Le pays couvre une superficie de 196 722
km² avec plus de 12 Millions d’habitants.
VISION DU GVT. LE PLAN
SENEGAL EMERGENT
le Plan Sénégal Emergent (PSE) vise à mettre en
place d’ici à 2035, un ensemble de projets
structurants à fort contenu de valeur ajoutée et
d’emploi. Pour l’étape intermédiaire de 2018, la
stratégie, est déclinée autour de trois axes
stratégiques : (i) Transformation structurelle de
l’économie et croissance ; (ii) Capital humain,
protection sociale et développement durable ; et (iii)
Gouvernance, institutions, paix et sécurité. Aussi,
l’opérationnalisation de la Stratégie exige la mise en
place d’un ensemble de réformes pour accélérer le
processus de transformation structurelle susceptible
d'accélérer le décollage économique.
LE SECTEUR AGRICOLE
L’agriculture constitue la principale source d’emplois et de
revenus pour plus de 60 % de la population. Cependant la
part du secteur primaire dans le Produit intérieur brut (PIB)
ne cesse de décroître. La diminution de la pluviométrie et la
crise du secteur de l'arachide, principale culture de rente du
pays, ont réduit la contribution de l'agriculture à moins de
20 % du PIB. Elle est essentiellement pluviale, saisonnière
et repose à la fois sur des cultures de rente (arachide,
coton, etc.) et sur des cultures vivrières de subsistance (mil,
sorgho, maïs). Le riz, culture traditionnelle en Casamance,
se développe fortement dans la Vallée du fleuve Sénégal.
Les cultures maraîchères et d’exportation sont en pleine
croissance.
LE SECTEUR AGRICOLE
Les superficies cultivables représentent 3,8
millions d’hectares, soit 19% de la superficie
totale du pays. Environ 65% des terres
cultivables, sont mises en culture chaque
année.
L’agriculture de type familial est dominante et
occupe la presque totalité des 95 % des terres
agricoles. Elle assume et assure, tant bien que
mal, les fonctions de production, de
consommation, de gestion des écosystèmes et
du cadre de vie rurale dans une relative
harmonie.
CADRAGE
INSTITUTIONNEL
Administration Territoriale et Locale avec
14 Régions administratives comptant
Directions Régionales de Développement
Rural (DRDR), les Inspection régionales
de l’élevage, des Eaux et Forêts et
Pêches/Services
décentralisés/ONG/OCB
La Recherche: ISRA, ITA, Autres I.Rech.
Les Universités: UCAD, UGB, UFR Thies
Les Ecoles de Formation Agricole: ENSA6
Recherche, Formation,
Vulgarisation
La Formation Qualifiante en Agriculture
ne concerne que les Techniciens.
Les Producteurs ne sont pas pris en
compte par les Ecoles de Formation
Agricole comme l’Ecole Nationale
d’Agriculture ou les Ecoles de Formation
de Techniciens (agricoles, forestiers,
horticoles, halieutiques, pastoraux)
8
Recherche, Formation,
Vulgarisation
Le Conseil Agricole est assuré par
l’Agence National du Conseil Agricole et
Rural (ANCAR).
Seules les ONG et les Organisations
Paysannes assurent la Formation et la
Vulgarisation pour les Producteurs en
Agriculture Ecologique Biologique.
Certains Projets et Programmes
assurent aux producteurs la For/Vul en (9
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
10
Production de mil bio au Sénégal de 2002 à 2012
S
ource : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
11
Niveau de contribution par structure sur la production de mil bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
12
Production de sorgho bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
13
Niveau de contribution par structure sur la production de sorgho bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
14
Production de Mangue bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
15
Niveau de contribution par structure sur la production de Mangue bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
16
Production d’arachide bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
17
Niveau de contribution par structure sur la production d’arachide bio au
Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
Les principales structures qui travaillent sur l’Oignon bio sont
AGRECOL (48%) et HWA/Sénégal et FAPD (52%).
18
Production d’Oignon bio au Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
19
Production d’oseille bio au Sénégal de 2002 à 2012
Niveau de contribution par structure
sur la production d’oseille bio au
Sénégal de 2002 à 2012
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes 2012 (Etudes de Base AEB
FENAB) 20
Source : D Maiga et M Sy, enquêtes
2012 (Etudes de Base AEB FENAB)
21
C
contribution de différentes spéculations dans la production bio
Chaîne de valeur élevage
bio
L’élevage biologique commence à voir le
jour au Sénégal. Il est essentiellement
pratiqué au niveau de la spéculation
poulet de chair et de celle du lait.
Toutes les structures manifestent le désir
d’intégrer l’élevage dans leurs systèmes
de production. Mais les principales
structures réellement engagées dans
l’élevage biologique sont AGRECOL,
ASPAB, HWA et GIE Univers Envi-Agro.22
25
FORCES FAIBLESSES
Plusieurs acteurs interviennent
dans le secteur de l’AEB
Existence de marché extérieur et
intérieur
Producteurs présents dans
presque toutes les spéculations
Expériences pertinentes en
matière d’AEB
Producteurs, transformateurs et
consommateurs occupent
l’espace AEB
Existence d’un réseau fédérateur
comme la FENAB
Existence d’une ressource
humaine de qualité
Diversité des spéculations
Naissance de l’élevage biologique
Faiblesse des superficies
consacrées à l’AEB
Faiblesse de la production et de la
transformation des produits AEB
Insuffisance de l’appui technique
et financier des producteurs
La certification et la labellisation
faibles
Pas de politique nationale d’AEB
Faiblesse des techniques de
restauration des sols
Faiblesse des quantités et des
qualités de semences disponibles
Faiblesse de capacités techniques
et financières de beaucoup
d’acteurs
Faiblesse d’implication des
structures de recherche dans la
stratégie de l’AEB
Grille d’analyse FFOM des Chaines de valeur
26
OPPORTUNITES MENACES
Prise de conscience
grandissante de l’importance
de l’AEB par les pouvoirs
publics, les consommateurs,
les transformateurs et les
commerçants
Des partenaires techniques et
financiers existent pour l’AEB
Des réseaux d’acteurs
commencent à se constituer
Les prix des produits AEB ne
sont pas suffisamment
rémunérateurs pour les
producteurs aussi bien sur le
marché local qu’extérieur
Les couts de certification et de
labellisation sont très élevés
Les transformations
nécessaires pour augmenter la
valeur ajoutée ne sont pas
toujours faites pour la majorité
des spéculations
L’impact des changements
climatiques
RESEAUTAGE ET
PARTENARIAT
Ce réseautage et partenariat est
dynamique entre les ONG et les
Organisations de Paysannes.
Il est moyennement faible avec les
Institutions Etatiques et Internationales.
Les liens entre la Recherche, le Conseil
Agricole et les Organisations Paysannes
dans l’AEB sont encore faibles.
28
29
Nom organisation Partenariat technique Partenariat financier Partenariat
matériel
Partenariat
institutionnel
Organisations membres de la FENAB
AGRECOL ANCAR, PAFA, DRDR
Fatick, FONGS, GREEN,
Université THIES
Bd (Belgique), (Belgique)
ambassade Belgique,
Coopération suisse
Action CAREME
Suisse
Gouvernance Thies, CR
sésséne, commune
Thiés, Ministere
Agriculture, SCA,
(grappe agroalimentaire)
ASPAB ONG membres FENAB,
IFOAM, NOVIB (Pays bas),
francophonie (OIF),
agriculture, Eaux et forêts,
Gouvernement américain, CTB USAID IFOAM, Administration
territoriale, Collectivités
locales, M.A, M.E.D.D
Gestion intégrée des
terroirs (GIT)
CADL, Eaux et Forêts,
Elevage
Coopération autrichienne CR de Notto, Tasset et
Ndiaganiao,
Arrondissement de
Tasset, Notto, Fissel
FENAB organisation d'appui, le
comité éthique
SDC conseil régional, M.A,
M.E.D.D, CNCR
GIE des producteurs
bio de Keuri Kao
sous préfet
UGPM FONGS, CNCR,
Commune de Mekhé.
COPEBAN GIT CR de Notto, Tasset
REFABEC AGRECOL, PAFA Chambre des métiers,
chambre de commerce
Woobin Enda Pronat, Enda énergie,
ASAF NEPAD
Enda Pronat,
Enda énergie
CR, sous préfecture
Fédération des
agropasteurs de
Diander (FAPD)
Enda Pronat, Heks, FAO Enda Pronat,
Heks,
sous préfet keur
Moussa, CR Diander
Union des agriculteurs
de Diogo
Néant Néant néant néant
UPMT POGV, GREEN, ARLS ARLS, GREEN CR Thiénaba
30
COPAGE Association sénégalaise
pour la promotion de
l'agriculture biologique
(ASPAB)
Ministère Alphabétisation,
coopération technique belge
(CTB)
GIE Takou liguey de
Diossoum
Vision mondiale, ANCAR,
service forestier
CMS Vision mondial
Takou liguey de
Toun Mosquée
CAS, service forestier CMS CEAS
GIE Deggo takou
liguey de Affé
Tidiane
PAM CMS
GIE Dieuf Dieul de
Affe Mouride
CLUSA, service de
l'agriculture
CMS CLUSA
Jardins d'Afrique Lycée agricoles de France
(Niort), Association sème
la vie, IFACE (UCAD),
Région de Poiteau Charente,
conseil régional de Fatick,
conseil régional
de Fatick,
Commune de
Mbour, CR de
Fimela Sous
préfecture,
Gendarmerie de
Fimela
ENDA PRONAT DRDR, ANCAR,
SIDEFITEX, Eaux et
Forêts
WFD WeltFriedensDienst,
SOLIDARIDAD, NEPAD,
Fondation de France
Ministère de
l'agriculture, Direction
Artisanat, Conseils
ruraux
31
Organisations non membres de la FENAB
Association pour la
protection et la
promotion des
plantes médicinales
et de revalorisation
de toutes les
pratiques
traditionnelles utiles
(APROPMED)
ITA, ASPAB, CNCR
Association des
villages riverains du
Baobolong (AVRB)
Eaux et forêts, DRDR,
CADL, PROGEDE 2,
GDT, Symbiose
CR, sous préfets
READ IREF Thiès Mairie de Thiès Mairie de Thiès
REFAB ENSA, Pan Africa global green grant fund
RESEAUTAGE ET
PARTENARIAT
Les partenaires techniques: directions
régionales de développement rural,
directions zonales de l’ANCAR,
services régionaux des Eaux et forêts
, services régionaux de l’élevage,
centres d’Appui au Développement
Local (CADL), direction de l’analyse
de la prévision et de la statistique
(DAPS), direction de l’horticulture , di-
rection de la Protection des Végétaux
32
RESEAUTAGE ET
PARTENARIAT
Les partenaires financiers: Broederlijk
Delen (BD), Ambassade Belgique,
USAID, Coopération Autrichienne
(ADA), HWA, SDC, Coopération
Technique Belge, le Crédit Mutuel
Sénégalais, la Région de Poiteau
Charente, le conseil régional de
Fatick, WFD WeltFriedens Dienst,
NEPAD, HEKSet la Fondation de
France
33
34
Forces Faiblesse
Personnel pluridisciplinaire
Personnel compétent
Service représenté à la base,
proche des populations
Une expérience avérée au niveau
de certains partenaires en matière
d’AEB
Service public chargé de remplir
des missions régaliennes
d’encadrement et de conseil au
niveau paysan.
Bonne collaboration des
partenaires avec les acteurs de
l’AEB
Manque de personnel
Manque de moyens
Manque d’instance pérenne de suivi
de l’AEB
Défaut de spécification des
données de l’AEB dans les
statistiques agricoles
Faible implication de la recherche
dans l’AEB
Manque de contrôle des services
spécialisés sur les produits
chimiques importés et leur usage
Grille d’analyse FF des partenariats
35
Opportunités Menaces
Financement existant sur
le carbone et les
changements
climatiques
Grand intérêt des
bailleurs de fonds
comme la banque
mondiale sur le respect
de l’environnement
Lobby puissant des
fabricants d’intrants de
l’agriculture
conventionnelle
Manque de prise en
compte de l’agriculture
biologique dans la
politique agricole du pays
POLITIQUES ET
PROGRAMMES DE
SOUTRIEN
De 1960 à 1984: Interventions dirigistes
par un encadrement rapproché du
monde rural, un système administré des
prix, un crédit agricole standardisé et une
intervention marquée de l’Etat dans la
commercialisation des produits agricoles.
1984: Nouvelle Politique Agricole:
suppression des subventions et
désengagement de l’Etat /
Responsabilisation des Producteurs
36
POLITIQUES ET
PROGRAMMES DE
SOUTIEN
1994: Dévaluation du FCFA
Définition d’une Lettre de Politique de
Développement Agricole (LPDA)
Projet de Modernisation et
d’Intensification de l’Agriculture (PMIA),
Projet de Promotion des Exportations
Agricoles (PPEA), Programme Spéciale
de Sécurité Alimentaire (PSSA),
Programme national d’Infrastructures 37
POLITIQUES ET
PROGRAMMES DE
SOUTIEN
Plusieurs contraintes d’ordre
technologique, financier et institutionnel
dont notamment : i) l’insuffisance
d’infrastructures socio-économiques de
base, ii) la dégradation des ressources
naturelles, iii) le faible niveau
d’intensification des productions aussi
bien végétales qu’animales, v)
38
POLITIQUES ET
PROGRAMMES DE
SOUTIEN
La faiblesse du segment de
transformation des produits agricoles au
niveau des filières importantes
notamment horticoles et d’élevage ; vi) le
dysfonctionnement des marchés
agricoles et ruraux ; vii) le faible accès à
l’information agricole, etc.
39
POLITIQUES ET
PROGRAMMES DE
SOUTIEN
a. La Loi d’Orientation Agro Sylvo
Pastorale (LOASP)
b. Les programmes spéciaux: Retour des
Emigrés Vers l’Agriculture (REVA),
Grande Offensive Agricole pour la
Nourriture et l'Abondance (GOANA). Ces
programmes spéciaux ont favorisé
l’ACCAPAREMENT DES TERRES DES
PAYSANS (MOBILISATION SOCIALE). 40
ECOLOGIQUE
SOCIAL ECONOMIQUE
CULTUREL
Encourager les Femmes
et leur forte implication
en Agriculture Biologique
Développer des
Techniques et des
Technologies
culturellement
adaptées
Améliorer la
Sécurité et la
Souveraineté
Alimentaire par
le biais de
l’Agriculture
Biologique
Améliorer les
conditions de vie
des paysans
Faire émerger
des marchés
locaux
biologiques
Faire accéder les
produits
biologiques
locaux au
Marché
International
Renforcer la
Capacité
institutionnelle des
Organisations de
Producteurs
Biologiques
•Identité Culturelle
•Enracinement et Ouverture aux valeurs fécondes
extérieures
•Héritage pour les Générations futures
•Principes agrobiologiques et Ethiqu
•e pour l’Action
•Valorisation du Savoir Endogène
•.Foi et Spiritualité (croyances et pratiques)
Faire adopter par les paysans, des systèmes de
production biologiques et écologiques
Influencer les Politiques Agricoles au niveau
national, sous-régional et international dans le
sens de donner une place importante à
l’agriculture biologique et au commerce
Rendre durables les
Fonctions des
agro- écosystèmes,
de la biodiversité
agricoles et des
cycles biologiques
VISION HOLISTIQUE ET DIALECTIQUE DE L’AGRICULTURE ECOLOGIQUE BIOLOGIQUE
I.SECK AOUT 2014
- Années 60-70 : baisse de la pluviométrie + Révolution Verte
(pesticides, engrais chimiques, mécanisation,…)
- Conséquences : dégradation de l’environnement et de la santé,
endettement des producteurs et chute des rendements
- Années 80 : 1ères expérimentations agro écologiques avec des OP
- Années 90 : plusieurs ONG et OP s’engagent dans l’agro écologie
- 1996 : naissance/mort du 1er Mvt Sénégalais pour l’AB
- Mars 2008 : Renaissance de la FENAB avec Enda Pronat, Agrécol
Afrique, ASPAB, CEAS, Agrinat, Jardins d’Afrique, Green Sénégal
et leurs partenaires de base 42
Historique du Bio au Sénégal
Mission de la FENAB
- Changer la mentalité des populations dans le sens de la promotion
des produits biologiques ;
Restaurer la fertilité des sols, rétablir l’équilibre des écosystèmes,
lutter contre la disparition de la biodiversité et les changements
climatiques ;
Préserver et améliorer la santé humaine, animale et végétale ;
Promouvoir l’agriculture biologique comme système de production
agricole alternatif capable de résoudre les problèmes alimentaires
du pays ;
Favoriser l’émergence des métiers de l’agriculture biologique,
notamment chez les jeunes et les femmes ;
Valoriser l’agriculture biologique tout en défendant les intérêts des
petites exploitations familiales biologiques.
43
La FENAB en action
avec plus de
18 000 producteurs …
45
46
Champs agroforestier (+ de 150 espèces)
COPAGE : Conseil Paysan d’Action Pour la
Gestion de l’Environnement dans le DIOBASS
47
Les Agropasteurs de Diender
Champ Ecole Paysans
Micro-irrigation et Energie éolienne
Vente directe à Dakar
48
PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
Les aménagements anti-érosif ont permis de :
récupérer 22 ha, le retour d’espèces herbacées, la
recharge de la nappe d’eau Reboisement le long des aménagements
Woobin de Keur Moussa
49
Forêt villageoise de 50 ha
Production de niébéFertilisation 100% organique
Le Regroupement pour la protection de
l’environnement de Thiembene au Nord
Ngatamaaré Toroo de Guédé
Riziculture irriguée sans herbicide et transformation
EDUCATION environnementale
Production de semences
51
AFAFA : Aide aux Forces vives Africaines par la
Formation à l’Agro écologie à Ndiémane (centre)
Jardins d’Afrique
La Ferme Ecole de Kaydara
52
Formation
d’élèves en 3 ans
sur les thèmes :
•Semences
•Maraichage
•Grandes cultures
•Arboriculture
•Elevage
•Energies
renouvelables
53
4 GIE de Kaffrine formés en compostage et traitement à l’huile de neem
54
Yakaar Niani Wulli - Koussanar (Est)
Fonio précuitTransformation artisanale60 t Coton et fonio certifiés bio-équitable
Conclusion
Elaboration d’un système de certification
national en cours pour garantir des
produits de qualité au consommateur tout
en préservant notre environnement
Nécessité que l’ABE soit reconnue et
soutenue par l’Etat
Et « Non à l’accaparement des terres ! »
« Non aux Organismes Génétiquement
Modifiés (OGM) ! ». Semences
Paysannes à développer (ASPSP). 56
Recommandation: Réussir « l’Initiative
pour l’Intégration de l’Agriculture
Ecologique/Biologique dans les Politiques et
Plans de Développement Agricole en Afrique de
l’Est et de l’Ouest »
PROJET
NOVATEUR ET
BENEFIQUE
POUR L‘AFRIQUE
AFRONET
Swiss agency for Development
and Cooperation SDC
Union Africaine