qui complète le
propos de l’article. »
Que les commentaires ne sont pas une écriture du bas - Après le livre - François Bon ”
89. Ecrire pour être disséminé.
http://www.flickr.com/photos/villamon/3487229452
90. Le temps des propulseurs est venu
Source : http://www.flickr.com/photos/cma3/3867400297
91. Source : http://www.flickr.com/photos/cma3/3867400297
L’idée d’un lieu de lecture privilégié et monétisable, le site web, est révolue. Nous
avons des sources d’informations, les blogs par exemple, qui propulsent
l’information pure dans le cyberspace. Puis elle circule, s’interface, se représente,
se remodèle.
Les sites deviennent des bases de lancement. Nous n’avons plus besoin de les
visiter. Ils ont leur importance, tout comme celui qui parle a de l’importance, mais
nous n’avons aucune raison de nous trouver en face de lui pour l’entendre. Nous
pouvons le lire ailleurs, l’écouter ailleurs, le voir en vidéo ailleurs…
Nous allons pousser des données dans le flux global. Certains d’entre nous se
contenteront de régler la tuyauterie, d’autres d’envoyer avec leur blog des satellites
en orbite géostationnaire, d’autres de courts messages microblogués, juste des
liens, des sourires, des impressions pendant que d’autres expédieront des
vaisseaux spatiaux pour explorer l’infini, des textes longs et peut-être profonds.
Le temps des propulseurs est venu.
Vers un web sans site web - Thierry Crouzet - Le Peuple des connecteurs.
“Vers un web sans site web”
92. La force de la dissémination virale
http://www.flickr.com/photos/telomi/6766630977
96. De l’intérêt à laisser les écrits s’envoler…
96
Sur mon blog, les billets sont sous licence
CC-BY, la moins restrictive de toutes.
Ils sont parfois repris sur le site OWNI,
sans autorisation préalable, où ils
bénéficient d’une meilleure visibilité.
Ils peuvent y être modifiés, éditorialisés
(ajouts d’intertitres, nouvelles illustrations,
etc), voire même traduits.
Source : Lionel Maurel
99. Facteurs de fidélisation des internautes
• Qualité des contenus : 75 %
• Facilité d’utilisation : 66 %
• Fréquence de mise à jour : 54 %
• Personnalisation des contenus : 10 %
Source : Forrester Research
Notes de l'éditeur
Rien n’est acquis
Ce schéma issu de l’article de Chris anderson illustre encore la mécanisme : au départ britney spears et à la fin the sélector, groupe peu connu, atteint par le biais des recommandations Tout cela souligne un élément peu pris en compte par les bibliothécaire qui est celui de la « médiation numérique » qui n’est pas forcément une prescription numérique mais plus largement des propositions d’orientation dans les contenus.
Une écriture web pour être lu à l'écran. Mais nécessaire d'être visible sur le web pour être lu !
Le propos s'appuie sur les travaux de Jakob Nielsen via http://www.useit.com/alertbox/reading_pattern.html et son livre &quot; site web priorité à la simplicité &quot;
&quot; Sur le Web, les internautes ne lisent pas, ils scannent &quot;. l'écran la lecture est une l ecture zapping : 20% des internautes pratiquent une lecture mot à mot. 80% ont une lecture lecture en diagonale La lecture à l'écran est donc synonyme d'impatience et de désagrément. L'écriture web doit donc faciliter le scan et non pas l'empêcher ( phrases en gras par ex.)
Les études en eye Tracking montres que l'internaute une lecture d'une page web qui suit un chemin en &quot;F&quot;, ou en &quot;E&quot;. Les trois photos sont une représentation graphique de ces chemins sur trois type de page web : un article dans la partie &quot; à propos&quot; d'un site d'une entreprise - à gauche La page d'un produit sur un site de commerce en ligne - au centre. Une page de résultats d'un moteur de recherche - à droite La couleur rouge indique les zones où le regard de l'internaute s'est le plus attardé. La couleur bleue là ou le regard s'est le moins attardé et le gris là où le regard ne s'est jamais posé. Dans les trois cas le modèle en F se confirme
Les directions du regard d'un utilisateurs ont 2 directions : La direction de recherche = la verticalité La direction d'intérêt = l'horizontalité
La ligne de flottaison est la ligne qui matérialise le bas d’un écran sur une page web. Pour être plus clair, la ligne de flottaison est la limite au delà de laquelle il est nécessaire de scroller avec votre souris ou votre ascenseur pour visualiser ce qui se trouve en dessous. Toute la partie visible au dessus de la ligne de flottaison revêt donc une importance capitale dans un site car c’est la partie qui doit : - être le plus attractive -regrouper les éléments clefs - donner envie de scroller vers le bas. hors ...
Un constat à néanmoins modéré : grâce à la démocratisation de la roulette, on sait que l’internaute n’hésite plus à actionner l’ascenseur vertical pour lire la suite d’un article ou d’un descriptif produit qui l’intéresse. Le tout est qu’il sache que la page web possède une suite. Une étude menée par Joe Leech de CX Partners, une agence de design qui met l’emphase sur l’expérience utilisateur, a révélée que moins l’utilisateur trouve de contenu au dessus du pli, plus il est encouragé d’explorer ce qui se trouve plus bas sur la page.
Il n'existe pas une seule écriture web, cela serait certainement plus simple. Cela signifie qu'il est difficile de généraliser en quelques règles ce qu'est écrire pour le web. Tentons néanmoins d'en dégager quelques traits .
Ecrire plus simple : Les études de Nielsen et de son collègue Morkes ont révélé que la lecture à l'écran serait 25 % plus lente que sur papier. Nous devrions par conséquent rédiger 50 % moins de texte que sur papier, histoire non seulement d'accélérer à l'internaute sa lecture, mais aussi d'améliorer son confort visuel. C'est pour cela qu'il faut privilégiés une écriture plus simple
Ecrire plus simple : Limitez-vous à une idée par paragraphe, si vous en dites trop, vous risquez de perdre votre lecteur. syntaxe simple : sujet + verbe+complément évitez les mots de liaisons, les adjectifs, le jargon, les sigles privilégiez la forme active utilisez le présent utilisez un vocabulaire connu, précis, vivant, imagé
Droit au but ! Si un internaute arrive sur une page de votre site c’est pour y trouver l’information qu’il recherche ; autant la lui donner rapidement en plaçant au début de votre article les informations les plus importantes . Cette méthode reprend le principe journalistique de la pyramide inversée consiste à présenter l’information clé immédiatement accessible en haut de la page afin d’atteindre efficacement la cible. Elle propose d'abord l’essentiel, proche du lecteur et poursuit en développant les détails, en expliquant le contexte, Bien sûr, ces principes ne s’appliquent pas à tous les textes, mais il est parfois bon de les garder en tête au moment de la rédaction. - J’écris pour qui ? Une fois que vous avez défini le public-cible , Faites en sorte de &quot; parler &quot; le langage de l'internaute à qui les pages sont destinées. Je pense notamment au partie jeunesse des sites de bib qui ne s'adressent en fait aux adultes, pour ne pas dire personne. - Pour dire quoi ? Quel est le message, l’information, le contenu que je veux faire passer - Pourquoi ? Que sont censés faire les lecteurs de mes informations.
Titres informatifs ou incitatifs ? Il arrive que seul le titre de vos billets soit repris ailleurs sur Internet (comme dans les résultats des moteurs de recherche par exemple, ou les lecteurs RSS tels que Netvibes ). Il est donc important de donner à vos articles des titres explicites et accrocheurs , contenant des mots-clés significatifs . Exemple : Le Monde vs Libération Le titre du monde est clairement explicatif et informe très clairement le lecteur du contenu de son article. Celui de Libé joue plus l'incitation en faisant un jeu de mot accrocheur. Mais ce genre de titre est il efficace pour un internaute qui interroge un moteur de recherche sur ce sujet ? ../..
Si nous faisons le test sur Google en cherchent &quot;la voiture la moins chère du monde&quot;, L'article du Monde est parfaitememnt positionné dans la page de résultats : Comme nous l'avons vu le titre est explicite et comporte tous les mots clés pertinents. Celui de Libé, n'apparait pas dans la première page de résultat. Les effets rhétoriques invitant à la lecture du contenu sont certes accrocheurs à condition de rester explicite dans un environnement décontextualisé. Miser donc sur &quot;des titres autonomes&quot;.
Hyperliez vos contenus Une des spécificités d’Internet est la possibilité de créer des liens renvoyant à d’autres pages Internet. C'est l'un des fondements du web. Ces hyperliens relie ce contenu à la toile. Ce lien peut être fait avec des articles internes au site. Il s’agit de pointer vers un billet complémentaire ou encore proposer des passerelles entre les contenus. Cela peut être aussi un lien vers une ressource web externe que le bibliothécaire a validé et veut mettre en avant pour compléter son propos. Attention aussi de ne pas tomber dans l’excès inverse, et d’inonder les textes de liens ; ils sont aussi une redoutable incitation à la digression
Hyperliez vos contenus Une des spécificités d’Internet est la possibilité de créer des liens renvoyant à d’autres pages Internet. C'est l'un des fondements du web. Ces hyperliens relie ce contenu à la toile. Ce lien peut être fait avec des articles internes au site. Il s’agit de pointer vers un billet complémentaire ou encore proposer des passerelles entre les contenus. Cela peut être aussi un lien vers une ressource web externe que le bibliothécaire a validé et veut mettre en avant pour compléter son propos. Attention aussi de ne pas tomber dans l’excès inverse, et d’inonder les textes de liens ; ils sont aussi une redoutable incitation à la digression
Des urls conviviables Les URLs, en plus d’être courtes et claires, devront contenir le moins de paramètres dynamiques possibles. Un paramètre dynamique est une partie de l'URL qui fournit des données à une base de données ainsi que les enregistrement appropriés dans lesquelles elles peuvent être recherchées : c'est le cas des url proposés par l'opac web aloes. Des analyses de recherches représentatives ont confirmé à de nombreuses occasions que des URLs des paramètres dynamiques peuvent ne pas être parcourues et indexées par les moteurs de recherche à moins qu'elles ne soient perçues comme sensiblement importantes (c’est-à-dire avec beaucoup, beaucoup de liens pointant vers elles). Les URLs bien écrites et conviviales ont donc l'avantage d'être bien analysées par les moteurs de recherche. Ces urls sont liées au titres explicites. Dans l'exemple : L'url d'une critique de CD de Yasmin Levir dans une page de l'opac web des Médiathèques du Pays de romans. La même critique sur le blog de la même Médiathèque. La première url est illisible, la seconde est claire et explicite.
Encore une fois soyons explicite ! Nous avons vu l'importance d' hyperlier un texte en ligne. Ces hyperliens doivent être suffisamment explicites afin de donner une idée précise de vers quoi ils mènent. Évitez les liens du genre &quot;cliquez ici&quot;. C'est aussi un élément qui facilite le référecement. Derrière un hyperlien il y a un code html qui est lu par les robots des moteurs de recherche. Dans cet exemple le code du bas indique que le texte “le site de Zep” (qu’on appelle “anchor text” du lien) fait un lien hypertexte vers la page http://www.zeporama.com/ Un moteur de recherche peut interpréter ce code comme un message signifiant que la page qui contient ce code indique que la page http://www.zeporama.com/ est pertinente par rapport au texte sur la page et particulièrement pertinente pour le terme “le site de zep”. Ce qui n'est absolument pas le cas dans le code du haut ou l'url est associé au terme &quot;cliquez ici&quot; Il est important de comprendre que les moteurs peuvent (ou ne peuvent pas), en se basant sur l’anatomie du lien, interpréter et utiliser les données. Alors que les liens conçus convenablement peuvent apporter un poids important, les liens mal façonnés seront inutiles pour des finalités de référencement.
Des contenus multi-médias La force de l'écriture web est dans la possibilité d'enrichir le texte de contenus multimédias : Images, vidéos, animations ... A l'exemple du Monde : il est un quotidien papier qui se transforme en ligne en une web TV, web radio et autres infographies. Un internaute est aujourd'hui en attentes de ces contenus multimédias au risque de se disqualifier à ses yeux avant même qu'il est pris le temps de lire le moindre article.
citation de thierry crouzet dans l'alernative nomade : Comment s’y prennent les propulseurs ? Ils se connectent les uns avec les autres. Ils se passent le mot de bouche à oreille. Ils se passent l’info de la main à la main. « On propulse en se connectant. On se connecte en propulsant. » Pour propulser, il faut pouvoir transmettre à des destinataires, être connectés avec eux, être un des fils qui sous-tend le Flux, une ligne de vie. Il ne suffit pas d’injecter des contenus dans le Flux et de les laisser vivre seuls. Ils auraient toutes les chances de se scléroser. Mais pour se connecter, taper sur l’épaule de quelqu’un n’a pas beaucoup d’effet. Mieux vaut lui apporter quelque chose, au moins un bonheur passager. « Tiens, lis ça. C’est absolument génial. »
citation de thierry crouzet dans l'alernative nomade : Comment s’y prennent les propulseurs ? Ils se connectent les uns avec les autres. Ils se passent le mot de bouche à oreille. Ils se passent l’info de la main à la main. « On propulse en se connectant. On se connecte en propulsant. » Pour propulser, il faut pouvoir transmettre à des destinataires, être connectés avec eux, être un des fils qui sous-tend le Flux, une ligne de vie. Il ne suffit pas d’injecter des contenus dans le Flux et de les laisser vivre seuls. Ils auraient toutes les chances de se scléroser. Mais pour se connecter, taper sur l’épaule de quelqu’un n’a pas beaucoup d’effet. Mieux vaut lui apporter quelque chose, au moins un bonheur passager. « Tiens, lis ça. C’est absolument génial. »