Responsable des formations initiales des élèves fonctionnaires et du diplôme de COBD à Ecole nationale supérieure des Sciences de l'Information et des Bibliothèques
1 M usagers en déc. 2004 5,5 M en déc. 2005, 12 M en déc. 2006, 50 M en oct. 2007, 100 M en aout 2008, 200 M en avril 2009, 400 M en février 2010, 632M mars 2011. United States 152,189,880 Indonesia 35,174,940 3. United Kingdom 29,586,340 4. Turkey 27,012,420 5. Philippines 22,651,600 6. Mexico 22,393,580 7. India 22,057,280 8. France 21,214,240 9. Italy 18,438,760 10. Canada 17,381,700 Auj. 21M en France. (en fait, 70% des comptes sont hors US)
L’audience : 600M, oui mais 50% actifs, et une bonne part inutiles : 14% propriétaires de chiens ont créé un profil pour leur animal La plateforme d’application : créer des appli dans FB Widgets : export de FB ailleurs cf. Like et commentaires Mobilité : explosion de l’utilisation mobile : les connectés se connectent de partout Offre publicitaire
viabilité incertaine malgré une valorisation délirante : 75 MM$ mais pas côtée en bourse donc pure délire et spéculation conditions d’exploitation instables : CGU changent constemment (non)respect de la confidentialité absence de contenus à valeur ajouté : On annonce mort blogs mais FB se révèle plus intermediaires et contenus créés ailleurs fiabilité des profils et la précision du ciblage comportemental : outre faux profils, bcp usages des profils sont pour se valoriser socialement donc pas comportement habituel, ce qui trompe les publicistes potentiels. absence d’appuis politiques : Craintes des pays devant hégémonie et pb données personnelles => vers un procès ? Espagne, Canada, UE (cf. Microsoft et Google).
Le profil est central. C’est ce qui désigne le réseau social comme tel.
Avant, que « pages » et groupes. Pb : les marques qui créaient une page devenait invisibles et se voyaient classées dans la même listes que des groupes comme « Bretagne contre Normandie » ou « Je ne bois jamais à outrance... Je sais même pas où c'est »
Savez vous que la page fan la plus suivi est celle de « Texas Hold’em Poker » avec 23.131.257 fans, étonnant non, cet acteur du Poker en ligne passe devant Michael Jackson (18.977.710 fans), Facebook (17.082.200 fans), Lady Gaga (16.391.549) ou encore Family Guy (15.958.810 fans). Les pages fan évoluant le plus rapidement en ce moment sont celle d’Eminem (+46% par mois), Facebook (+24%) et Lady Gaga (+23%).
Le top 13 des fans des BU - ? Bibliothèque droit, économie, gestion, Université d’Orléans 31 fans Bibliothèque du centre de Paris/Arts et Métiers Paristech 63 Bibliothèque Paris Dauphine 86 Bibliothèque lettres et sciences humaines de l’Université de Provence ——– (Aix-Marseille 1) 89 Bibliothèques Paris Descartes (Paris V) 152 Bibliothèque Michel Serres de l’Ecole Centrale de Lyon 180 INFOthèque Pôle Universitaire Léonard de Vinci 301 Bibliothèque de droit et d’économie de l’Université Paul Cézanne ——– (Aix Marseille 3) 396 Bibliothèque de la cité de l’architecture et du patrimoine 494 Bibliothèque centrale de l’école Polytechnique 638 Bibliothèque Saint Serge Angers 702 Bibliothèque Belle Beille Angers 738 Bibliothèque Sainte-Geneviève Le top 5 des profils des BU - ———– BU de droit de Toulon (profil vierge) 108 amis Bibliothèque Université Antilles Guyane 621 Bibliothèque Paris Descartes 879 Faculté de droit virtuelle 912 Bibliothèques Université de Provence
Idées prises chez RISU
Photos vidéos, encarts (friendfeed, Calaméo)
+31600 membres du réseau « GW University » : étudiants et administratifs. De nbx groupes : (interactions avec les écureuils, mais aussi sur la bibliothèque)
Politique de communication des bibliothécaires via une campagne nominative « Your librarian is your Friend ». Les bibliothécaires se sont créés des comptes nominatifs sur FB mais professionnels. Bcp pub dans les cours et dans les journaux étudiants mais bide. Peu intérêt. Donc étude et enquête sur ce que faisaient et cherchaient les étudiants sur FB par : 1°) observation, 2°) Enquete papier, 3°) entretien semi-directif
Sans grande surprise, ils ont découvert que l’utilisation de FB était essentiellement à des fins personnelles et récréatives. Il s’agit de communiquer : “91% of all social networking teens say they use the sites to stay in touch with friends they see frequently, while 82% use the site to stay in touch with friends they rarely see in person. Mais quand même usage pro puisque 61% répondants utilisaient FB pour organiser des groupes de travail ou communiquer sur leurs notes et leurs travaux. Il n’empêche, FB n’apparaît pas comme un espace de travail, plutôt comme un lieu de détente où fait une pause avant de se reconcentrer.
Students seemed to find the librarian profiles most useful when the information presented adhered to their idea of what it meant to be a librarian. Students were much more interested in study suggestions and information about library resources than they were about the librarian as an individual. This is interesting because it contradicts both advice from the library world and also from areas of social network research that suggest that the more engaged and “real” a person is in a network, the more interesting or relevant they will be perceived. Many students appear to be uncomfortable with librarians’ profiles because they present an identity that does not reconcile with common student perceptions about librarians. While some interview participants found this personal profile information engaging, others said that encountering librarians as “real people” on Facebook made them uncomfortable. Upon viewing a librarian’s profile, one interviewee actually felt like she was intruding on a social space between the librarian and the librarian’s own peers. Another, who had initially been receptive to library applications on Facebook, became less so upon seeing the profile and said, “Okay, this is just too weird!” Bibliothécaire = weird. Mais applications pourquoi pas…
http://pintiniblog.wordpress.com/2011/02/02/utilisation-de-facebook-en-bu-une-analyse/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter Si on croise résultats quantitatifs et analyse qualitative: L’élément le plus actif/utilisé est le mur Plus la bib est « grosse » , plus cette activité est élevée Type d’informations des « murs » : actualités, horaires, logistique, (dans une moindre mesure) promotion des collections Très peu de fans publient sur les murs analysés Parmi les utilisateurs actifs, plus de femmes que d’hommes Très peu de liens externes (vers d’autres outils collaboratifs, par ex.) Fb n’est pas utilisé, dans les cas analysés, pour promouvoir des activités hors BU Si on croise analyses quantitatives/qualitatives et observations: Outil potentiellement efficace pour la communication et la promotion des BU, mais sous-utilisé actuellement Les BU impliquées dans des activités culturelles ont une utilisation plus intense Le maintien d’une page Fb est chronophage Les bibliothécaires impliqués dans les services de référence devraient peut-être créer une page personnalisée pour être en contact avec les utilisateurs (plutôt qu’utiliser celle de la BU) [à creuser] Il semblerait que deux types de profils de BU se dégagent: 1) activité très forte sur Fb; 2) activité faible
http://www.mediassociaux.com/2009/09/22/quelle-charte-pour-les-medias-sociaux/ Charte d’utilisation Charte d’expression : qui peut dire quoi de mon institution ? Attention aussi à qui peut devenir mon fan ? Cf. Nestlé / Greenpeace qui lutte contre déforestation en Amazonie (détournement) => Pleins de gens se sont connectés pour déposer plaintes contre Nestlé sur sa fan page avec comme avatar logo détourné.
Créer une page plutôt qu’un profil Par exemple, la bibliothèque peut parfaitement envisager de commencer par créer un groupe autour d'une animation, une collection, ce en concertation avec son public, notamment les ados, et mettre en place cette nouvelle visibilité en commun avec eux en les associant étroitement au projet. Un compte de type « page » présente bien d’autres avantages pour une bibliothèque : elle est consultable sans être inscrit à Facebook – contrairement au « profil » – permet un suivi statistique des visites, et offre des fonctionnalités collaboratives, tel l’envoi de courriels à l’ensemble des membres. Enfin, il est possible, et parfois préférable, d’intégrer les pages Facebook des usagers plutôt que les usagers sur sa page Facebook, via l’intégration d’un widget de recherche dans le catalogue de l’établissement au sein des comptes Facebook, par exemple.
L’URL peut prendre le nom de la bibliothèque Le nombre de fan est illimité (le groupe limité à 5.000) Il y a une fonctionnalité statistiques Ce qui est posté sur les pages apparaît dans la timeline des fans Intègre le flux d’un blog
se créer un profil Facebook, en soi ce n'a aucun intérêt. L'idéal est de compléter ce profil et les myriades d'onglets en ligne : onglets photos avec des images des animations, de l'équipe, du lieu, onglet vidéos avec des vidéos des ateliers ou des animations, onglet encarts avec des widgets de recherche dans le catalogue, dans les ressources, de chat voire un onglet événements, un onglet forum, pourquoi pas ? J'irai plus loin encore en proposant à la bibliothèque de participer en tant que telle à des groupes pour se fondre dans ceux où se trouvent et se retrouvent les usagers, banaliser sa présence en quelque sorte (certes réservés aux détenteurs d'un profil si je ne m'abuse).
http://techcrunch.com/2009/11/28/facebook-fan-pages-77-percent/ Attention seules 23% pages ont plus de 1000 fans
Définir la ligne éditoriale , qui fait quoi, comment animer la communauté vers le travail de community manager > monter un groupe, une équipe ? Complémentarité avec les autres outils de communication Peut être chronophage Accompagner la création d'une page facebook IVL (info sur le blog de la BU, sur le portail, être présent sur des groupes d'étudiants...) et IRL (affichettes, marque page, information des lecteurs à l'oral, info au RU, journal de la fac, des étudiants...)...
Certes expliquer mais ne suffit pas : dire que est sur FB, et dire aussi pourquoi, ce qu’on y fait et trouve comme information. http://livrearbitre.files.wordpress.com/2010/02/promotion-de-facebook-sur-les-sites-des-scd.pdf