El boca-a-boca de trnd amplifica el efecto de la televisión, la prensa escrit...
Étude trnd - Wom moniteur 02 (mai 2011)
1. Étude trnd - WOM-Moniteur 02.
Mai 2011.
Martin Oetting, Monika Niesytto, Jens Sievert et Florian Dost présentent :
Le buzz sur les réseaux sociaux
a (encore) relativement peu d'impact.
Les consommateurs préfèrent des
recommandations personnalisées.
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Les plateformes de réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, qui suscitent aujourd'hui de nombreux débats, jouent un rôle limité dans le bouche-àoreille durable. Les consommateurs continuent à se fier avant tout aux recommandations verbales et personnalisées venant de leur entourage. Dans le
cadre de cette enquête réalisée auprès de 30 000 participants, nous avons analysé et comparé le bouche-à-oreille online et le bouche-à-oreille offline.
trnd – 132, boulevard Pereire – 75017 Paris - E-mail : contact@trnd.fr - Web : www.trnd.fr/company
2. Table des matières.
Etude trnd– WOM Moniteur 02
Mai 2011 – Page 2
Sommaire
3
Contexte de l’étude
3
1ère partie : Le bouche-à-oreille vu par le néophyte
4
2ème partie : Le bouche-à-oreille vu par l'émetteur
5
Résumé
7
Annexes
8
À propos de trnd
11
Auteurs de l’étude : Dr. Martin Oetting (trnd AG), Monika Niesytto (trnd AG), Jens Sievert (ESCP
Europe, campus de Berlin) et Florian Dost (ESCP Europe, campus de Berlin).
L’étude est composée de deux parties. La première partie analyse les différences entre les
bouche-à-oreille positifs et négatifs (Étude trnd - WOM-Moniteur 01 : www.trnd.fr/link/etude1),
tandis que cette seconde partie traite du rapport entre le bouche-à-oreille online et le bouche-àoreille offline.
3. Sommaire et contexte de l’étude.
Etude trnd– WOM Moniteur 02
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Sommaire
Le buzz sur les réseaux sociaux a (encore)
relativement peu d'impact. Les consommateurs
préfèrent des recommandations personnalisées.
Aujourd'hui, les expressions « online-monitoring », « online-buzz » et « online
réputation » sont couramment utilisées en marketing. Mais les avis des consommateurs
exprimés sur les plateformes de réseaux sociaux, telles Facebook ou Twitter, sont-ils
réellement importants ?
Nous étions sceptiques. En effet, dans plus de 200 campagnes marketing de bouche-àoreille menées par trnd depuis début 2005, le bouche-à-oreille offline était largement
prédominant. Seul un faible pourcentage de la communication engendrée dans le cadre
de nos campagnes s'effectuait sur la toile (généralement bien en deçà de 10 %).
Pourtant, les trnders sont généralement très actifs sur Internet !
Les résultats en bref :
1. Le bouche-à-oreille online sur les réseaux sociaux a (encore) relativement peu
d'impact. Les consommateurs ne considèrent pas les plateformes en ligne
comme un outil fiable leur permettant de diffuser une information durable dont
on se souvient. Même les internautes initiés n'ont pas automatiquement recours
à la toile pour partager leurs avis.
2. Les recommandations faites par l'entourage sont efficaces lorsqu'elles sont
personnalisées et diffusées « dans la vraie vie ». De toute évidence, la majorité
des sondés choisissent plutôt le bouche-à-oreille offline.
Les chercheurs américains de Keller Fay spécialisés dans le bouche-à-oreille ont
également constaté à plusieurs reprises que le bouche-à-oreille online est peu répandu
(7 %, voir l'Ad Age du 11.06.10).
3. Toutefois, dans le cas de dépenses plus importantes pour lesquelles les
consommateurs cherchent des avis sur Internet, le bouche-à-oreille online peut
s'avérer pertinent (par ex., Ciao, Amazon, etc.). Or, cela ne concerne que
certaines catégories de produits. En général, les remarques spontanées des
utilisateurs de marques/produits disparaissent des réseaux sociaux et n'ont que
peu de succès auprès des « amis » ou des « abonnés ».
Afin d'analyser la relation entre le bouche-à-oreille online et le bouche-à-oreille offline,
nous avons mené cette enquête en nous basant sur les témoignages de plus de 30 000
trnders (membres trnd).
4. Les réseaux sociaux ne sont pas des canaux de communication permettant aux
marques de diffuser activement leurs messages. Ils constituent plutôt un espace
où les marques trouvent leurs adeptes et où les utilisateurs s’impliquent dans
des actions marketing de manière à ce que celles-ci aient un impact « dans la
vraie vie » (offline).
Sondage auprès de plus de 30 000 consommateurs.
Nous avons également collaboré avec la filière européenne de l'École Supérieure de
Commerce ESCP-EAP située à Berlin. La première partie de l'enquête, intitulée Étude
trnd - WOM-Moniteur 01, est parue il y a quelques semaines. Elle présentait les résultats
de l'enquête réalisée sur le bouche-à-oreille positif et le bouche-à-oreille négatif.
Informations-clés : sondage réalisé sur la plateforme trnd.com à la fin de l'été/début de l'automne 2009. Focus thématique : le bouche-à-oreille positif vs. le bouche-à-oreille négatif (voir Étude trnd - WOM-Moniteur 01),
le rôle du bouche-à-oreille online vs. le bouche-à-oreille offline. 31 173 participants, 20 093 ensembles de données traités.
4. 01. Le bouche-à-oreille vu par un néophyte.
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« Raconte-nous une expérience ! »
Dans la première partie de l’étude, nous avons demandé aux participants de
décrire une situation où ils ont pris en compte des affirmations/remarques sur des
produits, des marques ou des entreprises ; à savoir une situation dans laquelle ils
étaient récepteurs et ont entendu ou lu l'information. Les questions étaient
formulées afin que la personne interrogée puisse aussi bien faire part d'une
opinion exprimée sur Internet que d’une expérience vécue dans la « vraie vie ».
(Par exemple, nous avons évité d'aborder le concept de « bouche-à-oreille » car
celui-ci sous-entend une conversation offline.)
Canal de transmission : offline ou online ?
Dans le sondage, nous avons notamment posé la question suivante : « Comment
as-tu pris connaissance de cette expérience ? » Voici les réponses proposées : « de
vive voix », « par téléphone », « par e-mail/chat », « sur un blog », « sur
Facebook/Twitter/StudiVZ/une autre plateforme en ligne », « autre(s) ».
Le bouche-à-oreille online est plus vite oublié.
Les réponses montrent que le bouche-à-oreille sur Internet n’a qu’un impact relatif, du
moins si l'on fait confiance aux sondés pour rapporter avec exactitude le moment où ils
ont reçu des avis ou des remarques sur des produits ou des marques. Seuls 4,6 % des
personnes interrogées se souvenaient d'une information transmise par un bouche-àoreille online, et la grande majorité de ces informations (63 %) avait été diffusée par email.
À l'inverse, 95,4 % des sondés ont raconté des expériences transmises dans la « vraie
vie » (de vive voix ou par téléphone).
L'enquête montre bien que les plateformes de réseaux sociaux, qui suscitent
aujourd'hui de nombreux débats, ne représentent pas un cadre propice à la
propagation d'un bouche-à-oreille durable et dont on se souvient. Il convient
également de noter que les participants à l’étude, c.-à-d. des trnders actifs, avaient
dans l'ensemble plus d'affinités avec Internet que le citoyen moyen.
De vive
voix
n=20 093
Par
téléphone
Par
E-mail/chat
Sur un
blog
Facebook,
Twitter
StudiVZ, etc.
Autre
Aucune surprise.
En définitive, malgré le fait que les consommateurs communiquent de plus en plus par
Internet au travers des médias spécialisés, les résultats ne sont que peu surprenants. En
effet, même s'il est devenu beaucoup plus facile de partager son avis à propos d'un
produit ou d'une marque sur les réseaux sociaux, le comportement des consommateurs
ne peut pas changer radicalement du jour au lendemain. En tant qu'être social, nous
communiquons sans cesse verbalement avec notre entourage et nous recherchons
d'innombrables occasions de nous entretenir avec d'autres personnes lors de
conversations offline. Cela se produit le plus simplement du monde car les échanges font
partie intégrante de notre quotidien.
Poster son avis sur la toile n'est cependant pas habituel pour la majorité de la population
et requiert même un effort supplémentaire par rapport à une banale conversation (cette
tendance est plus marquée au sein de l'ensemble de la population que parmi les trnders
interrogés).
5. 02. Le bouche-à-oreille vu par l'émetteur (1).
Deux expériences d'achat : une positive et une négative.
Dans la deuxième partie du sondage, nous avons analysé la capacité de narration du
participant. Pour cela, les sondés ont été divisés volontairement en deux groupes1.
Nous avons décrit à chaque groupe une expérience d’achat dans un magasin de
téléphonie mobile et nous leur avons demandé de se mettre en situation dans la scène
décrite.
L’un des deux groupes (n=7 888) a été confronté à une expérience d’achat très positive,
l'autre (n=12 263) à une expérience d’achat très négative. (La description des
expériences figure en annexe). Ensuite, nous avons posé aux deux groupes les mêmes
questions sur la façon dont ils comptaient diffuser leur expérience. Il s'agissait de
comprendre dans quelles mesures le comportement du bouche-à-oreille se différencie
selon qu’il provient d’une expérience négative ou positive.
De plus, nous avons demandé aux deux groupes d'évaluer cette expérience sur une
échelle de 1 à 7 (1=très négative et 7=très positive). Au sein du groupe « expérience
négative », la moyenne se situait à 1,85 ; au sein du groupe « expérience positive »,
elle était de 6,22. Nous pouvons donc en conclure que nous avons reproduit avec
succès une situation clairement négative et une situation clairement positive.
Dans le document intitulé « Étude trnd - WOM-Moniteur 01 » (décembre 2010), nous
avons démontré précisément que le bouche-à-oreille négatif se répand à peine plus vite
que le bouche-à-oreille positif, du moins selon les propos des personnes interrogées qui
ne connaissaient pas l'autre scénario.
Il s'agissait ensuite de déterminer si les participants choisiraient plutôt le canal online
ou offline pour diffuser le message.
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Partage-t-on nos expériences sur la toile ?
Nous avons déterminé quel était le rôle d'Internet dans la diffusion de ces bouche-àoreille (qu'ils soient positifs ou négatifs), en posant la question suivante aux
participants : « Comptes-tu également partager cette expérience sur Internet ? ».
Voici les différentes réponses proposées :
• Non, je ne compte pas partager mon expérience sur Internet.
• Oui, je compte partager mon expérience de préférence sur Twitter.
• Oui, je compte partager mon expérience de préférence sur un blog.
• Oui, je compte partager mon expérience de préférence avec mes amis,
par e- mails.
• Oui, je compte partager mon expérience de préférence sur Facebook/StudiVZ/
un autre site communautaire.
• Oui, je compte partager mon expérience de préférence sur un forum.
Les participants ne pouvaient choisir qu'une seule réponse. Nous voulions éviter qu'ils
envisagent toutes les plateformes si l'occasion leur était donnée. En n'autorisant qu'une
seule réponse et en formulant la question avec « de préférence », nous avons pu classer
les différents canaux de communication d'après leur popularité auprès des sondés.
Il faut toutefois tenir compte du sujet de l'enquête dans l'interprétation des résultats.
En effet, la téléphonie mobile est, par exemple, un sujet plus proche d'Internet que les
produits d'entretien ou les chewing-gums. (Même si les données recueillies dans la
première partie du questionnaire ne permettent pas de tirer de conclusions formelles à
cet égard, il semblerait que dans le domaine des télécommunications, le pourcentage de
bouche-à-oreille online dont on se souvient n'est pas plus élevé que pour les autres
gammes de produits.)
1) En ce qui concerne la composition des groupes, les participants devaient indiquer si le premier chiffre de leur code postal était pair ou impair. Nous étions ainsi à peu près sûrs que cela nous permettrait de constituer des groupes de taille similaire.
Au final, la taille des groupes n’était pas tout à fait identique, mais chacun était suffisant pour obtenir des résultats fiables et comparables.
6. 02. Le bouche-à-oreille vu par l'émetteur (2).
Les résultats :
Au vu des résultats du sondage, aucune différence notable ne peut être établie
entre les expériences positives (en vert) et les expériences négatives (en rouge) en
termes de transmission sur Internet. Les expériences négatives ne sont donc pas
diffusées outre mesure sur la toile :
Pas sur internet
Réseau social
Forum
E-mail
Blog
Twitter
Positive
Négative
Plus d'un tiers des personnes interrogées affirmaient dans le sondage ne pas vouloir
partager une expérience d'achat sur Internet, qu'elle soit positive ou négative. Par
ailleurs, 15 % des sondés préféraient diffuser l'information par e-mail, une forme de
communication somme toute assez privée. Les réseaux sociaux n'occupent donc en
aucun cas la première place.
Et si l'information est tout de même diffusée sur Internet, les réseaux sociaux, les
forums et les e-mails sont les premiers canaux de communication choisis, reléguant
les blogs et Twitter aux dernières places.
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7. 03. Résumé.
Le bouche-à-oreille offline vs. le bouche-à-oreille online.
D'après les résultats de la présente étude, nous devons en conclure que l'intérêt
nouvellement accordé à l’importance des « avis des consommateurs sur les réseaux
sociaux » est à modérer. Contrairement à ce que de nombreuses publications
prétendent, les avis et les commentaires exprimés sur les réseaux sociaux
n'influencent pas forcément les utilisateurs et les consommateurs. Nos résultats se
rapprochent donc de ceux de l'étude sur le bouche-à-oreille menée aux États-Unis par
le groupe Keller Fay.
Un certain pragmatisme semble régner : le fait qu'un utilisateur de Facebook
mentionne dans son statut qu'un nouveau produit lui a plu ou non n'influence pas
encore le comportement d'achat de ses « amis ».
Dans la grande majorité des cas, le bouche-à-oreille offline est la forme de
communication la plus durable, loin devant le bouche-à-oreille online. Cette
conclusion est d'autant plus significative au sein de l'ensemble de la population sondée
dans la mesure où les personnes interrogées dans le cadre de cette enquête avaient
vraisemblablement plus d'affinités avec Internet que le citoyen allemand « moyen ».
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Notre bilan Marketing.
Il y a peu de soucis à se faire à propos des commentaires négatifs publiés sur
Facebook ou sur les blogs. Même si les clients, les utilisateurs ou les
consommateurs laissent des commentaires acerbes, ces derniers ne font guère de
tort aux marques. En effet, le bouche-à-oreille off-line, transmis dans la « vraie
vie », a largement plus d'impact, du moins pour l'instant.
De ce fait, les réseaux sociaux ne représentent aucune menace mais plutôt une
chance de mieux connaître les opinions de la population qui, sans ces
plateformes, ne pourraient peut-être jamais être recueillies.
Or, il ne faut surtout pas laisser le contexte médiatique occulter le véritable sujet :
les nouvelles possibilités d'échange sur Internet n’ont pas un impact significatif
sur le processus de bouche-à-oreille pour la simple raison que les
consommateurs y partagent leurs avis. Il convient avant tout de ne pas enrayer la
« machine » marketing et de laisser discuter les consommateurs actifs ayant un
avis tranché sur le sujet afin que le bouche-à-oreille s'intègre ensuite
naturellement à la conversation.
Selon nous, les réseaux sociaux ne sont pas des canaux de communication,
mais bien des plateformes d'échange. Et c'est dans cet esprit là qu'ils devraient
être utilisés.
8. 04. Annexe : Format de l’étude - sondage en deux parties.
Pour obtenir des réponses à nos questions, nous avons conçu un sondage en deux
parties.
1ère partie : Bouche-à-oreille reçu/mémorisé.
Dans la première partie, nous avons demandé aux sondés de se remémorer la dernière
fois qu’une personne leur avait donné un avis sur un produit ou une marque à travers
Internet. Dans le cadre de cette étude de bouche-à-oreille, nous avons posé différentes
questions : Par quel canal as-tu eu accès au point de vue de ton interlocuteur ? Cette
personne diffuse-t-elle un message positif ? As-tu, à ton tour, transmis cette opinion à
d’autres personnes ? Quel était le thème de l’opinion exprimée ? etc. Après réflexion, nous
avons décidé de ne pas demander aux participants quel bouche-à-oreille ils avaient
eux-mêmes généré pour ne pas interférer avec les informations transmises dans le
cadre des projets trnd, le risque étant d’avoir des résultats faussés.
Élaboration du sondage,
traitement des données :
Sondage en deux parties :
• Questions portant sur une
expérience réelle, à savoir une
communication « reçue » sur un
produit.
• Description de deux scénarios
fictifs : un positif et un négatif,
avec étude des comportements
respectifs.
20 093 ensembles de données
collectés.
Dans un deuxième temps, nous avons analysé
le contenu des données recueillies en excluant
les réponses portant sur des marques et des
produits déjà présentés dans le cadre de projets
trnd. Étant donné que la communauté trnd
s'était déjà exprimée sur un certain nombre de
marques, nous avons dû éliminer un nombre
relativement élevé de données. L'important
était de travailler sur des cas de
communication qui n’avaient pas été
influencés par notre travail au sein de trnd.
Nous avons également éliminé les réponses
incomplètes, erronées, ou insensées. Ainsi,
nous avons pu conserver et évaluer 20 093
réponses sur un total de
30 000 réponses initiales.
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2ème partie : Description du scénario fictif et étude du comportement
correspondant.
Dans la deuxième partie, nous avons stimulé des réactions face à des événements
positifs et négatifs (tentative d’achat d’un téléphone mobile dans une boutique). Pour
cela, nous avons présenté à un groupe (n=12 263) un texte dans lequel le lecteur était
placé dans une situation d’achat très négative. En revanche, le deuxième groupe (n=7
888) faisait face à un scénario inverse, c.-à-d. une expérience très positive. Les deux
groupes devaient ensuite évaluer leur comportement. Les descriptions des deux
expériences d’achat figurent ci-dessous :
Expérience positive : « Imagine la situation suivante : tu veux souscrire un nouveau
contrat de téléphone portable. Tu te rends dans une boutique où tu peux choisir parmi
différents opérateurs. Tu aimerais être conseillé(e) sur les divers fournisseurs et sur les
différents modèles de téléphones portables. Le magasin est assez plein, un employé très
attentionné prend néanmoins le temps de te conseiller. Il écoute d’abord attentivement la
description de tes habitudes téléphoniques et la raison pour laquelle tu désires un
nouveau contrat. Ensuite, il t’apporte quelques informations utiles sur les différents
fournisseurs. De plus, il t’explique de manière très objective les avantages et les
inconvénients des divers modèles de téléphones portables. Finalement, il te propose 3
modèles qui correspondent le mieux à tes besoins. Tu te réjouis des bons conseils que
l'employé t'a donnés, tu le remercies et repars avec une très bonne impression, très
satisfait(e) de ta visite. »
Expérience négative : « Imagine la situation suivante : tu veux souscrire un nouveau
contrat de téléphone portable. Tu te rends dans une boutique où tu peux choisir parmi
différents opérateurs. Tu aimerais être conseillé(e) sur les divers fournisseurs et les
différents modèles de téléphones portables. Le magasin est relativement vide et pourtant
les employés ne semblent pas pressés de s’occuper des clients. Tu patientes un long
moment avant qu'un employé t'accorde finalement un peu de temps. Il est peu
communicatif, assez hostile et ne peut pas répondre à bon nombre de tes questions. Au
lieu de ça, il veut te faire signer un contrat et te propose un téléphone portable avec lequel
il obtiendrait vraisemblablement une très bonne commission. Il ne tient compte ni de tes
remarques, ni de tes désirs. Au bout d'un moment, tu mets fin à la conversation,
énervé(e), et quittes le magasin. »
9. 04. Annexe : Typologie des sondés.
Typologie des sondés.
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L’étude présente une particularité car trois-quarts des sondés étaient des femmes :
La très large majorité des sondés provenait d’Allemagne, les autres d’Autriche et de
Suisse.
Ceci est dû au fait que la communauté trnd est majoritairement composée de femmes
(63 %). En général, celles-ci participent plus activement aux sondages proposés.
La répartition par tranches d’âge apparaît comme suit, avec un âge moyen de
29,2 ans :
Important : le pourcentage élevé de femmes ayant répondu au questionnaire n’altère en
rien les résultats de l’étude. Pour le vérifier, nous avons observé séparément les
réponses des hommes et des femmes. Nous avons alors obtenu des résultats très
similaires dans les deux groupes.
Les personnes interrogées n’ont pas été rémunérées pour leur participation. Le
questionnaire a été mis à la disposition des trnders dans leur espace privé. Tous les
membres de trnd.com intéressés pouvaient alors y répondre.
Les chercheurs qui souhaiteraient débattre des résultats de cette étude sont invités à
contacter le Dr. Martin Oetting : Tél. : +49 89 307 668 - 250
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Qui est trnd ?
11. 05. À propos de trnd.
À propos de trnd.
trnd est le principal fournisseur de marketing de bouche-à-oreille (Word-of-Mouth) en
Europe. trnd offre pour la première fois aux entreprises la possibilité de mettre en place
un outil hautement efficace de marketing de bouche-à-oreille dans leur mix marketing,
planifiable et mesurable, et de cibler ainsi les conversations privées de consommateur à
consommateur (marketing C2C).
Pour cela, trnd dispose de réseaux uniques de marketing de bouche-à-oreille en France
(trnd.fr), en Allemagne et en Autriche (trnd.com, bopki.com), en Suisse (trnd.ch), en
Espagne (trnd.es, bopki.es), en Italie (trnd.it), au Benelux (trnd.nl), et en Argentine
(trnd.ar). Grâce à nos partenariats, nous sommes également présents sur les marchés
suivants : États-Unis, Canada, Angleterre (conjointement avec BzzAgent), Suède,
Finlande, Norvège et Danemark (conjointement avec Buzzador).
Les campagnes de marketing de bouche-à-oreille sont ciblées, planifiées, gérées et
analysées par le biais de la plateforme technologique « trndsphere » - le dialogue 1:1
avec les « connecteurs » est assuré par le WOM-Center de trnd.
Depuis son lancement en 2005, plus de 200 campagnes ont été réalisées pour des
clients tels que Procter & Gamble, Wrigley, Henkel, GlaxoSmithKline, Bosch, Unilever,
L’Oréal, Ferrero, Philips, Smart, Sixt, Coca-Cola, Danone, Orangina-Schweppes ou
Microsoft.
Contact.
Etude trnd– WOM Moniteur 02
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trnd international.
trnd Allemagne + Autriche
Winzererstr. 47d – 80797 München – Germany
trnd Espagne
Mallorca 188, Entresuelo 2a – 08036 Barcelona – España
trnd Suisse
Seefeldstrasse 69 – 8008 Zürich – Schweiz
trnd Benelux
Asterweg 19D2 - 1031 HL Amsterdam– Nederland
trnd France
132, boulevard Pereire - 75017 Paris – France
trnd Italie
Via Santa Maria Valle 3 – 20123 Milano – Italia
trnd Argentine
Chacabuco 716 (1602) Vicente López – Buenos Aires – Argentina
Central Eastern Europe/Hongrie
Dayka Gábor utca 3. 1118 – Budapest – Hungary
trnd France - the real network-dialogue
132, boulevard Pereire
75017 Paris
Téléphone, fax, e-mail:
Téléphone+33 (0)1 70 38 53 61
Fax
+33 (0)1 70 38 51 51
E-mail
contact@trnd.fr
Site Web www.trnd.fr/company
Siège de la société trnd AG à Munich, Registre du Tribunal de Munich, HRB - 171131 –
Tribunal d’instance de Munich, UStID selon § 27a UStG : DE238390954,
Administrateurs : Rob Nikowitsch, Torsten Wohlrab, Robert Schlittenbauer. Présidence
du conseil de surveillance : Bettina Bosse.
trnd est partenaire officiel de la Word-of-Mouth
Marketing Association WOMMA.
12. 05. World-Wide-WOM.
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Nous vous offrons la possibilité de mettre en place des campagnes internationales de marketing WOM.
À ce jour, nous pouvons couvrir ces différents marchés (au 1 er décembre 2010) :
Canada
En collaboration avec
BzzAgent Inc.
Suède, Finlande,
Norvège, Danemark
Royaume-Uni
En collaboration avec
BzzAgent Inc.
En collaboration avec Buzzador AB.
Pays-Bas,
Belgique
Allemagne,
Autriche, Suisse
France
Central Eastern
Europe/Hongrie
www.trnd.com
www.bopki.com
www.trnd.nl
Etats-Unis
En collaboration avec
BzzAgent Inc.
Argentine
www.trnd.com.ar
www.trnd.hu
www.trnd.fr
Espagne
www.trnd.es
www.bopki.es
Italie
www.trnd.it
13. trnd
132, boulevard Pereire
75017 Paris
Téléphone : +33 (0)1 70 38 53 61
Fax : +33 (0)1 70 38 51 51
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