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microscope à balayage Electronique

26 Jan 2019
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microscope à balayage Electronique

  1. UNIVERSITE D’ALGER 1 • Présenter par : – BAKOUK Imad Eddine – DJEBLI Yacine – NEGGAZ Hamid – MEZRAK Abd el Malek – Sebih Lyes – Mamri mouhamed Microscope à Balayage Electronique MEB Module Caractérisation Des Matériaux Charge de module Dr.R.AMRANI 1
  2. PLAN DE PRESENTATION I. Introduction (Généralité sur un MEB ) . II. LA RÉSOLUTION ? III.Les interaction IV.GENERATION DES ELECTRONS V.Les lentilles électro magnétique VI.Imagerie VII.Détecteur 2
  3. INTRODUCTION  La curiosité de l'humain et son amour pour l'innovation et la connaissance du monde qui l'entoure le poussent à inventer des dispositifs lui permettant de le faire, Parmi ces dispositifs, qui lui ont permis de connaître le petit monde, le microscope ,beaucoup de microscopes ont étais crée celons les besoin .aujourd'hui nous parlerons du microscopie électronique à balayage . . Principe de fonctionnement d’un M.E.B -Le principe de fonctionnement d’un microscope électronique à balayage est de faire correspondre le déplacement d’un faisceau d'électrons sur un échantillon de façon synchrone avec le déplacement d’un faisceau d'électrons sur un écran cathodique. -La brillance du spot est modulée par le signal provenant d’un détecteur spécifique résultant de l’interaction du faisceau primaire avec le matériau . 3
  4. 4
  5. La colonne électronique 5
  6. LA RÉSOLUTION ? 6
  7. THÉORIE D’ABBE AMÉLIORER LA RÉSOLUTION? 7
  8. INTERACTIONS é-MATIÈRE 8
  9. Interaction électron - matière Elastique Inélastiqu e perte d’énergie (transfert d’énergie) diffusion (variation angulaire) 9
  10. L’interaction E-M donne lieu essentiellement: La rétrodiffusion d’électron L’émission de rayons X L’émission d’électron s secondair es L’émission de photons UV-visible Poire d’interaction ≈ 1µm 10
  11. Emission électronique secondaire  Interaction inélastique des électrons primaires avec le nuage électronique.  Electrons issus de la cible après ionisation.  Energie faible(5-10 eV). Electrons secondaires (SE) Interaction inélastique à faible énergie Libre parcours moyen faible Faible profondeur d’échappéeContraste topographique 11
  12. Emission électronique secondaire E0 E0- E E- EK K L1 L2 L3 Electron secondai re Electron issus de la cible après ionisation L’électron un peu lié acquérir une énergie cinétique pour être éjecté (SE), Cette interaction conduit à une distribution continue en énergie des SE. 12
  13. Interprétation des contrastes en électrons secondaires L’émission suit un lois de Lambert Emission d’électrons secondaire se fait en fonction de l’angle d’inclinaison de l’échantillon Rendement La variation de l’émission avec l’angle d’incidence ,traduit la possibilité de mettre un contraste de topographie 13
  14. Emission électronique rétrodiffusés  Interaction élastique avec le noyau  Energie élevée (de l’ordre de E0) Electrons Rétrodiffusés BSE Interaction élastique avec une forte d’énergie (>50eV,E) Libre parcours moyen plus grand Profondeur d’échappée plus grand Contraste topographique Contraste de composition 14
  15. Interprétation des contrastes en électrons rétrodiffusés Les électrons rétrodiffusés sont des électrons à énergie élevée , et ces dernies ne peuvent pas être attirés sans perturber le faisceau primaire. L’émission des électrons rétrodiffusés varie en fonction de matériau Coef de rétro « η » varie de façon quasi monotone avec Z. Contraste de composition Emission des BSE en fonction de l’angle d’inclinaiso n Augmentati on du contraste topographiq ue avec diminution du contraste chimique 15
  16. Contraste de composition chimique Contraste topographique 16
  17. Génération des électrons 17
  18. Un peut Théorie 18
  19. 19
  20. LE CANON A ELECTRONS par effet thermoélectronique LE FILAMENT W ( tungstène ) LaB6 Par effet de champs Point Schottky cathodes dites chaudes par effet tunnel cathodes dites froides 20
  21. Principe de fonctionnement Rôle de wehnelt 21
  22. 22
  23. 23
  24. 24
  25. • Les nanotubes de carbone: sont composés d'un ou plusieurs feuillets d'atomes de carbone enroulés sur eux-mêmes formant un tube 25
  26. Canon à émission de champ à cathode chaude ou « Schottky » Effet Schottky: l'émetteur d'électron thermoïnique subie une différence de potentiel négative, Ceci crée un champ électrique d'intensité F à la surface de l'émetteur, Le champ électrique abaisse la barrière W d'une quantité ΔW La loi de Richardson devient: On utilise une pointe en W recouverte d ’un film mince de ZrO2 liquide qui mouille la pointe. Le fort champ électrique abaisse suffisamment la barrière de potentiel pour pouvoir extraire facilement des électrons. Réservoir ZrO2 26
  27. Canon à émission de champ à cathode froid ou « effet tunnel » 27
  28. 28
  29. Comparaison 29
  30. Conclusion 30
  31. Les lentilles électro magnétique Bx B z I Courant élèctriq ue Bobine torique Champ magnétiqu e 31
  32. Lentille electromagnetique Condense ur 1 Condense ur 2 Lentille objectif 32
  33. Les condenseur 1 et 2 (souvent couplés) 33
  34. La loi régissant le mouvement d'un électron dans un champ magnétique est la loi de Lorentz : F⃗ =−e(v⃗ ∧B⃗ ) La distance focale est égale a: permettent de condenser le faisceau sur quelques nm jusqu'à 0,1 mm de la surface de l'objet. ⃗𝑣 = v. ⃗𝑧 𝑒𝑡 𝐵 = 𝐵. ⃗𝑥 + 𝐵 ⃗𝑦 + 𝐵 ⃗𝑧 ⃗𝑣^𝐵=v.B. ⃗𝑧 34
  35. La composante axiale: Fait que courbee le faisceu electronique Composa nte radiale: Oriente le faisceu des electrons (v.𝑧) ⊥ (B. ⃗𝑥+B. ⃗𝑦) Une force de centrefugevacree. D’apres la loi de la dynamique: ⃗𝐹 = 𝑚 ⃗𝑎 La diviation: α= 𝑒𝐵𝑙 𝑚𝑣 Cette propriété est utilisée pour mesurer les pertes d'énergie subies par les électrons à la traversée de l'échantillon 35
  36. : l'objectif, ses qualités optiques, ses aberrations, ses performances ultimes. Courte distance focale: entre 1 et 3 mm Permet de focaliser le faisceau incident sur la zone observee on faible ongle d’ouverture de faisceau Taille finie Provoq ue le pheno mene de la diffracti on Élargissement egale =1.22⋅λ/α lar ge 36
  37. LES ABERRATIONS La distance de travaille(WD) influence Variation du diamètre des cercles de moindre confusion des différents aberrations en fonction du demi- angle d'ouverture du faisceau, pour différentes valeurs de l'énergie des électrons primaires 37
  38. Comment avoir une bonne image 1) Préparation des échantillons - Description des méthodes principales - LA FIXATION DE L’ECHANTILLON - MEB a pression contrôlée -Comment augmenter la pression dans la chambre ? 2) Tension d'accélération et courant de sonde 3) Taille du spot et profondeur de champ - Angle alpha - Les ouvertures et Distance de travail 4) Résume 38
  39. 1) Préparation de l’échantillon les échantillons doivent respecter : • -Une certaine taille • -Une compatibilité avec le vide • -La conduction électrique • -La tenue au faisceau 39
  40. - Description des méthodes principales échantillons « durs » -Conducteur (métaux) • La préparation métallographique de la surface découpage polissage attaque chimique - Non conducteur • métallisation échantillons « Biologiques » - Déshydratation • par voie chimique a T ambiant Ou par Lyophilisation • métallisation -maintien de l’échantillon Hydrate • congélation métallisation • maitre au MEB ENVIRONNEMENTAL échantillons «poudres» • Dispersion sur support adhésif double face conducteur a base de carbone •poudres non conductrices Métalliser l’ensemble sans oublier d’établir un pont conducteur ente ce dépôt conducteur et la platine 40
  41. - LA FIXATION DE L’ECHANTILLON - Une fois la surface de l’échantillon préparée, il reste à fixer ce dernier sur la platine porte échantillon du microscope, afin de: - limiter au maximum les vibrations - permettre son positionnement dans diverses géométries - assurer la continuité électrique 41
  42. -MEB a pression contrôlée • Pourquoi faire varier la pression ? pour observer les échantillon non conducteur sans métallisation Aussi ceux qui contiennes de l’eau, la variation de la pression Permet a l’eau d’étre stable a l’état liquide Préserve les échantillons a leur état naturel et les organisme vivant 42
  43. -Comment augmenter la pression dans la chambre ? Maintien d’un vide pousse au niveau du canon Un vide différentiel dans la colonne grâce a un diaphragme limiteur de pression a diffèrent niveaux de la colonne et un pompage différentiel -lors de l’interaction faisceau gaz des ions positifs son crée Ces dernier vont annihile l accumulation des électron de surface et influe sur le phénomène de diffusion des élection qui induit un élargissement du faisceau incident 43
  44. 3) Tension d'accélération • En théorie, une augmentation de la tension d'accélération entraînera un signal plus élevé et un bruit plus faible mais aussi: A fort grandissement, augmenter la tension d’accélération permet d’améliorer la résolution A faible grandissement, diminuer la tension d’accélération permet d’améliorer le contraste des détails en surface. permet d’améliorer la résolution (netteté) et d’éviter la dégradation de l’échantillon mais l’image devient plus granuleuse car la statistique de mesure est moins bonne courant de sonde Tension d’accélération : 10 kV, Grandissement : x 5400 44
  45. 4) Taille du spot et profondeur de champ • la profondeur de champ varie en fonction Le grandissement et l’angle a plus ils sont petit plus la profondeur est grande a un grandissement x1000 la profondeur de champ dans un MEB et environ 100 fois supérieur a celle d’un microscope optique (1micro) 45
  46. - Influence de Angle alpha sur la résolution  Taille de la sonde : thermoélectronique : dv ~ 10 μm effet de champ : dv ~ 1-10 nm • Les électrons se repoussent dans • Les électrons se repoussent l’axe du faisceau transversalement • Dispersion énergétique • Dispersion énergétique et des trajectoires • Aberration chromatique • Aberration chromatique et sphérique 46
  47. • G : grandissement • a : angle d’ouverture • dV : diamètre de la source • n : indice de réfraction du milieu • l : longueur d’onde du rayonnement • CS : coefficient d’aberration sphérique • CC : coefficient d’aberration chromatique • E0 : énergie cinétique moyenne des électrons • DE : largeur de la distribution en énergie cinétique 47
  48. - Les ouverturesUne grande ouverture est choisie pour une imagerie à faible grossissement afin d'augmenter le signal Une ouverture plus petite est choisie pour les travaux à haute résolution et une meilleure profondeur de mise au point(moins d'électrons parviennent à l'échantillon image moins lumineuse) permet d’obtenir une plus grande profondeur de champ mais fait perdre en résolution car on augmente les aberrations sphériques - Distance de travail 48
  49. 5) Résume 49
  50. 50
  51. Annexe Préparation échantillons SEMPA 2010 Microscopie par sonde électronique (S,MATHIEU) https://myscope.training 51
  52. Détecteur d’électrons • Introduction : une image contrastée fait son apparition quand le signal collecté de l’interaction vari d’un point à un autre. Beaucoup de type de signaux sont générés, et beaucoup d’entre eux peuvent être collectés, puis l’électroniques du détecteur transforme le signal en une image « point-par-point » sur l’écran et forme limage de l’échantillon. 52
  53. Les questions essentielles -le positionnement du détecteur. Quand on parle de détecteur, on doit se poser 4 questions : -la largueur du détecteur. -l’efficacité du détecteur. -la bande passante. Ф Faisceau échantillon détecteur Ω r Ω=S/r 2efficacité du détecteur à convertir la radiation qui tape la zone de collection en un signal utilisable L’intervalle de fréquence que le détecteur peut traiter 53
  54. Types de signaux • Les deux signaux les plus utilisés sont : -les électrons secondaires (SE) -les électrons rétrodiffusés (BSE) 54
  55. Choisir le bon détecteur • Les BSE ont une énergie bien plus élevée que celle des SE, se qui présente un challenge considérable pour la fabrication d’un seul détecteur pour les deux signaux. • Mais en contre partie, cette différence va nous permettre d’avoir des détecteurs sélectifs. 55
  56. Les détecteurs • Détecteur ES : Le détecteur Evarhart-thornley ( E-T detcetor ): Ce détecteur est entouré, d'une cage électrique attirant les électrons considérés: on collecte les électrons secondaires et rétrodiffusés. 56
  57. Principe de fonctionnement 1 1 un électron énergétique frappe le scintillateur, la lumière est émise. Un é de 10keV produiy 3000 é- trou 2 La lumière est conduite par réflexion totale dans un guide de lumière vers un photomultiplicat eur 2 3 le signal peut maintenant passer à travers une fenêtre en verre de quartz, qui forme une barrière de vide, à la première dynode du photomultiplicateu r 3 4 les photons sont reconvertis en électrons, et les électrons sont accélérés sur les dynodes successives du photomultiplicateur, produisant un nombre croissant de cascade d’électrons jusqu’à atteindre le 4 Le gain typique de la photomultiplicati on est de 105-106 Nf=105Ni 57
  58. Ses caractéristiques • Un angle solides large • Est performant à basse énergie • L’amplification du signal • Peu de bruit Le détecteur E-T a fait du MEB un appareil largement utilisé par les scientifiques 58
  59. Les détecteurs • Détecteur BSE : En raison de la différence d'énergie entre les BSE et Les SE, il est facile de développer des détecteurs qui sont seulement sensible aux électrons rétrodiffusés de haute énergie. Ces détecteur sont souvent inclus dans les MEB de base. Le détecteur E-T à polarisation négative fournit un signal composé exclusivement de BSE, 59
  60. 60
  61. détecteur • Détecteur à diode (jonction p-n): Le détecteur à diode à semi- conducteurs fonctionne sur le principe de la production d'électrons-trous induite dans un SM par des électrons énergétiques. Lorsque les BSE énergétiques pénètrent et se diffusent de manière inélastique dans le SM, les électrons sont promus à la bande de conduction, laissant un "trou", dans la bande de valence. Pour le silicium, l’énergie d’excitation est d’environ 3,6 eV. Ainsi, lorsqu’un Seul BSE de 10keV frappe le détecteur, environ 2800 paires électron-trou sont produits. S'ils ne sont pas séparés, l'électron et le trou se recombineront. en appliquant une polarisation extérieur, l'électron libre et le trou se déplaceront dans des directions opposées, et empêcher la recombinaison. La charge collectée sur les électrodes externes est transformée en signal électrique. La conversion d'énergie initiale en paire électron-trou donne un gain d’un facteur 1000, donc généralement on a pas besoin d’un amplificateur 61
  62. Formation de l’image • La création d'une image MEB consiste à construire une carte d’intensité • les électrons produits à partir d’une petite zone de l’échantillon génèrent un signal de tension d’une intensité particulière. La tension est acheminée de la colonne du microscope vers une console électronique, où elle est traitée et amplifiée pour générer un point de luminosité sur l’écran 62
  63. • Une image numérique consiste en un tableau numérique(x,y,S) stocké dans une mémoire d'ordinateur 63
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