9. Crédit photo : Vincent Debanne 2.2 Les dirigeants doivent élargir leur périmètre de responsabilité et d’ation de leur entreprise Francis Cholle, auteur de « l’intelligence intuitive et leadership innovant »
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17. Crédit photo : Vincent Debanne . 2.3 La gestion du capital humain, un facteur clef de performance Vincent Berthelot, responsable web / intranet RATP
18.
19. L’intérêt des réseaux sociaux pour l’entreprise Depuis que l’entreprise existe nous avons des réseaux en son sein qui se construisent sur l’appartenance à des réseaux souvent externes, philosophiques, d’anciens élèves d’écoles renommées ou de sport (Ah le tennis, golf et le rugby…). Ces réseaux se complètent en interne par des liens tissés sur des projets, niveaux de responsabilités et autres affinités. Ces réseaux ne s’affichent pas et cultivent une relation sur une approche discrète et une phase d’initiation sur le thème nous sommes à part et on tient d’ailleurs à le rester. Ils ne sont donc pas fondés sur la compétence mais le relationnel et si ils permettent bien souvent à ses membres de s’entraider ce n’est pas toujours au bénéfice de l’entreprise mais au leur plus directement. L’entreprise 2.0 donne accès aux collaborateurs de l’entreprise à des réseaux basés sur les compétences, les idées, la capacité à échanger, contribuer, participer au développement d’une intelligence collective. Elles donnent sa chance à chaque salarié en dehors des différentes appartenances énumérées ci-dessus de se faire reconnaître de manière transversale . 2.3 La gestion du capital humain, un facteur clef de performance
20.
21.
22. Crédit photo : Vincent Debanne 2.4 Exemple d’élargissement du périmètre d’activité de l’entreprise François Gomez, avec le «prix de l’entrepreneur social de l’année» du BCG
23.
24. Pour faire partie de la sélection finale, les trois critères suivants sont incontournables : . L’innovation au service de la société : ce qui caractérise un entrepreneur social, c'est sa faculté d’avoir une idée qui bouscule les habitudes et de pouvoir la mettre en œuvre avec succès, créant ainsi un véritable changement social ; . La viabilité : le candidat réunit les conditions sociales et/ou institutionnelles nécessaires pour soutenir son initiative et dédie le principal de son temps au projet. Si l’organisation est à but non lucratif, elle doit avoir atteint un certain niveau d’autofinancement grâce à des revenus générés par la vente de ses produits ou services, grâce à des partenariats avec le secteur privé ou public. Si l’organisation est à but lucratif, la priorité est la création de valeur ajoutée dédiée à la dimension sociale et environnementale. Les revenus sont un moyen d’arriver à ses fins, et non une fin en soi. . L’impact direct : le candidat mène son initiative directement avec les exclus et les personnes concernées. L’impact est quantifiable, les réalisations et les documents de suivi fiables permettent de connaître précisément les résultats de l’action. 2.4 Exemple d’élargissement du périmètre d’activité de l’entreprise