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Baromètre de l'Economie Aviva / Challenges / BFM Business - Avril 2020

  1. Baromètre de l’économie LEVÉE D’EMBARGO JEUDI 2 AVRIL 2020 À 06H30 Sondage réalisé pour Avril 2020
  2. Méthodologie Recueil Echantillon Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 24 et 25 mars 2020. Echantillon de 1 005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.
  3. Chaque sondage présente une incertitude statistique que l’on appelle marge d’erreur. Cette marge d’erreur signifie que le résultat d’un sondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part et d’autre de la valeur observée. La marge d’erreur dépend de la taille de l’échantillon ainsi que du pourcentage observé. Si le pourcentage observé est de … Taille de l’Echantillon 5% ou 95% 10% ou 90% 20% ou 80% 30% ou 70% 40% ou 60% 50% 200 3,1 4,2 5,7 6,5 6,9 7,1 300 2,5 3,5 4,6 5,3 5,7 5,8 400 2,2 3,0 4,0 4,6 4,9 5,0 500 1,9 2,7 3,6 4,1 4,4 4,5 600 1,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 800 1,5 2,5 2,8 3,2 3,5 3,5 900 1,4 2,0 2,6 3,0 3,2 3,3 1 000 1,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 000 1,0 1,3 1,8 2,1 2,2 2,2 3000 0,8 1,1 1,4 1,6 1,8 1,8 Précisions sur les marges d’erreur Lecture du tableau : Dans un échantillon de 1000 personnes (lorsque l’ensemble des Français est interrogé), si le pourcentage observé est de 20% la marge d’erreur est égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dans l’intervalle [17,5 ; 22,5].
  4. L’œil du sondeur : les enseignements clés du sondage Gaël Sliman, Président d’Odoxa (1/1) Le Covid-19 a un impact majeur sur les perceptions économiques et, au-delà sur les attitudes et les comportements des Français Principaux enseignements du sondage : 1) Effondrement de l’indice de moral en avril (-18 points d’indice) : 82% des Français se disent moins confiants sur l’avenir de la situation économique de leur pays 2) Plus globalement 92% des Français pensent que 2020 sera une année de difficultés économiques 3) A un niveau plus personnel, 2 Français sur 3 (66% vs 34%) se disent inquiets pour leur propre emploi 4) Le covid-19 a aussi un impact majeur sur la façon dont les Français souhaitent leur argent : ils vont plus encore faire les « fourmis » et épargner (53% épargneront davantage) 5) Enfin, cette crise du covid-19 pourrait aussi modifier la perception des Français sur certains acteurs économiques mal-aimés. A condition qu’ils fassent quelques efforts de générosité, grands patrons (73%), actionnaires (68%) et propriétaires (59%) pourraient améliorer leur image auprès de nos concitoyens
  5. L’œil de l’expert (1/2) : Patrick Dixneuf, Directeur Général d’Aviva Les Français sont, nous le savons, pessimistes. Nous le vérifions régulièrement sur notre baromètre, même lorsque les choses vont bien ! Il ne faut donc pas s’étonner que la crise du Covid-19, venant après plus ou moins 10 ans de crises économiques et politiques et malgré un timide rebond de deux ans, amène leur moral au plus bas. Il y a même un facteur nouveau et aggravant. Mais cette fois le mal est bien plus profond : Avant lorsqu’on leur posait des questions détaillées, leur réponse était souvent du type « moi, ça va, mais le pays va mal, les autres vont mal… ». Un peu d’ailleurs comme au début de la crise du Covid-19 où l’on s’inquiétait raisonnablement (50% de gens relativement inquiets sur notre baromètre Odoxa- Aviva juste avant le confinement) mais l’inquiétude n’était pas si massive et on ne se sentait pas directement concerné. Nous venons clairement de franchir une étape (plus de 80% d’inquiets à présent). Les Français sont inquiets pour leur emploi personnel, pour leur santé personnelle. C’est donc sans surprise que nos concitoyens, qui avaient déjà un des taux d’épargne parmi les plus élevés des pays occidentaux, pensent aujourd’hui encore plus à épargner : 53% dans le présent baromètre d’avril. Cela pose au moins deux questions. La première est que dans un pays où la relance économique est traditionnellement liée à une reprise de la consommation, les Français en fait aggravent leur mal avec leur « besoin » croissant d’épargne.
  6. L’œil de l’expert (2/2) : Patrick Dixneuf, Directeur Général d’Aviva La seconde est que dans l’environnement de marché actuel et avec leur aversion traditionnelle au risque, les épargnants ne pourront plus coupler sécurité et rendement comme il ont pu le faire durant près de 40 ans. Ils devront choisir, en fonction de leurs objectifs. Cela aussi sera une nouvelle donne… Chocs politiques, chocs économiques, chocs sanitaires et transformation du modèle de l’épargne… il y a de quoi en déboussoler plus d’un. Alors nous nous tournons vers les élites, ou ceux réputés comme tels : les politiques, les intellectuels, les entreprises et leurs patrons. Dans un réflexe, là aussi bien Français, de mauvaise image mais de recours permanent. On pourrait se contenter de pointer le côté ubuesque de cette réaction. Ce serait un tort. Individuellement, chaque acteur « public », c’est-à-dire visible de l’ensemble des Français, ne renversera pas la tendance, mais chacun peut, chacun doit faire l’effort dans cette période d’être moralement irréprochable. Cela passe peut-être par des gestes symboliques : sur le non-cumul des fonctions et de rémunérations des politiques, sur la fin des querelles de chapelle stériles des intellectuels, sur le réinvestissement d’une plus grande partie des profits au dépend des dividendes pour les entreprises ou encore sur la raison gardée des rémunérations variables des dirigeants… Cela passe surtout, parce que cela englobe tout ce qui précède, par une attitude morale cohérente et irréprochable de tous. C’est une opportunité sans doute. C’est même une nécessité.
  7. Synthèse/analyse détaillée des résultats
  8. Analyse détaillée du sondage Gaël Sliman, Président d’Odoxa (1/4) 1) Effondrement de l’indice de moral en avril (-18 points d’indice) : 82% des Français se disent moins confiants sur l’avenir de la situation économique de leur pays La confiance en l’avenir de la situation économique en France, déjà très fragilisée le mois dernier par les premières conséquences économiques du covid-19, s’effondre en avril. Désormais, 82% des Français se disent moins confiants sur l’avenir de la situation économique de leur pays. Sur un mois, cela représente 9 points de confiance en moins et 9 points de défiance en plus, soit une dégradation record de 18 points de notre indice (confiants – défiants) depuis mars dernier. Cet indice, qui va de -100 à +100, s’établit en avril à -64. Cela consacre une perte de 40 points par rapport à son dernier niveau le plus haut, en novembre 2019 (indice de -24). C’est aussi le plus bas niveau enregistré sur notre indice depuis décembre 2018 qui le situe à un niveau proche des précédentes grandes crises de 2011 (indices compris entre -65 et -67) et de 2008 (indices compris entre -71 et -72). Désormais, la crise de confiance n’épargne plus personne. Pour la première fois depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron, mêmes ses inconditionnels supporters sont une majorité à se montrer défiants en l’avenir (54% de défiance auprès des LaREM). 2) Plus globalement 92% des Français pensent que 2020 sera une année de difficultés économiques Au-delà de l’inquiétude ponctuelle bien compréhensible en cette période de confinement et de pic épidémique, nos concitoyens sont plus globalement très inquiets sur l’ensemble de cette année 2020. Plus de 9 Français sur 10 (92%) pensent que, par rapport à 2019, 2020 sera une année de difficultés économiques. Seulement 5% pensent que les deux années seront comparables et personne ou presque (2%) pensent qu’elle sera une année de prospérité économique par rapport à 2019.
  9. Analyse détaillée du sondage Gaël Sliman, Président d’Odoxa (2/4) En quelques semaines, la chute des perspectives pour cette année est spectaculaire : en janvier dernier, seulement un Français sur deux (53%) anticipait que 2020 serait une année économiquement moins bonne que 2019… et ils étaient à peine un peu plus nombreux (59%) à le penser le mois dernier alors que le virus impactait déjà nos économies. 4 semaines plus tard, les anticipations négatives enregistrent une progression de 33 points ! 3) A un niveau plus personnel, 2 Français sur 3 (66% vs 34%) se disent inquiets pour leur propre emploi Au-delà des inquiétudes « macro », les Français ont aussi de grandes inquiétudes « micro », notamment concernant leur emploi. Ainsi, 66% des de nos concitoyens se sentent plus inquiets pour leur propre emploi. Même si les Français sont souvent assez inquiets pour leur emploi, ce niveau est tout à fait exceptionnel : ainsi, il y a deux ans, en avril 2018, « seulement » un Français sur deux se disait inquiet pour son emploi. On observe donc un bond de 16 points de l’inquiétude par rapport à cette époque pas si lointaine. L’inquiétude est maximale auprès des actifs les plus modestes (71%) mais surtout auprès des travailleurs indépendants et chefs d’entreprises : 78% se disent inquiets. Logique, ils vivent de leur propre activité, n’ont aucun filet de sécurité et ne cotisent pas au chômage. 4) Le covid-19 a aussi un impact majeur sur la façon dont les Français souhaitent leur argent : ils vont plus encore faire les « fourmis » et épargner (53% épargneront davantage) Cette inquiétude économique tant « macro » que « micro » a, évidemment, des conséquences sur l’épargne de nos concitoyens. D’abord, la crise que nous traversons incite, comme toujours, les Français à avoir une attitude de « fourmi » concernant leurs placements : 53% d’entre eux l’affirment, la situation actuelle les incite à épargner encore davantage et à faire plus d’économies. C’est tout particulièrement le cas pour les plus inquiets d’entre eux, les travailleurs indépendants.
  10. Analyse détaillée du sondage Gaël Sliman, Président d’Odoxa (3/4) Mais en même temps, ce n’est pas surprenant ni inhabituel : chaque enquête sur le sujet montre que les Français veulent épargner davantage quand l’économie va mal, justement « parce que ça va mal » … et en même temps qu’ils veulent aussi épargner davantage lorsque l’économie va bien « parce qu’il faut en profiter pour mettre de côté avant que ça n’aille mal » ! Comment flécher cette épargne excédentaire ? De deux façons contradictoires ou complémentaires. 20% de nos concitoyens sont incités à se tourner vers des placements plus sûrs… mais ils étaient déjà très nombreux à le faire avant la crise, et le niveau de rendement observé ces derniers temps ne les pousse pas à se ruer tant que cela vers ces placements. Mais le réflexe « père de famille » n’est pas le seul observé en cette période. Au contraire, une part inhabituellement élevée de nos concitoyens : un Français sur dix (9%... et 13% des cadres) envisage d’investir en bourse pour « profiter de la baisse du Cac40 en vue d’un rebond futur ». Les Français le savent bien, les crises ouvrent la voie à de potentielles très bonnes affaires. Mais la crise actuelle n’a pas déclenché qu’une soif d’épargne : elle a aussi un impact sur la consommation. Le virus n’empêche pas nos concitoyens de consommer davantage, en faisant des stocks comme nos indicateurs « conso » le montrent déjà : 17% des Français et 25% des seniors disent que la situation les incite à consommer encore plus qu’avant. « Conso », épargne, placements, investissements en bourses, la pandémie a décidément un impact majeur sur la façon dont les Français envisagent l’utilisation de leur argent. 5) Enfin, cette crise du covid-19 pourrait aussi modifier la perception des Français sur certains acteurs économiques mal-aimés. A condition qu’ils fassent quelques efforts de générosité, grands patrons (73%), actionnaires (68%) et propriétaires (59%) pourraient améliorer leur image auprès de nos concitoyens La crise du covid-19 est aussi un moment particulier où l’on peut « marquer des points » dans l’opinion et, par un comportement jugé exemplaire, modifier structurellement la façon dont les gens perçoivent les acteurs économiques.
  11. Analyse détaillée du sondage Gaël Sliman, Président d’Odoxa (4/4) En effet, dans le contexte actuel, des efforts pourraient être faits par certains afin de garantir la solidarité nationale. D’ailleurs, de nombreuses entreprises et particuliers ont déjà fait des annonces généreuses afin de marquer leur solidarité avec l’ensemble de leurs concitoyens ou le personnel soignant. En effet, les Français nous assurent très majoritairement que leur image (très négative, on le sait par ailleurs) des grands patrons, des actionnaires et des propriétaires pourraient se trouver nettement améliorée si ces derniers annonçaient un certain nombre d’efforts symboliques. Ainsi 73% des Français seraient reconnaissants aux grands patrons de baisser leur salaire, à l’instar de ce qu’a fait Mickaël Leary, le patron de Ryan Air (qui a décidé de le diviser par deux). 68% des Français verraient leur image des actionnaires s’améliorer si ces derniers annonçaient qu’ils renonçaient à leurs dividendes cette année. Enfin, 59% des Français « upgraderaient » leur image des propriétaires si ceux-ci accepter de geler ou tout au moins de baisser de 20 à 30% le montant des loyers qu’ils réclament à leurs locataires. L’être humain ne se refaisant pas, les Français ne souhaitent pas du tout en revanche se mettre eux-mêmes à contribution et renoncer à une semaine de congés (62% vs 28% ne pensent pas que cela améliorait les choses). C’est sans doute le même égoïsme qui incite nos concitoyens à demander bien davantage d’efforts aux grands patrons (73%) et aux actionnaires (68%), plutôt qu’aux propriétaires (59%). Ça s’explique : très rares sont les grands patrons et les actionnaires parmi les personnes interrogées, alors que nombre d’entre eux sont effectivement propriétaires et donc susceptibles de faire cet effort ! Mais peu importe, l’essentiel dans ce résultat n’est pas là. Notre sondage apporte incontestablement la preuve que, dans cette crise, il existe des opportunités importantes de modifier durablement les façons de faire, d’agir et de penser de nos concitoyens. Certes, rien de nouveau sous le soleil, Schumpeter avait déjà tout dit à ce sujet, mais il est bon de le rappeler et de le vérifier.
  12. Résultats du sondage
  13. La confiance en l’avenir de la situation économique en France Depuis ces dernières semaines êtes-vous plutôt plus confiant ou plutôt moins confiant concernant l’avenir de la situation économique en France ? *Sondage Odoxa Baromètre de l’économie pour BFM Business, Challenges, AVIVA publié le 12 mars 2020 Plutôt plus confiant : 18% Plutôt moins confiant : 82% Indice « Plutôt plus confiant » - « Plutôt moins confiant » = - 64 Rappel du mois précédent* : -46 -9 pts*
  14. Evolution de l’indice de confiance en l’avenir (confiance – défiance) *Jusqu’en juillet 2014, ce baromètre était réalisé par BVA pour Axys Consultants, BFM et Challenges -25 17 -52 -71 -52 -63 -66 -70 -72 -60 -56 -58 -37 -33 -23 -31 -34 -35 -33 -35 -48 -47 -59 -56 -59 -41 -46 -49-49 -40 -44 -55 -47 -35 -28 -29 -65 -65 -55 -67 -59 -43 -44 -23 -32 9 -11 -37 -48 -46 -44 -36 -40 -52 -56 -49 -46 -48 -22 -24 -49 -45 -37 -44 -46 -49 -42 -47 -51 -65 -67 -74 -62 -52 -47 -43 -47 -47 -42 -50 -45 -55 -39 -42 -50 -59 -58 -58 -42 -62 -48 -49 -48 -34 -48 -46 -29 -26 16 10 -26 -28 -18 -8 -10 -12 -20 -17 -16 -26 -29 -52 -46 -52 -70 -56 -58 -47 -46 -38 -40 -32 -24 -42 -48 -54 -40 -46 -64 -85 -75 -65 -55 -45 -35 -25 -15 -5 5 15 25 déc-06 févr-07 avr-07 juin-07 août-07 oct-07 déc-07 févr-08 avr-08 juin-08 août-08 oct-08 déc-08 févr-09 avr-09 juin-09 août-09 oct-09 déc-09 févr-10 avr-10 juin-10 août-10 oct-10 déc-10 févr-11 avr-11 juin-11 août-11 oct-11 déc-11 févr-12 avr-12 juin-12 août-12 oct-12 déc-12 févr-13 avr-13 juin-13 août-13 oct-13 déc-13 févr-14 avr-14 juin-14 août-14 oct-14 déc-14 févr-15 avr-15 juin-15 août-15 oct-15 déc-15 févr-16 avr-16 juin-16 août-16 oct-16 déc-16 févr-17 avr-17 juin-17 août-17 oct-17 déc-17 févr-18 avr-18 juin-18 août-18 oct-18 déc-18 févr-19 avr-19 juin-19 août-19 oct-19 déc-19 févr-20 avr-20 Depuis ces dernières semaines êtes-vous plutôt plus confiant ou plutôt moins confiant concernant l’avenir de la situation économique en France ?
  15. Depuis ces dernières semaines êtes-vous plutôt plus confiant ou plutôt moins confiant concernant l’avenir de la situation économique en France ? 18% 14% 18% 18% 46% 19% 10% 82% 86% 82% 82% 54% 81% 90% Ensemble Sympathisants FI Sympatisants PS Sympatisants EELV Sympathisants LREM Sympathisants LR Sympathisants RN Plutôt plus confiant Plutôt moins confiant (NSP) Evolution en un mois * « Plutôt plus confiant » -9 -5 -15 -22 -20 -7 +2 La confiance en l’avenir de la situation économique en France selon la proximité partisane *Sondage Odoxa Baromètre de l’économie pour BFM Business, Challenges, AVIVA publié le 12 mars 2020
  16. Les perspectives économiques pour 2020 Selon vous, l’année 2020 par rapport à l’année 2019 sera-t-elle une année… ? * Sondage Odoxa Baromètre de l’économie pour BFM Business, Challenges, AVIVA publié le 12/03/2020 **Sondage Odoxa Baromètre de l’économie pour BFM Business, Challenges, AVIVA publié le 9/01/2020 De prospérité économique 2% Semblable à l'année dernière sur le plan économique 5% De difficultés économiques 92% (NSP) 1% Solde: -90 ➢ Début mars* :59% ➢ Début janvier** : 53% Rappel début janvier 2020** -45 Rappel début mars 2020* -52
  17. 2% 2% 2% 4% 3% 5% 7% 8% 11% 1% 4% 92% 89% 98% 92% 85% 95% 96% 1% 2% 1% Ensemble Sympathisants LFI Sympatisants PS Sympatisants EELV Sympathisants LREM Sympathisants LR Sympathisants RN De prospérité économique Semblable à l’année dernière sur le plan économique De difficultés économiques (NSP) Selon vous, l’année 2020 par rapport à l’année 2019 sera-t-elle une année… ? Les perspectives économiques pour 2020 Selon la proximité partisane
  18. Crainte de perdre son emploi Aux actifs en emploi : Depuis ces dernières semaines vous sentez-vous plutôt plus inquiet ou plutôt moins inquiet pour votre propre emploi ? * Sondage Odoxa « Baromètre c’est mon boulot » pour Dentsu Aegis Network et France Info, publié le 10/04/2018 Plutôt plus inquiet 66% Plutôt moins inquiet 34% ➢ En avril 2018* : 50% ➢ En avril 2018* : 50% 42% des actifs de 18 à 24 ans 78% des indépendants/chefs d’entreprise 71% des actifs aux plus faibles revenus
  19. Attitude adoptée face à son épargne et à l’avenir Avec la crise que nous traversons, quelle est votre attitude vis-à-vis de votre épargne et vos placements ? Diriez- vous que la situation actuelle vous incite … 53% 20% 17% 9% 9% à épargner davantage / à faire plus d’économie à vous tourner vers des placements plus sûrs à consommer davantage à envisager d’investir en bourse pour « profiter » de la baisse du cac 40 en vue d’un rebond futur (NSP) plusieurs réponses possibles → 66% des indépendant → 59% des femmes → 57% des employés → 13% des CSP+ → 25% des 65 ans et plus
  20. 73% 68% 59% 28% 19% 22% 31% 62% 8% 10% 10% 10% Si les grands patrons divisaient leur salaire, comme l’a fait le patron de Ryan Air, Mickael Leary qui a divisé son salaire par deux Si les actionnaires renonçaient exceptionnellement à leurs dividendes cette année Si les propriétaires gelaient les loyers ou en baissaient le montant d’au moins 20 à 30% Si tous les Français renonçaient à une semaine de congés Oui cela améliorerait l’image que vous avez de ces acteurs économiques Non cela ne changerait rien à l’image que vous avez de ces acteurs économiques (NSP) Les efforts attendus pour garantir la solidarité nationale Dans le contexte actuel, des efforts pourraient être faits par certains afin de garantir la solidarité nationale. Pour chacun des efforts suivants, dites-moi si cela améliorerait votre image de ces acteurs économiques :
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