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  1. 1. MASTER PRO 2 EN TELECOMMUNICATIONS PLANNIFICATION ET INGENIEURIE DES RESEAUX DE TELECOMS Séquence 1 : CONCEPT RADIOMOBILE Equipe des concepteurs : - Emmanuel TONYE - Landry EWOUSSOUA Le contenu est placé sous licence /creative commons/ de niveau 5 (Paternité, Pas d'utilisation commerciale, Partage des conditions initiales à l'identique).. REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail – Patrie --------------------- UNIVERSITE DE YAOUNDE I ---------------------- ECOLE NATIONALE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE ---------------------- REPUBLIC OF CAMEROUN Peace - Work – Fatherland -------------------- UNIVERSITY OF YAOUNDE I -------------------- NATIONAL ADVANCED SCHOOL OF ENGENEERING --------------------
  2. 2. 1 réseaux mobiles
  3. 3. 2 Les réseaux cellulaires n Principe = permettre l ’extension de la zone géographique couverte et l ’augmentation du nombre d’utilisateurs n Caractéristiques : – liaisons duplex – E/R omnidirectionnel – 1 sous-réseau fixe de points d ’accès (cellules) n Applications – la téléphonie mobile, les réseaux radio
  4. 4. 3 les systèmes grand public n Systèmes cellulaires – 1970, développement des systèmes analogiques n Systèmes sans cordon – Débute dans les année 80, dépasse le téléphone fixe n Messagerie unilatérale – Débute dans les années 1990, en cours de disparition
  5. 5. 4 n AMPS : Advanced Mobile Phone Service – USA n HCMTS : High Capacity Mobile Telephone System – Japon n NMT : Nordic Mobile Telephone system – Pays scandinaves n Radiocom 2000 – France n TACS : Total Access Communications Systems – Angleterre n C450 – Allemangne Etc... ANALOGIQUE
  6. 6. 5 n GSM, DCS, IS95, IS98 – Grand public n TETRA/TETRAPOL – Professionnel n MOBITEX – WAN NUMERIQUE n DECT, PHS – Sans cordon n 802.11b – LAN
  7. 7. 6 En savoir plus... – Radiocommunications n Wireless Communications, Theodores Rappaport, Prentice Hall (1996). n Antennas and propagation for Wireless Communication systems, Simon Saunders, Wiley (1999). – Réseaux radio-mobiles n réseaux radiomobiles, Sami Tabbane, HERMES n réseaux GSM/DCS, Lagrange, Godlewski & Tabbane, HERMES – wLAN n mobile communications, Jochen Schiller, Addison-Wesley (2000) n Wireless LANs, Jim Geier, SAMS (2001).
  8. 8. 7 Plan général I. Principe des réseaux cellulaires II. Caractéristiques des ressources radio III. Partage des ressources IV.Ingénierie cellulaire
  9. 9. 8 – 1. Concepts de base – 2. Modèle théorique : la grille hexagonal – 3. Environnement réel – 4. Synthèse I- Pincipes des réseaux cellulaires
  10. 10. 9 – A) Architecture fixe (core network) n les faisceaux hertziens I-1. Concepts de base
  11. 11. 10 – Architecture logique (GSM) EIR EIR VLR VLR HLR HLR AUC AUC GMSC GMSC ISC ISC MSC MSC OMC OMC BSC BSC BSC BSC I-1. Concepts de base
  12. 12. 11 I-1. Concepts de base n B) Bilan de liaison – affaiblissement logarithmique – omnidirectionnel – symétrique
  13. 13. 12 n Propagation, modèles n bilan de liaison n affaiblissement en espace libre, avec sol n Affaiblissements complémentaires – diffraction, absorption (murs, obstacles, …) ,...) ( f PL G G P P R T T R − + + = ) ( log 20 22 ) , ( 10 λ d f d PL ⋅ + = R T h h d d PL log 20 log 20 log 40 ) ( − − = I-1. Concepts de base
  14. 14. 13 I-1. Concepts de base n mW mW d d d P d P       ⋅ = 0 0 ) ( ) (         ⋅ ⋅ − = 0 0 log 10 ) ( ) ( d d n d P d P dBm dBm Loi d’affaiblissement 2<n<4
  15. 15. 14 I-1. Concepts de base n C) Seuil de réception – bruit du récepteur : – seuil de réception
  16. 16. 15 n Propriétés du bruit AWGN lié aux systèmes électroniques de réception Puissance du bruit : N=κ.T°.W=N0.W Marge de réception (SNR) : XdB relativement au bruit Exple en GSM : κ=1.38.10-23 J/K Tk = 290 K (en réf. , T° en Kelvin) dB SNR dBm nW N 9 ; 120 10 6 ≥ − ≈ ≥ − I-1. Concepts de base
  17. 17. 16 -90dBm -120dBm I-1. Concepts de base n D) Interférences
  18. 18. 17 I-1. Concepts de base – 2 contraintes N I S SINR I N C + ≥ = + N I S SNR N C + ⋅ ≥ = 2 N I S SIR I C + ⋅ ≥ = 2 dB S S N C N I N 3 + = ≥ + dB S S I C N I I 3 + = ≥ + Soit en dB :
  19. 19. 18 I-1. Concepts de base n E) Affectation des ressources – k ressources, N cellules (nœuds)
  20. 20. 19 I-1. Concepts de base n E) Affectation des ressources – coloriage de graphes, k-couleurs.
  21. 21. 20 I-1. Concepts de base n E) Affectation des ressources – répartition statique ou dynamique
  22. 22. 21 – 1. Concepts de base – 2. Modèle théorique : la grille hexagonal – 3. Environnement réel – 4. Synthèse I- Principes des réseaux cellulaires
  23. 23. 22 I-2. La grille hexagonale n A) Choix d’un modèle – problématique : n théorique = espace libre = isotrope. n Structure régulière = voisinage homogène n 1 cellule = k voisines équidistantes
  24. 24. 23 I-2. La grille hexagonale n A) Choix d’un modèle – solutions : 3-connexité >12 voisines 4-connexité >8 voisines 6-connexité >6 voisines Positionnement de cercles avec recouvrement minimal
  25. 25. 24 I-2. La grille hexagonale n B) Zone de service – hexagonale n définition : – le plus fort signal
  26. 26. 25 I-2. La grille hexagonale n C) voisinage – au sens réseau : recouvrement (6) – au sens signal : brouillage (>6)
  27. 27. 26 – 1. Concepts de base – 2. Modèle théorique : la grille hexagonal – 3. Environnement réel – 4. Synthèse I- Principes des réseaux cellulaires
  28. 28. 27 d1 d d Reflection Diffraction Scattering Absorption guided wave Multiple diffraction d d2 d1 d2 d2 d1 d1 ©J-F Wagen (jean-frederic.wagen@swisscom.com) I-3 Environnement réel n A) Effets de propagation
  29. 29. 28 C/I>Seuil Recouvrement – B) Zone de services de la cellule I-3 Environnement réel
  30. 30. 29 n Définition de la zone de service – C/N>limite : Pr >Pseuil (-96dBm) (dépend de la puissance d’émission) – C/I > limite I=IIS+IIF+IIC – distance<dist_max temps AR. – BER<limite (<10-3) définir la QoS I-3 Environnement réel
  31. 31. 30 – C) Graphe associé n k cellules voisines – (recouvrement) n n cellules brouillées – graphe non régulier, – zones de services non uniformes n objectif : se rapprocher d’une répartition équitable. I-3 Environnement réel
  32. 32. 31 – 1. Concepts de base – 2. Modèle théorique : la grille hexagonal – 3. Environnement réel – 4. Synthèse I- Principes des réseaux cellulaires
  33. 33. 32 – A) modèle théorique de référence : hexagonal – B) modèle réel est défini par : n sa zone de service n sa zone de brouillage ou interférences n 2 graphes sous-jacent : – voisinage au sens réseau (recouvrement) – voisinage au sens signal (interférences) – C) objectif : n répartir des ressources de façon optimale I-4 Synthèse
  34. 34. 33 Plan général I. Principe des réseaux cellulaires II. Caractéristiques des ressources radio III. Partage des ressources IV.Ingénierie cellulaire
  35. 35. 34 – 1. Le spectre radio – 2. Principes de modulation – 3. Notion de bruit – 4. Capacité de canal – 5. Interférences – 6. Synthèse II-Caractéristiques des ressources radio
  36. 36. 35 – Exemples d’utilisation de la bande UHF – Applications : n diffusion TV n radiomobiles n faisceaux hertziens n satellites n surveillance radar n GPS II-1. Le spectre radio 0.3 0.45 0.6 0.75 0.9 1.05 1.2 1.35 1.5 1.65 1.8 1.95 2.1 2.25 2.4 2.55 2.7 2.85 3 f (GHz) TV (IV, V) GSM DCS DECT IMT
  37. 37. 36 – 1. Le spectre radio – 2. Principes de modulation – 3. Notion de bruit – 4. Capacité de canal – 5. Interférences – 6. Synthèse II-Caractéristiques des ressources radio
  38. 38. 37 – A) signal en bande de base n signal bipolaire n signal M-polaire II-2. La modulation 1 0 1 0 1 1 10 00 01 00 11 01 Ts=k.Tb M=2k Rb=k.Rs
  39. 39. 38 – B) Propriétés spectrales n spectre d’un symbole -10 -8 -6 -4 -2 0 2 4 6 8 10 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 fréquence (MHz) amplitudes -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 0 0.5 1 temps (µsec) amplitude ∆f=2/T (lobe principal) ∆f=1/T (lobes secondaires) II-2. La modulation
  40. 40. 39 – B) Propriétés spectrales n spectre d’un symbole -10 -8 -6 -4 -2 0 2 4 6 8 10 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 fréquence (MHz) amplitudes -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 0 0.5 1 temps (µsec) amplitude ∆f=2/T (lobe principal) ∆f=1/T (lobes secondaires) II-2. La modulation
  41. 41. 40 – C) modulation 1 0 1 0 1 1 porteuse modulant d’amplitude de fréquence de phase II-2. La modulation
  42. 42. 41 – Modulation sur 2 porteuses en quadrature osc. sI(t) mI(t) sQ(t) mQ(t) sRF(t) 90° ( ) ( ) t f t m t f t m t s Q I RF 0 0 2 sin ) ( 2 cos ) ( ) ( π π ⋅ + ⋅ = Q I II-2. La modulation
  43. 43. 42 – D) Constellations ( ) ( ) t f t m t f t m t s Q I RF 0 0 2 sin ) ( 2 cos ) ( ) ( π π ⋅ + ⋅ = II-2. La modulation
  44. 44. 43 – Autres représentations II-2. La modulation
  45. 45. 44 – E) Spectre après modulation m(f) f0 s(f) f0 -f0 II-2. La modulation
  46. 46. 45 f f1 f2 f3 f4 Voie 4 f Voie 3 Voie 2 Voie 1 f1 f2 f3 f4 Canal – F) Multiplexage fréquentiel II-2. La modulation
  47. 47. 46 La distance entre porteuses est estimée en fonction d’un taux d ’interférences acceptable Le taux d’interférences engendre un taux d’erreur variable en fonction de la modulation choisie distance ??? II-2. La modulation
  48. 48. 47 II-2. La modulation
  49. 49. 48 – G) Réduire l’occupation spectrale -Rs/2 f0 Rs/2 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 fréquence amplitudes -4Ts -3Ts -2Ts -Ts 0 Ts 2Ts 3Ts 4Ts 0 0.5 1 temps amplitude Durée symbole : Ts Largeur spectrale : infinie II-2. La modulation
  50. 50. 49 – G) Réduire l’occupation spectrale -4Ts -3Ts -2Ts -Ts 0 Ts 2Ts 3Ts 4Ts 0 0.5 1 temps amplitude -Rs/2 0 Rs/2 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 fréquence amplitudes Durée symbole : infinie Largeur spectrale : Rs. II-2. La modulation
  51. 51. 50 – G) Compromis : durée/occupation spectrale -4Ts -3Ts -2Ts -Ts 0 Ts 2Ts 3Ts 4Ts 0 0.5 1 temps amplitude -Rs/2 0 Rs/2 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 fréquence amplitudes Durée symbole : infinie Largeur spectrale : 1,6Rs. II-2. La modulation
  52. 52. 51 – 1. Le spectre radio – 2. Principes de modulation – 3. Notion de bruit – 4. Capacité de canal – 5. Interférences – 6. Synthèse II-Caractéristiques des ressources radio
  53. 53. 52 – A) Le bruit AWGN n bruit lié aux systèmes électroniques de réception II-3. Notion de bruit Puissance du bruit : N=κ.T°.W=N0.W Energie sur une période : EN=N0.W.Ts 0 T temps Remarque : si modulation idéale : Ts=1/W. alors, EN=N0. On exprime souvent la qualité d’un système en fonction de Eb/N0. κ=1.38.10-23 J/K Tk = 290 K (en réf. , T° en Kelvin)
  54. 54. 53 n Pour connaître la capacité de canal, il faut estimer le rapport signal à bruit : SNR. – Propriétés du signal en émission : Puissance d’un symbole émis : Sk=Ak 2 /2 Energie ‘bit’ reçue : Eb=Ak 2.Tb /2 0 T temps Ak Rem : tenir compte de l ’affaiblissement de propagation II-3. Notion de bruit
  55. 55. 54 – Taux d ’erreur théorique d ’une BPSK sur un canal AWGN avec le démodulateur optimal : ( ) 2 2 0 2 x x e 2 1 ) x ( p σ − − σ π = CNA m(t) n(t)=nI(t)+jnQ(t) ak âk ∫ T dt 0 ) 1 a ( P ) 1 a / 1 â ( P ) 1 a ( P ) 1 a / 1 â ( P )) k ( err ( P k k k k k k − = ⋅ − = = = ⋅ = − = = + u 0 ( ) ∫ ∞ − ⋅ π =       σ ⋅ = < x u 0 du e 2 x erfc ; 2 x erfc 2 1 ) 0 x ( p 2 II-3. Notion de bruit
  56. 56. 55 n Nombre théorique d’états possibles : – sur 2 porteuses : II-3. Notion de bruit SNR M + = 1 SNR M + =1 ' Q I
  57. 57. 56 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 10 -6 10 -5 10 -4 10 -3 10 -2 10 -1 10 0 Eb /N0 (dB) BER probabilité d'erreur BPSK QPSK DPSK FSK GMSK
  58. 58. 57 – 1. Le spectre radio – 2. Principes de modulation – 3. Notion de bruit – 4. Capacité de canal – 5. Interférences – 6. Synthèse II-Caractéristiques des ressources radio
  59. 59. 58 – A) Capacité de canal : définition n la capacité d ’un canal est le débit maximal admissible soit : – sans erreur (théorique) – pour un taux d’erreur donnée (pratique) n la capacité est égale au produit du débit symbole maximal par le nombre de bits/symbole. ) max( ) max( Nb R C s ⋅ = II-4. Capacité de canal
  60. 60. 59 – B)Valeur théorique n La capacité de Canal (Shannon-Hartley) : – le débit symbole max : Rs=W (symbole=sinus cardinal) – le nombre de bits par symbole : Nb=log2(1+SNR) – dans un canal à bruit additif gaussien, il est possible de trouver une méthode de codage, telle que pour tout RbóC, la transmission soit sans erreur ( ) SNR W C + ⋅ = 1 log2 SNR : rapport des puissances entre signal et bruit II-4. Capacité de canal
  61. 61. 60 – C)Valeur expérimentale n La capacité de Canal pour un système donné : – le débit symbole max : Rs ~1,6.W (dépend de la qualité de la modulation, et des contraintes imposées en terme de largeur spectrale : bande à -3dB, -10dB, etc...) – le nombre de bits par symbole dépend du taux d ’erreur acceptable : Nb=f(SNR) (cf. courbes précédentes) – La capacité est donnée par le produit des 2. II-4. Capacité de canal
  62. 62. 61 – 1. Le spectre radio – 2. Principes de modulation – 3. Notion de bruit – 4. Capacité de canal – 5. Interférences – 6. Synthèse II-Caractéristiques des ressources radio
  63. 63. 62 – A)Interférences co-canales (spatial) II-5. Interférences dB SIR I C 3 + ≥ Icc :
  64. 64. 63 – B) Interférences canaux adjacents (fréquentiel) II-5. Interférences Ica : ?
  65. 65. 64 – C) Interférences inter-symboles (temporel) II-5. Interférences Iis :
  66. 66. 65 – D) Calcul d’interférences sur 1 cellule II-5. Interférences IS cell V s s j kj incell j kj cell C s s k k IS CA CC k I I I I I I I I +         + + + + = ∑ ∑ ∑ ∑ ∈ ∈ ∈ ∈ ) ( ) ( ) ( ,
  67. 67. 66 – 1. Le spectre radio – 2. Principes de modulation – 3. Notion de bruit – 4. Capacité de canal – 5. Interférences – 6. Synthèse II-Caractéristiques des ressources radio
  68. 68. 67 – A) propriétés n la capacité d ’un lien radio est limitée par la largeur de bande du lien et le SNR admissible en réception. n Le SNR admissible en réception dépend du taux d ’erreur acceptable et de la modulation choisie. n Le bruit résulte des propriétés du récepteur (sensibilité) mais également des interférences fréquentielles, temporelles et spatiales. L ’ensemble doit être pris en compte pour déterminer la qualité du lien radio. II-6. Synthèse
  69. 69. 68 II-6. Synthèse – B) Exemple Icc :
  70. 70. 69 – C) application : le GSM n vitesse de modulation Rb=271kb/s. – (4 états sur 2 porteuses, modulation GMSK) – occupation spectrale ~200kHz. n Taux d ’erreur recquis : – SNR=9dB II-6. Synthèse 0 2 4 6 8 10 12 10 -6 10 -5 10 -4 10 -3 10 -2 10 -1 E b /N 0 (dB) BER
  71. 71. 70 – Spectre GSM -400 -200 0 200 400 f(kHz) II-6. Synthèse
  72. 72. 71 II-6. Synthèse n Interférences canaux adjacents : -400 -200 0 200 400 Marges prévues : 18dB 50dB
  73. 73. 72 Plan général I. Principe des réseaux cellulaires II. Caractéristiques des ressources radio III. Partage des ressources IV.Ingénierie cellulaire
  74. 74. 73 – 1. Modes de partage – 2. Techniques d ’accès multiples – 3. Cas particulier : CSMA/CA – 4. Synthèse III-Partage des ressources
  75. 75. 74 – A) Attribution de ressources globales n la bande de fréquence est choisie en fonction : – de la portée voulue. – de la capacité souhaitée. – GSM : 890-915/935-960 MHz • (GSM étendu : 880-915MHz, 925-960MHz) – DCS1800 : 1710-1785/1805-1880 MHz – DECT : 1880-1900MHz – wLAN : ISM ~2,4GHz III-1. Modes de partage
  76. 76. 75 – B) Duplexage (voix montantes/descendantes) n duplexage en fréquence (FDD : frequency division duplexing) f Écart duplex Intérêt : permet d’éviter les interférences entre lien montant et lien descendant (signal en réception <<signal en émission) III-1. Modes de partage
  77. 77. 76 n Duplexage en temps (TDD : time division duplexing): voix montantes/descendantes t Partage temporel Intérêt : un seul canal fréquentiel à gérer rem : attention aux interférences entre lien montant et lien descendant III-1. Modes de partage
  78. 78. 77 – C) Partage entre sous-réseaux n Approche centralisée : – réserver des ressources spécifiques à différents opérateurs – GSM, UMTS, IS-95 : bandes spécifiques à chaque opérateur =multiplexage fréquentiel. n Approche partagée – wLAN, DECT : mêmes bandes pour tous. • Nécessite une technique pour limiter les interférences ( codes aléatoires, saut de fréquence, …). • Interférences non contrôlables, QoS non garantie. III-1. Modes de partage
  79. 79. 78 n Partage entre opérateurs pour le GSM (représentation pour les fréquences montantes) f (MHz) Itinéris /SFR 890 915 f (MHz) Itinéris /SFR 890 915 Bouygues 1710 1725 f (MHz) Itinéris /SFR 890 915 Bouygues 1710 1725 880 sncf 876 f (MHz) Itinéris /SFR/bouygues 890 915 Bouygues 1710 1725 880 sncf 876 Itinéris /SFR 1755 III-1. Modes de partage
  80. 80. 79 – 1. Modes de partage – 2. Techniques d ’accès multiples – 3. Cas particulier : CSMA/CA – 4. Synthèse III-Partage des ressources
  81. 81. 80 – A) Méthodes d ’accès multiples n 1 bande globale : W ; C=Rs x Nb ; Nb=f(SNR) – théorique C=2xW (2porteuses, 1 bit/porteuse) – pratique : W=1,6Rs; C=2/1,6 x W=1,25xW. • BER~10-4 =>Eb/No=8dB; SNR=9dB. n On veut partager ce débit global : – choix parmi : FDMA, TDMA, FTDMA (GSM) ou CDMA (IS-95, UMTS). n Critères : – Maximiser l’utilisation des ressources (bits/s/hertz) – Gérer le niveau d’interférences III-2.Accès multiples
  82. 82. 81 – FDMA t f P ∆f T III-2.Accès multiples
  83. 83. 82 – TDMA t f P BP ∆t III-2.Accès multiples
  84. 84. 83 – F-TDMA t f P ∆f ∆t III-2.Accès multiples
  85. 85. 84 – CDMA t f P BP Τ III-2.Accès multiples
  86. 86. 85 – B) FDMA (Frequency Division Multiple Access) n découpage de la bande de fréquences en plusieurs porteuses (1 porteuse par canal). n avantage : simplicité, proche d ’un système analogique (radiocom2000). n Inconvénient majeur : faible utilisation spectrale ou interférences élevées. III-2.Accès multiples
  87. 87. 86 n Efficacité théorique W C=2.W …. W C=Nc x C ’=2.W Nc=W/W’ Même capacité théorique dans les 2 cas III-2.Accès multiples
  88. 88. 87 n Efficacité réelle W C=1,25.W W C=Nc x 1,25W’ Nc>W/W’ W Nc<W/W’ III-2.Accès multiples
  89. 89. 88 – Conclusion sur du FDMA ‘pur’ n taux d ’interférences important entre porteuses voisines. n difficile de faire une planification des fréquences avec un grand nombre de porteuses. n mauvaise efficacité d’utilisation du spectre. III-2.Accès multiples
  90. 90. 89 – C) TDMA (Time Division Multiple Access) n découpage du canal fréquentiel en trames (et slots) n avantage : 1 seule porteuse, simplifie la partie RF. n Inconvénients : – synchronisation temporelle fine – étalement temporel, délais (mobiles à distance différente). III-2.Accès multiples
  91. 91. 90 n Efficacité théorique T C=2.W …. T C=Nc x C ’=2.W Nc=T/Tc Même capacité théorique dans les 2 cas III-2.Accès multiples
  92. 92. 91 n Efficacité réelle T C=1,25.W C=Nc x Ci<1,25W T Nc<T/Ts Ci=CxTs/T III-2.Accès multiples
  93. 93. 92 – Conclusion sur du TDMA ‘pur’ n Nécessité d ’un temps d ’attente entre slots – synchronisation – étalement temporels (échos multiples) – montée en puissance n délais constants donc plus la durée slot est courte, plus l’efficacité est faible III-2.Accès multiples
  94. 94. 93 – D) FTDMA (TDMA) n Le GSM est un système FTDMA, mais couramment appelé TDMA n Définition de canaux fréquentiels à débit largement supérieur au débit d’une voie. n Répartition de porteuses par cellule. n Répartition dans le temps: trames et slots n applications : GSM, DECT. III-2.Accès multiples
  95. 95. 94 n Regroupement de voies : multiplexage temporel – augmentation de la cadence d’émission – si synchronisés : pas d ’interférences entre voies. – Facile sur lien descendant – Problème en lien montant (intervalle de garde, ou paramètre TA, contrôle de puissance) t III-2.Accès multiples
  96. 96. 95 t t0 t1 t2 t3 t4 t5 t6 t7 Trame t0 t1 t2 t3 t4 t5 t6 t7 1 canal en fréquence = 1 porteuse = 1 fréquence 1 canal physique = 1 slot par trame 1 canal logique = n canaux physiques (ex n=1; n=0,5; n=4,…) III-2.Accès multiples
  97. 97. 96 n sur lien descendant : facile – pas de problème particulier car 1 seule source – il faut juste synchroniser les récepteurs III-2.Accès multiples
  98. 98. 97 n sur lien montant : plus difficile – problème de synchronisation – problèmes de puissance III-2.Accès multiples
  99. 99. 98 da/c db/c A B Station de base III-2.Accès multiples
  100. 100. 99 – E) Exemple : GSM n largeur totale : 25MHz. Ctheo=50Mb/sec n canaux fréquentiels : 124c, 200kHz; 271kb/sec n trames de 8 slots III-2.Accès multiples Slot 1 Slot 2 ... Slot i ... Slot 8 Slot 1 ... trame burst 546µs 577µs Données : 58b Données 58b
  101. 101. 100 – Capacité réelle n Débit 1 canal logique 116bit/trame n Débit 1 canal fréquentiel : 8x116bit/trame n Débit réel : Di=116/577.10-6~200kb/s n Capacité globale : 124x200kb/s = 24,8Mb/s – à comparer à Ctheo=50Mb/sec n efficacité spectrale : η~1 b/s/Hz III-2.Accès multiples
  102. 102. 101 – F) CDMA (Code Division Multiple Access) n L’UMTS est un système W-CDMA n Définition de canaux fréquentiels à débit largement supérieur au débit d’une voie. n Répartition de porteuses par cellule. n Répartition dans le temps: trames et slots n applications : GSM, DECT. III-2.Accès multiples
  103. 103. 102 0 1 2 3 4 5 6 7 -1 0 1 le codeur CNA b(t) osc. ak sRF(t) c(t) bs(t) 0 1 2 3 4 5 6 7 -1 0 1 III-2.Accès multiples
  104. 104. 103 le décodeur 0 1 2 3 4 5 6 7 -1 0 1 0 1 2 3 4 5 6 7 -1 0 1 b(t) c(t) bs(t) osc. âk ∫ T dt 0 III-2.Accès multiples
  105. 105. 104 Recherche du maximum de corrélation III-2.Accès multiples
  106. 106. 105 n Propriétés du décodeur simple. n Sélection du code : connu a-priori ou recherché. n Synchronisation du code : matching filter. n Synchronisation de phase : le phaseur utilise une séquence connue (pilote). – Toutes ces opérations se font en quasi-temps réel : n Matching filter : filtre RIF. n Corrélateur : produit instantané. n Phaseur : produit instantané. III-2.Accès multiples
  107. 107. 106 – Paramètres du CDMA n Gain d ’étalement : rapport entre Tc (durée chip) et durée symbole. n Capacité théorique = au système de référence n trouver des codes faiblement corrélés : – taux de corrélation n Avec des codes corrélés (grand nombre), il subsiste une corrélation, i.e. plus on utilise de code plus le niveau de bruit augmente III-2.Accès multiples
  108. 108. 107 – 1. Modes de partage – 2. Techniques d ’accès multiples – 3. Cas particulier : CSMA/CA – 4. Synthèse III-Partage des ressources
  109. 109. 20/05/2007 108 n Le débit global n Le débit réel utile en point à point n quelques configurations ‘types’ III-2.CSMA/CA : 802.11b
  110. 110. 109 n Bande de fréquences ISM – découpage en bandes de fréquences : 2 , 4 0 2 G H z 2 , 4 0 3 G H z 2 , 4 0 4 G H z 2 , 4 0 5 G H z 2 , 4 5 4 G H z 2 , 4 5 5 G H z 2 , 4 8 0 G H z 80 MHz III-2.CSMA/CA : 802.11b
  111. 111. 110 n Bande de fréquences n la BF permet de connaître le débit max en vitesse «symboles» : -Rs/2 0 Rs/2 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 fréquence amplitudes III-2.CSMA/CA : 802.11b
  112. 112. 111 n Le SNR – le nombre de bits par symbole dépend du SNR. Bruit récepteur III-2.CSMA/CA : 802.11b
  113. 113. 112 n Les caractéristiques de 802.11 – 1 canal = 1.1 à 2.2Mb/s – attention aux recouvrements entre canaux 2 , 4 0 2 G H z 2 , 4 0 3 G H z 2 , 4 0 4 G H z 2 , 4 0 5 G H z III-2.CSMA/CA : 802.11b
  114. 114. 113 n Le DS-SS (étalement de spectre) – problème des chemins multiples (fading) III-2.CSMA/CA : 802.11b
  115. 115. 114 n Le DS-SS – principe -33-22-11 0 11 22 33 0,01 0,1 1 10 01001000111 Séquence de Barker MHz III-2.CSMA/CA : 802.11b
  116. 116. 115 n Le DS-SS – conséquences : diminution du nombre de canaux 2 , 4 7 2 G H z 13 12 2 , 4 6 7 G H z 9 8 2 , 4 5 2 G H z 2 , 4 4 7 G H z 2 1 2 , 4 1 7 G H z 2 , 4 1 2 G H z partiellement interdits en France =>nov.2002 puiss. limitée à 10mW Pémission = 100mW (indoor) III-2.CSMA/CA : 802.11b
  117. 117. 116 n Le DS-SS 13 12 9 11 10 Occupation spectrale III-2.CSMA/CA : 802.11b
  118. 118. 117 n IEEE 802.11b – 1 ou 2Mb/s : 1Ms/sec; BPSK/QPSK n 11 chips (Barker) n plus robuste que 802.11 – 5,5 ou 11 Mb/s : 1,375Ms/sec, QPSK n 8 chips (CCK) n meilleur débit que 802.11 pour même couverture III-2.CSMA/CA : 802.11b
  119. 119. 118 n « throughput » (capacité) – le débit annoncé est égal au débit de tous les bits à transmettre – le débit réel (ou utile) est le débit dont l’utilisateur dispose réellement – entêtes et paquets de contrôle – erreurs et retransmission III-2.CSMA/CA : 802.11b
  120. 120. 119 n Poids des entêtes IEEE802.11b Ethernet
  121. 121. 120 n Mesures
  122. 122. 121 AP Carte A Canal indifférent Slot B vide 1 point d'accès muni d'une seule carte : Débit réel mesuré : 2,4 Mbit/s III-2.CSMA/CA : 802.11b CSMA : accès partagé
  123. 123. 122 1 point d'accès muni de 2 cartes : même canal Débit réel mesuré : 3,5 Mbit/s AP Carte B Carte A Réseau 2 Canal 10 Réseau 1 Canal 10 Ce n’est plus le même canal logique, mais même canal physique III-2.CSMA/CA : 802.11b
  124. 124. 123 1 point d'accès muni de 2 cartes : canaux 10 et 11 Débit réel mesuré : 1,7 Mbit/s AP Carte B Carte A Réseau 2 Canal 11 Réseau 1 Canal 10 Brouillage entre canaux III-2.CSMA/CA : 802.11b
  125. 125. 124 1 point d'accès muni de 2 cartes : canaux 10 et 12 Débit réel mesuré : 2,2 Mbit/s AP Carte B Carte A Réseau 2 Canal 12 Réseau 1 Canal 10 Brouillage entre canaux III-2.CSMA/CA : 802.11b
  126. 126. 125 1 point d'accès muni de 2 cartes : canaux 10 et 13 Débit réel mesuré : 3,8 Mbit/s AP Carte B Carte A Réseau 2 Canal 13 Réseau 1 Canal 10 Indépendance des canaux III-2.CSMA/CA : 802.11b
  127. 127. 126 – 1. Modes de partage – 2. Techniques d ’accès multiples – 3. Cas particulier : CSMA/CA – 4. Quantifier les interférences n ou compromis efficacité / performances – 5. Synthèse III-Partage des ressources
  128. 128. 127 – Le partage des ressources permet : n de partager le spectre radio. n Ceci se fait au détriment d ’une perte de débit global, qui doit être minimisé n En fréquence, limiter la largeur des spectres n En temps, synchroniser le système, et limiter les temps « perdus ». n Par codes, approche plus souple car l ’évolution du SIR est progressive, mais risques de débordements. III-2.Accès multiples
  129. 129. 128 Plan général I. Principe des réseaux cellulaires II. Caractéristiques des ressources radio III. Partage des ressources IV.Ingénierie cellulaire
  130. 130. 129 – 1. Dimensionnement – 2. Planification – 3. Dimensionnement-planification conjointe IV- Ingénierie cellulaire
  131. 131. 130 n A) Estimation des ressources nécessaires (trafic) – Taux d ’appel µ, durée d ’appel moyen (H) n intensité de trafic par utilisateur : en Erlang : Au=µ.H – Densité de population : dh (hab/km2) n densité de trafic souhaité : A=dh. Au (erlang/km2) n (faible : 1 erlang, moyenne : 10 erlang, forte : 50 erlang) – Surface couverte : S n trafic à assurer : Atot=A.S (en erlang) – Taux de blocage : % appels bloqués (~2%) le taux de blocage dépend du nombre de canaux et du trafic. i.e. le nombre de canaux requis dépend du trafic souhaité (densité.surface) et du taux de blocage requis. IV-1. Dimensionnement
  132. 132. 131 ∑ = = C N n n C Nc tot c n A N A P 0 ! 1 ! 1 Les lois d ’Erlang Etude du taux d'erreur en fonction du nombre de canaux fréquences 1 10 100 0.1 1 10 100 Trafic demandé ( Erlang ) taux de blocage (%) 2 3 4 5 6 7 8 IV-1. Dimensionnement
  133. 133. 132 Estimation du nombre de canaux voix Nb fréquences 1 2 3 4 5 6 7 8 Canaux physiques 0 8 16 24 32 40 48 56 Nb TCH 0 7 14 21 28 35 42 49 NC=fix(8.(Nf-1)/(1+1/8)) IV-1. Dimensionnement
  134. 134. 133 n B) Capacité cellulaire n Système avec S canaux n Canaux alloué à un cluster de N cellules – k canaux par cellule n Un motif utilise les S=kN canaux n Motif répété M fois n Capacité du réseau C=MkN – Réduire la taille N du cluster, augmente capacité – Réduire la surface de la cellule, augmente M et donc la capacité IV-1. Dimensionnement
  135. 135. 134 n limite pour une cellule isolée : – la capacité théorique est limitée par le nombre de porteuses que l ’on peut lui attribuer (indépendamment du bruit de voisinage) : – quelques problèmes n au mieux 1 fréquence sur 2 (interférences canaux adjacents) n problèmes de compatibilité : maximum = 8 porteuses – c ’est une limité intrinsèquement liée à la technique GSM. n Capacité max : 8 porteuses : 50 canaux voix IV-1. Dimensionnement
  136. 136. 135 n limite pour un groupement de cellules: – la capacité est limitée par le facteur de réutilisation : – contrainte majeure : n les interférences réduisent le nombre de codes disponibles n Exemple : avec un facteur de réutilisation de 9 (8porteuses/cell), il faut 72 porteuses, soit ~14,4MHz. n L ’efficacité spectrale par cellule est de : 13kbit/s par utilisateur (450 par motif), soit : η=0.045 bit/Hz Pour augmenter la capacité, il faut réduire les interférences, pour diminuer le facteur de réutilisation permettant alors d’avoir des motifs plus petits. IV-1. Dimensionnement
  137. 137. 136 – 1. Dimensionnement – 2. Planification – 3. Dimensionnement-planification conjointe IV- Ingénierie cellulaire
  138. 138. 137 Antennes omnidirectionnelles, espace libre Modèle hexagonal n r d d P P − = ) ( 0 0 IV-2. Planification
  139. 139. 138 Pavage hexagonal IV-2. Planification
  140. 140. 139 Clusterisation IV-2. Planification
  141. 141. 140 n Interférence co-canal n Cellules utilisant le même ensemble de fréquences (ou temps ou codes) n rem :impossible de réduire ces interférences en augmentant la puissance d’émission ∑ = = 0 i 1 i i I C I C Puissance de la cellule co-canal i IV-2. Planification
  142. 142. 141 n La norme GSM défini des rapports de protection entre canaux adjacents Interférences co-canal (fo) C/Ic 9dB Interférences 1er canal adjacent C/Ia1 -9dB Interférences 2ième canal adjacent C/Ia1 -41dB Interférences 3ième canal adjacent C/Ia1 -49dB Impossible d’utiliser 2 fréquences adjacentes sur la même cellule en GSM. Non recommandé pour des fréquences à n+2 Au-delà, négligé la plupart du temps ACIP : Adjacent Chanel Interference Protection IV-2. Planification
  143. 143. 142 Cellules co-canal IV-2. Planification
  144. 144. 143 – Puissance moyenne reçue n n est le facteur d’atténuation n r d d P P − = ) ( 0 0 ∑ = − − = 0 1 ) ( i i n i n D R I C Estimation du C/I, pire cas : IV-2. Planification
  145. 145. 144 n Facteur de réutilisation (de canal) n Facteur Q=D/R n Géométrie hexagonale – 6 cellules co-canal – N=i2+ij+j2 1 2 3 4 1 3 7 13 21 2 7 12 19 28 3 13 19 27 37 4 21 28 37 48 IV-2. Planification
  146. 146. 145 Exemple : motif à 12 cellules IV-2. Planification
  147. 147. 146 – Facteur de réutilisation co-canal (cellules de même taille) n n est le facteur d’atténuation en milieu urbain n=2 à 4 6 ) 3 ( ) / ( 0 n n N i R D I C = = N 1 3 4 7 9 12 13 19 n=3 C/I -0.6 6,5 8,4 12 13,6 15,5 16 18,5 n=4 C/I 1,75 11 13,8 18,7 20,8 23,3 24 27,3 Rem : marge de 3dB implique N=7 pour n=3 N R D Q 3 = = IV-2. Planification
  148. 148. 147 – Augmentation de la capacité méthodes classiques : n Contrôle de puissance n Sectorisation – Utilisation d’antennes directives n Reuse partitionning – Superposer deux schémas cellulaires n Division cellulaire IV-2. Planification
  149. 149. 148 – Saut de fréquence n lutter contre les évanouissements (fast fading) trame n-1 trame n trame n+1 t f Voix balise (diversité en fréquence sans redondance) IV-2. Planification
  150. 150. 149 – Contrôle de puissance – sur lien descendant Privilégierait les mobiles distants IV-2. Planification
  151. 151. 150 n sur lien montant – réduit les interférences – contrôle de puissance et ‘time advance’ IV-2. Planification
  152. 152. 151 Chaque mobile estime le temps de trajet entre lui et la station de base et la puissance nécessaire Émission avancée IV-2. Planification
  153. 153. 152 – 1. Dimensionnement (modèle théo) n lois d ’Erlang, trafic, taux d ’erreur n nombre de canaux. n Modèle hexag n cas du GSM : détailler les canaux (service + voies) – 2. Planification n modèle théo : hexag. : nbre de canaux, facteur de réutilisation, SNR ,influence du paramètre n, … n approche exp : utilisation de la notion de voisines, méthodes : graphes, recherche op (heuristiques : recuit, gradient, Tabou, …) – 3. Dimensionnement-planification conjointe n déterminer simultanément les positions et paramètres des antennes, et la répartition des fréq. IV-2. Planification

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