Support de la formation "Initiation au Web 2.0 : principes et présentation des différents outils" organisée par l’URFIST de Paris le 26/10/2012.

1. A. Bouchard,
26/10/2012

2. • Contexte
• Principes généraux
Principes
techniques
Typologie
Questions et
perspectives
Introduction
générale
Usages
professionnels

3.  2004 : réunion entre Dale Dougherty
(O’Reilly Media), Craig Cline (MediaLive)
et John Battelle (Wired)
 présentation d’exemples
Web 1.0 // Web 2.0
 2005 : publication de What isWeb 2.0 ?
Design Patterns and Business Models
for the Next Generation of Software
parTim O’Reilly

4. Tim O’Reilly, 2005

5. 1- Le web en tant que plate-forme
2-Tirer parti de l’intelligence collective
3- La puissance est dans les données
4- La fin des cycles de release
5- Des modèles de programmation légers
6- Le logiciel se libère du PC
7- Enrichir les interfaces utilisateur
T.O’Reilly. What isWeb 2.0 ? …, 2005
 une vision avant tout logicielle et informatique

6. « L'expression «Web 2.0 » désigne l’ensemble des techniques,
des fonctionnalités et des usages du WorldWideWeb qui ont
suivi la forme initiale du web, en particulier les interfaces
permettant aux internautes ayant peu de connaissances
techniques de s’approprier les nouvelles fonctionnalités du
web.
Ainsi, les internautes contribuent à l’échange d’informations
peuvent interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple,
à la fois avec le contenu et la structure des pages, mais aussi
entre eux, créant ainsi notamment le Web social . L’internaute
devient, grâce aux outils mis à sa disposition, une personne
active de la toile. »
«Web 2.0 ». Wikipédia. 17/10/2011
 une vision pratique, participative et sociale
(« concept 2.0 »)

7. Courrier international, HS, oct. 2007
©
Loic_hay.
Web2Revolucion

8. http://
web2.socialcomputing.magazine.com
Le Monde, http://www.lemonde.fr/, 29/01/2001, via WayBackMachine

9. http://web2.socialcomputing.magazine.com
Le Monde, http://www.lemonde.fr/, 21/01/2011

10. many to many,
everybody to everybody
= Read / write web :
UGC (User Generated Content)
one to many
ConceptArt
multimédia

11. Soldierant.
Flickr
User
Model,
v0.3.
CC
BY-NC-SA
Ex. : le modèle
Flickr

12. Time, 25/12/2006-1/01/2007
 une évolution des techniques
 une révolution des pratiques
The Machine is Us/ing us
(M.Wesch, 2007)

13. Typologie
Questions et
perspectives
Introduction
générale
Usages
professionnels
• La technologie
• La recombinaison des données
• Des interfaces riches
• Des applications collaboratives
• Les tags
• La syndication de contenus (flux RSS)
• L’aspect économique du web 2.0
Principes
techniques

14.  Des standards
 balisage des informations : XHTML
 feuille de style : CSS
 Des interfaces de programmation (API) : JavaScript
 Des applications internet riches (RIA) / Ajax
 interactivité et interopérabilité
le web en tant que plateforme (O’Reilly #1)
 souplesse d’utilisation
des modèles de programmation légers (O’Reilly #5)
 sites web dynamiques

15.  Le logiciel se libère du PC (O’Reilly #6)
 passage de logiciels sur PC (desktop)
à des applications en ligne (webapps)
 coût faible de production
 nomadisme

16.  La fin des cycles de release (O’Reilly #4)
Ex. Labos de Gmail
Ex. Diigo
Ex. Isidore à son lancement
« version bêta perpétuelle »

17.  crowdsourcing (dialogue fournisseurs / consommateurs)
Ex. Google Labs
Ex. Jiwa
Autres ex. 99designs. The Power of Crowdsourcing. 2010

18. La puissance est dans les données (O’Reilly #3)
 Les applications composites (mashups) (1)
nouveau service obtenu en mixant du contenu
et / ou des services d’autres applications
Serge
Courrier,
Web
2.0
/
Web
social…,
2010
Ex.WeatherBonk †

19.  Les applications composites (mashups) (2)
développement du GéoWeb :
information géographique + contenu web
Ex.Trouver une stationVélib :
Google Maps et Vélib
Moteur de recherche de mashups :
Mashups Directory

20. Enrichir les interfaces utilisateur (O’Reilly #7)
 Des interfaces utilisateurs ergonomiques
 sur internet
 sur le navigateur (plug-in)
Ex. : Gmail
Ex. de plug-in sur Firefox

21.  Des interfaces souples
 Ex. contenus embarqués (embed)
Ex. un article de blog
Ex. une vidéo de Dailymotion

22.  Des interfaces personnalisables
 L’apparence
 Les widgets [window + gadget]
BlogWordpress La plume d’Aliocha Blog Wordpress Bertrand Calenge….
Quelques thèmesWordpress

23.  La possibilité d’intervenir
Ex. : surlignage et
sticky note de Diigo
sur un article de
Wikipédia
Ex. : sticky note de
Diigo rédigée par le
SCD de ParisV
[visible quand on est
connecté sur Diigo]

24. Tirer partie de l’intelligence collective (O’Reilly #2)
capital cognitif et humain
 L’internaute recommandeur

25.  L’internaute contributeur
Ex.Wikipédia
 enrichissement de l’information
 partage de l’information
Ex.AgoraVox
Ex. Cityvox
Ex. SocialCompare

26.  sur un site directement
 Tag : mot-clé sous forme d’étiquette
Ex. blogVagabondages
 ou sur des plateformes dédiées
Ex. compte Delicious de RIME

27.  Indexation automatique… ou indexation humaine
Ex. nuage de tags de
Diigo
Ex. tags du texte brut de
l’article « Web 2.0 » de
Wikipédia, parWordle
Ex. nuage de tags des sujets
dans l’OPAC de l’Ecole
nationale des Chartes

28.  Le cas de la folksonomie (1)
 indexation sociale
Ex. groupe DiigoWeb2.0
Ex. tags associés à «Web 2.0 » sur
LibraryThing
 classification collaborative

29.  Le cas de la folksonomie (2)
 visibilité des usages
Ex. tags Web2.0 sur
l’ancien Delicious
- évolution
- popularité
Identifier
 des documents sur
le même sujet
 des personnes avec
les mêmes centres
d’intérêt et des leaders
de veille

30.  Le cas de la folksonomie (3)
 visibilité de concepts qui ne sont pas encore entrés dans le
domaine bibliothéconomique…
indexation par la
Library of Congress
indexation sur LibraryThing

31.  Le cas de la folksonomie (4)
 mais les limites d’un vocabulaire non contrôlé
absence de normalisation
utilisations personnelles
Ex. tags associés àWeb 2.0
sur LibraryThing

32.  RSS
 famille de formats XML
 utilisés pour la syndication de contenuWeb
 Syndication
actif / passif
= rendre une partie d’un site accessible
depuis d’autres sites

33.  Concrètement : les agrégateurs (lecteurs de flux RSS)
▪ centralisation des mises à jour de différents sites
▪ différents types :
– en ligne (ex. : Netvibes , Google Reader)
– intégrés (ex. logiciel de messagerie :Thunderbird ; navigateur : Firefox…)
directement
Ex. univers Netvibes e-veille DOC
Pour aller plus loin :
- créer des flux RSS : liste
- flux RSS des réseaux sociaux : liste
ou par abonnement

34.  suivi de l’actualité
 veille
nouvelles publications
nouvelles publications
bases de données bibliographiques
Ex. Gallica
Ex. citeulike
Ex. Le Figaro
Ex. Droz
Ex. Cairn
Ex. le blog de B. Foenix-Riou

35.  La question de la gratuité
 l’exemple Google
 version bêta perpétuelle / modèle économique ?
Ex. : Gmail
Ex. Diigo
premium
Ex. Deezer
premium

36.  Le phénomène de la « longue traîne » (C. Anderson, 2004)
Tirer parti de l’intelligence collective (O’Reilly #2)
La puissance est dans les données (O’Reilly #3)

37. ©
Loic_hay.
Comprendre
le
concept
de
web
2,0
CNDP. SavoirsCDI. Quizz : le Web 2.0

38. Typologie
Questions et
perspectives
Introduction
générale
Usages
professionnels
Principes
techniques
• Les plateformes participatives (wikis)
• Les blogs
• Les réseaux sociaux
• Le micro-blogging
• Les communautés de partage
• Les applications en ligne

39. ©Elontirien.
Internet
University
Cast.
2009

40. Source : http://blog.skloog.com/history-social-media-history-social-media-bookmarking/ †
Pour aller plus loin :
E. Bloch/Flowtown, The 2010 Social Networking Map. 2010
et Gary Hayes, Social Media Counts

41.  Web 2.0 = médias sociaux ?
« Les médias sociaux désignent un ensemble de services permettant de
développer des conversations et des interactions sociales sur internet ou en
situation de mobilité » (F. Cavazza).
F. Cavazza. « Description des différents types de médias sociaux », Médiassociaux, 06/02/2011

42. Mais méfions-nous des chiffres ! d’après Soci@l jumpstart. 60 seconds in social media

43.  Wiki
 « rapide » en hawaïen
 1er wiki : 1995
 Présentation :
▪ structuration en rubriques
▪ architecture et contenu modifiables
▪ rôle des liens hypertexte
▪ publication instantanée
▪ présence d’un historique
 souplesse d’utilisation
 Auteurs :
 inscrits ou anonymes selon le wiki
 droits d’accès et de modifications
hiérarchisés
 mise en commun des connaissances
 écriture collaborative
Ex. Wikipédia

44.  L’exemple Wikipédia (1)
 2000 : projet Nupédia  2001 : projetWikipédia (http://fr.wikipedia.org/)
 22 millions d’articles (France : + 1,3 million), 285 éditions par langue
WikipediaPrinciplesPrincipesPriorityPrioritépyramid

45.  L’exemple Wikipédia (2)
 un outil commun  un bac à sable
 un outil collaboratif  une auto-régulation ?
Ex. historique :
- suivi des modifications ;
- identification des contributeurs
(humains ou robots)
Ex. surveillance (voire protection) du contenu
Ex. une organisation communautaire

46.  Ex. d’utilisation
– encyclopédistes
Bibliopédia, Jurispedia
– pédagogiques
URFIST Nice, RenéWiki (Paris 5)
– de documentation
GreenstoneWiki
– citoyen
Wiki-Brest
– de centres d’intérêt
Unplugged-cafe
– d’événements
THATCamp Paris 2010
…
 Outils
– solutions en ligne
ZohoWiki, PBWorks
– solutions à installer
MediaWiki, OpenWiki, Xwiki
Cf. comparateur WikiMatrix
Recherche de wikis
- tout type : Qwika, WikiIndex, Sites MédiaWiki
- bibliothèques et enseignement : Bibliopédia

47.  Blog
 Web + log (journal)
 mi-1990’s
 153 millions dans le monde ?
(62 millions en 2007)
 15-20 millions en France ? (2010)
“When you write a blog,
you don't write complicated
hypertext, you just write text”
(T. Berners-Lee, 2005)
 souplesse de création, d’utilisation
et de mise à jour
 Présentation :
▪ organisation en billets (articles, posts)
et en catégories
▪ présentation ante-chronologique
▪ architecture et contenu modifiables
(cf. widgets)
▪ liens permanents (permalinks)
▪ possibilité de commentaires
▪ mise à jour régulière
 outil de publication dynamique

48.  Plusieurs typologies possibles
 selon la nature
 ou le contenu
Vie de thésarde
Psy et Geek
URFIST Info
Etudoc
journal personnel
blog
collectif
carnet
de notes
blog
pédagogique
site de veille
AgriUrbain/

49. J. Pierre. La valorisation des réseaux sociaux dans la recherche scientifique. 2010
Pour aller plus loin :
 « A propos de l’usage des blogs dans la recherche en SHS », Polit’Bistro 5/11/2009
 M.-A. Paveau. « Le doctorant 2.0. L’infusoir et Enklask à Paris 13 ». La pensée du discours. 23/01/2012
 J. Pierre. La valorisation des réseaux sociaux dans la recherchescientifique. 2010
 D. Touvet. « De l’intérêt de tenir un blog professionnel ». Davidtouvet.com/blog. 17/05/2011

50.  L’exemple d’Hypotheses.org
blogging scientifique en SHS :
▪ la recherche en train de se faire
▪ quel que soit le domaine : newsletter, carnet de
recherche, chronique scientifique, veille, séminaire…
▪ attribution d’un ISSN pour les carnets
 + 540 carnets (01/2012),
dont 40 de thèses
 + 600 carnetiers (doctorants
enseignants-chercheurs
ingénieurs …)
Pour aller plus loin :
La maison des carnets. Éditer son carnet de recherche sur Hypotheses.org.

51. ▪ Créer un blog
– solutions en ligne
Blogger ,Wordpress,
OverBlog, Edublog
– solutions à installer
Wordpress
Annuaires de blogs
Technorati,
EatonWeb
Bibliopédia (biblioblogs)
+ blogrolls des blogs
Moteurs de recherche
Google Blog, Overblog
Classement
Ebuzzing (ex-Wikio)
Ebuzzing : page de présentation d’un blog : Presse-Citron

52.  social networking
(« service de réseautage
social en ligne ») : liens
bilatéraux ou via des
groupes
 réseaux d’affinités, de
pratiques et / ou d’intérêts
 appropriation et
adaptation à ses propres
usages
MaxíMidia
Vintage
Ads
Danah Boyd et Nicole Ellison, « Social Network Sites: Definition, History and
Scholarship ». In Journal of Computer-Mediated Communication. 2007

53. Visuale
Economics.
How
the
Wolrd
spends
its
time
online,
2010

54. F.
Chantrel,
«
Profil-type
des
utilisateurs
des
principaux
réseaux
sociaux
»,
6/9/2012

55. Serge
Courrier,
Web
2.0
/
Web
social…,
2010

56. 77 % des internautes : au moins un
réseau social (moyenne : 2,8 /
personne)
À compléter par l’étude Orange/Terra
Femina (oct. 2011) sur les réseaux sociaux et
l’information
IFOP. Observatoire IFOP des réseaux sociaux (Vague 6) (nov. 2011)

57.  généralistes
Facebook
Google+
 professionnels
LinkedIn
Viadeo
 académiques
Academia.edu
ResearchGate
 d’établissements
Carnets 2 (Paris Descartes)
E-Portfolio (UVSQ)
 de rencontres
Meetic
 locaux
Peuplade
Qype
 musicaux
LastFM
Deezer
 culturels
MySpace
Cultureesy
 culturels scientifiques et techniques
Knowtex
 de questions/réponses
Quora
 …
Créer un réseau social :
Ning
Elgg
BuddyPress (plugin deWordpress)

58.  L’exemple Facebook (1)
 2004, Mark Zuckerberg
(Facebook = trombinoscope)
 2012 : 1 MM. de comptes (10/2012)
~ 26 M. en France ,
~ 80 langues, 1er site mondial
 2010 : terme le plus recherché sur internet (EU)
 Facebook n’est plus un réseau social, mais un
portail social (liens sociaux, chat, messagerie,
images, vidéos…)
Time, 15 déc. 2010

59.  L’exemple Facebook (2)
 variété des profils :
– applications
– types de pages
 variété des usages :
– créer des contacts et échanger
(discussions, recherche d’emploi,
communautés)
– se tenir au courant (buzz,
actualités)
– partager (photos, documents)
– promouvoir son activité (publicité,
vente)
Pour aller plus loin :
- F. Cavazza. « Les multiples possibilités de présence sur Facebook ».
Médiassociaux. 22/01/2011
Page
BIUSorbonne
Page
Groupe
Anciens
élèves
Paris
1
Page
Médiamus
Médiathèque
Dole

60.  L’exemple LinkedIn
+ 175 M utilisateurs
+ 200 pays
le réseau sociale en plus forte
progression en France en 2011
« MySpace, c’est le bar, Facebook,
c’est le barbecue au fond du jardin,
et LinkedIn, c’est le bureau. » (Reid
Hoffman)
Ex. profil LinkedIn de Julien Pierre

61. Ex. les Carnets 2
Paris Descartes
(+10 000 utilisateurs)

62.  mi-chemin IM, SMS et
blogs : publication,
partage et discussion
 messages courts, avec
éventuellement contenu
multimédia
 système de
followers/following
MaxíMidia
Vintage
Ads

63. Vanksen.
Twitter
:
présentation
complète
de
l’essentiel
Ex. :Twitter, Identi.ca (open source),Tumblr, Soup

64.  L’exempleTwitter (1)
 2006, http://twitter.com/
 2012 : 500 M de comptes (07/2012)
«What are you doing ? »  «What’s happening ? »
Mais à 57 %, le contenu échangé est faible
 un lien social plus que d’information ? « machine à café 2.0 »
Pour aller plus loin :
-Comment tirer le meilleur parti de Twitter. 2010
- N. Smyrnaios. « Twitter, un réseau d’information social ».
Inaglobal, 1er /02/2011

65.  L’exempleTwitter (2)
Informations
sur le compte,
notamment
followers /
following
Timeline de
l’utilisateur
Codes :
@
RT
DM
#
tinyurl
CompteTwitter URFISTParis
«Twitter est d’une extrême complexité,
avant tout, parce qu’il est d’une
simplicité déconcertante » (F. Epelboin).

66.  outils de stockage et de
gestion de contenus
numériques
 présence d’un titre et de
tags
 mise en commun et
republication
 espaces personnels,
parfois privés
MaxíMidia
Vintage
Ads

67.  L’exemple Diigo (1)
 2006 http://www.diigo.com/
 Digest of Internet Information,Groups and Other stuff
Collect and highlight,
then remember

68.  L’exemple Diigo (2)
 barre d’outils multifonctions pour la navigateur
 mise en commun et publication
 personnalisation

69.  Vidéos
YouTube (2005, Google)
Dailymotion (2005, Orange)
Vimeo
Wat.tv
 Images
Flickr (2004,Yahoo!)
Picasa (Google)
DeviantArt
 Musique
Jamendo
SoundCloud
 Supports et documents
Slideshare
Scribd
Calameo
Issuu

70.  Bookmarks
– généralistes
Delicious
Diigo
– références
bibliographiques
Citeulike
Connotea
Mendeley
Zotero
 Bibliothèques et avis
LibraryThing
Babelio
Sens critique
LibraryThing

71.  Quelques utilisations des communautés
 redocumentarisation
Ex. : FlickrCommons
ex. : Le projet PhotosNormandie sur Flickr
présentation 2009
PhotosNormandie,
p013390.jpg,
Flickr
 indexation sociale
Ex. : Communauté Louvre

72.  Quel intérêt professionnel ?
rechercher de l’information , mettre à disposition de l’information, organiser sa veille
Témoignages :
S. Mercier et Th. Chaimbault sur Diigo
O. Ertzscheid sur Slidehare
Liste :
Bibliopédia
Compte Delicious de la BULAC
Les comptes Slideshare et Diigo
de l’URFIST de Rennes

73.  Les applications en ligne : cloud computing
 lieu de stockage
outils indépendants d’un ordinateur
possibilité d’applications mobiles
plus de gestion locale de l’infrastructure et des mises à jour
 outils potentiellement collaboratifs
Mais : confidentialité des données
sécurité des service
Cf. débat lancé par la CNIL

74.  Suites bureautiques
(traitement de texte, tableurs, diaporamas...)
Google documents
Zoho
 Rappels de tâches
RememberThe Milk
 Bloc-note
Evernote
Zoho Notebook
 Gestion de Projet
Basecamp
Copperproject
 Questionnaires
SurveyMonkey
Questionnaires Google
 Calendriers en ligne
Google calendar
 Sondages de réunion
Doodle / Framadate (libre)
 Plannings
Otipo
 Tableaux comparatifs
Social Compare
Tablefy
 Outils bureautiques

75.  Mind mapping
Mindomo
MindMeister
 Posters
Glogster
 Présentations dynamiques
Prezi / Sozi (libre)
 Infographies
Visual.ly
 Résumés automatiques
Topicmarks (en anglais)
Wordle (nuages de tags)
 Visualisation de données
Manyeyes (IBM)
Gliffy (diagrammes et plans)
 Annotations d’images
SpeakingImage
 Frise chronologique
TimeRime
MyHistro
 Outils de représentation visuelle

76.  Transformation de fichiers
Conversion :
OxGarage (documents),
Zamzar, Filsh (vidéos)
Compression-décompression :
Onlinezip, ImageOptimizer
 Retouche d’images
Photoshop Express
Picasa
 Edition vidéo
YouTube Editor
 Edition audio
Audioexpert
 Stockage et/ou partage de fichiers
Dropbox
Box
Google documents
Skydrive (Microsoft)
liste
Envoyer des PJ volumineuses : Free
 Bureaux virtuels
OOdeskVirtual Desktop
 Sites internet
Google sites
 Outils d’édition  Outils de stockage

78. Typologie
Questions et
perspectives
Introduction
générale
Usages
professionnels
Principes
techniques
• Créer des réseaux
• Rechercher de l’information
• Faire de la curation

79.  Construire son identité numérique professionnelle
Ex. profil Academia d’Alban Gautier

80.  Multiplier les opportunités professionnelles
80 %des entreprises EU
utilisent les réseaux sociaux comme
outil de recrutement
(et 95 % : LinkedIn)
53 %des entreprises
recherchent des candidats
potentiels sur les réseaux
Source : The Growth of social media
Les vertus du networking selon
Marine Soichot

81.  Mais quelle présence numérique comme professionnel ?
J. Pierre. La valorisation des réseaux sociaux…. 2010
Question du multi-canal :
savoir ne pas être redondant,
Ex. Gallica

82. Les bloggueurs utilisent en moyenne 5 sites sociaux
pour partager leurs écrits
 passerelles de diffusion/
republication
Ex. Diigo
 gestion et alimentation centralisée de
plusieurs comptes (tableaux de bord)
Hootsuite, Ping,Yoono…

83.  Des informations multiples (1)
Bibliographies
bases de références
bibliographiques
bibliographie indiquée sur
les réseaux sociaux
plateformes
de signets
intérêt de ces plateformes pour la recherche :
Diigo : top 10 des outils de recherche (CNET, 2006)

84.  Des informations multiples (2)
Références bibliographiques ponctuelles
Ex. tweet A. Blanchard
Ex. tweet B. Kermoal
Ex. tweet bibliothèque de l’ESTP

85.  Des informations multiples (3)
Projets en cours (communication, bourses...)
Ex. tweet S. Wojcik
Ex. tweet D. Monniaux
Ex. échange FriendFeed, via
Ex. blog AgriUrbain

86.  Des informations multiples (4)
Colloques
Ex. ResearchGate
Ex. tweet C. Batier

87.  Quelques méthodes (1)
Tags (folksonomie)
#
(#)
Ex. en sciences de la vie Ex. Comprendia
#DirectAN)
Hashtags

88.  Quelques méthodes (2)
Appels à la communauté
Ex. tweet MyScienceWork
Ex. tweet Y. Leroux
Ex. ResearchGate
Ex. compte Friendfeed The Life Scientist via

89.  Quelques méthodes (3)
Information en temps réel
Ex. tweet Zotero

90.  Quelques méthodes (4)
▪ moteurs de recherche généralistes : indexent partiellement le web 2.0
▪ moteurs de recherche de chacune des plateformes
(privilégier recherche avancée)
ex.Twitter (recherche avancée : https://twitter.com/#!/search-advanced )
ex. Diigo (recherche avancée)
▪ moteurs de recherche sociale
Topsy
Socialmention
Moteurs de recherche spécifiques

91. Pour aller plus loin :
- R. Sussan. « A propos de la sérendipité », InternetActu, 16/09/2009
- X. de la Porte. « La sérendipité est-elle un mythe ? », InternetActu,20/12/2010
 Quelques méthodes (5)
Sérendipité
= trouver de façon inattendue
ce que l’on ne cherche pas
©
Gotlib

92.  La curation
Tri + édition de contenu
Curata. P. Deshpande. Content Curation…, 2011
Pour aller plus loin :
B. Raphaël. « Curation is the new search »… et le nouveau média », 17/01/2011
« Qu’est-ce que la curation ? ». In Journal du Net, 08/02/2011
C. Deschamps (dir.). « La curation : entre usages individuels et pratiques
informationnelles ». Documentaliste – Sciences de l’information. 2012, vol. 49, n°1

93.  Le retour de l’humain
Pearltrees Scoop.it
Paper.li Storify

94. Typologie
Questions et
perspectives
Introduction
générale
Usages
professionnels
Principes
techniques
• Effet de mode ou
banalisation ?
• Des questions en suspens
• Données personnelles et
identité numérique
• Les questions juridiques
• Les évolutions en cours
• La question du web 3

95. TechCrunch France, 2008
TechCrunch, 2008
Google Trends

96.  L’exemple des réseaux sociaux dominants
M.
P.
Nelson.
«
From
Friendster
to
My
Space
To
Facebook
:
the
Evolution
and
Deaths
of
Social
Netwrks
».
In
LongIsland
Press,
30/09/2010.
Pour aller plus loin :
B. Rubat du Mérac et B. Méli.
« Les grands flops du Web 2.0 ». Journal
du Net, 02/02/2011
2003
Friendster
2004-2007
MySpace
2007-
Facebook

97.  Top sites on the web
1. Google
2. Facebook
3.YouTube
4.Yahoo!
5. Baidu
6.Wikipédia
7.Windows Live
8.Twitter
9. QQ.com
10. Amazon.com
11. Blogspot.com
12. LinkedIn
13.Taobao
14. Google India
15.Yahoo! Japan
http://www.alexa.com/ 18/10/2012
 Top sites in France
1. Google.fr
2. Facebook
3. Google.com
4.YouTube
5.Yahoo!
6.Wikipédia
7. LeBoncoin
8.Windows Live
9. Orange
10. Free
11. LinkedIn
12.Amazon.fr
13. eBay
14.Twitter
15. LeMonde.fr

98.  Des positionnements commerciaux
 trois exemples significatifs
?
Bloglines Delicious MySpace
2005 achat par Ask.com achat parYahoo! achat par News Corp.
automne
2010
annonce de la fermeture
du site
rumeur de la fermeture du
site
annonce de la mise en
vente du site
fin 2010 –
2011
transfert technologique
vers MerchantCircle, site
de publicités locales
rachat par AVOS (04/2011) rachat par Specific Media,
régie publicitaire en ligne
(06/2011)
Pour aller plus loin :
J.-B. Su et Y. Adaken. « Ce qu’il faut savoir sur la bulle du
web 2.0 ». L’Expansion.com, 02/2011
Gplus. Is There a Tech Bubble ?, 05/2011

99.  Mais quelle continuité de service ?
Ex.Twitter : un développement plus rapide que prévu
Ex. Bloglines : disparition d’une fonctionnalité, malgré le rachat :
« Les coûts de l'infrastructure sont simplement beaucoup trop élevés pour
justifier la maintenance de ce type de fonctionnalité d'archivage » source
La fail whale deTwitter
= sur-capacité des serveurs

100. O. Ertzscheid. « Le jour où YouTube fermera ». Ecrans. 14/02/2012

101.  La question des sauvegardes
Ex. d’un outil personnel
Ex. d’un outil collaboratif
Et encore : la fermeture de Megaupload et les fichiers légaux
Tweet de @liberlibri, 13/05/2011
la disparition du Google Agenda Calendoc 25/01/2011

102.  Quelles solutions pour l’utilisateur ?
profiter de services concurrents
vérifier les possibilités des différents services
faire des sauvegardes régulières
- généraliste : Backupify
- outils particuliers à certains réseaux (cf. liste et site)
ou certains outils (Syncdocs pour Google Docs)
Ex. Diigo Ex. Google Agenda
Ex. page d’accueil Diigo, 01/2011
Tweet de @liberlibri, 13/05/2011

103.  L’utilisation biaisée du modèle social
 fausses données
▪ erreurs volontaires et manipulations
Ex.Wikipédia : quelques exemples, notamment pharmaceutiques
 faux commentaires
Ex. Amazon ; vente de faux avis de consommateurs (témoignage)
 faux comptes
▪ spams et virus
▪ recherche de popularité
Ex.Twitter

104.  L’illusion de la participation ?
Jakob Nielsen, 2006
Pour aller plus loin :
- B. Rubat du Mérac. « Co-création d’internautes : succès ou échec ? »,
Journal du Net, 26/05/2011.
YouTube : 6% des utilisateurs = 95% du contenu
Flickr : 2% des utilisateurs = 95% des images publiées
Twitter : 22,5 % des comptes = 90 % des tweets
(étude Institut McKinsey)
Holly Goodier, 06/2012

105.  Infobésité
▪ masse des informations
▪ redondance des informations
mais « retour sur investissement » ?
ex. caricature de
Twitter
Pour aller plus loin :
- A. Jdey. « Instapaper, Read It Later, Readability : nouveaux cimetières
2.0 ». Demain la veille.. 13/08/2012.

106.  La validation de l’information (1)
@PierreDeruelle

107.  La validation de l’information (2)
 des modifications inhérentes au web 2.0 ?
▪ victoire de l’amateurisme contre l’expertise (Andrew Keen) ?
▪ victoire de la recommandation et de la notoriété contre l’autorité ?
▪ idéologie de la transparence ?
 des invariants
▪ vérifier ses sources
Ex. : quelques bugs de journalistes autour de l’affaire DSK : ici ou là
▪ savoir repérer l’information de qualité
Ex. : le prix ADIJ 2010 du meilleur jeune cyberjuriste
Pour aller plus loin :
-Dossier « Une info citoyenne ? », Ecrans, 2007 et notamment
interview de Andrew Keen, 22/08/2007.
- A. Serres. L’évaluation de l’information à l’heure du web 2.0 : entre
changement et continuité. 2010.

108.  Web 2.0 = dangers ???
 exposition des données personnelles et traces laissées sur les réseaux
R. Meltz. « Marc L. », Le Tigre , 11-12/2008 et « Marc L. Genèse d’un buzz médiatique », Le Tigre, 03-04/2009
Ex. le « portrait Google »

109.  Utilisation des données personnelles à des fins
commerciales
Ex. Facebook :
- «The Age of Privacy is Over » (M. Zuckerberg, 01/2010)
- « Facebook Privacy : 6Years of Controversy », Mashable, 25/08/2010
 Usurpations d’identité
Ex. les faux comptesTwitter :
A. Hervaud. « Usurpateurs d’indetwitté », Libération, 07/10/2010
P. Alix. « La protection pénale… », Virtualegis, 02/02/2011

110.  La mise en scène de soi
P.
Steiner.
Cf.
article
Wikipédia.
1993
 « La vie privée, un problème de vieux cons ? »
J.-M. Manach, InternetActu, 12/03/2009

111.  Selon l’IFOP (2010), l’ « utilisation des réseaux sociaux favorise
l’exposition d’informations privées voire intimes »
 « les plus jeunes [18-34 ans] apparaissent nettement plus avertis que leurs aînés » ;
 plus de quatre internautes sur dix ont déjà « effac[é] des données personnelles
visibles de tous », et plus encore voudraient le faire.
IFOP.
Observatoire
Ifop
des
réseaux
sociaux
(Vague
5)
(oct.
2010)
mais

112. Dominique
Cardon.
«
Le
design
de
la
visibilité
:
un
essai
de
typologie
du
web
2.0
».
InternetActu,
01/02/2008
 Des identités différentes selon des outils et des buts différents
Vraie question : visibilité et centralisation des données,
notamment via l’interrogation du web invisible

113.  Identité numérique
= ce que je fais paraître de moi (volontairement ou non)
 des identités différentes pour des communautés différentes
 de vraies identités ?
 un anonymat total ?
Ex. : L’affaire Ryan Giggs surTwitter
Les comptes Twitter d’Emilie Ogez, @eogez et @eogez_rugby
Ex. sur Amazon et Flickr Ex. Twitter en 2010 :
- 69 % des comptes donnent des informations
sur leur profil (31 % en 2009)
- 82 % indiquent leur nom (33 % en 2009)
Pour aller plus loin :
Jadlat. Cas d’espèce sur l’identité numérique. 2010

114.  Le problème des homonymies et des multi-comptes
Vizibility
 La portabilité des données : DataPortability
 une seule identité numérique
OpenID : système d’authentification décentralisé
ClaimID : gestion de son identité en ligne avec OpenID
Pour aller plus loin :
Cultivez votre identité numérique. 2009
Julien Pierre. http://www.identites-numeriques.net/.
Charte du droit à l'oubli numérique : mieux protéger les données personnelles des internautes,
13/10/2010, non signée par la CNIL, Facebook et Google
www.jepubliejereflechis.net

115.  E-reputation
= ce que l’on fait paraître de moi (volontairement ou non)
 l’affaire DELL Hell / Jeff Jarvis, 2005
 quelques outils de surveillance :
commentaires et trackbacks des blogs
alertes Google
moteurs de recherche spécifiques aux outils
Pour aller plus loin :
blog Caddereputation

116. Plagiat, surtout pour des recherches en cours
Réutilisation des données d’autres personnes
 les contenus 2.0 ne sont pas librement et
gratuitement réutilisables
droits : auteur, responsabilité, personne...
CGU, susceptibles d'être modifiées
Ex. les photos surTwitter : AFP et les photos d’Haïti
Ex. certaines photos sur Flickr
Pour aller plus loin :
- rappels de Michèle Battisti (05/2012)
- B. Cinelli. Droit du web 2.0 2011-2012

117.  Les Creative Commons (2002, site)
- système plus souple dans un esprit collaboratif et permettant la réexploitation
- à mi-chemin entre licences libres et licences commerciales
by : Attribution ;
nc : Noncommercial ;
nd : NoDerivs ;
sa : Share Alike
« Creative Commons ». Wikipédia. 04/02/2011
Moteurs de recherche de CC :
CC search
recherches avancées de Google images, Flickr…
Pour aller plus loin :
présentation EPFL 2012
citer les licences CC : tutoriel
Ex. Arte Radio

118. F. Cavazza. Panorama des médias sociaux 2012, Médiassociaux, 20/02/2012

119.  L’évolution des flux RSS
▪ diminution de l’utilisation des agrégateurs de flux RSS
cf. articlesTechCrunch et Locita
disparition de l’icône sur Firefox
▪ mais toujours maintien des flux RSS pour la syndication
cf. article Billetdechou

120.  Le pic du blogging ?
▪ déplacement vers d’autres outils « blog-like things »
▪ recombinaison des utilisateurs :
rationalisation et professionnalisation ? ex. des biblioblogs
Pour aller plus loin :
- A. Watters. « Blogging seems to have peaked, says Pew report ». ReadWriteWeb. 16/12/2010
- B. Méli. « Les blogs ont-ils un avenir ? ». Journal du Net. 30/03/2010
- J. Bonnel. « Les blogs ne sont pas morts à l’ère des médias sociaux ». Marketing et
-technologies. 27/04/2011.

121.  Le développement de nouvelles pratiques
▪ « l'écriture est sur le mur » :
Ask.com lors de la fermeture de Bloglines : la « consommation
d'information est devenue une expérience sociale » (référence)
▪ la diminution des mails ? :
- diminution de 6 % de l’utilisation des webmails aux EU en 2010 (rey.net)
- développement de réseaux sociaux internes (ex. :Yammer)
 réseaux sociaux d’entreprise (RSE), cf. ici

122.  Le développement du rôle de la recommandation
« Pour un bon tuyau, demandez à vos amis plutôt qu’à Google »
(A.-S. Moreau, Rue 89, 26/03/2010)
Ex. Facebook et son bouton like (cf. article Locita)
Google et son bouton +1 (cf. article LeMonde)

123.  De nouveaux lieux de recherche d’information
▪ diminution de l’utilisation des moteurs de recherche ?
▪ développement de la recherche sociale
▪ mais un appauvrissement du web ?
Cf. Eli Pariser, The Filter Bubble

124. Ross Mayfield. Web 2.0 Square, 2009. CC BY-NC

125.  Le temps réel et sa gestion
 outils de veille et collaboration :
- «Veillez le veillleur » (H. Senant)
- moteurs de recherche spécifiques et flux RSS
généralistes : Bing social
médias sociaux : Social Mention,Topsy
spécifiques, ex. pourTwitter : Cadmus,Tweetgrid
 rôle d’autres pratiques
- fonction heuristique des blogs (ex. les revues de tweets d’un blog)
- « la longue traîne des contenus » (S. Mercier)
Pour aller plus loin :
- X. de la Porte, « Faire face à une civilisation
qui vit dans le présent », InternetActu, 06/09/2010
- H. Guillaud. « danah boyd : Ce qu’impliquede vivre dans un monde
de flux », InternetActu, 06/01/2010

126.  La géolocalisation
 « applications permettant de publier, partager et discuter
sur des terminaux mobiles » (F. Cavazza)
 liste des publications et des lieux visités
Foursquare
Facebook Place

127. Web 1.0 web statique – internet des pages
Web 2.0 web collaboratif – internet des personnes
Web²
(squarred)
web comme écosystème d’information
ex. internet des objets : « Web meets
World » (T. O’Reilly et J. Battelle)
Web 3.0 web sémantique – internet des données
Web 4.0
1° web symbiotique (i.e. utilisé en
permanence) (J. De Rosnay)
ou 2°WebOS (travailler avec des outils en
ligne)

128. Quelques pistes :
- métadonnées enrichies
- compréhension du
langage naturel
Pour aller plus loin :
Web 1.0, 2.0 ou 3.0. De quel type êtes-vous ?.
ConceptArtMultimédia, 02/02/2010
Web sémantique.org

129. Quelques ressources
complémentaires
CNDP. SavoirsCDI. Quizz : le web 2.0

130. Bibliographie sommaire du support
L’@atelier – Lorient. Initiation aux notions du web 2.0. Présentation, 193 f. 05/2008. [en ligne]. Disponible sur :
http://fr.slideshare.net/atelierlorient/formation-web-20.
Bibliothèques 2.0 à l’heure des médias sociaux. sous la dir. de M.Amar etV. Mesguich. Paris : Éd. du Cercle de la librairie, 2012. 217 p.
S. Courrier. Web 2.0 /Web Social. Définition, typologie et usages. INIST, 10/2010. Présentation, 64 f. [en ligne]. Disponible sur :
http://formaweb.inist.fr/sites/formaweb/IMG/pdf/Web2_0.pdf.
C. Cousin. Tout sur leWeb 2.0 et 3.0. Paris : Dunod, 2010. (CommentCaMarche.net). [nv. éd. augmentée d’une éd.de 2008]
D. Fayon. Web 2.0 et au-delà : nouveaux internautes, du surfeur à l’acteur. Paris : Économica, 2008. [nv. éd. 2010]
M.-L. Malingre et A. Serres. Introduction aux outils duWeb 2.0. URFIST de Rennes, 10/2010. Présentation, 94 f. [en ligne]. Disponible
sur : http://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/introduction-aux-outils-du-web-20.
Le web 2.0 en bibliothèques : quels services ? quels usages ? sous la dir. de M. Amar etV. Mesguich. Paris : Éd. du Cercle de la librairie,
2009. 202 p.
Web 2.0 : nouveaux services ou effet de mode ? Journée d’étude Médiadix/URFIST de Paris. 10/12/2010 [présentation et vidéos]. [en
ligne]. Disponible sur : http://urfist.enc.sorbonne.fr/Veille%20et%20recherche/Rencontres%20scientifiques/web2.0.
Voir également les supports de formation proposés par les différentes URFIST, notamment :
- URFIST de Paris : http://fr.slideshare.net/urfistparis.
- URFIST de Rennes : http://fr.slideshare.net/urfistrennes.
- URFIST de Nice : http://wiki-urfist.unice.fr/wiki_urfist/index.php/Accueil.

131. Sites à consulter
Pete Cashmore (dir.). Mashable. [en ligne]. Disponible sur : http://mashable.com/.
FédéricCavazza et Cédric Deniaux. MédiasSociaux.fr. [en ligne]. Disponible sur : http://www.mediassociaux.fr.
Délégation aux usages de l’internet. NetPublic. Accompagner l’accès de tous à l’internet. [en ligne]. Disponible sur :
http://www.netpublic.fr.
Christophe Deschamps. Outils froids. [en ligne]. Disponible sur : http://www.outilsfroids.net/.
Eric Dupin (dir.). Presse Citron. [en ligne]. Disponible sur : http://www.presse-citron.net.
Eric Eldon (dir.). TechCrunch. [en ligne]. Disponible sur : http://techcrunch.com/about/ (TechCrunch France ici
http://fr.techcrunch.com).
Didier Frochot et Fabrice Molinaro (dir.). Les infostratèges. [en ligne]. Disponible sur : http://www.les-infostrateges.com/.
Aref Jdey. Demain la veille. Le blog de la veille. [en ligne]. Disponible sur : http://www.demainlaveille.fr/.
Daniel Kaplan (dir.). InternetActu. [en ligne]. Disponible sur : http://www.internetactu.net.
Richard MacManus (dir.) ReadWriteWeb. [en ligne]. Disponible sur : http://www.readwriteweb.com/.
Microsoft France. RSLN. Regards sur le numérique. [en ligne]. Disponible sur : http://www.rslnmag.fr.
Fidel Navamuel. AllWeb2. Blog. [en ligne]. Disponible sur : http://allweb2.com/ - présentation thématique :
http://outilscollaboratifs.com/, http://outilsdesauvegarde.com/, http://outilsveille.com/.
Cédric Serret. Autour du web. [en ligne]. Disponible sur : http://www.autourduweb.fr.
Répertoires de sites web 2.0
Go2web20.net. [en ligne]. Disponible sur : http://www.go2web20.net/.
Servicesweb20.com. [en ligne]. Disponible sur : http://www.servicesweb20.com/.
WebApps. [en ligne]. Disponible sur : http://webapps.eclaireur.net/.
Social Compare. « Liste de blogs ou annuaires qui listent les startups, applications web, outils web 2.0... ». [en ligne]. Disponible sur :
http://socialcompare.com/fr/comparison/list-of-blogs-or-directories-that-review-startups-web-applications-web-2-0.