La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 3 au 9 juin
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Baisse des taux et des prix : Hausse du
pouvoir d'achat et des m² !
Le 3/6/2013
Selon Cafpi, la baisse conjuguée des taux et des prix observée fin mai profite
aux emprunteurs et permet un gain de surface jusqu'à plus de 15 m² par
rapport à janvier 2012.
A la fin mai 2013, la baisse conjuguée des taux et des prix immobiliers permet un gain de surface
intéressant dans de nombreuses villes. A Marseille, on peut désormais acheter plus de 7 m² en plus
par rapport à janvier 2012. Purestock/SIPA
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Fin mai, Cafpi, réseau de courtiers en prêts immobiliers, constate de nouvelles baisses de taux. Sur
15, 20 et 25 ans, les taux perdent ainsi 0,05 % en moyenne et se situent à 2,40 % sur 10 ans, 2,70 %
sur 15 ans, 3 % sur 20 ans et 3,30 % sur 25 ans.
Alors que les taux de références (OAT 10 ans se situe à 1,92 % et Euribor 1 ans à 0,48 % contre 0,51
% le mois précédent) restent historiquement bas, créant ainsi « des opportunités pour les
emprunteurs », selon Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi, les prix continuent eux
aussi de baisser. Dans ce contexte, les emprunteurs retrouvent du pouvoir d’achat immobilier.
En janvier 2012, pour 1000 euros de mensualités sur 20 ans, il était possible d’emprunter 164 305
euros avec un taux moyen fixe hors assurance de 4,05 %. Avec la baisse de ce taux d’1,5 points et
avec les mêmes mensualités, il est désormais possible d’emprunter 180 310 euros, soit un gain du
montant total emprunté de 9,74 %. Le coût des intérêts qui était de 75 693 euros en janvier 2012
passe ainsi à 59 689 euros, soit une économie non négligeable de 16 004 euros sur le coût du crédit.
Jusqu’à 15 m² supplémentaires à Metz, 7 m² à Marseille
Cette importante amélioration conjuguée à la baisse des prix permet de gagner des mètres carrés
supplémentaires. Et c’est à Metz que la situation est la plus parlante : en passant de 1961 €/m² en
janvier à 1822 €/m² fin mai, cumulé à la hausse générale du pouvoir d’achat dans l’immobilier de 9,74
%, la ville de Metz affiche un pouvoir d’achat en hausse de 18,11 %, soit 15 m² supplémentaires. Avec
le même raisonnement, ce contexte favorable permet de gagner plus de 7 m² à Marseille ou à Rouen.
Si les villes comme Lyon ou Paris affichent elles aussi un pouvoir d’achat en hausse, le gain de
surface reste très marginal du fait des prix sensiblement plus élevés et en légère augmentation depuis
janvier 2012. Ainsi il est possible de gagner 1,79 m² à Lyon et seulement 1,49 m² à Paris. On
remarque toutefois que les prix n’ont pas suffisamment augmenté dans ces villes pour faire passer le
pouvoir d’achat en négatif.
Le premier semestre 2013 enregistre ainsi une reprise de l’activité par rapport à l’an dernier. En
particulier chez les secundo accédants qui font un retour remarqué et n’hésitent plus à souscrire des
crédits relais. « Il est plus pertinent de faire une opération d’achat/revente conjointe que d’attendre
d’avoir revendu pour racheter, car contrairement à une idée reçue, le prêt relais ne coûte pas cher dès
lors que le bien à vendre est mis au bon prix », poursuit Philippe Taboret.
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Les taux les plus faibles en PACA et Rhône-Alpes
Avec des taux fixes moyens hors assurance fin mai à 2,70 % sur 15 ans, 3 % sur 20 ans et 3,30 % sur
25 ans, les régions PACA et Rhône-Alpes se détachent pour se hisser à la tête du tableau des
régions où il fait bon emprunter. Grâce à une forte concurrence entre les banques dans ces deux
régions, sur les durées de 15, 20 et 25 ans, ces deux régions affichent des taux extrêmement
attractifs, respectivement 2,50 %, 2,80 % et 3 %. En revanche, sur la durée de 10 ans, c’est la région
Lorraine qui prend la tête du peloton avec un taux à 2,29 %, suivie de près par les régions PACA et
Rhône Alpes, toutes deux à 2,30 %.
En bas du tableau on retrouve en revanche la région Midi-Pyrénées sur la durée de 10 ans (2,55 %),
l’Auvergne pour les prêts sur 15 et 25 ans (respectivement 2,80 % et 3,85 %) et la Bretagne sur la
durée de 20 ans (3,20 %).
Malgré tout, les écarts entre les minima et les maxima tendent à se resserrer entre les régions, n’étant
plus que de 0,26 % sur 10 ans, 0,30 % sur 15 ans, 0,40 % sur 20 ans et 0,85 % sur 25 ans.
Hélène Terzian
Source :LeNouvelObs.com
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Les professionnels de l'immobilier veulent
améliorer leur crédibilité
Le 4/6/2013
Copyright Reuters
Les agents immobiliers qui ont pignon sur rue espèrent gagner en crédibilité vis à vis de leurs clients
grâce à la réforme de la loi Hoguet de 1970 qui régit leurs pratiques. Une nécessité à l'heure du
développement fulgurant des offres incontrôlables sur internet.
En immobilier, les Français privilégient encore l'achat "non virtuel". D'après un sondage réalisé par le
réseau d'agences immobilières Guy Hoquet et le CSA, le logement est en effet, après l'automobile et
l'alimentaire, le secteur le plus cité pour lequel les Français privilégient un achat "physique" de leurs
produits. Près d'un Français sur deux déclarent ainsi préférer conclure l'opération immobilière dans un
point de vente physique plutôt que dématérialisé.
Cécile Duflot va réformer les pratiques des agences
Attachés à ce mode de transaction, les ménages pourront donc profiter de la nouvelle loi de Cécile
Duflot, dont la présentation est prévue fin juin en Conseil des ministres, et qui aura notamment pour
but d'améliorer les pratiques des professionnels de l'immobilier qui ont pignon sur rue. Ce, en
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réformant la loi Hoguet de 1970 sur les activités d'achat et de ventes immobilières. "La réforme vise à
renforcer la professionnalisation des métiers de l'immobilier : formation continue des agents
immobiliers, contrôle plus strict du respect de la déontologie. Il s'agit également d'améliorer
l'information et la protection du consommateur", indique le ministère du Logement. Une bonne idée,
selon Jean-François Buet, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), pour qui il est
important "que le consommateur sache ce qu'il paie".
Créer une institution de contrôle
Un Conseil national de l'entremise immobilière, où siégeront les syndicats représentatifs de la
profession ainsi que des associations de consommateurs proches du logement, sera créé. Son rôle
sera de contrôler les attributions des cartes professionnelles, ainsi que de définir l'éthique et la
déontologie de la profession. Il devrait être accompagné d'une commission de discipline nationale
présidée par un magistrat, et qui pourra, en cas de rétention d'information au consommateur ou même
de pratique frauduleuse, sanctionner certains professionnels jusqu'à l'interdiction d'exercer.
Une meilleure formation initiale
Etant donné que la profession immobilière devient et plus en plus complexe et multitâche, le niveau
de formation initiale exigé pour devenir agent immobilier, ainsi que pour les partenaires commerciaux,
sera renforcé dans la loi. Une formation continue deviendra en parallèle obligatoire pour améliorer les
compétences dans le temps "sur des sujets comme le viager, le bail commercial, l'urbanisme, le
patrimoine, ou la fiscalité", indique Jean-François Buet.
Encadrer le mandat exclusif
La ministre du logement Cécile Duflot compte également mieux encadrer la clause d'exclusivité avec
une agence en cas de vente d'un bien. Sa durée sera réduite à entre 3 et 6 mois et sa reconduction
tacite interrompue. Le but étant de permettre au client, s'il n'est pas satisfait de son mandataire, de
remettre plus rapidement son mandat sur la table des négociations. En outre, pour limiter les conflits
d'intérêts, une agence ne devrait plus avoir le droit d'être mandatée et par le vendeur et par l'acheteur.
Il sera nécessaire dans ce cadre de développer la coopération "inter-cabinet" entre deux agences,
propose Jean-François Buet.
La profession désarmée face aux dérives sur internet
Reste que la Fnaim se sent "un peu désarmée" face à la multiplication des offres sur internet. Car il
est "délicat de contrôler ceux qui n'ont pas de locaux", déplore Jean-François Buet, contrairement à la
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vitrine d'une agence, qui est déjà obligée de montrer patte blanche sur les honoraires et le diagnostic
de performance énergétique du logement. Les professionnels de l'immobilier espèrent en tout cas que
les nouvelles exigences qui seront retranscrites dans la loi serviront à renforcer la confiance des
particuliers vis-à-vis des intermédiaires agréés.
Source : LaTribune.fr
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immobilières a baissé, passant à 3016 ventes contre 4763 en 2011 mais que les prix, eux, "font de la
résistance", avec un m2 neuf qui s'établit à 3955 euros, soit une progression de 5,7%.
Toulouse, autre ville du Sud-Ouest, s'empare de la deuxième place. "6ème l'année dernière, cette
ville est montée en puissance en 2013", analyse Explorimmo. Ses forces résident dans la
conservation d'un immobilier local fort malgré la crise. Le nombre important de quartiers porteurs font
de la ville rose, une valeur sûre en termes d'immobilier. Toulouse mise aussi sur le développement de
la ligne "Euro Sud-Ouest". Ce projet ambitieux accompagnera l'arrivée de la future ligne à grande
vitesse qui la reliera à Bordeaux en 2018-2020 et la mettra à 3 heures 15 de Paris.
La capitale française monte sur la troisième marche du podium. Paris a gagné une place depuis
l'année dernière et s'impose comme une valeur stable. L'attractivité de la capitale et son dynamisme
économique compensent le prix élevé à l'achat. A noter que, dans le privé, les loyers sont en
moyenne deux fois plus chers qu'à Lyon et Marseille. A l'achat, dans le neuf, le prix du m² atteint
10.750 euros. Explorimmo constate une hausse de 2,5% contre 11,3%, en 2011.
Marseille et Montpellier font leur apparition dans le classement
A la 9ème place, la cité phocéenne fait son entrée dans le baromètre grâce à la rénovation du Vieux
Port, à la construction de son stade vélodrome et à l'extension du Centre Bourse. Même si la crise
affecte le marché marseillais, l'activité locative enregistre toujours des hausses de loyers. Les studios
sont tout autant concernés que les 2 pièces, avec une augmentation respectivement de 1,5 et de 2,7
%. Le centre-ville et les quartiers Sud où la demande locative est forte restent les meilleures zones
d'investissement.
De son côté, Montpellier, au 10ème rang, s'attelle à l'élaboration d'un grand programme urbain,
Montpellier 2040. Le but est de redessiner la ville, de l'adapter à la population en abordant le sujet de
la croissance démographique, de l'emploi, des pôles universitaires, mais aussi des transports et la
mobilité.
Source : L’Expansion.fr
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Immobilier: "Le marché est en train, petit à
petit, de se débloquer"
Le 6/6/2013
Voilà cinq mois, Orpi a demandé à certains de ses clients de baisser le prix de leurs biens
immobiliers. Bernard Cadeau, président du réseau immobilier, fait le bilan de cette opération et
revient sur les perspectives du marché. Interview.
Bernard Cadeau, président du réseau Orpi.
DR
"Revisitons les prix". Face à la saturation du marché immobilier, Orpi avait lancé une opération
originale il y a cinq mois en demandant à certains de ses clients de baisser le prix de leurs biens.
Faisant le bilan jeudi de cette initiative originale, le réseau d'agences immobilières a affirmé que
plusieurs centaines d'entre eux avaient joué le jeu en concédant un rabais moyen de 11%. Et il a
annoncé une nouvelle opération visant toujours à débloquer un marché grippé. Orpi propose en effet
d'avancer 3.000 euros aux personnes contractant un emprunt auprès du Crédit Foncier, ce qui leur
permettra de diminuer de 50 euros leurs 60 premières mensualités de remboursement et ainsi,
d'emprunter un montant plus élevé qu'ils n'auraient pu le faire sans cette aide. Le point sur le marché
avec Bernard Cadeau, le président du réseau Orpi.
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Comment se porte le marché immobilier ?
Bernard Cadeau. Le marché est en train, petit à petit, de se débloquer, grâce au réajustement des
prix. Orpi a observé une hausse de 5% au niveau du volume de transactions, pour les trois premiers
mois de l'année 2013. Les vendeurs sont plus à l'écoute que ce soit au niveau de l'estimation du bien
mais aussi par rapport à la négociation avec de futurs acquéreurs. Ils ont pris conscience des
conséquences de la hausse des prix et ont surtout réalisé que le marché était saturé. L'immobilier
encaisse encore une très difficile année 2012. L'immobilier est devenu atone en contrecoup de la
bonne santé du marché entre 2010 et 2011.
Les prix des maisons et des appartements ont baissé en moyenne de 2,6% sur un an au
premier trimestre, selon la Fnaim. Une baisse encore limitée. Peut-on s'attendre à un
effondrement des prix?
Je n'y ai jamais cru. Le marché ne connaîtra pas de chute brutale des prix. Nous allons vers une
baisse certes, mais c'est un mouvement lent. Cela répond tout simplement à une question de flux. Les
nouveaux vendeurs arrivent sur le marché et constatent, au bout de quelques mois qu'un
réajustement des prix est nécessaire. Les transactions sont plus longues à éclore à cause de la
situation anxiogène du marché. Le manque de confiance n'aident pas les vendeurs, qui hésitent avant
de se lancer dans la vente de leur bien. Cette attente résulte principalement de la difficulté à financer
les différents projets et la crainte de l'avenir.
A court terme, le marché va continuer son déblocage mais à long terme on n'échappera pas à un
problème de taille, celui du manque de produits. Il est important de construire et de rénover des
ensembles immobiliers, de façon à ce qu'il n'y ait pas la pression de l'offre et de la demande. Le
gouvernement doit aussi arrêter tout le matraquage financier envers ceux qui veulent investir.
Quelles sont les principales victimes de cette situation ?
Les primo-accédants et la classe moyenne ont complètement décroché du marché et des
transactions. Ils sont ceux qui prennent de plein fouet ce manque de confiance. Autre élément
aggravant, la suppression du PTZ +, qui ne peut que les mettre sur le côté. On peut espérer les voir
revenir grâce à la baisse du taux de crédit, sous la barre des 3%, mais cela reste quand même plus
compliqué. La baisse des taux seule, ne suffit pas. La durée de l'emprunt joue aussi un rôle important.
Actuellement, les banques proposent des durées qui s'étendent sur dix-sept ans. Il est nécessaire de
rallonger ces perspectives d'emprunt de cinq ou six ans.
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Les banques freinent le retour des acquéreurs sur le marché ?
Elles ont resserré leurs conditions d'octroi du crédit à cause des normes internationales comme Bâle
3. Depuis la crise, la posture différente des banques a engendré un découragement de la part des
clients, une forme de désespérance. Certains nous disent qu'ils n'osent même plus déposer de
dossier. L'apport personnel demandé doit être de plus en plus élevé. Il est important de remettre les
choses dans le bon ordre et que chacun retrouve sa place et son rôle
Source L’Expansion.fr
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Locataires : vous avez aussi des obligations !
Le 7/6/2013
D'après la Cour de Cassation, un locataire ne doit pas cesser de payer son loyer au moindre
trouble, sous peine d'une résiliation du bail et d'une indemnisation du propriétaire. Le droit
d'usage entraîne aussi des obligations.
D'après une décision de la Cour de Cassation, le locataire ne doit pas cesser de payer au moindre
problème. (c) Afp
Le moindre trouble ne justifie pas qu'un locataire cesse de payer son loyer, a rappelé la Cour de
cassation. Celui qui prend cette initiative prend le risque de voir le juge résilier le bail à ses torts et de
devoir indemniser le propriétaire.
En effet, si la jouissance paisible des lieux a été troublée par le fait du propriétaire qui n'a pas assumé
ses obligations, la justice n'autorise pas pour autant le locataire à suspendre ses paiements. Elle
ajoute que la consignation des loyers entre les mains d'un tiers « ne vaut pas paiement ». Le
paiement du loyer étant obligatoire, selon la loi et le bail, ne pas payer revient à se faire justice à soi-
même, ce qui est interdit. La justice n'autorise à suspendre le paiement du loyer que s'il devient
impossible d'utiliser les locaux.
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Conformément à ces principes, la Cour vient de juger que malgré des infiltrations d'eau de pluie dans
une pièce durant plusieurs mois, le non-paiement du loyer n'était pas justifié, même si l'entretien de la
toiture incombe au propriétaire. Les juges reconnaissent qu'il y a eu un trouble de jouissance pour le
locataire, du fait de l'inexécution des obligations du propriétaire qui doit maintenir les lieux en bon état.
Mais, le non-paiement du loyer était cependant injustifié car disproportionné au regard du trouble.
Le droit d'usage entraîne un minimum d'obligations
Lorsqu'un droit d'usage ou d'habitation est accordé sur un immeuble par son propriétaire, celui qui en
profite doit, selon la Cour de cassation, respecter un certain nombre d'obligations qui n'ont pas à être
précisées dans le contrat.
La Cour estime notamment que le bon entretien des lieux est une exigence logique qu'il n'est pas
nécessaire de préciser par écrit.
Un vendeur en viager, qui avait permis à l'acquéreur de disposer du jardin alors que lui-même
conservait l'habitation de la maison, se plaignait de la transformation de cet espace en terrain vague,
voire en dépotoir, avec mauvaises herbes, animal divagant, carcasse de voiture et immondices divers.
L'acquéreur répliquait que le contrat de mise à disposition du jardin n'était assorti d'aucune condition,
obligation ou interdiction et qu'il en usait donc comme bon lui semblait. Mais même si le code civil
précise que le contrat doit fixer ces conditions d'utilisation, la justice estime que les lieux doivent
demeurer conformes à leur destination et que le jardin ne pouvait pas être transformé en dépôt
d'ordures.
Hélène Terzian avec l'AFP.
Source : LeNouvelObs.com
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A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18