Ce diaporama a bien été signalé.
Le téléchargement de votre SlideShare est en cours. ×

5 aurca diapo-tvb_sig3

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Chargement dans…3
×

Consultez-les par la suite

1 sur 16 Publicité

Plus De Contenu Connexe

Les utilisateurs ont également aimé (17)

Plus par DIOT Clément (20)

Publicité

5 aurca diapo-tvb_sig3

  1. 1. L’identification d’une armature verte et bleue dans le SCoT de la Plaine du Roussillon Journée SIG-LR – le 15 mars 2012
  2. 2. Un SCoT articulé autour de 3 ambitions
  3. 3. Méthodologie pour l’identification de l’armature Verte et Bleue 1- Une trame naturelle des espaces reconnus d’intérêt écologique 2- Une trame agricole correspondant aux zones à enjeux agricoles forts
  4. 4. Le choix de la méthodologie • Constats:  Absence de connaissances naturalistes complètes pour identifier les corridors écologiques + questionnement sur l’entretien de parcelles agricoles contribuant aux continuités écologiques  Rôle des espaces agricoles comme habitats pour la faune et la flore • Réponses:  Approche pragmatique: « la protection des espaces contribuera à la préservation de la biodiversité », « il est préférable de protéger les espaces agricoles où l’activité se porte bien»  Présentation, discussion et validation en COTECH  Comparaison avec autres méthodes  convergence
  5. 5. Une trame NATURELLE des espaces reconnus d’intérêt écologique • Des cœurs de nature basés sur des inventaires et des classements : – Les Arrêtés de Protection de Biotope – Le réseau Natura 2000 – Les inventaires ZNIEFF I et II – Les inventaires ZICO – Les espaces remarquables selon l’article L.146-6 de la loi Littoral – Les zones humides – Le réseau hydrographique – Les Espaces Naturels du CG66
  6. 6. + Une trame AGRICOLE correspondant aux zones à enjeux agricoles forts • Un travail de discrimination des espaces agricoles grâce à : – Une caractérisation des espaces: * aptitude culturale, pente, parcellaire, possibilité d’irrigation, * données socio-économiques (ISS, revenus, arrachage), zonage AOC, * indicateurs de pression foncière, zonage POS/PLU. – Une hiérarchisation des enjeux grâce à une règle de hiérarchisation
  7. 7. Quantification et hiérarchisation des critères • Attribution de « notes » de 1 à 4 pour chaque critère • Hiérarchisation des critères Poids initial Nb Couches superposées Hiérarchisation Code couleur Faible (poids 1) n Faible Faible à moyen (poids 2) 1 Faible Moyen (poids 3) 1 Faible Fort (poids 4) 1 Faible à moyen Faible à moyen (poids 2) 2à4 Faible à moyen Faible à moyen (poids 2) >4 Moyen à fort Moyen (poids 3) 2à3 Moyen à fort Moyen (poids 3) >3 Fort Fort (poids 4) 2 Fort Fort (poids 4) >3 Très fort
  8. 8. Quantification et hiérarchisation des critères
  9. 9. Trames naturelle et agricole
  10. 10. Les limites • L’échelle d’analyse: travail à l’échelle du SCoT. • Le croisement de données spatiales et de données communales. • L’évolution du périmètre du SCoT. • L’approche paysagère : réalisée mais non intégrée ici. • Le potentiel agricole diffère des possibilités agricoles. • Les espaces agricoles protégés contribuent aux continuités, sous réserve de pratiques ad hoc.
  11. 11. Les grandes questions • L’articulation des échelles • L’articulation des outils et des programmes • L’adéquation pratiques agricoles – enjeux de continuités • Quelle réglementation associer à ces espaces ?
  12. 12. Les premiers engagements  Densité importante pour une moindre consommation d’espaces  Extension limitée de l’urbanisation  Coupures d’urbanisation obligatoires  Soin d’insertion paysagère des extensions  Respect du parcellaire affirmé (haies, ripisylves, canaux…)  Renforcement des efforts de liaisons douces  Constructibilité limitée dans les zones à forts enjeux agricoles ou écologiques  Encouragement du maintien du milieu tel qu’il est intéressant (ZH, milieux steppiques ouverts grâce au pastoralisme…)

×