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Master Métiers des archives et des bibliothèques

  1. LA DOCUMENTATION ÉLECTRONIQUE EN SCD ANNE GIRARD, DÉPARTEMENT D'INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE SCD UNIVERSITÉ D'AIX-MARSEILLE
  2. Département d’ingénierie documentaire • SIGB/Sudoc • Documentation électronique • Numérisation fonds patrimoniaux • Publications électroniques : sujets d’examen, archives ouvertes, thèses en ligne • Web : site des BU, Facebook & Twitter, guides en ligne TAG, service de réponse à distance @zimut 2
  3. Introduction : plusieurs constats Taux d’équipement des foyers français : • 83% disposent d’au moins un ordinateur • 77% ont une connexion internet • 89% sont équipés d’un mobile, • 39% d’un smartphone • 32.6% d’une tablette tactile Sources : http://www.eco-conscient.com/art-2603-quel-est-lequipement-numerique-des-francais.html http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/rapport-CREDOC_2013-dec2013.pdf 3
  4. Plusieurs constats (suite) • Mouvement général de baisse des inscriptions et de la fréquentation dans les bibliothèques • Fort recul de la lecture de livres chez les moins de 40 ans • Prédominance de la culture du numérique : ‘digital natives’ vs ‘digital immigrants’ 4
  5. Plusieurs constats (suite) • La culture de l’immédiateté s’est imposée • Le public, habitué au web 2.0, attend des services personnalisés et personnalisables ; ‘consomm’acteurs’, ‘utilis’acteurs’ • Modification des pratiques documentaires 5
  6. → nécessité de réagir et de s’adapter aux nouveaux besoins et habitudes du public en proposant des produits et des services innovants: 1/ des accès à des collections électroniques 2/ des services en ligne
  7. Première partie : les ressources électroniques I) Qu’est-ce que la documentation électronique ? II) La chaîne documentaire 7
  8. Définition • Documentation électronique/Ressources électroniques • Documents : texte, image, son, vidéo • Disponibles au format électronique : numérisés ou produits directement au format numérique 8
  9. I)Qu’est-ce que la documentation électronique ? 1.1) Typologie des ressources électroniques 1.2) Open access 1.3) Accès aux ressources électroniques 9
  10. 1.1) Typologie des ressources électroniques 1.1.1) Bases de données bibliographiques 1.1.2) Périodiques électroniques 1.1.3) Documents numériques 10
  11. 1.1.1) Bases de données bibliographiques • Pour faire des recherches sur un sujet/auteur • Références d’articles, de livres, de comptes- rendus de congrès. • Tous les éléments bibliographiques permettant de retrouver le texte intégral dans d’autres sources. 11
  12. 1.1.2) Périodiques électroniques • Titres ‘individuels’ • Bouquets de revues : collection de périodiques électroniques, généralistes ou spécialisées. 12
  13. 1.1.3) Documents numériques • Corpus de textes • Encyclopédies et dictionnaires • Livres électroniques • Musique • Vidéo 13
  14. Offre du SCD AMU • 40 bases de données • 22 bouquets de périodiques électroniques (+20 000 titres) • 27 documents numériques • +2500 livres électroniques Offre multidisciplinaire, en plusieurs langues, qui s’adresse à tous les niveaux d’études. 14
  15. Les sujets d’examen 15 http://bu.univ-amu.fr/private_content/sujets-dexamen • Economie/Gestion, • Sciences et Technologies, • Sciences du Sport
  16. Le patrimoine numérisé 16  http://bu.univ-amu.fr/patrimoine-ecrit • Droit en Provence et en outre-mer • Mille et une nuits et Mutanabbi Ukbari (fonds André Miquel) • Flore de Poucel
  17. 1.2) L’Open access « Le libre accès (en anglais : Open Access), est la mise à disposition en ligne de contenus numériques qui peuvent eux-mêmes être soit libres (Creative commons, etc.), soit sous un des régimes de propriété intellectuelle. L’Open Access est principalement utilisé pour les articles de revues de recherche universitaires, sélectionnés par des pairs. » 2 types de libre accès : - voie ‘verte’ (Green Open Access) : auto-archivage. Les auteurs déposent des copies de leurs articles sur une page personnelle ou une archive. Ex : HAL : https://hal.archives-ouvertes.fr/UNIV-AMU/ - voie ‘en or’ (Gold Open Access ) : revues en libre accès (Open access journals) qui rendent leurs articles directement et immédiatement accessibles au public. Ex. : Public Library of Science, revues.org http://fr.wikipedia.org/wiki/Libre_acc%C3%A8s_%28%C3%A9dition_scientifique%29 17
  18. Green Open Access HyperArticles en Ligne (HAL) : http://hal.archives-ouvertes.fr/ Plateforme d’auto-archivage « L'archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion d'articles scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, et de thèses, émanant des établissements d'enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés. » 18
  19. Gold Open Access Revues.org : http://www.revues.org/ Portail de ressources électroniques en Sciences humaines et sociales, créé en 1999, donne accès aujourd’hui à 413 revues (françaises mais aussi espagnoles, portugaises, russes etc.). Edition électronique ouverte : offre une plateforme d’édition électronique complète aux revues publiées en France et hors de France Libre accès, sauf PDF réservés aux bibliothèques abonnées à OpenEdition freemium 19
  20. Gold Open Access Persée : http://www.persee.fr/ Portail de revues en Sciences humaines et sociales Numérisation et mise en ligne de revues françaises Libre accès avec barrière mobile de 2 à 5 ans Plus d’infos sur l’Open Access :  http://bu.univ-amu.libguides.com/openaccess 20
  21. 1.3) Accès aux ressources électroniques • Réservé à la communauté universitaire et aux lecteurs inscrits au SCD (question de droits d’accès). • Accès par mot de passe • Accès par reconnaissance d’adresse IP (Internet Protocol) ex. : 147.94.211.14 • Accès local : sur les différents campus, sans identification. • Accès distant/nomade : en se connectant à l’Environnement Numérique de Travail (ENT) 21
  22. II) La chaîne documentaire 2.1) Sélection 2.2) Acquisition 2.3) Commandes 2.4) Traitement 2.5) Evaluation 22
  23. Le pôle Documentation électronique 23 Pôle Documentation électronique Au SCD • Les services des périodiques • La responsable de la Politique Documentaire • Les responsables des départements documentaires • Les acquéreurs et formateurs A l’université • Les centres de documentation • Les laboratoires • Les services informatiques • Les utilisateurs • COUPERIN • Les éditeurs • Les fournisseurs
  24. 2.1) Sélection • Veille documentaire : se tenir informé et diffuser l’information • Mise en place de tests • Ancrage dans la politique documentaire de l’établissement : répondre aux besoins des utilisateurs, équilibrer l’offre 24
  25. Répartition par départements documentaires (2012) 25
  26. Répartition par départements documentaires (2014) 26 6% 7% 5% 1% 12% 69% ALLSH DSP Santé SEG ST PLURI
  27. 2.2) Acquisition de ressources électroniques 2.2.1) Achat ou abonnement ? 2.2.2) Les différents modèles tarifaires des éditeurs 2.2.3) Les réseaux d’acquisition 2.2.4) La Bibliothèque Scientifique Numérique 27
  28. 2.2.1) Achat ou abonnement • Achat de livres électroniques, de corpus ou d’archives de périodiques : achat pérenne mais droit d’accès annuel à la plateforme. • Abonnement : paiement d’un droit d’accès temporaire aux bases de données et périodiques électroniques 28
  29. 2.2.2) Les différents modèles tarifaires des éditeurs • Abonnement lié au papier : titres individuels en P+E • Tarif forfaitaire • Tarif basé sur les effectifs des établissements (FTE : Full Time Equivalent, équivalent temps plein) • Tarif basé sur le chiffre d’affaire : maintien des abonnements papier et paiement d’un surcoût électronique (5-15% du CA) 29
  30. • Tarif basé sur le nombre d’accès simultanés • Tarif basé sur le nombre de sites géographiques • Tarif basé sur le nombre d’établissements abonnés en France • Tarif basé sur les modalités d’accès (monoposte, à la bibliothèque, dans l’établissement, en accès distant) • Autres critères : statistiques d’utilisation de la ressource, nombre de publications des chercheurs de l’établissement chez l’éditeur 30
  31. 2.2.3) Les réseaux d’acquisition • Les consortiums • Le rôle de l’ABES 31
  32. Les consortiums Les consortiums : intermédiaires entre les éditeurs et les bibliothèques, négocient les tarifs, mettent en place des groupements de commande. • CAREL (consortium pour l’acquisition de ressources en ligne) • COUPERIN (Consortium Universitaire de Publications Numériques) 32
  33. Les missions de COUPERIN • Recueillir et analyser les besoins documentaires de ses membres • Evaluer, négocier et organiser l’achat de ressources documentaires numériques • Développer un réseau national de compétences et d’échanges • Contribuer à clarifier et à faire évoluer les relations contractuelles avec les éditeurs • Etc.  http://www.couperin.org/presentation 33
  34. Le rôle de l’ABES Le pôle ADELE (Achat de Documentation électronique) : • Mise en place de groupement de commandes pour l’acquisition de ressources électroniques • La négociation de licences nationales : achat groupé permettant d’acquérir la documentation électronique au niveau national et de desservir l'ensemble des communautés d'enseignement et de recherche françaises. 34
  35. 2.2.4) La Bibliothèque Scientifique Numérique BSN : projet initié en 2008 2 objectifs : • Répondre aux besoins des enseignants- chercheurs en information scientifique et technique • Améliorer la visibilité de la recherche française 35
  36. La BSN : 8 thématiques 1- Acquisition des ressources électroniques - Couperin & Abes 2- Dispositifs d’accès et d’hébergement - CNRS 3- Dispositifs de signalement - Abes & CNRS 4- Archives ouvertes - CNRS & Inria 5- Numérisation - Persée & BNUS 6- Archivage pérenne - CINES & BnF 7- Editions numériques – CNRS & Aderes 8- Fourniture de documents, prêt – CNRS & Abes 36
  37. Istex : Initiative en Information Scientifique et Technique → http://www.istex.fr « Le projet ISTEX a pour principal objectif d’offrir, à l’ensemble de la communauté de l’enseignement supérieur et de la recherche, un accès en ligne aux collections rétrospectives de la littérature scientifique dans toutes les disciplines en engageant une politique nationale d’acquisition massive de documentation : archives de revues, bases de données, corpus de textes… » • 1 Volonté nationale • 4 partenaires : CNRS, ABES, COUPERIN, Université de Lorraine (CPU) • 2 actions : acquisitions d’archives scientifiques négociées dans le cadre des licences nationales, et création d’une plateforme d’accès aux ressources électroniques 37
  38. ISTEX 1ère étape : acquisition de ressources Les licences nationales : contrats négociés par l’ABES pour l’accès aux archives de revues et de livres électroniques (achats rétrospectifs) Financement par le Ministère Bénéficiaires : les usagers des établissements ayant une mission d’enseignement supérieur et/ou de recherche http://www.licencesnationales.fr/ 38
  39. 16 licences nationales (2011-2015) Consultables sur les plateformes des éditeurs : • Brill-revues : 220 titres de revues scientifiques publiées par Brill depuis les origines jusqu’à 2012, consacrées principalement aux humanités, aux sciences sociales, au droit international et aux droits de l’homme, et à la biologie. • British medical journal publishing (BMJ) : archives de 64 revues médicales publiées par l'éditeur British Medical Association (BMJ), des premiers numéros jusqu'en 2013. • Early English Books Online/EEBO : 125 000 livres publiés entre 1473 et 1700 en Angleterre. • Eighteenth Century Collections Online/ECCO éditée par Gale Cengage. Textes imprimés au Royaume-Uni entre 1701 et 1800. • Elsevier-revues : plus de 2200 titres de revues scientifiques publiées par Elsevier depuis les origines jusqu’à 2001. 39
  40. 16 licences nationales (2011-2015) • Grand Corpus des Dictionnaires de langue française : 24 dictionnaires proposés par les Editions Classiques Garnier Numérique. • Institute of Physics : 108 titres de revues scientifiques publiées par l’IOP depuis les origines (1874) jusqu’à 2012. • Nature, la revue scientifique généraliste de référence, des origines (1869) jusqu’en 2012. Et sept « Nature branded journals » des origines jusqu’en 2012. • New Pauly Online (Brill) : encyclopédie de référence en sciences de l’Antiquité, dans sa version anglaise et allemande. • Oxford Journals : 264 titres de revues scientifiques publiées par les presses universitaires Oxford University depuis les origines (1833) jusqu’à 2010. • Recueils des cours de l’Académie de La Haye : 338 volumes de cours dispensés à l’Académie de droit international de La Haye, des origines (1923) jusqu’en 2012, formant une collection encyclopédique sur le droit international. 40
  41. 16 licences nationales (2011-2015) • Royal Society of Chemistry (RSC) : 118 titres de revues scientifiques publiées par la RSC depuis les origines jusqu’à 2010. • Springer : archives des périodiques parus avant 1996 et e-books antérieurs à 2004. • Sage : archives d'environ 600 revues couvrant l’ensemble des disciplines de recherche, pour une période allant de 1847 jusqu’à l’année 2009. • Walter De Gruyter : plus de 600 titres couvrant la période de 1826 à 2012, principalement en sciences humaines et sociales. • Wiley : archives de près de 2 200 titres de revues scientifiques, de 1791 à 2011, couvrant notamment l’écologie, les mathématiques,la chimie, la physique et les sciences de la santé. 41
  42. Istex 2e étape : création d’une plateforme Prévision 2014/2015 : • Hébergement unique des ressources électroniques • Moteur de recherche puissant • Traitement des données • Accès distant et pérenne 42
  43. 2.3) Commandes En relation avec la cellule des marchés de l’université : respect du code des marchés publics En relation avec les services financiers de l’Université : suivi des factures et du budget En relation avec les services juridiques de l’Université : les licences d’utilisation 43
  44. 2.4) Traitement • Paramétrages, personnalisation, déclaration des adresses Ips, vérification des accès locaux et nomades. • Signalement des ressources, valorisation, service après-vente : cf. partie 2 44
  45. 2.5) Evaluation COUNTER (Counting Online Usage of Networked Electronic Resources) http://www.projectcounter.org/ Initiative internationale à destination des bibliothécaires, éditeurs et intermédiaires, visant à l'établissement de standards facilitant la récupération des statistiques de la consultation des ressources électroniques d'une façon harmonisée, crédible et homogène. Version 4 publiée en mars 2012. Les principaux éditeurs fournissent désormais des statistiques au format Counter. De plus en plus associé à SUSHI (Standardized Usage Harvesting Initiative) qui constitue un protocole facilitant la récupération automatique et la consolidation de statistiques provenant de sources différentes. La récupération des fichiers Counter se fait le plus souvent manuellement. 45
  46. JR1 : Number of Successful Full-Text Article Requests by Month and Journal 46
  47. DB1 : Total Searches and Sessions by Month and Database 47
  48. Evaluation (suite) Récupération des statistiques une fois par an Définition d’indicateurs : • coût/session • coût/téléchargement • coût/recherche • coût/étudiants/chercheurs Recueil des statistiques pour justifier les dépenses, gérer les abonnements, évaluer l’impact des formations, faire de la veille sur des téléchargements abusifs etc. 48
  49. Le projet MESURE/Couperin • MESURE : mutualisation et évaluation des statistiques d'utilisation des ressources électroniques • Recueil, archivage et traitement des statistiques d'usage • Moissonnage automatique via SUSHI  http://mesure.couperin.org/ 49
  50. Deuxième partie : les services I) Le signalement des ressources électroniques II) La promotion des ressources électroniques 50
  51. I) Le signalement des ressources électroniques Les ressources documentaires sont éparpillées. L'usager de la bibliothèque numérique éprouve de grandes difficultés pour : - identifier les ressources - accéder au document lui-même Il doit effectuer différentes interrogations. Exploiter les résultats est délicat. Outils pour faciliter la recherche : • liste des ressources électroniques • moteur de recherche fédérée • outil de découverte • résolveur de liens • opac agrégateur Objectif du signalement : amélioration de la recherche 51
  52. Les outils 1.1) Liste (s) des ressources électroniques 1.2) Moteur de recherche fédérée 1.3) Outil de découverte 1.4) Résolveur de lien 1.5) Opac agrégateur 52
  53. 1.1) Listes des ressources • sur le site web : bu.univ-amu.fr/documentation • dans les TAG (tutos, aides et guides) 53
  54. 1.2) Moteur de recherche fédérée Formulaire de recherche unique qui transmet la requête à différentes bases de données, récupère la liste de leurs résultats et l'affiche sur une page unique pour l'utilisateur. http://www.jubil.upmc.fr/ 54
  55. 1.3) Outil de découverte / Discovery tools Outils destinés aux bibliothèques, conçus pour fournir un seul point d'accès à toutes les ressources qu'elles proposent, et indifféremment du support, du mode et du lieu de stockage. « L’outil de découverte (de l'anglais "discovery tool") est un index général centralisé composé de données provenant d’éditeurs, d’agrégateurs de contenus et de sources locales (catalogues, dépôts institutionnels, collections numérisées, etc.). Un outil de découverte interroge donc une base de données unique, généralement constituée et vendue par un éditeur ; au contraire de la recherche fédérée qui interroge simultanément plusieurs bases d’éditeurs différents (via des « connecteurs »). » http://www.bibliopedia.fr/wiki/Outil_de_d%C3%A9couverte ex. : Primo (Ex Libris) http://decouverte.uquebec.ca/uqar 55
  56. 1.4) Résolveur de lien SMASH : Simplifier les Moyens d’Accès par Service Hypertexte Permet de faire le lien entre description bibliographique et texte intégral : - Que la recherche s’effectue d’un moteur de recherche (Pubmeb, Google Scholar,...) ou des bases bibliographiques auxquelles la bibliothèque est abonnée - Que le texte intégral soit disponible en version papier ou électronique Si la bibliothèque n’offre pas le document recherché, un formulaire de demande de PEB prérempli est proposé. 56
  57. 1.5) Opac agrégateur OPAC : Online Public Access Catalog / Catalogue informatisé Pour connaître et localiser les documents d’une bibliothèque Opac de nouvelle génération ou Opac 2.0 : • Recherche simple ‘Googlelike’ • Suggestions : facettes, nuages de mots • Présentation enrichie des résultats : couverture, liens, commentaires et recommandations • Résultats issus du catalogue et d’autres sources http://www2.lib.ncsu.edu/catalog/?Nty=1&N=0&Ntt=potter&Ntk=Keyword http://vufind.org/demo/ 57
  58. II) La promotion des ressources électroniques Informations sur les problèmes d’accès, les tests et les nouveautés diffusées sur les différents outils de communication virtuels du SCD : • La lettre des BU, la liste de diffusion [scd-tous] et l’intranet : outils de communication interne au SCD • Site web : http://bu.univ-amu.fr/ • Facebook, Twitter • TAG (tutos, aides et guides) : guides disciplinaires et thématiques • Newsletter de l’université, listes destinées aux étudiants et enseignants-chercheurs d’AMU Formations des personnels et des utilisateurs, guides d’utilisation, affiches etc. 58
  59. Le web 2.0 59
  60. Web 2.0 : notions fondamentales Les interactions entre internautes (collaboration, partage, communauté, réseau) > Wiki, Flickr, Delicious, Facebook L'interaction avec les contenus proposés en ligne (possibilité d'intervenir sur les contenus) > commentaire sur un blog ou un catalogue de bibliothèque 60
  61. Web 2.0 : notions fondamentales L'ouverture (possibilité facile et rapide d'entrer et de sortir des contenus) La gratuité de la plupart des services L'accessibilité (sites visibles sur les navigateurs standards, applications en ligne) Notion de folksonomie (système de classification collaborative décentralisée spontanée) 61
  62. Le web 2.0 en bibliothèque • Facebook : http://bu.univ-amu.fr/facebook • Twitter : http://bu.univ-amu.fr/twitter • Flickr : https://www.flickr.com/photos/buam • Slideshare : http://fr.slideshare.net/SCDAMU 62
  63. Le carnet de recherche ‘Conserver, enseigner, chercher’ • Enseignants-chercheurs et bibliothécaires d’Aix-Marseille Université, • Objectif : valorisation du patrimoine scientifique conservé à l’Université • Actualité du patrimoine scientifique, présentation des collections remarquables, dossiers thématiques, histoire de l’Université (patrimoine architectural, chercheurs, découvertes)  http://tresoramu.hypotheses.org/ 63
  64. Des univers netvibes aux libguides 64 • Agrégateur de liens • Recevoir sur une seule page l’ensemble de ses fils RSS • Installer et partager des widgets
  65. Netvibes au SCD de l’université de Provence • Février 2009 : nouveau site web • Avril 2009 : Blog’Up • Mai 2009 : Facebook, Delicious, Flickr, Slideshare, Netvibes • Octobre 2010 : 4 portails Netvibes disciplinaires • Janvier 2011 : 25 univers Netvibes disciplinaires • Juin 2011 : Twitter 65
  66. Netvibes : le projet • En octobre 2009, création d’un GT Netvibes • Objectif : définir le contenu et l’organisation des univers disciplinaires • Ouverture en septembre 2010 des 4 univers modèles • Janvier 2011 : ouverture de tous les univers Netvibes disciplinaires (25) 66
  67. Netvibes : les principes Organisation des univers • un onglet ‘page d’accueil’, commun à toutes les disciplines • des onglets structurés soit par niveaux, types de documents, domaines etc., Contenu • ‘Accueil’ : horaires et coordonnées de la bibliothèque, catalogue de la bibliothèque, fils RSS général Blog’UP, Actualités du SCD, liste de diffusion, facebook, delicious, slideshare, actualités de la documentation électronique…(cf. univers Netvibes du SCD) • Autres onglets : principaux sites web, bases de données, catalogues, fils RSS, cours en ligne (Ametice/Slideshare), corpus etc. de la discipline  ‘memento graphique’: liste des widgets obligatoires et charte graphique Attention : ancrage institutionnel des univers 67
  68. Netvibes : les 4 premiers univers Arts http://www.netvibes.com/scduparts Philosophie http://www.netvibes.com/scdupphilosophie#Accueil Chimie http://www.netvibes.com/scdupchimie#Accueil Sciences de la Terre et de l’Environnement http://www.netvibes.com/scdupste#Accueil 68
  69. Netvibes : le suivi 2 chefs de projet • Graphisme/contenu, • Formation et information des responsables pour les mises à jour • Production de tutoriels • Communication • Récupération des statistiques Les responsables des portails disciplinaires • Vérification des liens, des fils RSS, des images • Mises à jour : nouvelles acquisitions (papier ou électronique), base de données en test, changement de logo… • Veille documentaire : signaler les nouveaux sites web, centres de ressources, blogs, revues en ligne, colloque… 69
  70. Netvibes : rôles des différents acteurs 25 responsables des secteurs documentaires 19/10/2015 70 Alimentation Mises à jour Support de formation à la recherche documentaire Diffusion de leur veille informationnelle Public Consulter Récupérer Commenter 2 chefs de projet Suivi, vérifications, formations Création de tutoriels Communication Evaluation : statistiques
  71. Conclusion du projet Netvibes • Attention à l’ancrage institutionnel : projet d’établissement • Mesurer le temps de travail • Récupérer les statistiques d’utilisation • Prévoir l’évolution des Netvibes : problèmes de mises à jour, instabilité du système 71
  72. Suite et fin des Netvibes Fusion des universités en 2012 Nouveau site des BU en septembre 2013 : signalement des univers, nouvelle charte graphique conforme AMU, pas d’extension aux autres départements Projet de remplacement par des guides réalisés avec ‘Libguides’ Libguides : permet de créer des guides disciplinaires et thématiques. Solution stable, utilisée par de nombreuses bibliothèques 72
  73. Libguides 73 "Application full web développée spécifiquement pour les bibliothèques académiques, afin de concevoir et diffuser en ligne des guides thématiques en direction de leur public."
  74. Libguides : le projet Groupe de travail • Départements documentaires • Ingénierie documentaire Objectifs • Remplacer les 25 univers Netvibes • Créer des guides thématiques et disciplinaires pour la rentrée universitaire de septembre 2014 • Diffuser la veille des bibliothécaires, informer sur les nouveautés dans la discipline (nouveaux programmes des concours, nouveaux ouvrages), sur les ressources • Servir de support de formation Méthode • Ateliers • Accompagnements, tutoriels 74
  75. Libguides : les principes Organisation des guides disciplinaires • un onglet ‘page d’accueil’, commun à toutes les disciplines • des onglets structurés soit par niveaux, types de documents, domaines etc., Contenu • ‘Accueil’ : lien vers le site de la bibliothèque, catalogue de la BU, Facebook, Twitter, Azimut, PEB, Suggestion d’achat • Autres onglets : principaux sites web, bases de données, catalogues, fils RSS, cours en ligne (Ametice/Slideshare), corpus etc. de la discipline Charte graphique • Conforme AMU 75
  76. De Libguides aux TAG Libguide : nom de l’outil Les propositions : • GRAF : Guides de Recherche et d’AutoFormation • Plan B • BIG : Bibliothèques Guides • GIFT : GuIdes de Formation et Tutoriels • GTA : Guides, Tutoriels et Autoformation • TAG : Tutoriels, Aides et Guides Choix du visuel, intégration sur le site web 76
  77. Lancement des TAG Délais très serrés : 4 mois Mais un calendrier tenu : lancement de 24 guides en septembre 2014, accessibles à partir du site web des BU Promotion : messages sur les listes de diffusion (SCD et newsletter AMU), Facebook et Twitter, formations, communication aux enseignants Débuts prometteurs : 28344 pages vues entre septembre et décembre 2014 77
  78. Les TAGS aujourd’hui Nombre de guides : 56 Nombre de pages vues entre septembre 2014 et septembre 2015 : 54345 Perspectives : migration V2 78
  79. Contacter un bibliothécaire 79 Contacter le bibliothécaire responsable des acquisitions
  80. Aide à la recherche documentaire dans les BU 80 un(e) bibliothécaire de permanence tous les jours à la BU
  81. Rendez-vous documentaires 81 RV individualisés avec un bibliothécaire
  82. Formations des usagers - inscrites dans les cursus - ou à la carte (Zotero, Pubmed) 82
  83. Les services de questions-réponses en ligne • À partir de 2004 en France • Service de référence virtuel > service de Q/R en ligne • Asynchrone (en différé) : formulaire, courrier électronique • Synchrone (en direct) : messagerie instantanée 83
  84. Mettre en place un service de Q/R en ligne • Définir les objectifs : conquérir un nouveau public, assister les utilisateurs, montrer l’intérêt de la médiation professionnelle, avoir un retour sur les services et collections des BU, développer les services à distance, améliorer les compétences des bibliothécaires • Réfléchir aux modalités de réponse : fournir une réponse ‘clé en main’ ou proposer une démarche pour autonomiser l’utilisateur (vade-mecum interne), quelles questions traiter (charte d’utilisation) • Organiser le service en interne, former les personnels • Rédiger un modèle de réponse, recueillir les statistiques, proposer un questionnaire de satisfaction • Assurer la visibilité du service, le faire connaître 84
  85. @zimut : en 2009 Service lancé en 2009 (Université de Provence) : formulaire sur le nouveau site web et courriel Objectifs : améliorer les services de renseignements, toucher un autre public, montrer que les BU savent s’adapter et évoluer Fonctionnement du service : - En différé, réponse en 48h ouvrées - Réception, traitement, transfert des courriels assurés par la coordinatrice du service - Réponses types - Alimentation d’un fichier statistiques - Sondage utilisateur intégré à la réponse 85
  86. Et après Courant 2013 : extension progressive à toutes les BU AMU Equipe renforcée : 2 puis 3 coordinatrices, 2 à 3 correspondants dans chaque département (14 personnes en 2015) Septembre 2013 : ouverture du site web unique des BU. Nouveau logo, nouvelle identité du service et plus de visibilité Explosion du service en 2014 : +283% (hors spams 179%) Abandon du courriel (spams) 86
  87. @zimut : identité visuelle 87 → http://bu.univ-amu.fr/azimut
  88. @zimut : progression annuelle (bilan 2014) 88 65 135 283 341 317 457 1752 0 200 400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
  89. Répartition des demandes par département 19/10/2015 89 ALLSH 37% DING 6% DSP 15% SAN 8% SCD 15% SEG 4% ST 15%
  90. Type de questions 19/10/2015 90 366 137 119 117 116 116 111 74 48 38 30 4 P F Q A S A RE RB P E B C A LA T C I
  91. Statut des demandeurs 19/10/2015 91 0 100 200 300 400 500 600 700 800 900 A E EC ST SEG SCD SAN DSP DING ALLSH
  92. Sondage utilisateur 214 personnes ont répondu au questionnaire, soit 16% (hors spams) 93% satisfaits 209 recommandent le service 81% connaissent le service grâce au site web Les commentaires (76) soulignent la grande réactivité d’@zimut et la pertinence des réponses 19/10/2015 92
  93. Conclusion générale • Complémentarité des services sur place et des services distants • Évolution des outils plus que des fonctions : rôle de médiateur perdure • Web 2.0 nous donne juste de nouveaux outils pour satisfaire l’utilisateur en favorisant l’interactivité • Communication, formations • Évaluation des outils • Projet d’établissement, moyens humains 93
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