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La Clinique Générale-Beaulieu en 2006

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n° 33 - mars 2006




              Les grandes
              orientations
                     2006
                     ...
2                le dossier               ORIENTATIONS STRATÉGIQUES 2006




De nouvelles étapes
décisives pour la cliniqu...
le dossier                               3




Le Comité de direction au complet. De gauche à droite: M. Philippe Cassegra...
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La Clinique Générale-Beaulieu en 2006

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Orientations stratégiques de la Clinique Générale Beaulieu pour 2006
Comment s'organise les soins : interview de Mme Annie Grange
Entretien avec M. Michel R. Walther
Campagne MSST
La Clinique Générale-Beaulieu à la Place des Affaires

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La Clinique Générale-Beaulieu en 2006

  1. 1. n° 33 - mars 2006 Les grandes orientations 2006 De la qualité au marketing, en passant par les ressources humaines, les infrastructures, les finances et la politique d’entreprise en géné- ral, le Comité de direction de la Clinique Générale-Beaulieu a fixé les orientations stratégiques pour 2006. À la clef, d’importants investis- sements, notamment en radiologie, avec l’acquisition d’une IRM de la dernière génération. (Photo: IRM Achieva 3 Tesla) Mot du directeur SOMMAIRE N°33 VERS UN TOURNANT CULTUREL Mot du directeur 1 Le dossier de ce numéro de Trait d’Union est consa- Orientations stratégiques 2006 2-5 cré aux grandes orientations stratégiques 2006 de la Clinique Générale-Beaulieu. Il y est présenté, de Interview: M me Annie Grange 6-7 manière tout à la fois succincte et transparente, les Entretien avec M. Michel R. Walther 8 - 9 principaux champs d’action de la planification de l’entreprise. Pourquoi une telle présentation, Campagne MSST 10 sachant qu’elle va provoquer diverses réactions? La CGB à la Place des Affaires 11 Si nous prenons l’initiative de présenter ces Trajectoires 12 grandes orientations stratégiques de l’entreprise à Brèves 13 chacune et chacun d’entre vous, c’est d’abord parce que nous souhaitons vous associer étroite- Nouveautés: internet et plaquette 14 ment aux changements qui se préparent. Coin gourmand 15 (suite en page 16) Agenda 16
  2. 2. 2 le dossier ORIENTATIONS STRATÉGIQUES 2006 De nouvelles étapes décisives pour la clinique Bloc opératoire intégré : postes de travail spécialisés. ANIMÉ PAR PHILIPPE CASSEGRAIN, DIRECTEUR DE LA CLINIQUE GÉNÉRALE-BEAU- LIEU, LE COMITÉ DE DIRECTION, COMPOSÉ DE M CORINNE MOUSSAVIAN, BRI- MES GITTE ROBBE, ANNIE GRANGE ET CHANTAL BUEHLER, ÉLABORE LA PLANIFICA- TION ET LA STRATÉGIE ANNUELLE. DE LA QUALITÉ AU MARKETING, EN PASSANT PAR LES RESSOURCES HUMAINES, LES INFRASTRUCTURES, LES FINANCES ET LA POLITIQUE D’ENTREPRISE EN GÉNÉRAL, TOUT EST MINUTIEUSEMENT PASSÉ EN REVUE SELON UN SYSTÈME DE GRILLES ÉLABORÉ EN 1999 DÉJÀ. POUR 2006, DE NOUVELLES ÉTAPES IMPORTANTES SERONT FRANCHIES. TOUR D’HORIZON. Table de radiologie interventionnelle multiDiagnost Eleva Flat Detector. La qualité. La Clinique Générale-Beaulieu, rap- Philippe Cassegrain commente l’importance de pelons-le, est certifiée ISO 9001 et a mis en ce changement: «Nous recevons de la société place avec succès le modèle EFQM d’excellen- MeCon des résultats fouillés, tant sur le plan ce. Elle fait aussi partie du club très sélectif des statistique que des commentaires en provenan- Swiss Leading Hospitals qui regroupe quatorze ce de nos patients. Environ toutes les deux cliniques en Suisse. La nouveauté 2006 porte semaines, ces remarques nous permettent, par sur la mise en place d’un nouvel outil, lancé dès secteur d’activité, de prendre la juste mesure 2005, mais qui prendra toute sa dimension dans de leur satisfaction, ou insatisfaction, et d’en l’année en cours: le questionnaire MeCon. tirer les conséquences utiles.» Il s’agit d’un questionnaire «patient». Très INTRODUCTION DU SYSTÈME CIRS sophistiqué et très complet, il a été élaboré par Une autre technique de questionnaire, le systè- une société spécialisée qui travaille avec me CIRS pour Critical Incident Reporting d’autres établissements médicaux et permet, System, a également été adoptée par le Comité de ce fait, une comparaison avec d’autres cli- de direction. «Il s’agit là d’une véritable révolu- niques et hôpitaux. Le questionnaire MeCon tion culturelle», précise Philippe Cassegrain, à remplace le questionnaire interne, validé par propos de ce système. «Il permet d’identifier H+, qui prévalait jusqu’en 2005. les dysfonctionnements quels que soient les
  3. 3. le dossier 3 Le Comité de direction au complet. De gauche à droite: M. Philippe Cassegrain avec Mmes Chantal Buehler (debout), Brigitte Robbe, Annie Grange et Corinne Moussavian. services. Le système CIRS est déjà connu dans mation par rapport aux besoins de la clinique. Il les milieux médicaux pour son efficacité. Nous s’agit d’un objectif tant qualitatif que quantitatif. allons l’introduire progressivement au niveau La nouvelle formation ASSC (Assistance en des procédures. Nous avons atteint un niveau soins et santé communautaire) sanctionnée par de qualité suffisamment élevé pour passer à un un Certificat fédéral de capacité (CFC) propose instrument plus pointu qui va contribuer à nous une alternative intéressante qui sera prise en démarquer de la concurrence et à conserver un considération par la clinique dès 2006. temps d’avance. La philosophie du système CIRS repose sur un principe essentiel: il n’y a Philippe Cassegrain souhaite également main- pas de petits incidents.» tenir un contact étroit avec l’ensemble du per- sonnel. Aussi annonce-t-il, dès le jeudi 6 avril de LES RESSOURCES HUMAINES 11h30 à 13h30, un rendez-vous proposé à tous: Le département des ressources humaines va les apéritifs de la direction, prévus à un rythme mettre en place un système d’évaluation qui trimestriel, qui permettront des échanges dans permet de s’assurer de l’adéquation de la for- un esprit convivial.
  4. 4. 4 le dossier ORIENTATIONS STRATÉGIQUES 2006 Concept de bloc opératoire intégré. ACQUISITION D’UN IRM DE LA DERNIÈRE GÉNÉRATION Les infrastructures. Le vaste programme de rénovation des unités de soins se poursuit en 2006 avec la mise à niveau du 3e étage, puis des 4e et 5e étages en 2007. La principale nouveauté, en 2006, concernera la radiologie qui sera com- plètement modernisée. «Nous allons remodeler certaines salles pour encore accroître l’accueil et le confort des patients lors de leur prise en char- ge. Cette rénovation concerne les équipements IRM Panorama 1 Tesla ouverte. de radiologie interventionnelle et conventionnel- le, ainsi que l’acquisition d’un IRM 3 Tesla de la dernière génération, deux fois plus puissant que celui que nous possédons actuellement. Cette seule acquisition représente déjà un coût de plus de 4,5 millions de francs si l’on tient compte des travaux à effectuer pour cette nouvelle installa- tion.» Parmi les autres réalisations importantes en 2006, le démarrage d’un programme de rénova- tion des salles du bloc opératoire. Les huit salles du bloc seront progressivement rénovées, de 2006 à 2009, avec l’exécution, encore cette année, d’une salle témoin. «Nous allons recueillir les avis des utilisateurs avant de poursuivre ce plan de rénovation qui doit permettre d’accroître la polyvalence d’utilisation des salles opératoires. Les nouvelles salles seront dites "intégrées" sur les plans multimédia et numérique.» Table de radiologie conventionnelle Bucky Diagnost TH.
  5. 5. le dossier 5 Système de gestion numérique des images. Concept centralisé de visualisation et de manipulation. FACTURATION ÉLECTRONIQUE Générale-Beaulieu, dans un contexte d’actualité Les finances. La Clinique Générale-Beaulieu va toujours tendu. «A l’échelon national suisse, les introduire progressivement la facturation élec- experts sont de plus en plus favorables au sys- tronique auprès des assureurs, ce qui doit per- tème moniste. Or, celui-ci prévoit un seul flux mettre, à terme, la suppression du support de financement détenu par les seuls assureurs. papier. «Nous allons également optimaliser nos Nous y sommes opposés. Les cliniques privées achats et nos approvisionnements médicaux en sont confrontées à un système qui les traite recourant davantage aux services de la Cades, déjà de manière inégale par rapport aux patients qui est la Centrale d’achat des établissements privés séjournant dans un hôpital public. Car, sanitaires. Cette sous-traitance, via des profes- contrairement à nous, l’hôpital public reçoit des sionnels reconnus du matériel médical, va nous subventions pour la prise en charge des permettre de réduire des coûts cachés et donc patients au bénéfice d’une assurance complé- d’accroître la productivité. Nous avons égale- mentaire. Cette distorsion de la concurrence ment adhéré au Groupe d’achat des Swiss devrait intéresser la ComCo. Nous devrons Leading Hospitals dans le but de réduire les aussi, dans un proche avenir, veiller à ce que frais d’achats du matériel médical.» l’Etat ne se mêle pas de notre politique d’entre- prise, sous prétexte d’un éventuel rééquilibra- ge» explique Philippe Cassegrain, par ailleurs VEILLER AU RÉÉQUILIBRAGE PRIVÉ-PUBLIC président de l’Association des cliniques privées Politique d’entreprise. Le mode de finance- de Genève. Une coordination plus étroite avec ment des hôpitaux en général fait partie des les cliniques privées vaudoises fait partie de ses préoccupations d’entreprise de la Clinique objectifs. s
  6. 6. 6 interview MADAME ANNIE GRANGE, RESPON Comment s’organisent les soins LE TRAIT D’UNION POURSUIT SA SÉRIE D’ENTRETIENS AVEC LES CADRES DE DIRECTION DE LA CLINIQUE. ANNIE GRANGE, INFIRMIÈRE-CHEF, ASSUME LA RESPONSABILITÉ DE PLUS DE 180 INFIRMIÈRES, AIDE-SOIGNANTES, NURSES, SAGES-FEMMES, ENTRE AUTRES PROFESSIONS. Annie Grange, vous êtes responsable des soins apportés à chacun nous ont prouvé à de mul- infirmiers. En quoi cela consiste-t-il? tiples reprises qu'ils étaient favorables au soin.» ANNIE GRANGE: «Tout d'abord je ne peux rien faire sans mon équipe. Grâce à elle, nous pou- Parmi vos responsabilités figurent celles de vons mener de front plusieurs priorités qui nous l'engagement et du suivi de formation du per- semblent essentielles. En premier lieu, la sécu- sonnel. Comment cela se traduit-il? rité. Nous voulons que nos patients bénéficient des expertises les plus récentes. C'est pour ANNIE GRANGE: «Nous avons la chance d'avoir nous un gage de sécurité et de réussite et pour avec nous des femmes et des hommes pas- cela, nous apportons une attention particulière sionnés par leur métier. Leur engagement a à la formation des soignants. Nous veillons toujours été présent. Leur motivation à évoluer aussi de très près à la prévention pour garantir les pousse à se former dans tous leurs la meilleure qualité possible d'hygiène hospita- domaines de responsabilités. En cela la direc- lière. A ce titre, nous participons aux enquêtes tion générale nous apporte son soutien et nous nationales et nos résultats sont excellents. encourage avec détermination. Elle met à notre Ensuite, nous sommes très vigilants à considé- disposition des budgets importants. J'en profite rer nos patients aussi sur le plan humain. Nos aussi pour remercier tous les médecins qui équipes les accompagnent individuellement et savent s'investir et participer en nous apportant en permanence, et s'efforcent aussi de leurs connaissances et leurs savoirs.» répondre à l'ensemble de leurs besoins, au-delà des aspects purement médicaux. Ainsi nous nous mobilisons pour créer une rela- Comment s'organise le travail? tion qui intègre le personnel soignant, le patient ainsi que son entourage et sa famille. ANNIE GRANGE: «Mon staff est pour moi le L'ambiance, la qualité des relations et le confort maillon essentiel de l'organisation interne du
  7. 7. NSABLE DES SOINS INFIRMIERS interview 7 PORTRAIT-EXPRESS DE ANNIE GRANGE Annie Grange est issue d'une famille franco-suisse. Sa curiosité natu- relle la pousse à se remettre volontiers en question. Elle aime aussi s'investir dans tous types de projets, autant professionnels que per- sonnels. Ainsi elle prend plaisir à contribuer à ceux de la clinique aux- quels elle donne impulsion et dynamisme. Elle se doit d'être aussi membre actif de plusieurs groupes de travail et de commissions. Elle s'appuie pour ce faire sur ses multiples connaissances qu'elle a eu l'occasion d'acquérir dans son parcours professionnel et privé. département. Chacun de nous est parfaitement parfaitement tranquille sur le bon fonctionne- qualifié et responsable de sa mission. Nos res- ment, je voudrais passer plus de temps sur le ponsables d'unité permettent et facilitent la terrain. Voilà la plus grande difficulté que j'ai coordination. Ils garantissent aussi le bon fonc- aujourd'hui.» tionnement global des services, grâce aux col- loques, séances et réunions qu'ils organisent régulièrement. Ma présence au Conseil médical Comment, avec votre expérience, percevez- me permet un échange régulier avec les méde- vous l'évolution des qualités nécessaires aux cins et favorise une bonne organisation des personnels soignants? soins. Notre activité n'est rendue possible qu'avec le soutien efficace et permanent de tous ANNIE GRANGE: «Il me semble que choisir une les autres services de la clinique, que je remer- profession de soignant appelle toujours une cie pour leur aide.» vocation, un goût pour l'humain. Je trouve aussi que la profession évolue vers une expertise technique toujours plus élevée et surtout en Quelles sont les difficultés principales que vous évolution permanente. La technique de soin pro- rencontrez dans le cadre de vos fonctions? gresse régulièrement et nous ne pouvons que nous en féliciter. Une évolution sensible apparaît ANNIE GRANGE: «La volonté de la clinique à se aussi dans le savoir-être des soignants. La tenir en permanence au meilleur niveau suscite demande de nos patients en termes d'accompa- logiquement un nombre important de projets. gnement et de rapports humains nous pousse à J'ai la chance de pouvoir participer à certains, nous améliorer aussi dans ces domaines. Nous ce qui d'ailleurs est passionnant. Bien sûr, cela avons d'ailleurs déjà entrepris des démarches mobilise du temps, dont je ne dispose plus dans ce sens, qui portent leurs fruits.» s autant que je le voudrais pour être proche de mes équipes. Autrement dit, même si je suis
  8. 8. 8 politique santé A PROPOS DE LA CAMPAGNE LIBRE CHOIX D PORTRAIT DE MICHEL R. WALTHER Agé de 57 ans, Michel R. Walther est de nationalité suisse, né au Maroc. Il est marié et père de deux enfants. Après un baccalauréat ès sciences à Lausanne, il obtient un diplôme d'études supérieures en hôtelle- rie et restauration à l'Ecole hôtelière de Lausanne, en 1972. Il faut encourager Sa carrière hôtelière le conduit dans divers postes à responsabilité les complémentaires ! à l'étranger, de 1972 à 1975. Il est ensuite engagé par la société Nestlé, à Vevey, où il occupera notamment la fonction de directeur des opérations d'une chaîne de restau- rants appartenant à cette société à Sydney en Australie, jusqu'en 1979. MICHEL R. WALTHER DIRIGE LA CLINIQUE DE LA SOURCE, À LAUSANNE. IL En 1980, il effectue un MBA à l'Institut IMD à PRÉSIDE ÉGALEMENT L'ASSOCIATION VAUDOISE DES CLINIQUES PRIVÉES. EN Lausanne avant de poursuivre ses activités profes- PARTENARIAT AVEC L'ASSOCIATION DES CLINIQUES PRIVÉES DE GENÈVE, sionnelles au sein de Nestlé comme spécialiste en PRÉSIDÉE PAR PHILIPPE CASSEGRAIN, LES DEUX ASSOCIATIONS ONT LANCÉ, Foodservice Products. À L'AUTOMNE 2005, UNE CAMPAGNE DE SENSIBILISATION POUR ENCOURA- Il entre comme directeur adjoint à la Clinique de La GER LA POPULATION, EN PARTICULIER LES JEUNES MÉNAGES, À SOUSCRIRE Source, clinique privée lausannoise, en 1985 et est UNE ASSURANCE COMPLÉMENTAIRE AFIN D'ACCÉDER AUX PRESTATIONS DU nommé directeur trois ans plus tard. En 1998, il SECTEUR HOSPITALIER PRIVÉ. devient directeur général/CEO de l'établissement. Président de l'Association vaudoise des cliniques pri- vées depuis 14 ans, il est actif au sein de nombreuses associations professionnelles de Suisse romande. Monsieur Walther, quels sont les enjeux de la durée nécessaire pour pouvoir agir en profon- campagne Libre choix et quels sont les échos deur auprès du public. Les premiers échos recueillis à ce jour? recueillis sont très positifs.» MICHEL R. WALTHER: «Nous avons voulu sensibi- Vous avez adressé une lettre de sensibilisation liser la population de Suisse romande, et en par- aux médecins. Comment ont-ils réagi? ticulier du Bassin lémanique puisque la cam- pagne est orchestrée par les associations de cli- MICHEL R. WALTHER: «En ce qui concerne les niques privées de Vaud et Genève, à l'impor- médecins vaudois installés, soit environ 1’200 tance de souscrire une assurance complémen- destinataires sur les 2’400 médecins du canton taire, seul véritable moyen d'accéder aux pres- de Vaud, la réaction a été bonne. Les médecins tations du secteur privé. Nous avons travaillé officiant en cabinet comprennent évidemment avec une agence de communication sur des bien nos intentions et ils ont relayé, à travers thèmes visuels forts retenant l'attention. Nous les affichettes mises à disposition, notre cam- attendons une première évaluation dans le cou- pagne d'information. Les médecins ont déjà été rant d'avril, avant le lancement d'une nouvelle secoués par l'introduction de la nouvelle tarifi- vague d'affichage et d'encarts publicitaires. La cation TarMed, en 2004. Ils sont conscients des campagne s'étend sur une période de trois ans, enjeux.»
  9. 9. ES CLINIQUES PRIVÉES DE VAUD ET GENÈVE politique santé 9 PARTENARIAT VAUD-GENÈVE Comment a fonctionné cette collaboration entre associations du canton de Vaud et du can- ton de Genève? MICHEL R. WALTHER: «Cette collaboration, qui constitue une première, a très bien fonctionné et je salue Philippe Cassegrain, président de l'Association des cliniques privées de Genève, qui fait preuve d'un esprit très ouvert et a par- faitement conscience de l'importance de réunir les forces. Nous travaillons sur un même mar- ché et nous sommes d'abord des partenaires avant d'être des concurrents. Et, dès lors que nous défendons une même idée en matière de qualité des prestations des cliniques privées en Suisse romande, la solidarité prime. Nous aurions d'ailleurs souhaité étendre ce partena- riat à d'autres cantons romands, voire même aux assurances-maladie. Mais le secteur hospi- talier privé dans les autres cantons traverse soit des difficultés, soit ne peut envisager pour l'heure une telle participation. Les caisses sont gner que ces nouveaux appareils, comme en apparemment préoccupées par leur propre poli- radiologie, permettent des examens plus poin- tique d'entreprise, ce qui est dommage puis- tus et plus rapides que par le passé. On ne sau- qu'elles devraient encourager la souscription rait aujourd'hui se passer d'IRM ou de scanner. d'assurances complémentaires. Notre cam- Mais, pour un esprit centralisateur et étatiste, pagne, avec leur concours, aurait encore plus un contrôle est toujours bénéfique. L'idée de la d'impact. Nous sommes bien entendu ouverts clause du besoin fait son chemin et nous nous à d'autres partenaires.» devions de réagir.» VELLÉITÉS POLITIQUES D'ÉTATISATION LE PRIVÉ: AFFAIRE AUSSI DE MENTALITÉ L'association que vous présidez, Vaud- Pour conclure, comment voyez-vous l'avenir Cliniques, s'est inquiétée dans un communiqué des cliniques privées en Suisse au cours des de presse daté du 3 février 2006, des velléités prochaines années? du Conseiller d'Etat Pierre-Yves Maillard d'im- poser une clause du besoin pour les équipe- MICHEL R. WALTHER: «Je suis de nature plutôt ments médicaux lourds, y compris pour les cli- optimiste. Les cliniques privées du canton de niques privées. Quel est votre sentiment à ce Vaud couvrent plus de 30% du secteur ambula- sujet? toire et 25% de l'hospitalisation. La liberté de choix est encore bien ancrée dans les gènes de MICHEL R. WALTHER: «Nous sommes évidem- beaucoup de gens. Nous devons encourager ment inquiets car les intentions de M. Maillard les jeunes à suivre leurs parents dans la prise laissent entendre une étatisation progressive de responsabilité qui consiste à pouvoir bénéfi- de tous les soins, ce qui est inacceptable. Nous cier de prestations privées. Dans le monde poli- avons aussitôt réagi car nous relevons que tique, beaucoup de décideurs sont aussi parti- même des députés de droite sont sensibles à sans d'une concurrence élargie. Notre avenir l'idée d'une surveillance par l'Etat des acquisi- passe d'abord par la clientèle suisse. C'est le tions médicales les plus onéreuses. Or, non rôle des acteurs économiques et politiques de seulement les acquisitions faites par les cli- sensibiliser la population pour qu'elle considère niques privées ne coûtent pas un sou à l'Etat le coût de la santé comme au moins aussi mais en plus, de telles acquisitions sont faites important que l'achat d'une voiture ou d'autres en connaissance de cause car nous savons l'uti- actes de consommation. Dans le canton de lisation - et donc l'amortissement - qui en Vaud, la mentalité est assez forte pour considé- découlent. On ne peut pas reprocher à un éta- rer qu'obtenir des soins de qualité n'est pas blissement de vouloir augmenter le nombre nécessairement un luxe mais une affaire de d'examens entrepris pour rentabiliser un appa- choix. Les hôpitaux publics, même d'un excel- reil étant donné que ceux-ci sont faits sur ordre lent niveau de qualité, n'offrent pas les mêmes médical uniquement. N'omettons pas de souli- prestations et les gens le savent.» s
  10. 10. 10 service LE GROUPE MSST SE PRÉSENTE Sécurité au travail L’EXISTENCE D’UN GROUPE MSST (MÉDECINS AU TRAVAIL ET AUTRES SPÉ- CIALISTES DE LA SÉCURITÉ AU TRAVAIL) AU SEIN DE LA CLINIQUE RÉPOND TOUT D’ABORD À UNE EXIGENCE LÉGALE. C’EST EN EFFET UNE DIRECTIVE FÉDÉRALE, ENTRÉE EN VIGUEUR LE 1ER JANVIER 2000, QUI PRÉVOIT LA BONNE APPLICATION DE DEUX LOIS-CADRES. L’ASSURANCE-ACCIDENTS (LAA) ET SON ORDONNANCE SUR LA PRÉVENTION DES ACCIDENTS ET DES MALA- DIES PROFESSIONNELLES (OPA) ET LA LOI SUR LE TRAVAIL. L’équipe MSST. De gauche à droite: Mme Catherine Rey, Dr Désirée Hayek, MM. Marc Lormand, Olivier Sanchez, Gérald Kunz, Mme Evelyne Pièce, M. Rémi Champelovier et Mme Evelyne Maussant. Sous la responsabilité d’Annie Grange, le grou- pe MSST travaille à réduire les risques de mala- dies et d’accidents professionnels à la CGB. De précédentes campagnes annuelles d’infor- mation et de prévention pour le personnel ont traité des risques d’accidents biologiques, de protection des mains et de gestion des pos- tures, avec l’Ecole du dos en collaboration avec le service de physiothérapie. Pour cette année, le thème retenu est «Travail et Mouvement», dans le but d’optimiser l’ergo- nomie dans le travail. Le groupe SESA (SEcurité - SAnté), composé de représentants de différents services de la cli- nique, se charge de la mise en place de ces campagnes. Il traite l’ensemble des problèmes de sécurité et de santé concernant les collabo- rateurs de la clinique. Les points touchant à la sécurité sont pris en considération en collabora- tion avec le chargé de sécurité; la santé et la prévention des risques professionnels sont abordées conjointement avec le groupe et l’in- firmière hygiéniste.
  11. 11. LA CGB À LA PLACE DES AFFAIRES évènement 11 Accueil sur le stand de la CGB par M. Philippe Cassegrain. L’équipe de la communication entoure M. Philippe Cassegrain et Mme Françoise Dimier. De gauche à droite: MM. Philippe Amez-Droz, Philippe Mollard, Christophe Lance, Christophe Zinggeler et Thierry Védrenne. La campagne pub 2006 dévoilée Dans le cadre de sa participation au Salon Place des Affaires, qui s’est déroulé du 23 au 27 janvier 2006, au Centre international de Congrès de Genève (CICG), Philippe Cassegrain a présenté la nouvelle campagne de publicité de la clinique lors d’un cocktail dînatoire qui a réuni représentants des médias, de la communication et participants au salon. La clinique a présenté ses prestations durant les quatre jours de cette 2e édition du Salon Place des Affaires, Des invités heureux de découvrir la clinique. réunissant de nombreuses entreprises locales, nationales et internationales sur deux étages. Le stand de la clinique a été très remarqué et bien fréquenté. Un grand merci à l’équipe organisatrice, Françoise Dimier et Gérald Kunz. Vendredi 25 janvier, le directeur de la clinique, Philippe Cassegrain, a accueilli les personnes qui avaient répondu à son invitation pour découvrir, en avant-première, la nou- velle campagne de publicité, conçue par l’agence Propulsion. Les visuels - à présent accessibles sur le site www.beau- lieu.ch - ont été présentés par son concepteur, le publici- taire Christophe Zinggeler. Auparavant, Philippe Cassegrain a décrit, à la petite assemblée réunie dans un salon d’accueil, les spécificités de la clinique ainsi que les principales nouveautés technologiques qui caractérisent son ambitieux programme de rénovation. Sourires et charme étaient au rendez-vous lors du cocktail dînatoire organisé par la clinique. Le Salon Place des Affaires, issu d’une initiative de la pré- sidente du Cercle des Dirigeants d’Entreprise (CDE), Mme Enza Testa-Haegi, s’est achevé sur une note d’optimisme quant au développement économique de Genève et de sa région en 2006.
  12. 12. 12 trajectoires Nouveaux Naissances collaborateurs SERVICE INFIRMIER 11.01.2006 Camille Julie DELIEGE Infirmière puéricultrice Marie RABOURDIN BLOC OPÉRATOIRE Aide soignante Delphine PEREIRA Aide en stérilisation Adeline PRODHON MÉDECINE NUCLÉAIRE Secrétaire Emilie JOUAN Nouveaux médecins agréés Dr Sylvie BROUZE GUILBERT Pédiatre Dr Didier CHARDONNENS Gynécologue obstétricien brève SORTIE DE SKI NOCTURNE 2006 À SAINT-CERGUE: BELLE NEIGE ET AMBIANCE FONDUE Les amateurs de ski ont été ravis: la traditionnelle sortie de ski, nocturne, le 19 janvier à Saint-Cergue, a permis de se retrouver dans une ambiance chaleureuse, d’abord à skis, sous un ciel étoi- lé, puis autour d’une excellente fondue servie au restaurant Le Point du Jour. Cette initiative due à Marinette Feremutsch, active retraitée de la Clinique Générale-Beaulieu, a réuni, outre elle-même et son mari Joseph, Bruno Blanchard, de la cafétéria, Frédéric Di Carmine, du bloc opératoire, Michel Gomez, du service technique, Alain Pascal-Mousselard, également du ser- vice technique, Damien Kieffer, de la cafétéria, le Dr Pierre Rouge, de la radiologie, et, last but not least, le directeur de la clinique, Philippe Cassegrain. Skieurs et non skieurs sont d’ores et déjà conviés à la sortie 2007, en espérant que les conditions d’enneigement seront aussi excellentes du côté de Saint-Cergue.
  13. 13. 13 brèves DÉPENSES DE LA SANTÉ SUR INTERNET VIEILLIR EN BONNE SANTÉ, PAS UNE CHARGE! «Les dépenses dans l’assurance-maladie sur internet dès avril». L’évolution comparative par «Vieillir en bonne santé est une chance, pas canton et par secteur sera disponible dès avril une charge!». Thomas B. Cueni, directeur sur internet, via le site www.bag.admin.ch. d’Interpharma à Bâle l’affirme, dans une libre L’instrument a été mis au point par l’Office fédé- opinion: (…) «L’augmentation de la qualité de vie jusqu’à un âge avancé, l’amélioration des ral de la santé publique (OFSP), en collaboration chances de guérison de nombreuses maladies avec les cantons et les assureurs-maladie. et l’importance d’avoir des rentiers en bonne L’Agefi, 30 janvier 2006 santé et actifs montrent bien qu’il vaut la peine de continuer à investir dans le progrès médical. Le vieillissement en bonne santé est un objec- PROPOSITION DE PULSUS tif de la recherche biomédicale qui ne sert pas que les patients, mais aussi l’économie.» «Assurance-maladie: proposition choc». Le Temps, 9 février 2006 L’association de médecins Pulsus a proposé, le 1er février, un modèle à 3 piliers pour remplacer l’assurance-maladie obligatoire de base. Le pre- TARMED: DISCORDE mier ne couvrirait que les maladies graves, les maladies chroniques et l’hospitalisation. Ce sys- «Les centimes de la discorde». «Combien vaut tème est calqué sur la prévoyance vieillesse. le point Tarmed: 94 centimes ou 98 centimes?» L’association est principalement basée en Cette différence de quatre centimes oppose Suisse alémanique et compte 4'000 membres. frontalement les assureurs et tout ce que Genève compte de blouses blanches. Ces der- Teletext, 2 février 2006 nières ont reçu le soutien du Conseiller d’Etat Pierre-François Unger. Il estime que la neutrali- té des coûts est assurée avec le point à 98 cen- PLAN 2006-2010 DES HUG times, ce que contestent les assureurs. La Tribune de Genève, 14 février 2006 «Trop de monde frappe, à tort, à la porte de l’hô- pital». Une étude réalisée en 2003 dans le département de médecine interne démontre CONTRE-PROJET DES MÉDECINS qu’environ 10% des admissions et 26% des journées d’hospitalisation sont inappropriées. «Les médecins au créneau». La Fédération des Le directeur des HUG, Bernard Gruson, dans le médecins suisses propose un contre-projet à cadre de son plan 2006-2010, entend réduire de l’initiative populaire «Pour une caisse unique et 5% le nombre de journées inappropriées. Les sociale». Le texte du contre-projet précise que HUG préconisent aussi de supprimer 275 lits les caisses se consacrent exclusivement à l’as- sur un total de 2'200 (-12%) à l’horizon 2010. surance-maladie et accident obligatoire. La Tribune de Genève, 3 février 2006 L’initiative réclame, elle, une caisse unique mais aussi le calcul des primes en fonction du revenu. L’Express de Neuchâtel, 14 février 2006 LA GRIPPE SE HÂTE LENTEMENT CONVENTION-CADRE TARMED «L’année où la grippe se hâte lentement». Le virus grippal prend son temps pour arriver en «Le Conseil fédéral approuve la convention- Suisse. C’est la première fois depuis douze ans cadre Tarmed». Cette convention entre les que l’épidémie se fait attendre si longtemps. assureurs-maladie et les médecins dans les Des frémissements en Suisse alémanique domaines couverts par le tarif médical unifié semblent toutefois l’annoncer. Chaque année, Tarmed a été approuvée par le Conseil fédéral. 100'000 à 300'000 personnes sont contami- Elle sert de base aux négociations entre assu- nées par le virus de la grippe saisonnière, occa- reurs et fournisseurs de soins pour définir la sionnant de 400 à 1'000 décès. valeur du point dans chaque canton. Le Temps, 9 février 2006 Associated Press, 22 février 2006
  14. 14. 14 nouveautés Site internet et brochure institutionnelle LA POLITIQUE MARKETING DE LA CLINIQUE GÉNÉRALE-BEAULIEU A ÉTÉ MAR- QUÉE, EN CE DÉBUT 2006, PAR DEUX ÉVÉNEMENTS D’IMPORTANCE: LA PARU- TION D’UNE NOUVELLE PLAQUETTE INSTITUTIONNELLE, EN FRANÇAIS ET EN ANGLAIS, AINSI QUE LA MISE EN SERVICE DES NOUVELLES PAGES WEB DU CENTRE SPÉCIALISÉ CONSACRÉ À LA CHIRURGIE LAPAROSCOPIQUE ROBOTISÉE. Qu’est-ce qu’une brochure institutionnelle? NOUVELLES PAGES WEB C’est d’abord un support imprimé de belle tenue, tant sur le plan graphique que sur le plan En constante évolution, le site internet de la cli- informatif, qui doit illustrer les principales carac- nique - www.beaulieu.ch - présente les centres téristiques de la Clinique Générale-Beaulieu et spécialisés qui la caractérisent. Après les pages ses objectifs d’excellence à l’attention de sa consacrées au nouveau Centre de procréation clientèle. médicalement assistée, la clinique propose aux visiteurs de son site web, en constante aug- Sortie de presse dans le courant janvier, en mentation, de nouvelles pages consacrées au deux langues, la nouvelle brochure de la cli- Centre romand de chirurgie laparoscopique nique répond aux exigences de la direction. Elle synthétise, en des textes directs et sans fiori- robotisée. tures, les arguments essentiels et décrit les prestations proposées. Outre la présentation de l’équipe médicale, le nouveau site offre une littérature variée et com- Réalisée par l’agence genevoise Propulsion, plète au travers de quatre rubriques: Cancer, sous la coordination de son responsable, Traitement, Techniques et Documentation. Des Christophe Zinggeler, la nouvelle brochure est vidéos spectaculaires montrent certaines richement illustrée, avec une mise en page séquences des opérations chirurgicales réali- aérée. Les textes ont été rédigés par Philippe sées à l’aide du robot Da Vinci® qui équipe la Amez-Droz, rédacteur RP, qui s’occupe par Clinique Générale-Beaulieu. ailleurs de la communication de la clinique, en étroite collaboration avec la direction, les méde- Selon un calendrier fixé par la direction et les cins et collaborateurs concernés. services concernés, tous les centres spéciali- sés disposeront à terme de leurs propres Outre sa diffusion auprès des patients, parte- pages, mettant en exergue équipes et presta- naires et médecins agréés, la brochure fera tions. Le site de la clinique proprement dit fait l’objet de mailings ciblés, selon les besoins marketing de la clinique. l’objet d’une mise à jour régulière.
  15. 15. coin gourmand 15 Risotto crémeux aux asperges vertes et coques de l’Atlantique PAR LAURENT DEBENEST DIFFICULTÉ : RÉALISATION : 50 minutes INGRÉDIENTS PRÉPARATION (pour 8 personnes) Faire chauffer le vin blanc en ajoutant une x 1 kg de coques branche de thym pour ouvrir les coques. x 1 dl de vin blanc Décoquiller puis passer le jus à travers un linge, x 1 branche de thym réserver. x 1 cuillère d’huile d’olive Dans une casserole, faite suer l’oignon émincé x 400 g de riz rond Carnaroli à l’huile d’olive, sans coloration. Ajouter le riz, faire nacrer, ajouter le jus des x 150 g d’oignons émincés fin coques et le bouillon de poule jusqu’à moitié. x 150 g de mascarpone Cuire à couvert avec un léger frémissement, x 80 g de crème fleurette (25%) ajouter du bouillon jusqu’à la cuisson du riz. x 60 g de parmesan râpé Pendant ce temps, cuire les asperges à l’eau x 1 botte de cerfeuil bien salée, puis les 3/4 de la botte de cerfeuil. x 40 petites asperges vertes épluchées Couper les pointes d’asperges. Confectionner x Fleurs de bourrache (facultatif) une sauce avec les queues, le cerfeuil cuit, le x 1 l de bouillon de volaille reste de bouillon et la crème que vous faites chauffer. Mixer et passer le tout. Tiédir les pointes d’asperges et les coques dans un peu d’huile d’olive. Finir le risotto en y incorporant le mascarpone et le parmesan, bien remuer. Dresser selon la photo ou votre inspiration. ...bon appétit !
  16. 16. l’agenda 16 mot du directeur 23 mars Conférence publique: Troubles cogni- tifs et maladie d’Alzheimer: du dia- gnostic au processus de déplace- ment, 17h45 à 20h30, HUG, amphi- théâtre Jenny. Intervenants: M. Pierre-François Unger, M. Bernard Gruson, M. Roald Quaglia, Professeur Jean-Pierre Michel. Entrée libre. 27 avril Conférence publique: La chirurgie à l’ère de la robotique, application en chirurgie de l’obésité, chirurgie du cancer de la prostate, chirurgie du rein, 20h, Uni Dufour, Auditoire Rouiller, salle U300. Intervenants: Dr Jean Sauvain, Dr Charles-Henry (suite de la page 1) Rochat, Dr Yves Racloz, Professeur Luc Soler. Témoignages de patients Certains relèvent de changements techniques, et questions du public. Entrée libre. comme l’amélioration quasi constante de nos infra- Cette conférence est organisée structures pour veiller à notre réputation de cli- conjointement par la Société nique à la pointe de l’évolution médicale et du Médicale de Beaulieu et la Clinique confort hospitalier. D’autres illustrent des change- Générale-Beaulieu. ments plus profonds, que je n’hésiterai pas à qua- lifier de culturels. La certification ISO ainsi que l’intégration du modèle EFQM d’excellence ont contribué et contribuent toujours à notre réputation tout comme à notre appartenance au groupe des Swiss Leading Hospitals. Une étape nouvelle sera franchie en 2006 avec le questionnaire patient MeCon et le système de for- mulaire CIRS. Ces deux techniques d’évaluation, tant de la satisfaction de notre clientèle que de IMPRESSUM notre efficacité opérationnelle, vont contribuer à renforcer et à distinguer la Clinique Générale- Ligne éditoriale: Beaulieu dans un environnement toujours plus Philippe Cassegrain compétitif. Marian Stepczynski Rédacteur responsable: Avec l’appui du conseil d’administration de la cli- Philippe Amez-Droz nique et la participation active de chaque collabora- Ont également collaboré trice et collaborateur, nous entendons conserver à ce numéro: un temps d’avance sur la concurrence. Mmes Nathalie Blanc, Françoise Dimier, La récente acquisition du robot Da Vinci® par les Annie Grange, Evelyne Pièce. Hôpitaux Universitaires de Genève nous interpelle. MM. Stefano Bisanti, Face à une concurrence déjà faussée entre le sec- Philippe Cassegrain, teur public et le secteur privé - au détriment de ce Laurent Debenest, dernier - nous devons agir de manière anticipée et Michel R. Walther non réactive. Nous nous y employons à travers le Crédits photo: programme de mise à niveau de nos infrastruc- Thierrypier Graindorge tures et de nos installations médicales. Nous nous Graphisme & production: y employons par une stratégie marketing offensi- Agence PM ve, y compris à l’étranger. Nous nous y employons enfin, à l’interne, par de nouveaux concepts de Tirage: 1’500 exemplaires qualité très exigeants et garants de la pérennité de l’entreprise. Contact: PHILIPPE CASSEGRAIN traitdunion@beaulieu.ch

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