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Club Amicalement Professionnel-La-Libre-Entreprise-20-02-2016

Independent expert at European projects in Horizon 2020 à European projects in Horizon 2020 - Fast Track to Innovation (FTI)
9 Apr 2016
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  1. © S.A. IPM 2016. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. Libre Entreprise Réseaux 8 La Libre Entreprise - samedi 20 février 2016 D ans un contexte d’expérience client qui doit être performante tant aux plans relationnel que transactionnel et opérationnel, les entreprises favorisent la convergence des canaux physiques et on­ line et accompagnent cette convergence que le client a déjà réalisée. Face à des clients très enclins à communi­ quer des informations les concernant sous réserve qu’elles soient utilisées à bon escient, les entreprises doivent valoriser toute la connaissance acquise : il s’agit ainsi de passer d’une exploitation des données historiquement propriété de l’entreprise à une exploitation de données beaucoup plus ouverte et ce dans une logique de recherche de valeur ajoutée réciproque client­entreprise. Face à ces parcours clients qui ne sont plus linéaires, favoriser l’omnicanalité revient à adresser plusieurs enjeux. Dans une situation où l’entre­ prise devient progressivement un simple hub relationnel et ne peut plus maîtriser une relation historiquement unidirectionnelle avec chacun de ses clients, trois fondamen­ taux émergent pour contribuer à la réussite d’une stratégie omnicanal : stocker les don­ nées (transactionnelles et plus seulement référentielles), les analyser de manière perti­ nente et répondre à chaque sollicitation de manière indivi­ dualisée, autant d’informa­ tions que seules de nouvelles compétences sont en mesure d’exploiter car, au­delà du vo­ lume d’interactions, de commandes, de revenu, c’est bien l’analyse de la valeur et des signaux faibles d’évolution des marchés qui prime. Ce pilotage de la perfor­ mance dépend évidemment des stratégies de marché poursuivies par les entrepri­ ses face au digital (défensive ou offensive) et des évolutions de leur modèle opéra­ tionnel (adaptation ou réinvention). Il passe par la mesure de la performance mar­ keting, mesure qui doit accompagner l’évolution des usages client, intégrant plus étroitement marketing produit et marketing client dans un contexte où l’omnica­ nal et le digital diluent les frontières entre usage du produit et expérience client. Benoît Octave D es clubs d’entrepreneurs, cela existe déjà en Wallonie. Mais celui qui s’est ouvert cette semaine à Wavre, lié à un groupe de clubs locaux (http:// www.crmclubs.com/) s’inscrit dans un cadre particulier, moins guindé que les clubs d’hommes d’affaires traditionnels, et plus axé sur le développement du tissu ré­ gional. L’ambiance ? “C’est amicale­ ment professionnel”, nous explique Christophe Boeraeve avocat fisca­ liste membre de ce club naissant. “Et le principe est de “faire” quel­ que chose. On se fixe un ou des ob­ jectifs et on s’y tient, comme celui de se rencontrer une fois par semaine pour partager des contacts, des ex­ périences, des clients…” Attention ! On est ici entre pros, hommes et femmes à la recherche d’une croissance des affaires : pas question de traîner mollement dans des divans en alignant cigares et cognacs après un agréable sou­ per… “Les premières réunions que nous avons tenues se passaient le ma­ tin de 7 h 15 à 9 heures, avant d’aller au bureau, pour présenter des activi­ tés ou des projets, face à une équipe de pros capables de doper le business plan d’un autre membre, jeune entre­ preneur. Avec par exemple, deux ban­ quiers, un comptable fiscaliste et un spécialiste des services juridiques”. Et surtout, l’objectif est de faire du concret : échanger des listes de clients, de prospects ciblés, dans le but d’alimenter la machine com­ merciale. Découvrir le club, c’est facile : il existe une procédure de participation au terme de laquelle, le droit d’entrée (avant une partici­ pation annuelle de quelques cen­ taines d’euros, totalement déducti­ ble selon les termes de l’article 49 du CIR) est la fourniture d’une liste de 50 contacts. Le nouveau mem­ bre est parrainé afin de définir avec lui des objectifs et de déterminer son potentiel. La suite, que l’on soit commerçant, professionnel de la brique ou de la plomberie, entre­ preneur en herbe ou confirmé, c’est sur le terrain qu’elle se passe. P.V.C. Fintechs Une plateforme pour la nouvelle finance Le monde financier belge est déjà riche de start-up en passe de révolutionner la banque telle que nous la connaissons. On les appelle les “Fintechs”. Une plateforme vient de voir le jour dont le but est d’attirer l’attention sur ces jeunes pousses prometteuses, créer une émulation sectorielle et représenter ces entreprises auprès des autorités financières belges. Un des obstacles à leur développement est en effet l’absence de cadre légal précis permettant de simplifier les pratiques et de sécuriser les clients de ces entreprises. Pour Isabelle de Laminne, journaliste qui collabore à “La Libre”, et qui fait partie des fondateurs de cette nouvelle communauté, “FinTech Belgium est un beau projet pour redorer la place financière de Bruxelles et encourager les start-up à venir s’installer ou à rester à Bruxelles”. Parmi les autres membres fondateurs, on retrouve Patricia Boydens (MeDirect), Xavier Corman (Edebex), Xavier De Pauw (MeDirect), Grégoire de Streel (fondateur de Keytrade Bank notamment), Catherine Houssa (Partner Simont Braun), Olivier Lefebvre (ex-patron d’Euronext Brussels), Eric Rodriguez (Data.be) et Toon Vanagt (Data.be). La machine est lancée, et promet d’attirer du beau monde, gratuitement pour les FinTech en développement, moyennant une participation pour les candidats membres intéressés au suivi de cette tendance de fond du monde financier. Pour tous, il y a là matière à entrer dans un réseau solidement ancré dans le secteur financier belge, en bénéficiant d’une meilleure visibilité, d’un accès aisé aux autorités régulatrices. et le cas échéant, au monde de l’investissement… Un programme spécifique est proposé aussi aux sponsors potentiels de la plateforme. Un coup d’œil sur le projet ? http://fintechbelgium.be/ Patrick Van Campenhout Le pitch Transformation digitale Un enjeu universel. La mise en place d’une véritable appro- che omnicanal fait souvent partie de larges projets de transformation digitale. Quel en est l’impact sur les entrepri- ses et comment doivent-elles adapter leur approche clients pour gagner -ou “a minima” maintenir- parts de marché, rentabilité et préférence dans l’esprit des clients ? Premier constat : le secteur de la grande distribution n’est pas le seul à s’interroger sur l’impact de cette omnicanalité tant recherchée par leurs clients ou prospects. Les entreprises issues de secteurs aussi variés que les télécoms, l’e-com- merce, l’assurance, le luxe ou l’industrie, sont toutes con- frontées à ces mêmes interro- gations : comment fidéliser un client volatile ? Comment utiliser le digital pour mieux le satisfaire ? Comment aligner l’ensemble des directions de l’entreprise sur un objectif commun de traitement sans couture de ces clients dont les parcours sont de moins en moins linéaires ? (B.O.) Club “amicalement professionnel” Marketing digital/Tendances Expérience individualisée CRITIZR Réseautage/Wallonie
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