1. Greenphyt, jeune société finistérienne, a pour ambition de
devenir un fournisseur clé pour les industries cosmétiques
et alimentaires, en valorisant les propriétés des plantes, sous
forme de poudres ou d'extraits.
Notre gamme PhytPeel, constituée de poudres exfoliantes pour
l'industrie cosmétique contient déjà plus de 15 références aussi
bien végétales que minérales et ne cesse de s’agrandir en
fonction des demandes clients. Nous venons de lancer en
complément notre gamme BioPhytPeel, exfoliants certifiés
100% bio selon le référentiel européen Cosmos.
www.greenphyt.sitew.fr
Les nouveaux membres du réseau
Un concept original et innovant
A première vue, les parois de l'avion paraissent translucides. Que
les vertigineux se rassurent, l'appareil est en réalité tapissé
d'écrans interactifs. L’initiative revient à la jeune société
britannique CPI (Centre for Process Innovation) qui a imaginé
l'avion de ligne du futur.
Même si les passagers n'auront pas un point de vue direct sur
l'extérieur, ils pourront quand même voyager la tête dans les
nuages. Les écrans permettront en effet de reproduire
l'environnement extérieur en vision panoramique, selon l'envie de
chacun.
Le caractère ultra-connecté de l'appareil ne sera pas la seule
innovation à prévoir. La société promet un fuselage plus mince et
plus résistant. Or plus l'avion sera léger, moins il consommera de
carburant. En plus d'une réduction des émissions de CO2, le coût
du billet devrait également s'amenuiser. Selon les concepteurs, le
rêve deviendra réalité d'ici une dizaine d'années.
Il y a quelques semaines déjà, Airbus présentait sa vision de l'avion
du futur, composé de fenêtres panoramiques, de zones dédiées à
la détente et au jeu, ou de sièges destinés à recueillir la chaleur de
notre corps.
www.metronews.fr
Greenphyt Globe Export
Numéro 16 Le réseau des Entreprises Eco-Responsables de Bretagne Décembre 2014
Les algues, des végétaux fabuleux, qui ne cesseront de vous
surprendre tant leur champ d’innovation culinaire est large !
En légumes, en condiments, en tartare, dans vos rillettes, ou
même dans vos pâtes, … elles sublimeront vos recettes et
régaleront vos papilles !
Une recherche constante au service du goût et de l’innovation
culinaire.
Cette recherche a récemment amené Globe Export à les utiliser,
non plus en tant que légumes ou condiments, mais aussi en tant
qu’ingrédients fonctionnels, notamment dans la cuisine
moléculaire !
www.algues.fr
Une société britannique
a dévoilé son projet
dans lequel les écrans
remplacent les fenêtres.
2. On relève en France « 1 milliard de mètres cubes de fuites d'eau par an dans les réseaux d'eau potable, soit 20% de l'eau traitée et mise en distribution », révèle le rapport 2014 de l'Observatoire des services publics d'eau et d'assainissement. « Autrement dit, pour 5 litres d'eau mis en distribution, 1 litre d'eau revient au milieu naturel sans passer par le consommateur », notent les auteurs de ce travail qui synthétise des données 2011 issues du portail national de statistique www.eaufrance.fr.
Inutile pourtant d'imaginer un système qui ne perdrait pas la moindre goutte, car « l'atteinte d'un rendement à 100% est irréaliste », précisent les rapporteurs. Mais selon eux, de nombreuses collectivités distributrices pourraient atteindre des taux de rendement de l'ordre de 80 à 90% à condition de se donner les moyens de bien connaître leurs réseaux, de rechercher les fuites et d'entretenir les conduites. L'Observatoire a estimé à 2% et 3,7% la baisse des taux de renouvellement des réseaux d'eau et d'assainissement sur la période 2009- 2011.
De 1,83 euros à 2,05 euros le m3
Actuellement 60% de l'ensemble des réseaux ont moins de 40 ans, mais cette moyenne dissimule de très fortes disparités. Le rapport note que les régions qui connaissent le mieux leur patrimoine, l'Ile-de-France et le Nord- Pas-de-Calais, sont celles qui abritent les grand services de distribution et d'assainissement (SEDIF, Ville de Paris, SIDEN-SIANE). Tandis que le Centre et la Martinique sont loin derrière.
A la veille du Salon des maires, les entreprises privées du secteur de l'eau insistent pour que les collectivités locales augmentent leurs investissements à la fois dans l'inventaire et la modernisation de leurs réseaux. Voilà qui aurait forcément une incidence sur le prix de l'eau pour le consommateur.
Celui-ci était en 2011 de 1,83 euros le mètre cube en moyenne pour un service géré directement par une régie publique et de 2,05 euros dans le cadre d'une gestion déléguée. De même le prix moyen de l'assainissement est-il de 1,69 euros en moyenne au mètre cube en gestion directe et de 1,97 euros lors d'une délégation de service public.
De son côté, l'Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse a lancé début novembre un appel à projets doté de 20 millions d'euros pour réduire les fuites sur les réseaux d'eau potable et la consommation d'eau en usage public, comme l'arrosage des espaces verts. www.lemonde.fr
20 % de l'eau potable gaspillée à cause des fuites en France
- Les français de plus en plus en plus fans du recyclage de portables !
- Le projet de loi Macron relance le débat sur le stockage profond de déchets radioactifs
- 1 milliard d'euros pour le biogaz
- Google lance une application de surveillance de la pêche
- Les composts d’origine urbaine ont un intérêt agronomique sans impact environnemental significatif (INRA).
- Philippines : comment l’agriculture bio participe au droit à la terre des paysans
- Nord : treize fermes court-circuitent un supermarché en ouvrant leur propre magasin
www.efficycle.fr
Entreprises Eco responsables de Bretagne
Fixe : 02 98 40 00 57 / Portable : 06 38 21 65 59
www.eco-responsables.fr
Actualité
Dans l’esprit collectif, le sapin naturel qui trône au milieu de notre salon au moment de Noël a sûrement été récupéré au beau milieu d’une jolie forêt enneigée. En réalité, la plupart des sapins naturels proposés dans le commerce à l’approche des fêtes de Noël sont plantés et cultivés spécialement pour être vendus l’hiver venu. Cette nuance est importante car cela signifie que les sapins proposés à la vente au moment de Noël ne sont pas amputés à des forêts que l’on souhaite préserver.
De l’autre côté, l’argument « Au moins, je ne coupe pas d’arbre, je contribue à protéger les forêts » pour justifier l’achat d’un sapin artificiel est complètement caduc. Pire, le sapin artificiel serait une véritable catastrophe pour l’environnement. En effet, le sapin artificiel est non seulement bien souvent fabriqué à l’étranger (en Asie par exemple, pour ne citer que cette partie du globe) mais il est souvent composé de matériaux pas très sains pour la planète comme du plastique, de l’aluminium. Autre argument pouvant plaider pour la cause du sapin naturel, le sapin artificiel est plus inflammable que le sapin naturel. Autant éviter l’accident domestique autant que possible !
Un foyer sur cinq achète un sapin de Noël pour un budget proche de 25 €. En dehors des sapins artificiels (15%), le sapin traditionnel le plus vendu en France est l’épicéa venu du Morvan (à 80%) ou de Franche Comté ; il est concurrencé par le Nordmann qui ne perd pas ses aiguilles, provenant de l’Oural et surtout du Danemark.
www.consoglobe.com
Sapin naturel ou Sapin artificiel : que faut-il préférer ?