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  1. Gironde : informations, dépistage et animations lors du Sidaction à Léognan Lecture 1 min Accueil Gironde Léognan De nombreux sujets étaient évoqués le jour du Sidaction : sexualité, contraception, prévention, consentement… © Crédit photo : Collectif sida 33 Par Eugénie Ducher Publié le 08/03/2023 à 12h49 Mis à jour le 08/03/2023 à 18h42 Pour la première fois, le dimanche 5 mars après-midi, Léognan accueillait le Sidaction. Cette édition 2023, organisée par l’association léognanaise Le Brin d’amour et sa présidente, Julie Gestas-Charbonnier, a réuni de nombreuses associations aux Halles de Gascogne : Le Girofard, le Collectif sida 33, l’Enipse, le CGIDD, les Sœurs de la perpétuelle indulgence… Une rencontre qui s’est faite avec le soutien de la mairie, en présence de son adjointe aux solidarités, Marilou Prévoteau. Il était ainsi possible d’y croiser Bruno, chargé de prévention, ou Johann qui travaille à la Maison du département de la promotion de la santé. Tous deux, entourés de leurs collègues, ont informé le grand public sur les maladies et les infections sexuellement transmissibles, mais aussi, sur d’autres sujets touchant à la sexualité, comme la question du consentement, la contraception… Ainsi, avec bienveillance, ils ont accueilli un public de tout âge qui venait ce jour-là s’informer, se faire dépister ou bien soutenir le Sidaction.
  2. Bruno a expliqué toutefois une problématique actuelle : « La loi prévoit trois séances par an de sensibilisation des enfants et des adolescents dans les écoles, collèges et lycées, mais elle est encore très mal appliquée, car ces séances s’effectuent toujours au bon vouloir des chefs d’établissement. » Pour Johann, l’autre frein à l’information et les actions de prévention, c’est la mobilité du public : « Dans les grandes villes, les gens se déplacent facilement… mais dans les zones rurales, c’est plus difficile, alors on essaye de s’y déplacer au maximum pour aller vers eux… » Pour lui, il est important de rappeler que des lieux sont dédiés à l’accueil, à l’information et aux soins pour tous : les centres de santé sexuelle, présents dans tout le département. « Même les mineurs non accompagnés peuvent venir. Les services sont gratuits et restent anonymes », insiste-t-il. Et pour ceux qui ne peuvent pas encore se rendre sur place ? « questionsexualite.fr, un site graphique, clair, bien fait… » conclut-il.
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