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Mesurer ses actions sur le web

  1. Mesurer ses actions sur le web Si on arrêtait de compter les likes et les RTs ?
  2. Le numérique c’est magique… Car, par définition, le web est construit à partir de nombres Et que les nombres sont rassurants Car tout est mesurable : interactions, discours, partages… Car les plateformes produisent de nombreux indicateurs Car ces indicateurs se suffisent à eux-mêmes (autoréférence)
  3. A quoi servent les indicateurs de mesure ? Un indicateur indique la route à suivre Autant qu’il mesure le chemin parcouru Il peut être (au mieux) construit par l’organisation… …ou par des outils/prestataires (le plus souvent) Puis être additionné à d’autres Question : quel appui réel aux prises de décisions ?
  4. Plus qu’une mesure, la question du sens Les indicateurs de mesure web sont utiles pour les organisations A condition de comprendre leur construction… en « boite noire » Influence ou médiatisation ? Autorité ou popularité ? Mais au-delà… Mesurer, mais pour quoi faire ? Plus qu’évaluer un résultat, plus que « presser le bon bouton », plus qu’être passif : la mesure pour structurer l’environnement
  5. De la diffusion à la communication Communiquer = mettre en commun Comment appréhender des publics par le seul prisme des API ? Nécessité d’intégrer l’environnement des publics : consommation de l’information, formes et volumes d’interactions, discours dominants ou critiqués… Passer d’un production industrielle d’indicateurs, à des mesures plus qualitatives Et qui répondent aux objectifs de l’organisation tout en prenant en compte les contraintes propres aux plateformes
  6. Pour une approche proactive « L’habit ne fait pas le moine »… mais il aide à rentrer dans l’abbaye Comprendre le « dress code » attendu par les publics permet de mieux échanger avec eux Générer et mesurer des clics, des likes ou des RTs ne doit plus être une finalité mais un moyen Un moyen de favoriser la médiation et de s’intégrer dans la « bulle » informationnelle des publics Le community manager, ce médiateur ?
  7. Vers une acculturation Pour les CM : comment accéder aux bulles des publics, et orienter ces publics dans celles de l’organisation ? Pour la veille : comment favoriser des prises de décisions anticipatives? Pour l’organisation en générale : comment faire pour que le contexte dans lequel évolue les publics, soit le même que celui où évolue les collaborateurs de l’organisation ? Des solutions possibles : s’appuyer sur la prescription, manager la « veille ordinaire », et favoriser l’appropriation En bref : produire des connaissances et pas seulement des calculs… Mais aussi déléguer à ceux qui sont déjà au quotidien dans ces « bulles »… Comme les étudiants ?!
  8. L’exemple de l’@icomtec Depuis 8 ans, la communication de l’Icomtec de l’IAE de Poitiers est réalisée par… ses étudiants Relations presse, événements, publicité, community management, communication interne… Aucun « incidents » à déplorer, grâce à un système basé sur la confiance et des procédures définies en commun Depuis 2012, réflexions sur les stratégies numériques : comment animer les 2 pages Facebook et les 2 comptes Twitter ? Plus qu’un benchmark (i.e. comparer l’incomparable), une prise en compte des attentes des étudiants et du personnel Et une stratégie basée sur les usages, pratiques informationnelles et besoins du public prioritaire : les étudiants
  9. Au final… Les organisations doivent-elle continuer à aborder le web comme un énième canal de communication ? Les lolcats en plus… Les métiers du web ne consistent-ils qu’à remplir des feuilles de calcul, presser des boutons et dépendre du bon vouloir des plateformes ? Doit-on construire son environnement ou attendre l’outil magique ? Doit-on continuer à parler de « social » (à toutes les sauces) tout en gardant une volonté de contrôle ou de maitrise ?
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