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Fenab 2014 aeb

  1. 1 Défis et Institutionnalisation de l’Agriculture Ecologique Biologique – SENEGAL Conférence sur l’AB – Cotonou 26 – 29/08/14
  2. Le pays couvre une superficie de 196 722 km² avec plus de 12 Millions d’habitants.
  3. VISION DU GVT. LE PLAN SENEGAL EMERGENT  le Plan Sénégal Emergent (PSE) vise à mettre en place d’ici à 2035, un ensemble de projets structurants à fort contenu de valeur ajoutée et d’emploi. Pour l’étape intermédiaire de 2018, la stratégie, est déclinée autour de trois axes stratégiques : (i) Transformation structurelle de l’économie et croissance ; (ii) Capital humain, protection sociale et développement durable ; et (iii) Gouvernance, institutions, paix et sécurité. Aussi, l’opérationnalisation de la Stratégie exige la mise en place d’un ensemble de réformes pour accélérer le processus de transformation structurelle susceptible d'accélérer le décollage économique.
  4. LE SECTEUR AGRICOLE  L’agriculture constitue la principale source d’emplois et de revenus pour plus de 60 % de la population. Cependant la part du secteur primaire dans le Produit intérieur brut (PIB) ne cesse de décroître. La diminution de la pluviométrie et la crise du secteur de l'arachide, principale culture de rente du pays, ont réduit la contribution de l'agriculture à moins de 20 % du PIB. Elle est essentiellement pluviale, saisonnière et repose à la fois sur des cultures de rente (arachide, coton, etc.) et sur des cultures vivrières de subsistance (mil, sorgho, maïs). Le riz, culture traditionnelle en Casamance, se développe fortement dans la Vallée du fleuve Sénégal. Les cultures maraîchères et d’exportation sont en pleine croissance.
  5. LE SECTEUR AGRICOLE  Les superficies cultivables représentent 3,8 millions d’hectares, soit 19% de la superficie totale du pays. Environ 65% des terres cultivables, sont mises en culture chaque année.  L’agriculture de type familial est dominante et occupe la presque totalité des 95 % des terres agricoles. Elle assume et assure, tant bien que mal, les fonctions de production, de consommation, de gestion des écosystèmes et du cadre de vie rurale dans une relative harmonie.
  6. CADRAGE INSTITUTIONNEL  Administration Territoriale et Locale avec 14 Régions administratives comptant Directions Régionales de Développement Rural (DRDR), les Inspection régionales de l’élevage, des Eaux et Forêts et Pêches/Services décentralisés/ONG/OCB  La Recherche: ISRA, ITA, Autres I.Rech.  Les Universités: UCAD, UGB, UFR Thies  Les Ecoles de Formation Agricole: ENSA6
  7. Recherche, Formation, Vulgarisation  Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), Institut de Technologies Alimentaires (ITA) Universités: Recherche Publique  Institutions Sous-régionales (CORAF) et Privées (CIRAD, ONG,)  Recherche Paysannes (Innovations Paysannes/ Connaissances Endogènes) 7
  8. Recherche, Formation, Vulgarisation  La Formation Qualifiante en Agriculture ne concerne que les Techniciens.  Les Producteurs ne sont pas pris en compte par les Ecoles de Formation Agricole comme l’Ecole Nationale d’Agriculture ou les Ecoles de Formation de Techniciens (agricoles, forestiers, horticoles, halieutiques, pastoraux) 8
  9. Recherche, Formation, Vulgarisation  Le Conseil Agricole est assuré par l’Agence National du Conseil Agricole et Rural (ANCAR).  Seules les ONG et les Organisations Paysannes assurent la Formation et la Vulgarisation pour les Producteurs en Agriculture Ecologique Biologique.  Certains Projets et Programmes assurent aux producteurs la For/Vul en (9
  10. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 10 Production de mil bio au Sénégal de 2002 à 2012 S ource : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012
  11. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 11 Niveau de contribution par structure sur la production de mil bio au Sénégal de 2002 à 2012
  12. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 12 Production de sorgho bio au Sénégal de 2002 à 2012
  13. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 13 Niveau de contribution par structure sur la production de sorgho bio au Sénégal de 2002 à 2012
  14. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 14 Production de Mangue bio au Sénégal de 2002 à 2012
  15. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 15 Niveau de contribution par structure sur la production de Mangue bio au Sénégal de 2002 à 2012
  16. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 16 Production d’arachide bio au Sénégal de 2002 à 2012
  17. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 17 Niveau de contribution par structure sur la production d’arachide bio au Sénégal de 2002 à 2012
  18. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) Les principales structures qui travaillent sur l’Oignon bio sont AGRECOL (48%) et HWA/Sénégal et FAPD (52%). 18 Production d’Oignon bio au Sénégal de 2002 à 2012
  19. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 19 Production d’oseille bio au Sénégal de 2002 à 2012
  20. Niveau de contribution par structure sur la production d’oseille bio au Sénégal de 2002 à 2012 Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 20
  21. Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB FENAB) 21 C contribution de différentes spéculations dans la production bio
  22. Chaîne de valeur élevage bio  L’élevage biologique commence à voir le jour au Sénégal. Il est essentiellement pratiqué au niveau de la spéculation poulet de chair et de celle du lait.  Toutes les structures manifestent le désir d’intégrer l’élevage dans leurs systèmes de production. Mais les principales structures réellement engagées dans l’élevage biologique sont AGRECOL, ASPAB, HWA et GIE Univers Envi-Agro.22
  23. Elevage Naturel au Sénégal 23
  24. Les agriculteurs élèvent des ovins FENAB AOUT. 2014
  25. 25 FORCES FAIBLESSES  Plusieurs acteurs interviennent dans le secteur de l’AEB  Existence de marché extérieur et intérieur  Producteurs présents dans presque toutes les spéculations  Expériences pertinentes en matière d’AEB  Producteurs, transformateurs et consommateurs occupent l’espace AEB  Existence d’un réseau fédérateur comme la FENAB  Existence d’une ressource humaine de qualité  Diversité des spéculations  Naissance de l’élevage biologique  Faiblesse des superficies consacrées à l’AEB  Faiblesse de la production et de la transformation des produits AEB  Insuffisance de l’appui technique et financier des producteurs  La certification et la labellisation faibles  Pas de politique nationale d’AEB  Faiblesse des techniques de restauration des sols  Faiblesse des quantités et des qualités de semences disponibles  Faiblesse de capacités techniques et financières de beaucoup d’acteurs  Faiblesse d’implication des structures de recherche dans la stratégie de l’AEB Grille d’analyse FFOM des Chaines de valeur
  26. 26 OPPORTUNITES MENACES  Prise de conscience grandissante de l’importance de l’AEB par les pouvoirs publics, les consommateurs, les transformateurs et les commerçants  Des partenaires techniques et financiers existent pour l’AEB  Des réseaux d’acteurs commencent à se constituer  Les prix des produits AEB ne sont pas suffisamment rémunérateurs pour les producteurs aussi bien sur le marché local qu’extérieur  Les couts de certification et de labellisation sont très élevés  Les transformations nécessaires pour augmenter la valeur ajoutée ne sont pas toujours faites pour la majorité des spéculations  L’impact des changements climatiques
  27. RESEAUTAGE ET PARTENARIAT 27
  28. RESEAUTAGE ET PARTENARIAT  Ce réseautage et partenariat est dynamique entre les ONG et les Organisations de Paysannes.  Il est moyennement faible avec les Institutions Etatiques et Internationales.  Les liens entre la Recherche, le Conseil Agricole et les Organisations Paysannes dans l’AEB sont encore faibles. 28
  29. 29 Nom organisation Partenariat technique Partenariat financier Partenariat matériel Partenariat institutionnel Organisations membres de la FENAB AGRECOL ANCAR, PAFA, DRDR Fatick, FONGS, GREEN, Université THIES Bd (Belgique), (Belgique) ambassade Belgique, Coopération suisse Action CAREME Suisse Gouvernance Thies, CR sésséne, commune Thiés, Ministere Agriculture, SCA, (grappe agroalimentaire) ASPAB ONG membres FENAB, IFOAM, NOVIB (Pays bas), francophonie (OIF), agriculture, Eaux et forêts, Gouvernement américain, CTB USAID IFOAM, Administration territoriale, Collectivités locales, M.A, M.E.D.D Gestion intégrée des terroirs (GIT) CADL, Eaux et Forêts, Elevage Coopération autrichienne CR de Notto, Tasset et Ndiaganiao, Arrondissement de Tasset, Notto, Fissel FENAB organisation d'appui, le comité éthique SDC conseil régional, M.A, M.E.D.D, CNCR GIE des producteurs bio de Keuri Kao sous préfet UGPM FONGS, CNCR, Commune de Mekhé. COPEBAN GIT CR de Notto, Tasset REFABEC AGRECOL, PAFA Chambre des métiers, chambre de commerce Woobin Enda Pronat, Enda énergie, ASAF NEPAD Enda Pronat, Enda énergie CR, sous préfecture Fédération des agropasteurs de Diander (FAPD) Enda Pronat, Heks, FAO Enda Pronat, Heks, sous préfet keur Moussa, CR Diander Union des agriculteurs de Diogo Néant Néant néant néant UPMT POGV, GREEN, ARLS ARLS, GREEN CR Thiénaba
  30. 30 COPAGE Association sénégalaise pour la promotion de l'agriculture biologique (ASPAB) Ministère Alphabétisation, coopération technique belge (CTB) GIE Takou liguey de Diossoum Vision mondiale, ANCAR, service forestier CMS Vision mondial Takou liguey de Toun Mosquée CAS, service forestier CMS CEAS GIE Deggo takou liguey de Affé Tidiane PAM CMS GIE Dieuf Dieul de Affe Mouride CLUSA, service de l'agriculture CMS CLUSA Jardins d'Afrique Lycée agricoles de France (Niort), Association sème la vie, IFACE (UCAD), Région de Poiteau Charente, conseil régional de Fatick, conseil régional de Fatick, Commune de Mbour, CR de Fimela Sous préfecture, Gendarmerie de Fimela ENDA PRONAT DRDR, ANCAR, SIDEFITEX, Eaux et Forêts WFD WeltFriedensDienst, SOLIDARIDAD, NEPAD, Fondation de France Ministère de l'agriculture, Direction Artisanat, Conseils ruraux
  31. 31 Organisations non membres de la FENAB Association pour la protection et la promotion des plantes médicinales et de revalorisation de toutes les pratiques traditionnelles utiles (APROPMED) ITA, ASPAB, CNCR Association des villages riverains du Baobolong (AVRB) Eaux et forêts, DRDR, CADL, PROGEDE 2, GDT, Symbiose CR, sous préfets READ IREF Thiès Mairie de Thiès Mairie de Thiès REFAB ENSA, Pan Africa global green grant fund
  32. RESEAUTAGE ET PARTENARIAT  Les partenaires techniques: directions régionales de développement rural, directions zonales de l’ANCAR, services régionaux des Eaux et forêts , services régionaux de l’élevage, centres d’Appui au Développement Local (CADL), direction de l’analyse de la prévision et de la statistique (DAPS), direction de l’horticulture , di- rection de la Protection des Végétaux 32
  33. RESEAUTAGE ET PARTENARIAT  Les partenaires financiers: Broederlijk Delen (BD), Ambassade Belgique, USAID, Coopération Autrichienne (ADA), HWA, SDC, Coopération Technique Belge, le Crédit Mutuel Sénégalais, la Région de Poiteau Charente, le conseil régional de Fatick, WFD WeltFriedens Dienst, NEPAD, HEKSet la Fondation de France 33
  34. 34 Forces Faiblesse  Personnel pluridisciplinaire  Personnel compétent  Service représenté à la base, proche des populations  Une expérience avérée au niveau de certains partenaires en matière d’AEB  Service public chargé de remplir des missions régaliennes d’encadrement et de conseil au niveau paysan.  Bonne collaboration des partenaires avec les acteurs de l’AEB  Manque de personnel  Manque de moyens  Manque d’instance pérenne de suivi de l’AEB  Défaut de spécification des données de l’AEB dans les statistiques agricoles  Faible implication de la recherche dans l’AEB  Manque de contrôle des services spécialisés sur les produits chimiques importés et leur usage Grille d’analyse FF des partenariats
  35. 35 Opportunités Menaces  Financement existant sur le carbone et les changements climatiques  Grand intérêt des bailleurs de fonds comme la banque mondiale sur le respect de l’environnement  Lobby puissant des fabricants d’intrants de l’agriculture conventionnelle  Manque de prise en compte de l’agriculture biologique dans la politique agricole du pays
  36. POLITIQUES ET PROGRAMMES DE SOUTRIEN  De 1960 à 1984: Interventions dirigistes par un encadrement rapproché du monde rural, un système administré des prix, un crédit agricole standardisé et une intervention marquée de l’Etat dans la commercialisation des produits agricoles.  1984: Nouvelle Politique Agricole: suppression des subventions et désengagement de l’Etat / Responsabilisation des Producteurs 36
  37. POLITIQUES ET PROGRAMMES DE SOUTIEN  1994: Dévaluation du FCFA  Définition d’une Lettre de Politique de Développement Agricole (LPDA)  Projet de Modernisation et d’Intensification de l’Agriculture (PMIA), Projet de Promotion des Exportations Agricoles (PPEA), Programme Spéciale de Sécurité Alimentaire (PSSA), Programme national d’Infrastructures 37
  38. POLITIQUES ET PROGRAMMES DE SOUTIEN  Plusieurs contraintes d’ordre technologique, financier et institutionnel dont notamment : i) l’insuffisance d’infrastructures socio-économiques de base, ii) la dégradation des ressources naturelles, iii) le faible niveau d’intensification des productions aussi bien végétales qu’animales, v) 38
  39. POLITIQUES ET PROGRAMMES DE SOUTIEN  La faiblesse du segment de transformation des produits agricoles au niveau des filières importantes notamment horticoles et d’élevage ; vi) le dysfonctionnement des marchés agricoles et ruraux ; vii) le faible accès à l’information agricole, etc. 39
  40. POLITIQUES ET PROGRAMMES DE SOUTIEN  a. La Loi d’Orientation Agro Sylvo Pastorale (LOASP)  b. Les programmes spéciaux: Retour des Emigrés Vers l’Agriculture (REVA), Grande Offensive Agricole pour la Nourriture et l'Abondance (GOANA). Ces programmes spéciaux ont favorisé l’ACCAPAREMENT DES TERRES DES PAYSANS (MOBILISATION SOCIALE). 40
  41. ECOLOGIQUE SOCIAL ECONOMIQUE CULTUREL Encourager les Femmes et leur forte implication en Agriculture Biologique Développer des Techniques et des Technologies culturellement adaptées Améliorer la Sécurité et la Souveraineté Alimentaire par le biais de l’Agriculture Biologique Améliorer les conditions de vie des paysans Faire émerger des marchés locaux biologiques Faire accéder les produits biologiques locaux au Marché International Renforcer la Capacité institutionnelle des Organisations de Producteurs Biologiques •Identité Culturelle •Enracinement et Ouverture aux valeurs fécondes extérieures •Héritage pour les Générations futures •Principes agrobiologiques et Ethiqu •e pour l’Action •Valorisation du Savoir Endogène •.Foi et Spiritualité (croyances et pratiques) Faire adopter par les paysans, des systèmes de production biologiques et écologiques Influencer les Politiques Agricoles au niveau national, sous-régional et international dans le sens de donner une place importante à l’agriculture biologique et au commerce Rendre durables les Fonctions des agro- écosystèmes, de la biodiversité agricoles et des cycles biologiques VISION HOLISTIQUE ET DIALECTIQUE DE L’AGRICULTURE ECOLOGIQUE BIOLOGIQUE I.SECK AOUT 2014
  42. - Années 60-70 : baisse de la pluviométrie + Révolution Verte (pesticides, engrais chimiques, mécanisation,…) - Conséquences : dégradation de l’environnement et de la santé, endettement des producteurs et chute des rendements - Années 80 : 1ères expérimentations agro écologiques avec des OP - Années 90 : plusieurs ONG et OP s’engagent dans l’agro écologie - 1996 : naissance/mort du 1er Mvt Sénégalais pour l’AB - Mars 2008 : Renaissance de la FENAB avec Enda Pronat, Agrécol Afrique, ASPAB, CEAS, Agrinat, Jardins d’Afrique, Green Sénégal et leurs partenaires de base 42 Historique du Bio au Sénégal
  43. Mission de la FENAB - Changer la mentalité des populations dans le sens de la promotion des produits biologiques ;  Restaurer la fertilité des sols, rétablir l’équilibre des écosystèmes, lutter contre la disparition de la biodiversité et les changements climatiques ;  Préserver et améliorer la santé humaine, animale et végétale ;  Promouvoir l’agriculture biologique comme système de production agricole alternatif capable de résoudre les problèmes alimentaires du pays ;  Favoriser l’émergence des métiers de l’agriculture biologique, notamment chez les jeunes et les femmes ;  Valoriser l’agriculture biologique tout en défendant les intérêts des petites exploitations familiales biologiques. 43
  44. 44 Carte des 18 OP membres de la FENAB
  45. La FENAB en action avec plus de 18 000 producteurs … 45
  46. 46 Champs agroforestier (+ de 150 espèces) COPAGE : Conseil Paysan d’Action Pour la Gestion de l’Environnement dans le DIOBASS
  47. 47 Les Agropasteurs de Diender Champ Ecole Paysans Micro-irrigation et Energie éolienne Vente directe à Dakar
  48. 48 PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT Les aménagements anti-érosif ont permis de : récupérer 22 ha, le retour d’espèces herbacées, la recharge de la nappe d’eau Reboisement le long des aménagements Woobin de Keur Moussa
  49. 49 Forêt villageoise de 50 ha Production de niébéFertilisation 100% organique Le Regroupement pour la protection de l’environnement de Thiembene au Nord
  50. Ngatamaaré Toroo de Guédé Riziculture irriguée sans herbicide et transformation EDUCATION environnementale Production de semences
  51. 51 AFAFA : Aide aux Forces vives Africaines par la Formation à l’Agro écologie à Ndiémane (centre)
  52. Jardins d’Afrique La Ferme Ecole de Kaydara 52 Formation d’élèves en 3 ans sur les thèmes : •Semences •Maraichage •Grandes cultures •Arboriculture •Elevage •Energies renouvelables
  53. 53 4 GIE de Kaffrine formés en compostage et traitement à l’huile de neem
  54. 54 Yakaar Niani Wulli - Koussanar (Est) Fonio précuitTransformation artisanale60 t Coton et fonio certifiés bio-équitable
  55. 55 AGRECOL AFRIQUE ET REFABEC : Kiosque et marché hebdomadaire BIO à Thiès
  56. Conclusion  Elaboration d’un système de certification national en cours pour garantir des produits de qualité au consommateur tout en préservant notre environnement  Nécessité que l’ABE soit reconnue et soutenue par l’Etat  Et « Non à l’accaparement des terres ! »  « Non aux Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) ! ». Semences Paysannes à développer (ASPSP). 56
  57. Recommandation: Réussir « l’Initiative pour l’Intégration de l’Agriculture Ecologique/Biologique dans les Politiques et Plans de Développement Agricole en Afrique de l’Est et de l’Ouest » PROJET NOVATEUR ET BENEFIQUE POUR L‘AFRIQUE AFRONET Swiss agency for Development and Cooperation SDC Union Africaine
  58. 58 MERCI de votre attention!

Notes de l'éditeur

  1. INTEGRATION AGRICULTURE-ELEVAGE
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