3. 3
Définir le web 2.0
« Usage d’internet qui permet à l’internaute d’interagir
sur le contenu des pages web et de s’identifier à une
communauté »
Le Monde, supplément Éducation, jeudi 16 avril 2009, p.6
4. 4
Définir le Web 2.0
Participation des Internautes (interactivité)
Partage rapide et facile de contenus
Communautés, réseaux
Agrégation de contenus
Esprit « Bêta »
12. 12
Utiliser les fils RSS pour veiller
Image : creativenerds.co.uk
Syndication de contenus
créés automatiquement
en fonction des mises à
jour d’un site web
(d’après Wikipedia)
13. Les lecteurs de fils RSS
Messagerie : Thunderbird, MS Outlook…
Navigateur : Internet Explorer, Firefox, Chrome…
Extension : Sage (Firefox), RSS Subscription Extension
(Chrome), …
Agrégateur en ligne : Feedly, Netvibes
Agrégateur à installer sur serveur : TinyTinyRSS,
Owncloud News...
14. Enregistrer une requête de Science Direct via le
marque page dynamique de Firefox (1)
Cliquer sur le Flux
17. 17
Création d’un compte Feedly
http://feedly.com/
Agrégateur créé en 2008 par la société américaine DevHD
Popularisé suite à l'arrêt de Google Reader en 2013
Fonctionne avec les différents navigateurs et sur tablette,
smartphone
22. 22
Utiliser les fils RSS
Image : creativenerds.co.uk
Exercice1 avec le
marque-pages ou
Feedly
Retrouvez les consignes sur le pad en ligne
https://huit.re/doctorantsubo
24. 24
Exercice 2 : quelques liens à analyser
Découvrez les possibilités de certains outils du Web 2.0 : listes de
discussions, blogs, wikis, réseaux sociaux, gestionnaires de
références ou de signets en ligne …
Retrouvez les consignes sur le pad
https://huit.re/doctorantsubo
Dcassa – flickr - CC-BY-NC-SA
28. 28Université de Bretagne Occidentale – Service Commun de documentation - BLP
Collecter &
organiser
EchangerTransmettre Science 2.0
Publier
&
diffuser
Veiller
Gérer ses
références
29. 29Université de Bretagne Occidentale – Service Commun de documentation - BLP
Echanger via les blogs
Blog professionnel d'un individu
Blog de laboratoire
Blogs des centres de
documentation et des bibliothèques
Blog institutionnel
30. 30
Vos réflexions du moment et des
nouvelles de vos travaux en cours
http://www.guidedesegares.info/
37. 37
Mettre au point son « plan de veille »
Sur quoi je veille ? Pour qui ? Avec quelles sources ? Quels
outils ?
Carte réalisée sur http://framindmap.org
39. 39
« L'information
scientifique est un bien
commun qui doit être
disponible pour tous »
Geneviève Fioraso
Ministre de l'Enseignement supérieur et
de la Recherche. 24/01/2013
OPEN ACCESS / Libre Accès
Bout de barrière. 2008. CC BY-NC-ND 2.0
http://www.flickr.com/photos/petiteplanete/3813091124/
41. 41
Pour les thèses : le dépôt dans TEL
https://tel.archives-ouvertes.fr/
42. 42
Accroître la visibilité de sa thèse
Exemple d'une thèse :
Joël Hascouët. 2010. "Les troménies bretonnes.
Un mode d'anthropisation de l'espace à l'examen
des processions giratoires françaises et belges. »
- bibliothèque de Lettres (Brest)
- sur HAL-UBO (et sur HAL et TEL).
http://hal.univ-brest.fr/tel-00550144v1
43. 43
Accroître la visibilité de sa thèse (2)
0
50
100
150
200
250
300
350
400
450
500
2 prêts
471 téléchargements
58. 58
Les questions de droit d’auteur
Clément Girardot. Chenille. CC BY-NC-SA
http://www.flickr.com/photos/imagesvolantes/6188787957/
Questionnaire
59. 59
En tant qu’utilisateur d’œuvres
Je n’ai pas à me soucier du droit d’exploitation seulement si :
-œuvre non concernée par le droit d’auteur
(non originale, ne porte pas l’empreinte de l’auteur)
-œuvre du domaine public
-le ou les titulaires des droits d’exploitation m’ont donné une
autorisation explicite : attestation, mention particulière ou Licence
Creative Commons.
mais je dois veiller à respecter le droit moral de l’auteur.
60. 60
En tant que diffuseur d’une œuvre
Je dois m’assurer que :
-je détiens tous les droits de diffusion :
-pas de clause particulière au contrat de travail me privant des
droits d’auteur,
-autorisation de diffusion de toutes les illustrations
-contenu ne faisant pas l’objet de clauses de confidentialité, de
projet de dépôt de brevet…
-je n’ai pas effectué de plagiat,
-j’ai cité auteurs et sources pour les courtes citations, les
illustrations,
-je ne divulgue pas d’informations personnelles, d’informations
sur la vie privée de personnes ou pouvant nuire à leur image ou
à leur réputation.
61. 61
Limites et intérêts du Web 2.0 en recherche
Thomas Hawk. http://www.flickr.com/photos/thomashawk/96968793/. 2006. CC BY-NC 2.0
62. 62
Des outils nombreux en constante évolution
Top mondial des
réseaux
2008 2015
Myspace 75 M. 50 M.
Facebook 60 M. 1,6 Mrd
Pas de site de référence
qui fasse l’unanimité
auprès de la communauté
scientifique.
Pérennité des outils non
assurée.
http://vator.tv/news/2011-06-30-the-brief-rise-of-myspace-and-its-long-slow-demise
63. 63
Temps du Web 2.0 vs. temps de la science ?
Messages
courts
fragmentés
incomplets
immédiats
impulsifs
Analyse développements
argumentations
continuité
distanciation
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Le Web 2.0 « sans autorité » ?
Anonymat
Facilité du « copier-coller »
Reprises en cascade
Source ?
Croiser ses sources avant de valider
65. 65
Contrôler ses données ?
Ouverture de comptes (Delicious, Twitter,
Google, etc.) = diffusion d’informations
personnelles
Exploitation par les sociétés commerciales
Difficulté, voire impossibilité de supprimer
les données, commentaires, photos, etc.
66. 66
5 raisons d’utiliser le Web 2.0 pour conclure
Telomi. Le semeur CC BY-NC-ND
http://www.flickr.com/photos/telomi/6372260861/
Elargir ses contacts et partager
Collaborer à distance
Faire connaître ses travaux
Obtenir un retour critique, des informations
Gérer les informations sur soi
68. 68
Merci de votre attention
(n'oubliez pas de remplir le formulaire d'évaluation de la formation)
Perrine Helly
SCD de l'UBO
perrinePOINThellyAT
univ-brestPOINTfr
02 98 01 64 72
Catherine Bertignac
SCD de l’UBO
catherinePOINTbertignacAT
univ-brestPOINTfr
02 98 01 69 07