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INTI2016 161124 Communication environnementale et intelligence territoriale - Quel appui - Cas du Groupe Chimique Tunisien

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INTI2016 161124 Communication environnementale et intelligence territoriale - Quel appui - Cas du Groupe Chimique Tunisien

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Présentation de Fadhila TLIG, Rym HACHANA (ISCAE Manouba), Vincent MEYER (Univ. Nice), "Communication environnementale et intelligence territoriale : Quel appui ? Cas du Groupe Chimique Tunisien", dans l'Atelier 13 "Economie Sociale et Solidaire et Institutions" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.

Présentation de Fadhila TLIG, Rym HACHANA (ISCAE Manouba), Vincent MEYER (Univ. Nice), "Communication environnementale et intelligence territoriale : Quel appui ? Cas du Groupe Chimique Tunisien", dans l'Atelier 13 "Economie Sociale et Solidaire et Institutions" de la XVe Conférence Annuelle Internationale INTI « Économie Sociale et Solidaire dans les territoires », 22-25 novembre 2016, Charleroi et Liège, Belgique.

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INTI2016 161124 Communication environnementale et intelligence territoriale - Quel appui - Cas du Groupe Chimique Tunisien

  1. 1. Communication environnementale et intelligence territoriale: Quel appui? Cas du Groupe Chimique Tunisien (GCT) Fadhila Tlig Vincent Meyer Rym Hachana
  2. 2. 08/12/2016 2 Le contexte de la recherche La question de recherche La communication environnementale L’intelligence territoriale Conclusion PLAN
  3. 3. Emplacement du gouvernorat de Gabès en Tunisie
  4. 4. • Une activité économique diversifiée : un important secteur industriel spécialisé dans l’industrie chimique. • D’importantes installations de production d’électricité et de gaz naturel sont également présentes à Gabès, ainsi qu’une importante cimenterie. • Le GCT est une entreprise chargée d’exploiter le phosphate, la principale ressource naturelle du pays. Le bassin minier se trouve autour de Gafsa (au Nord-Ouest de Gabès), où est récolté le minerai, avant d’être acheminé par train vers la région côtière. • Trois pôles sont créés, à Gabès, Skhira et Sfax. Le pôle principal, à Ghannouche (banlieue de Gabès), vise notamment à transformer le phosphate pour produire de l’acide phosphorique.
  5. 5.  Le rejet hydrique des activités du GCT Gabès (Photo prise lors d’un stage effectué au sein de la Direction Environnement en 2012)  Gabès by night (Photo tiré de l’Internet)…  Les plages de Gabès : le rejet marin de phosphogypse produit par les usines (Photo tiré de l’Internet) ...
  6. 6. Contexte de la recherche • Gabès: un important secteur industriel spécialisé dans l’industrie chimique • Conflits entre le GCT et ses parties prenantes • Soutien du pouvoir en place et climat de silence/peur des citoyens. Contexte pré- révolutionnaire • Début d’une liberté d’expression • le GCT : agent pollueur socialement (Ir)responsable et contraint de négocier avec les citoyens • Réconciliation de l’entreprise avec son environnement La Révolution Tunisienne • Le GCT a pris conscience que la transparence et la communication de l’information environnementale sont essentielles pour gagner la confiance des parties prenantes Exploration dans le cadre de cette étude
  7. 7. Problématique Adhésion de GCT dans le Projet COME • Gérer efficacement l’information environnementale en interne et en externe. Création d’une cellule de communication et d’information • Mettre en œuvre les plans d’action de communication environnementale en interne et en externe Non atteinte des objectifs • Absence d’une procédure de communication à suivre
  8. 8. Comment le GCT pourrait-il structurer sa communication environnementale en interne (au sein de l’entreprise) et en externe (entre l’entreprise et les parties prenantes) ?
  9. 9. Dynamique de développement durable: combinaison des objectifs économiques, écologiques et sociaux ; Circulation de l’information ; Coopération entre les acteurs territoriaux. Dispositif d’intelligence territoriale (DIT)
  10. 10. Instaurer un climat de confiance à l’échange entre le GCT et les parties prenantes (PP) Entretenir des liens avec les PP Maintenir une représentation positive du projet auprès des acteurs (Dacheux, 2007) La communication environnementale (DIT)
  11. 11. Comment une communication environnementale du GTC pourrait-elle s’appuyer sur un dispositif d’intelligence territoriale au service du Groupe Chimique Tunisien et de parties prenantes ? Question de la recherche
  12. 12. La communication d’entreprise « Un processus d’écoute et d’émission de messages et de signes à destination de publics particuliers, visant à l’amélioration de l’image desdites organisations, au renforcement de leurs relations, à la promotion de leurs produits ou services, à la défense de leurs intérêts » (Libaert, 2010 :7)
  13. 13. Développement Durable Responsabilité Sociétale des entreprises  Importance stratégique aux processus de dialogue et de relation avec les parties prenantes  Nouvelles façons de communiquer voire de coopérer avec leurs parties prenantes qui sont de plus en plus exigeantes en matière d’environnement
  14. 14. Problèmes liés aux enjeux environnementaux GCT : développement d’une approche communicationnelle pour adapter sa stratégie aux besoins des parties prenantes La communication environnementale s’inscrit dans un contexte d’attente de la part de la société.
  15. 15. Valoriser les choix de la politique environnementale de l’entreprise Suivre et accompagner en permanence les progrès environnementaux de l’entreprise dans ce domaine met en valeur l’identité de l’entreprise et renforce la confiance des acteurs territoriaux et leur responsabilité. s’appuie sur des concepts fondamentaux tels que le partenariat, le dialogue, l’éthique, le changement des comportements, etc. Communication environnementale
  16. 16. Communication environnementale et intelligence territoriale
  17. 17. Mettre en place tout un dispositif impliquant l’entreprise et les parties prenantes Une approche communicationnelle (partage de l’information, engagement, coopération d’acteurs) Faire changer les habitudes de l’entreprise et soutenir la réalisation d’un projet commun Gabès
  18. 18. La communication environnementale s’inscrit dans une perspective de DD qui ambitionne de placer la dimension environnementale au cœur du fonctionnement de l’entreprise. La démarche de DD, selon Jean-Jacques Girardot (2004 :6), « repose sur trois principes : - la participation de tous les acteurs du développement, au premier rang desquels les citoyens ; - l’approche globale des situations, caractérisée par un équilibre adéquat entre les considérations d’ordre économique, social et environnemental ; - le partenariat des acteurs ». La communication au cœur de Développement durable
  19. 19. Ces principes sont considérés comme des normes éthiques de l’Intelligence Territoriale qui se base sur trois principes méthodologiques : • l’appréhension du territoire en tant qu’espace d’action ; • la diffusion des pratiques de gestion par projet et l’ancrage de la culture de l’évaluation des réalisations ; • le développement de l’accès aux technologies de l’information et de la communication. (Girardot, 2006 : 6). Le processus d’IT est qualifié comme une démarche d’information et de communication.
  20. 20. « Une science polydisciplinaire dont l’objet est de promouvoir le développement des territoires, dans ses dimensions économiques, sociales, et environnementales. Son sujet est la communauté territoriale. » Neffati et Poirot (2015 :68) Définition L’objectif est d’impulser, à l’échelle d’un territoire, une dynamique de développement durable reposant sur : une interaction entre la connaissance et l’action ; un partage d’information ; une concertation dans l’élaboration des projets et une coopération dans la conduite et l’évaluation des actions.
  21. 21. Une déclinaison, à l’échelle locale, d’une politique nationale d’intelligence économique Marketing territorial L’approche descendante Elle a émergé dans le champ académique (économie, géographie, sciences et technologies de l’information et de la communication et gestion des savoirs). Elle met l’IT au service de DD en favorisant le partage d’information sur une base coopérative entre les acteurs territoriaux, principe fondamentale de cette approche L’approche ascendante Des approches encore théoriques d’intelligence territoriale
  22. 22. 22 Intelligence Territoriale Approche pragmatique  l’Intelligence économique appliquée au niveau d’un territoire bien déterminé par les différentes entreprises ou les clusters d’entreprises.  Marketing Territorial: valoriser l’image du territoire pour le rendre plus attractif. Approche sémantique  Le territoire est un espace d’application de l’intelligence qui est la capacité des individus de s’adapter à une situation en adoptant un comportement approprié. Approche écologique  la non exclusion des différents acteurs de la région  La participation de ces différents acteurs passe par l’accessibilité aux technologies de l’information et de la communication et le partage collaboratif à tous les niveaux.
  23. 23. Conclusion • La communication reste le seul moyen dont disposent les entreprises pour s’engager publiquement et ainsi gagner le soutien de ses différentes parties prenantes. • L’implication du GCT dans des questions environnementales ne peut donc se faire qu’avec l’adhésion de tous les acteurs de l’entreprise et doit mettre en avant des notions de consensus, de partenariat, de cohésion sociale, d’échange d’information et de partage de valeurs communes : principes clés de la notion d’intelligence territoriale.
  24. 24. Conclusion La mise en place d’un DIT a pour objectif de créer un environnement d’apprentissage propice à un développement territorial endogène en offrant la possibilité d’une mutualisation et d’une diffusion de l’information environnementale entre le GCT et les parties prenantes.
  25. 25. Merci de votre attention

Notes de l'éditeur

  • Pour présenter ce travail, nous aborderons successivement le contexte de la recherche la question de recherche.
    Par la suite, nous évoquerons le champ de la communication environnementale
    Nous introduisons le passage vers l’intelligence territoriale.
    Enfin, la conclusion générale
  • Située sur la côte méditerranéenne, au fond du golfe, Gabès possède la particularité d’être à la fois une oasis et un port maritime. La région réunit des atouts : la mer, montagne, désert à une trentaine de kilomètres de la côte, oasis (maritime et saharienne) et sources d'eaux thermales du côté d'El Hamma.
  • Cependant, l’implantation d’un complexe industriel diversifié dans la région a écarté l’opportunité de créer une véritable industrie touristique sur le littoral.
  • Les modalités de la constitution et de l’implantation de ce complexe industriel sur ce territoire ont produit des pollutions énormes. La dégradation de la qualité de la vie dans la région, à cause de ces activités industrielles chimiques, reste une source de conflits entre le Groupe Chimique Tunisien (GCT) et les riverains.
    Dans le contexte pré-révolutionnaire (avant 2011), le GCT cherchait à répondre à ses besoins sans trop se préoccuper des synergies éventuelles avec l’environnement territorial. Il pouvait compter sur le soutien du pouvoir en place et le climat de silence et de peur qui régnait.
    Depuis le 14 janvier 2011, face à la pression de la société civile, le GCT, l’un des fleurons de l’industrie tunisienne, s’est trouvé en position d’agent pollueur socialement irresponsable et contraint de négocier avec ses riverains et surtout de réconcilier l’entreprise avec son environnement.
    Aujourd’hui, le GCT tend à devenir une entreprise proche des citoyens et responsable vis-à-vis des problèmes liés à l’environnement. Le GCT a pris conscience que la transparence et la communication de l’information environnementale sont essentielles pour gagner la confiance de PP.
  • Le GCT a commencé à investir en matière de communication environnementale qui doit impliquer toutes les acteurs et les personnels de l’entreprise et qui doit avoir des arguments responsables et éthiques. Cela se traduit par l’adhésion de GCT dans le projet COME et ce afin de gérer efficacement l’information environnementale en interne et en externe. Dans ce cadre une cellule de communication et d’information a été créée pour mettre en place les plans d’action de communication environnementale en interne et en externe. 1 an après, cette cellule a rendu compte qu’elle a atteint ses objectifs que partiellement et cela est dû à l’absence d’une procédure de communication à suivre.
  • La question qui se pose ici est Comment le GCT pourrait-il structurer sa communication environnementale en interne (au sein de l’entreprise) et en externe (entre l’entreprise et les parties prenantes) ?
  • La mise en place d’un Dispositif d’Intelligence Territoriale (DIT) au service du GCT Gabès constitue un élément de réponse adéquat, du moins nous le pensons en accord avec plusieurs chercheurs en SIC comme J-J Girardot et Yann Bertacchini… et ce pour structurer la communication interne et externe selon une démarche de travail collective impliquant les parties prenantes du territoire. Le DIT joue un rôle important dans l’impulsion d’une dynamique de développement durable fondée sur la combinaison des objectifs économiques, écologiques et sociaux ; sur la circulation de l’information et sur la coopération entre les acteurs territoriaux (Girardot, 2004).
  • Les objectifs de la communication environnementale dans un projet de mise en place d’un DIT pourraient être d’instaurer un climat de confiance favorable à l’échange entre le GCT et les parties prenantes, d’entretenir les liens relationnels et de maintenir une représentation positive du projet auprès des acteurs (Dacheux, 2007).
  • Ceci amène la question de recherche suivante :
    Comment la communication environnementale pourrait-elle appuyer la mise en place d’un dispositif d’intelligence territoriale au service du Groupe Chimique Tunisien et de parties prenantes ?
  • La communication des organisations se situe à l’interface des champs disciplinaires à la fois distincts et complémentaires que sont les sciences de gestion, les sciences de l’information et de la communication, l’anthropologie, la sociologie, la psychologie sociale ».
    Thierry Libaert considère la communication d’entreprise comme
    Par la communication, les entreprises cherchent alors à s’insérer dans leur environnement, à construire une image positive et créer un climat de confiance auprès des différentes parties prenantes.
    La stratégie de communication de l’entreprise consiste en la planification et la coordination des principales activités de communication. C’est le processus par lequel l’entreprise crée et enrichie ses relations en interne et en externe.
  • Dans le contexte particulier du développement durable (DD) et d’une responsabilité sociétale des entreprises (RSE), celles-ci accordent de plus en plus une attention particulière et une importance stratégique aux processus de dialogue et de relation avec les parties prenantes. Les questions sociales et environnementales deviennent des facteurs essentiels de réussite de l’entreprise. Cela a poussé les entreprises à chercher de nouvelles façons de communiquer voire de coopérer avec leurs parties prenantes qui sont de plus en plus exigeantes et vigilantes en matière d’environnement.
  • Entre nécessité de communication et volonté culturelle, la justification de la communication environnementale d’une entreprise dépend de son engagement en faveur de l’environnement.
    Confronté à des problèmes liés aux enjeux environnementaux, le GCT commence à développer une approche communicationnelle et ce afin d’adapter sa stratégie de communication aux besoins de ses parties prenantes. Ces derniers se sont progressivement positionnés sur les thèmes sociétaux et ont voulu exprimer leurs résolutions et leurs actions. C’est là qu’intervient la communication environnementale. Celle-ci s'inscrit dans un contexte d'attente de la part de la société.
  • La communication environnementale est l’un des instruments de la politique environnementale de l’entreprise. Son rôle consiste à conforter et valoriser les choix de cette politique. Elle suit et accompagne en permanence les progrès environnementaux ou les difficultés de l’entreprise dans ce domaine. Elle ne peut pas se contenter d’être événementielle puisqu’elle touche l’image de l’entreprise. Elle s’appuie sur des concepts fondamentaux tels que le partenariat, le dialogue, l’éthique, le changement des comportements, etc. Les industriels admettent progressivement que la protection de l’environnement est compatible avec la croissance économique. Ils commencent à mettre en place des stratégies environnementales et crédibiliser leur communication environnementale.
  • A ce niveau, nous allons montrer comment ces deux notions (communication environnementale et intelligence territoriale) se co-construisent.
  • Le contexte actuel de la région de Gabès invite les acteurs locaux à développer une approche communicationnelle fondée sur le partage d’information, l’engagement et la coopération des différents acteurs territoriaux pour la cause environnementale.
    L’objectif de la communication est de faire changer les habitudes de l’entreprise et soutenir la réalisation d’un projet commun. C’est ce que nous amène à penser qu’il est nécessaire de mettre en place tout un dispositif impliquant l’entreprise et les parties prenantes. Un dispositif qui favorise la continuité et la réussite d’un processus de communication.
  • Ces principes prennent en considération l’orientation de l’IT vers les acteurs territoriaux en termes de participation et de partenariat. Ce qui fait, le processus d’IT …
  • En fait, l’IT est une notion relativement récente et pluridisciplinaire. À l’heure actuelle, il n’existe pas une seule et unique définition de la littérature de l’IT. Pour Houda Neffati et Jacques Poirot.
  • Les contours de la notion d’IT sont encore fluctuants. Elle a été développée par plusieurs auteurs s’inscrivant dans diverses approches. Maud Pélissier (2008) a distingué deux approches de l’IT.
    La première est qualifiée comme une approche « descendante » ; la seconde est « ascendante ». Pour lui, la première approche s’est construite dans le champ institutionnel. C’est « une déclinaison, à l’échelle locale, d’une politique nationale d’intelligence économique ». Cette application territoriale de l’intelligence économique est associée aussi au marketing territorial. La seconde a émergé dans le champ académique (économie, géographie, sciences et technologies de l’information et de la communication et gestion des savoirs). Cette approche met l’IT au service de DD en favorisant le partage d’information sur une base coopérative entre les acteurs territoriaux, principe fondamentale de cette approche.
    Le rapport de l’ADIT (agence pour la diffusion de l’information stratégique) intitulé « le management stratégique des régions en Europe » (Prager, 2005) énonce clairement les liens existant entre l’intelligence économique et le marketing territorial
  • Ainsi, l’IT a été traité dans le cadre de diverses approches scientifiques. Syrine Ben Slimen (2014 :26), dans sa thèse, a fait la distinction entre trois approches d’IT. L’approche pragmatique considère l’IT comme …
    L’approche sémantique considère le territoire …
    Et la troisième approche écologique qui s’intéresse à l’environnement dans lequel il y a eu recours aux dispositifs d’IT. Elle insiste sur la non exclusion des différents acteurs territoriaux que ce soient des entreprises, des représentants de la société civile ou les habitants même de la région. Les principes de cette approche orientent l’IT vers les acteurs en termes de participation, d’échange informationnel et de partenariat et ce par l’accès aux technologies de l’information et de la communication.
  • Dans notre contexte d’étude où l’environnement apparaît d’abord comme une contrainte, la communication semble être l’élément parfait pour parvenir aux objectifs de l’entreprise.
  • L’IT est une démarche d’information et de communication territoriale, de création de contenus territoriaux innovants susceptible de favoriser la collaboration et l’adhésion des acteurs territoriaux autour de projets communs.
    De ce fait, la mise en place…

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