Livre blanc information reseaux sociaux et innovation - julien pompey
A la decouverte d un nouveau monde mickael guerin - 612 rencontres sur les reseaux sociaux
1. 612 RENCONTRES SUR LES
RESEAUX SOCIAUX
A la rencontre de …
Mickael Guerin
@MichaGUERIN
A la découverte d’un nouveau monde
«J’ai eu l’opportunité de travailler pour un e-commerçant. J’ai
notamment pu l’inscrire sur Facebook, mais aussi sur
Pinterest et surtout Twitter»
2. A la rencontre de …
En 2011, j’ai eu l’opportunité de travailler pour un e-commerçant. J’ai notamment pu l’inscrire sur Facebook,
mais aussi sur Pinterest et surtout Twitter. Ce furent mes premiers pas réels dans ce nouveau monde. J’ai
peu à peu découvert d’autres réseaux, certains où je suis, (WhatsApp, Plague, Skiller, Xing, … ), d’autres non
(Tumblr, Snapchat, Instagram, …).
Certains sont plutôt orientés vie personnelle, d’autres relations professionnelles ou réseautage. Force est
cependant de constater que ces vies numériques s’entrecroisent et que j’ai pu nouer sur Twitter ou LinkedIn
des relations suffisamment fortes et de confiance pour accepter des « amitiés » sur Facebook. J’insiste
cependant sur Twitter, ce drôle d’oiseau qui permet de rencontrer et d’échanger avec des profils qu’il aurait
été quasiment impossible de rencontrer « en vrai » : journalistes, écrivains, célébrités, mais aussi
roboticiens, scientifiques, professionnels du digital ou de la communication, ou staff des entreprises.
Et surtout, l’aventure du #i4Emploi, cet étonnant colibri qui avance de jour en jour, par capillarité, au service
des talents en recherche d’emploi.
LinkedIn m’aura permis, outre le développement d’un carnet d’adresse virtuel, de m’intéresser plus en détail
à la robotique, jusqu’à écrire quelques articles sur Pulse sur ce sujet (je ne me sentais pas légitime pour
ouvrir un blog, mais la simplicité d’utilisation de Pulse, et le réseau déjà constitué m’ont encouragé à le faire
sur LinkedIn). Ce réseau permet aussi de se tenir au courant des actualités qui nous intéressent et des gens
qui la font.
Facebook me permet de mêler le pro et le perso, d’échanger avec des gens avec qui je peux être en
désaccord (ou en complémentarité) politique ou sociale, tout en étant engagé par ailleurs sur des combats
ou des intérêts communs. Je peux aussi y faire des liens entre mes connaissances digitales et mes
connaissances réelles.
Mention spéciale à un réseau social français particulier, Skiller, sur lequel on échange des compétences, de
la bienveillance. Grace à Skiller, j’ai pu avancer sur quelques dossiers personnels et professionnels. Et
rencontrer, encore une fois, des gens que je n’aurais même pas imaginé approcher.
Provincial dans le fond de la Drôme, passant beaucoup de temps en train ou sur les routes, les réseaux
sociaux m’ont largement permis de compenser ces handicaps de localisation par une proximité des
échanges, au plus près, avec des drômois, et jusqu’en Amérique, en Inde, en Australie ; me permettant ainsi
de découvrir un nouveau monde.