2. 2
Les revenus et le bien-être sont parmi les
plus élevés de l’OCDE
PIB par habitant: comparaison avec la moyenne des 10 économies de
l’OCDE les mieux classées
Note : Moyenne simple des 10 pays de l’OCDE ayant en 2013 le plus fort
PIB par habitant (prix constants, PPA de 2005) Source : Base de données
du Département des affaires économiques de l’OCDE.
Bien-être : indicateur du vivre mieux, 2014
Indicateurs variant sur une échelle de 0 à 10 (meilleur résultat possible)
Source : OCDE(2014), Indicateur du vivre mieux de l’OCDE,
www.oecdbetterlifeindex.org.
0
10,000
20,000
30,000
40,000
50,000
60,000
70,000
80,000
1990 91 92 93 94 95 96 97 98 99 2000 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13
USD, prix constants, PPA
de 2005
PIB réel par habitant, Luxembourg
PIB réel par habitant, 10 économies les mieux classées
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
Revenu et patrimoine
Emploi et salaires
Conditions de logement
Équilibre vie professionnelle-
vie privée
État de santé
Éducation et compétencesLiens sociaux
Engagement civique et
gouvernance
Qualité de l'environnement
Sécurité des personnes
Bien-être subjectif
LUX OCDE
3. 3
La dépendance à l’égard du secteur financier
est forte
Part des activités financières et d’assurance dans le total
de la valeur ajoutée, 2013
Source : Eurostat
%
0
5
10
15
20
25
30
Allemagne Royaume-Uni Suisse Luxembourg
4. 4
Le chômage structurel a augmenté
Productivité
Source : Perspectives économiques de l’OCDE, n° 96.
Chômage
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Glissement annuel en %
Croissance du PIB potentiel par habitant
Croissance de la productivité tendancielle du travail
0
1
2
3
4
5
6
7
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
%
Taux de chômage structurel
Taux de chômage
5. 5
Principales conclusions
• Le Luxembourg est l’un des pays les plus prospères de l’OCDE et attire les
entreprises.
• Le secteur financier représente une source importante de revenus élevés.
• La forte dépendance de l’économie par rapport au secteur financier est
source de vulnérabilités potentielles.
• La diversification des activités économiques permettrait d’accroître la
productivité et de réduire les vulnérabilités.
6. 6
Principales recommandations
• Poursuivre les efforts pour garantir une évaluation exhaustive des risques
sur les marchés de capitaux et une résolution transnationale efficace des
banques.
• Améliorer l’évaluation de l’efficacité des dépenses publiques de R-D et des
politiques en faveur des pôles d’entreprises pour étayer la diversification
des activités économiques.
• Réduire les contre-incitations à l’entrée des femmes sur le marché du
travail.
• Améliorer la planification budgétaire à l’aide d’un mécanisme d’examen
des dépenses lié au cadre de budgétisation à moyen terme.
8. 8
Les activités bancaires sont internationales
Banques présentes au Luxembourg, par pays d’origine (fin 2014)
Nombre, pourcentage entre parenthèses
Source : Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF), Luxembourg.
Luxembourg 5 (3.3)
Belgique 7 (4.7)
Allemagne 33 (22.2)
France 15 (10.1)
Royaume-Uni 9 (6.0)Suisse 12 (8.1)
Autre UE 31 (20.9)
Etats-Unis 6 (4.0)
Chine 6 (4.0)
Bresil 5 (3.3)
Japon 5 (3.3)
Autre Monde 14 (9.4)
9. 9
Les crédits bancaires ont fait preuve de
résilience pendant la crise
Crédits bancaires et prêts improductifs
Source : STATEC ; BCL.
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
2006 07 08 09 10 11 12 13
Milliards EUR
Crédits aux entreprises non financières au Luxembourg
Crédits aux ménages au Luxembourg
0
1
2
3
4
5
6
7
8
2006 07 08 09 10 11 12 13
%
LUX Zone Euro
A. Les crédits bancaires au secteur privé
ont progressé pendant la crise
B. Les prêts improductifs des établissements de crédit sont restés bas
Prêts improductifs des établissements de crédit
10. 10
Les activités non bancaires sont en
progression
Actifs des banques et des fonds de placement
1. Organismes de placement collectif (OPC) : actifs nets.
Source : CSSF
500
1000
1500
2000
2500
3000
Jan-01
Jul-01
Jan-02
Jul-02
Jan-03
Jul-03
Jan-04
Jul-04
Jan-05
Jul-05
Jan-06
Jul-06
Jan-07
Jul-07
Jan-08
Jul-08
Jan-09
Jul-09
Jan-10
Jul-10
Jan-11
Jul-11
Jan-12
Jul-12
Jan-13
Jul-13
Jan-14
Jul-14
Milliards EUR
Établissements de crédit : total des actifs Fonds de placement : actifs gérés¹
11. 11
Les banques sont comparativement bien
capitalisées
Ratios de fonds propres des banques
Note : graphiques basés sur des données trimestrielles allant jusqu'en décembre 2013; lorsqu'elles ne sont pas disponibles, les données les plus
récentes ont été utilisées (jusqu'en décembre 2012).
Source : Rapport sur les indicateurs de santé financière du FMI, http://fsi.imf.org/.
0
5
10
15
20
25
Espagne Italie Etats-Unis Pays-Bas France Royaume-Uni Suisse Autriche Belgique Allemagne Irlande Luxembourg
%
A. Fonds propres réglementaires/ actifs pondérés des riques
0
5
10
15
20
25
Italie Espagne Pays-Bas Etats-Unis France Autriche Royaume-Uni Allemagne Belgique Suisse Irlande Luxembourg
% B. Fonds propres réglementaires de niveau 1/ actifs pondérés des risques
12. 12
Garantir la santé du secteur financier
• La croissance du secteur financier s’est appuyée sur une saine
réglementation des marchés de capitaux.
• Continuer à surveiller les risques liés aux marchés de capitaux et adopter
une approche globale de l’évaluation des risques tenant compte des liens
financiers entre les banques et les autres intermédiaires financiers.
• Poursuivre les efforts pour élaborer des plans de résolution et procéder à
des évaluations de la résolvabilité de façon à ce que les banques
importantes puissent faire l’objet d’une résolution transnationale efficace.
• Continuer à prendre une part active aux négociations internationales sur
une action concertée pour lutter contre l’érosion de la base d’imposition et
le transfert de bénéfices des entreprises multinationales. Modifier si
nécessaire la législation nationale.
15. 15
Développer l’investissement dans le capital
intellectuel
Investissement dans le capital intellectuel, 2010
En pourcentage de la valeur ajoutée du secteur des entreprises
Source : Tableau de bord de la science, de la technologie et de l’industrie, OCDE 2013
0
2
4
6
8
10
12
14
16
18
Espagne
Italie
Coréedusud(2008)
Portugal
Australie
Luxembourg
Irlande
Républiquetchèque
Autriche
Japon(2008)
Allemagne
Slovénie
Pays-Bas
Finlande
Canada(2008)
Royaume-Uni
Belgique
Danemark
France
Suède
Etats-Unis
%
Capital de marque, capital humain spécifique à l’entreprise, capital organisationnel
R-D et autres produits de la propriété intellectuelle
Logiciels et base de données
16. 16
Accroître les dépenses de R-D
Dépenses de R-D
Dépenses intérieures brutes en pourcentage du PIB
Source : Principaux indicateurs de la science et de la technologie (OCDE, 2014).
0
0.5
1
1.5
2
2.5
2003 04 05 06 07 08 09 10 11 12
%
Luxembourg OCDE
0
0.5
1
1.5
2
2.5
2003 04 05 06 07 08 09 10 11 12
%
Luxembourg OCDE
A. Dépenses totales B. Dépenses des entreprises
17. 17
Renforcer la coopération entre les entreprises
et les établissements de recherche
PME : activités de coopération pour l’innovation
Pourcentage d’entreprises innovantes sur le plan des produits et/ou des procédés, 2008-10
2011 pour l’Australie, 2006 08 pour l’Irlande, 2009 10 pour la Nouvelle-Zélande et 2009 11 pour la Suisse. PME : petites et
moyennes entreprises. L’agrégat OCDE couvre 30 pays dans la partie A et 28 dans la partie B.
Source : Tableau de bord de la science, de la technologie et de l’industrie (OCDE, 2013).
0
10
20
30
40
50
60
70
Australie
Italie
Nouvelle-Zélande
Portugal
Estonie
Irlande
Pays-Bas
Suisse
Pologne
Espagne
Danemark
Suède
Luxembourg
France
Allemagne
OCDE
Norvège
Royaume-Uni
Belgique
Hongrie
Autriche
Finlande
A. Collaboration avec des établissements d’enseignement
supérieur et des institutions de recherche publique
0
5
10
15
20
25
30
35
Italie
Espagne
Australie
Allemagne
Portugal
Nouvelle-Zélande
Pologne
Pays-Bas
Suisse
Irlande
France
Hongrie
OCDE
Norvège
Belgique
Suède
Finlande
Luxembourg
Autriche
Estonie
Royaume-Uni
B. Collaboration internationale
18. 18
Développer le potentiel des secteurs
d’activité innovants
• Mieux évaluer l’efficacité des dépenses publiques de R D et des politiques
de création de pôles d’entreprises.
• Renforcer la coopération entre les entreprises, l’Université du
Luxembourg et les établissements publics de recherche au Luxembourg et
à l’étranger.
20. 20
Améliorer le taux d’achèvement des études
secondaires
Taux de réussite dans le deuxième cycle du secondaire, 2012
Note : N = durée théorique des programmes.
Les pays sont classés par ordre décroissant du taux de réussite dans le deuxième cycle du secondaire.
Source : OCDE (2014), Regards sur l’éducation, tableau A2.4. Voir l’annexe 3 pour les notes (www.oecd.org/edu/eag.htm).
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
Etats-Unis
Estonie
Suède
OCDE
Belgique
Finlande
Nouvelle-Zélande
Royaume-Uni
Italie
Chili
Pays-Bas
Espagne
Danemark
France
Norvège
Islande
Luxembourg
%
Taux de réussite à l'issue de la durée N Taux de réussite à l'issue de la durée N+2
21. 21
Accroître le taux d’activité des femmes
Taux d’activité des femmes, 2013
1. Le taux d’activité est défini comme le rapport de la main-d’œuvre à la population en âge de travailler, exprimé en pourcentage.
Source : Statistiques de la population active de l’OCDE.
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
Turquie
Mexique
Italie
Chili
Coréedusud
Grèce
Hongrie
Pologne
Belgique
Républiqueslovaque
OCDE
Luxembourg
Irlande
Japon
Républiquetchèque
Slovénie
France
Etats-Unis
Israel
ZoneEuro
Espagne
Portugal
Australie
Autriche
Estonie
Royaume-Uni
Allemagne
Nouvelle-Zélande
Finlande
Canada
Pays-Bas
Danemark
Norvège
Suisse
Suède
Islande
%
0
10
20
30
40
50
60
70
Républiqueslovaque
Hongrie
Républiquetchèque
Slovénie
Estonie
Pologne
Portugal
Grèce
Coréedusud
Finlande
Etats-Unis
Suède
Israel
France
Espagne
Chili
Turquie
Islande
Danemark
OCDE
Canada
Luxembourg
Mexique
Norvège
Belgique
ZoneEuro
Italie
Autriche
Nouvelle-Zélande
Japon
Irlande
Allemagne
Australie
Royaume-Uni
Suisse
Pays-Bas
%
A. Taux d'activité¹ des femmes
B. Proportion de femmes à temps partiels rapportée au total de l'emploi des femmes
22. 22
Favoriser une main-d’oeuvre de haute qualité
• Dans l’enseignement secondaire, réduire les redoublements, accorder
davantage d’autonomie aux établissements et améliorer le suivi de la
qualité de l’enseignement.
• Augmenter les effectifs de l’éducation préscolaire en mettant l’accent sur
les familles modestes et de langue étrangère.
• Réduire les contre-incitations au travail des femmes en optant pour le
calcul des cotisations d’assurance maladie sur une base individuelle et
pour l’imposition individuelle des revenus des conjoints.
23. 23
Pour en savoir plus…
http://www.oecd.org/fr/eco/etudes/etude-economique-luxembourg.htm
OECD
OECD Economics
Avertissements :
Les données statistiques concernant Israël sont fournies par et sous la responsabilité des autorités israéliennes compétentes. L’utilisation de ces données par
l’OCDE est sans préjudice du statut des hauteurs du Golan, de Jérusalem Est et des colonies de peuplement israéliennes en Cisjordanie aux termes du droit
international. Ce document et toute carte qu'il peut comprendre sont sans préjudice du statut de tout territoire, de la souveraineté s’exerçant sur ce dernier, du
tracé des frontières et limites internationales, et du nom de tout territoire, ville ou région.
Notes de l'éditeur
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