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La littérature française au moyen age par sayoud djamel
1. Sommaire
1 Présentation
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o 1.1 Évolution de la langue française du V au XV siècle
o 1.2 Aperçu de la période
2 Œuvres et auteurs
o 2.1 Les premiers textes romans
o 2.2 La littérature féodale
2.2.1 La Geste du Roi
2.2.2 La Geste de Garin de Monglane
2.2.3 La Geste de Doon de Mayence
o 2.3 La littérature courtoise
2.3.1 Les Romans de la Table ronde
2.3.2 Les Romans d'aventures du XIIe au XVe siècle
o 2.4 La littérature savante et allégorique
2.4.1 Les Romans Antiques
2.4.2 La Poésie allégorique
2.4.3 La littérature didactique
o 2.5 La littérature bourgeoise et satirique
o 2.6 La poésie lyrique
2.6.1 Aux XIIe et XIIIe siècles
2.6.2 Aux XIVe et XVe siècles
o 2.7 Le théâtre
2.7.1 Le théâtre religieux
2.7.2 La comédie
o 2.8 L'histoire et le sermon
2.8.1 L'histoire en vers
2.8.2 Les chroniqueurs
2.8.3 Le sermon
Littérature française du Moyen Âge
La littérature médiévale en France correspond à des œuvres écrites entre l'an mil et l'an 1500 dans diverses
langues issues du latin, langues d'oïl au nord et en langues d'oc au sud.
Pour l'essentiel, chronologiquement, on retient d'abord le genre épique des chansons de geste qui exaltent
les exploits des chevaliers (ex. la Chanson de Roland, XIe siècle), puis la littérature courtoise, apparue au
XIIe siècle, qui voit trouvères et troubadours chanter l'amour parfait dans leurs poèmes et Chrétien de
Troyes écrire les Romans de la Table Ronde, alors que la fin de la période offre une poésie lyrique
authentique avec Rutebeuf au XIIIe siècle et surtout François Villon au milieu du XVe siècle.
À côté des genres nobles apparaissent des genres populaires souvent anonymes comme les fabliaux ou le
satirique Roman de Renart ou au théâtre les farces comiques à côté des Mystères aux sujets religieux.
D'autres genres existent aussi comme le genre semi-littéraire de la chronique historique avec Joinville ou
Froissart.
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2. Le premier texte connu de la littérature médiévale entre 881 et 882. C'est en fait, une adaptation en 29
vers d'un poème latin, à vocation religieuse et pédagogique.
Les premiers grands textes de la littérature française datent eux du milieu du Moyen Âge (XIe siècle),
époque de développement de l'agriculture et d'expansion démographique après des périodes d'invasions,
de chaos politique et d'épidémies.
Folio 153v des Très Riches Heures du duc de Berry (1412–1416)
Évolution de la langue française du Ve au XVe siècle
Les parlers celtiques des habitants de la Gaule se sont effacés progressivement au cours de la conquête
romaine au profit des langues latines : le latin écrit (classique) et latin parlé (vulgaire). Le latin classique,
enseigné dans les écoles, reste la langue des services religieux, des ouvrages scientifiques, des actes
législatifs et de certaines œuvres littéraires. Le latin vulgaire, parlé par les soldats et les marchands
romains, et adopté par les natifs, évolue lentement en prenant les formes de différents parlers romans
selon les régions du pays. Ces parlers se divisent en deux rameaux : la langue d'oïl au nord de la Loire et la
langue d'oc, au sud. Au IXe siècle, les parlers romans étaient déjà très éloignés du latin : pour comprendre,
par exemple, la Bible, écrite en latin, des commentaires étaient nécessaires. Avec l'affermissement du
pouvoir royal, à partir du XIIIe siècle, le francien, parler en usage dans l'Île-de-France, l'emporte petit à petit
sur les autres langages et évolue vers le français classique.
Les langues qu'on retrouve dans les manuscrits datés du IXe au XIIIe siècle forment ce qu'on appelle l'ancien
français. Elles continuent d'évoluer et aux XIVe, XVe et XVIe siècles, on distingue le moyen français.
Aperçu de la période
Guillaume de Lorris, miniature d'un manuscrit du Roman de la rose
Les chansons de geste sont de longs poèmes comportant des milliers de vers qui sont destinées à être
chantés en public, geste signifiant ici exploits guerriers. Elles relatent, sous une forme épique mêlant
légendes et faits historiques, des exploits guerriers passés, et mettent en valeur l'idéal chevaleresque. La
plus ancienne et la plus connue est la Chanson de Roland qui a été écrite au XIe siècle ; elle raconte, en les
idéalisant, les exploits de l'armée de Charlemagne.
La littérature courtoise, apparue au XIIe siècle, a pour thème principal le culte de l'amour unique, parfait et
souvent malheureux. Elle trouve son origine dans l'antiquité, intègre des influences orientales dues au
retour des Croisés, et s'inspire de légendes celtiques. Ainsi, la légende de Tristan et Iseult raconte l'histoire
d'un amour absolu et impossible qui se termine par la mort tragique des amants ; ces poèmes étaient
chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?) est
sans doute le premier romancier de la littérature française ; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au
lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal sont typiques de ce genre
littéraire. Le long poème Le Roman de la Rose, écrit au début du XIIIe siècle, est l'un des derniers écrits
portant sur le thème de l'amour courtois, et cela seulement dans son court début écrit par Guillaume de
Lorris. Le reste du poème, continué par Jean de Meung contient au contraire des passages (dont celui de La
vieille) d'une étonnante misogynie, mêlée par ailleurs à des arguments articulés de critique sociale.
Les Petites Heures de Jean de Berry, scène : l'idiot
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3. Vers la même époque, le Roman de Renart est un ensemble de poèmes qui relatent les aventures
d'animaux doués de raison. Le renard, l'ours, le loup, le coq, le chat, etc. ont chacun un trait de caractère
humain : malhonnête, naïf, rusé... Les auteurs anonymes raillent dans ces poèmes les valeurs féodales et la
morale courtoise.
Le poète parisien du XIIIe siècle Rutebeuf se fait gravement l'écho de la faiblesse humaine, de l'incertitude
et de la pauvreté à l'opposé des valeurs courtoises.
Les premières chroniques historiques écrites en français sont des récits des croisades datant du XIIe siècle.
Certains de ces récits, comme ceux de Jean de Joinville retraçant la vie de saint Louis, ont aussi un but
moral et idéalisent quelque peu les faits relatés. Ensuite la guerre de Cent Ans (1337–1453) est racontée
par Jean Froissart (1337–1410 ?) dans deux livres appelés Chroniques.
Après la guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431–1463 ?) traduit le trouble et la violence de cette
époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant, il est ensuite condamné pour vol et meurtre. Son œuvre
à la fois savante et populaire exprime une révolte contre les injustices de son temps.
Le théâtre religieux se développe tout au long du Moyen Âge, il met en scène à partir du XVe siècle les
Mystères, c'est-à-dire les fêtes religieuses comme Noël, Pâques et l'Ascension ; au contraire des genres
littéraires précédents plutôt aristocratiques, il s'adresse au plus grand nombre. À côté de ce théâtre
religieux, un théâtre comique appelé farce apparaît, toujours au XVe siècle, où il est durement combattu
par les autorités religieuses.
Œuvres et auteurs
Les premiers textes romans
Du IXe siècle :
o La Cantilène de sainte Eulalie
Du Xe siècle :
o La Vie de Saint Léger
Du XIe siècle :
o La Vie de saint Alexis
La littérature féodale
Les chansons de geste ou épopées, du XIe au XIIe siècle, regroupées en trois cycles :
La Geste du Roi
Mort de Roland à Roncevaux, enluminure de Jean Fouquet (milieu du XVe siècle)
Ce cycle est dominé par le personnage de Charlemagne et regroupe une trentaine d'œuvres qui
permettent de reconstituer une histoire poétique de la vie de Charlemagne. L'empereur absorbe en sa
légende tous les Carolingiens depuis Charles Martel. Il prend à son compte les exploits, les épreuves, les
victoires. Il groupe autour de lui héros et personnages ou historiques ou légendaires.
Classement chronologique des principales chansons :
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4. o Au XIe siècle, début XIIe siècle : La Chanson de Roland - Le Pèlerinage de Charlemagne ;
o Au XIIe siècle : Mainet - Les Saisnes - Aspremont - Fiérabras - Huon de Bordeaux - Ogier le
Danois - Le Couronnement de Louis ;
o Au XIIIe siècle : Otinel - Gui de Bourgogne - Berte aux grands pieds.
Classement par rapport à Charlemagne :
o La Jeunesse : Berte aux grands pieds - Mainet ;
o La piété, les guerres : Le Pèlerinage de Charlemagne,
Lutte contre les Sarrasins : La Chanson de Roland - Aspremont -Fiérabras -Otinel - Gui
de Bourgogne,
Lutte contre les Saxons : Les Saisnes ;
o Les enfants, le déclin : Huon de Bordeaux - Le Couronnement de Louis.
La Geste de Garin de Monglane
Ce cycle contient environ 25 poèmes s'ordonnant autour de Guillaume d'Orange, arrière-petit-fils de Garin
de Monglane, aïeul légendaire. Guillaume d'Orange, survivance épique de Guillaume de Gellone, comte de
Toulouse, cousin de Charlemagne. Conseiller de Louis le Pieux, fils héritier de Charlemagne, mis à la tête du
royaume d'Aquitaine (778). Il dut faire face à une invasion sarrasine (793). Il prit Barcelone, créa une
marche d'Espagne, se retira dans un monastère, l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert, où il mourut (812).
Légendes et trouvères lui donnèrent titres et lignée. Devint Guillaume Fiérebras, au Court-Nez, de
Narbonne, d'Orange. Bisaïeul : Garin de Monglane - Aïeul : Ernand de Beaulande - Grand-oncle : Girart de
Vienne - Père : Aimeri de Narbonne - Sa femme, sarrasine convertie Orable ou Guibourc (nom chrétien) -
Une de ses cinq sœurs, Blanchefleur, a épousé le roi Louis qu'il protège - Six frères. L'action se déroule
surtout en Languedoc et en Provence.
Classement chronologique des principales chansons :
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o Au XII siècle : La Chanson de Guillaume - Le charroi de Nîmes - La prise d'Orange - Le
moniage Guillaume - Les Aliscans ;
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o Au XIII siècle : Aimeri de Narbonne - Girart de Vienne.
Classement par rapport aux événements : Girart de Vienne - Aimeri de Narbonne - La Chanson de
Guillaume - Le charroi de Nîmes - La prise d'Orange - Les Aliscans.
La Geste de Doon de Mayence
Autour du thème central de luttes féodales, les chansons de ce cycle sont groupées de façon plus artificielle
que dans les cycles précédents.
Quelques œuvres : Gormont et Isembart (XIIe s.) - Girart de Roussillon (XIIe s.) - Garin le Lorrain (XIIe s.) -
Raoul de Cambrai (XIIe s.) - Renaud de Montauban (XIIIe s.)
La littérature courtoise
Mort de Tristan et Iseut, enluminure du XVe siècle
Les Romans de la Table ronde
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5. Le roman s'oppose à la chanson de geste en ce qu'il est le récit d'une aventure plus ou moins fictive, alors
que la chanson de geste a toujours — ou prétend avoir — un fondement historique. Les romans ont pour
origine les traditions celtiques sur le roi Arthur et ses chevaliers. On y joint les contes du Graal, qui serait le
vase où Joseph d'Arimathie recueillit le sang du Christ (le Saint Calice). Ces histoires, qui constituent la
matière de Bretagne, passent en France au XIIe siècle sous forme de lais, dont les plus célèbres sont ceux
de Marie de France.
Les lais de Marie de France, au nombre d'une quinzaine parmi lesquels, le lai d'Yonec, le lai du
Chèvrefeuille, le lai de Lanval, le lai d'Eliduc, le lai du Bisclavaret.
Tristan et Iseult, dont il existe deux romans différents : celui de Béroul, composé vers 1150 et celui
de Thomas d'Angleterre, composé vers 1170
Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?), l'auteur d’Érec et Énide (v. 1165), Cligès (v. 1170) Yvain ou le
Chevalier au lion (v. 1170), Lancelot ou le Chevalier de la charrette (v. 1175) et Perceval ou le Conte
du Graal (v. 1175)
Les Romans d'aventures du XIIe au XVe siècle
Ceux-ci n'empruntent plus leurs sujets et leurs héros à la Bretagne, leurs sources étant plus diverses et
souvent byzantines.
Le Roman des sept sages - Floire et Blanchefleur - Partonopeus de Blois - La Chatelaine de Vergy -
Jean de Paris
La chantefable Aucassin et Nicolette, deuxième moitié du XIIe siècle, petit roman écrit mi-partie en
prose, mi-partie en vers
La littérature savante et allégorique
Les Romans Antiques
Ceux-ci sont inspirés de l'Antiquité et écrits par des clercs qui recopient, commentent et adaptent des
œuvres grecques et latines déjà transformées : le Roman d'Alexandre (v. 1150), le Roman de Thèbes
(v. 1150), le Roman d'Énéas (v. 1160), le Roman de Troie (v. 1165) de Benoît de Sainte-Maure, le Roman de
Jules César (v. 1250).
La Poésie allégorique
L'œuvre principale est le Roman de la Rose, composé de deux parties, la première (v. 1230) de Guillaume
de Lorris, la seconde, la continuation (v. 1275), de Jean de Meung.
La littérature didactique
Traités didactiques de tout genre, en vers ou en prose :
Bestiaires de Philippe de Thaon (XIIe), de Guillaume le Clerc de Normandie (XIIIe siècle) ;
Dits : Dit des rues de Paris, Dit des Cordeliers, etc. ;
Le Livre pour l'enseignement de ses filles du chevalier de La Tour Landry ;
Le Tacuinum Sanitatis, traité médical ;
Les Contenances de la table, petit texte en vers sur les manières de table à l'attention des enfants
(XVe siècle).
La littérature bourgeoise et satirique
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6. La littérature bourgeoise et satirique s'oppose à l'esprit féodal, chevaleresque ou courtois par son esprit de
satire, de raillerie et de gaîté populaire.
Les Isopets, dont le plus célèbre est celui de Marie de France ;
Le Roman de Renart ;
Les Fabliaux ;
Les dits de Rutebeuf.
La poésie lyrique
La poésie lyrique du Moyen Âge dérive de la chanson. Chanson de toile, Motet, Aube, Pastourelle.
Aux XIIe et XIIIe siècles
Les troubadours :
o Guillaume IX, comte de Poitiers et duc d'Aquitaine,
o Jaufré Rudel,
o Bernard de Ventadour,
o Bertrand de Born ;
Les trouvères :
o Conon de Béthune,
o Gui II, châtelain de Coucy,
o Blondel de Nesle,
o Gace Brulé,
o Jean Bodel,
o Thibaut IV de Champagne,
o Adam de la Halle, dit Adam li Boçus,
o Jean Renaut
o Rutebeuf,
o Colin Muset.
Aux XIVe et XVe siècles
François Villon
Apparition de genres lyriques nouveaux : rondeaux, rondels, lais, virelais, ballades, chants royaux.
Principaux poètes :
Guillaume de Machaut ;
Jean Froissart ;
Eustache Deschamps ;
Christine de Pisan ;
Alain Chartier ;
Charles d'Orléans ;
François Villon.
Le théâtre
Le théâtre français a une origine religieuse.
Le théâtre religieux
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7. Du XIe au XIVe siècle :
o Drames liturgiques, notamment :
Les Vierges folles - Les Prophètes du Christ - Le Drame d'Adam - Le Jeu de la
résurrection,
o Miracles, dont les principaux sont :
Le Jeu de saint Nicolas de Jean Bodel,
Le Miracle de Théophile de Rutebeuf,
Les Miracles de Notre-Dame ;
Au XVe siècle :
o Mystères, joués par des confréries d'amateurs, dont la plus célèbre est la confrérie de la
Passion, à Paris :
La Passion, d'Arnoul Gréban,
La Passion, de Jean Michel,
Le Mystère de Saint Louis, de Pierre Gringoire ou Gringore,
Le Mystère de Troie, de Jacques Millet.
La comédie
Du XIIIe au XVe siècle :
o Monologues,
o Le Jeu de la Feuillée et le Jeu de Robin et Marion d'Adam de la Halle ;
Au XVe siècle :
o Farces :
La Farce de Maître Pathelin,
o Moralités :
La Condamnation de Banquet de Nicole de la Chesnaye,
o Soties :
Le Jeu du Prince des Sots de Pierre Gringoire ou Gringore,
o Sermons joyeux.
L'histoire et le sermon
L'histoire en vers
Principalement au XIIe siècle :
Wace : Le roman de Brut et le roman de Rou ;
Geoffroy Gaimar : L'histoire des Angles ;
Benoît de Sainte-Maure : La Chronique des ducs de Normandie.
Les chroniqueurs
Illustration d'un manuscrit de Jean Froissart
À partir du XIIIe siècle :
Robert de Clari : L'histoire de la conquête de Constantinople ;
Geoffroi de Villehardouin : La conquête de Constantinople ;
Philippe de Novare : Mémoires ;
Jacques Bretel : Le Tournoi de Chauvency ;
Jean de Joinville : Le livre des saintes paroles et des bonnes actions de saint Louis ;
Geoffroi de Paris : Chronique du temps de Philippe le Bel ;
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8. Jean Le Bel : Vraies chroniques ;
Jean Froissart : Chroniques ;
Christine de Pisan : Le livre des faits et bonnes mœurs du sage roi Charles V ;
Enguerrand de Monstrelet, Georges Chastelain et Olivier de la Marche, chroniqueurs des ducs de
Bourgogne ;
Jean II Jouvenel des Ursins : Histoire du règne de Charles VI ;
Philippe de Commines, biographe de Louis XI ;
Nicole Gilles : Chroniques et annales de France.
Le sermon
Saint Bernard ;
Maurice de Sully ;
Jacques de Vitry ;
Jean de Gerson ;
Menot ;
Olivier Maillard.
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