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Atelier formation de septembre 2018 - Découvrir et utiliser les fonctionnalités et les services de HAL, sensibiliser les chercheurs et les laboratoires aux archives ouvertes

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HAL Hyper Article en Ligne Initiation aux services et fonctionnalités de l’archive ouverte HAL-SHS…

  1. 1. HAL Hyper Article en Ligne Initiation aux services et fonctionnalités de l’archive ouverte HAL-SHS… Odile Contat CNRS - Institut des Sciences Humaines et Sociales Septembre 2018– Formation HAL - ANF de l’InSHS
  2. 2. archive ouverte nationale… Hyper Article en Ligne… archive ouverte internationale et multidisciplinaire, recueille et diffuse les documents scientifiques, donnant un accès libre et gratuit aux résultats de la recherche, s’inscrit dans le mouvement du libre accès 1 I HAL est né en 2001 au CNRS, au sein du CCSD  la convention de partenariat archives ouvertes autour de HAL signée le 02 avril 2013 par 25 partenaires dont l'AMUE, l’A.N.R., la B.N.F., la C.D.E.F.I., le C.E.A., le C.E.E., la C.G.E., le CIRAD, le C.N.R.S., la C.P.U., l’IFREMER, l’INRA, l’INRIA, l’INSERM, l’I.R.D., l’I.R.S.N., l’IRSTEA, l’Institut Pasteur…et aujourd’hui dans la feuille de route du Ministère sur les infrastructures de recherche  une plateforme commune de dépôt à vocation nationale et transdisciplinaire, une archive ouverte - un réservoir de données (repository) sous la forme d’un site web - pour l’ensemble des communautés scientifiques françaises  Le CCSD et une unité mixte CNRS INRIA et Université de Lyon : la feuille de route du CCSD
  3. 3. Aujourd’hui HAL c’est http://hal.archives-ouvertes.fr Plus de 530 000 documents dont 80 000 thèses 36 000 images sur MediHAL, 600 000 auteurs référencés
  4. 4. Les dépôts de documents dans HAL ont progressé d’environ 18 à 20% par an sur les dernières années 47 965 dépôts en texte intégral en 2014 (3997 par mois) 46 205 dépôts en texte intégral en 2015 (3850 par mois) 58 532 dépôts en texte intégral en 2016 (4877 par mois) +20% En 2016 58 532 dépôts en texte intégral -10 000 déposants pour 2016, soient 1640 de plus qu’en 2015 •20 506 articles publiés dans des revues •13 966 communications dans des colloques •7 943 thèses (dont 5731 déposées via STAR) •390 HDR •2 211 chapitres d’ouvrages et 169 ouvrages •5 132 images •593 posters •Nombre total d’IdHAL créés : 11 720 •Nombre total de CV configurés : 4 180
  5. 5. HAL-SHS (Hyper Article en Ligne - Sciences de l'Homme et de la Société) un portail disciplinaire - https://halshs.archives-ouvertes.fr une interface personnalisée, des métadonnées propres – plus de 154 000 documents en texte intégral - 28% de l’ensemble des dépôts de HAL – 1500/1800 dépôts mensuels en moyenne
  6. 6. Des collections ou des portails personnalisés à la demande – des vues thématiques, sur un type de document, sur un projet, sur un colloque, un programme ANR ou Européen : Omniphilo – Dumas – LabexMed - Ambiances - ANR anticipation - Lascaux – des vues institutionnelles pour préserver l’identité d’un laboratoire, d’une université ou d’une institution : Edytem – Archéorient – Paris13 – ENPC - BNF - ComueNormandie
  7. 7. Les collections et les portails dans HAL En 2018, on compte 140 portails dans HAL 15 nouveaux portails institutionnels en 2017 On compte aujourd’hui plus de 5000 collections …dont près de 2200 collections de laboratoire.
  8. 8. Etudes et dossiers : Informations sur la loi et Etude d’impact de la loi par l’assemblée nationale DIST-CNRS : dossier sur cette loi - Livre blanc — Une Science ouverte dans une République numérique Outil pour les chercheurs : https://decadoc.typeform.com/to/W2ZZMV http://espacechercheurs.enpc.fr/fr/node/199 Guide d’application de la loi aujourd’hui…en France ! Article 30 de la Loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique : Légifrance "Lorsqu'un écrit scientifique issu d'une activité de recherche financée au moins pour moitié par des dotations de l'État, des collectivités territoriales ou des établissements publics, par des subventions d'agences de financement nationales ou par des fonds de l'Union européenne est publié dans un périodique paraissant au moins une fois par an, son auteur dispose, même après avoir accordé des droits exclusifs à un éditeur, du droit de mettre à disposition gratuitement dans un format ouvert, par voie numérique, sous réserve de l'accord des éventuels coauteurs, la version finale de son manuscrit acceptée pour publication, dès lors que l'éditeur met lui-même celle-ci gratuitement à disposition par voie numérique ou, à défaut, à l'expiration d'un délai courant à compter de la date de la première publication. Ce délai est au maximum de six mois pour une publication dans le domaine des sciences, de la technique et de la médecine et de douze mois dans celui des sciences humaines et sociales« "La version mise à disposition en application du premier alinéa ne peut faire l'objet d'une exploitation dans le cadre d'une activité d'édition à caractère commercial. (...)" La Loi protège les chercheurs et la situation est désormais beaucoup plus simple ! L'article 30 concerne les articles de périodiques (revues ou annuels) et la possibilité d'auto-archivage concerne le postprint (la version finale acceptée) Elle vaut pour tous les articles publiés depuis le 8 octobre 2016. Les contrats d'édition signés depuis avec des embargos supérieurs à 6 ou 12 mois sont réputés non écrits Si l’éditeur d'une revue impose un embargo supérieur à 12 mois pour une revue en SHS, il est possible de s'affranchir de cette contrainte parce que c'est la loi qui prévaut ! Le délai d'embargo peut en effet être systématiquement réduit à 6 mois pour les STM et 12 mois pour les SHS Si l'article est mis en Libre accès par l'éditeur lui-même, l'auteur peut déposer le postprint sans plus attendre (pérennité de l'accès au fichier) Dans la mesure où aucune exploitation commerciale n'est possible, le dépôt via les réseaux sociaux de type ResearchGate ou Academia n'est pas couvert par la Loi
  9. 9. aujourd’hui…en France ! Le Plan national pour la science ouverte : les résultats de la recherche scientifique ouverts à tous, sans entrave, sans délai, sans paiement - Le discours de Frédérique Vidal (4 juillet 2018) Premier axe du plan national pour la science ouverte : généraliser l’accès ouvert aux publications 1 - Rendre obligatoire la publication en accès ouvert des articles et livres issus de recherches financées par appel d’offres sur fonds publics. 2 - Créer un fond pour la science ouverte. 3 - Soutenir l’archive ouverte nationale HAL et simplifier le dépôt par les chercheurs qui publient en accès ouvert sur d’autres plateformes dans le monde La CURIF qui regroupe 18 universités de recherche intensive a publié, quant à elle, ses propositions pour la Science Ouverte avec 3 objectifs principaux : l’ouverture des publications, celle des données de la recherche et le développement de la formation et des compétences pour la Science Ouverte. 4 actions : constitution d’un fonds à hauteur de 800 000 euros pour financer des projets, mise en œuvre d’un politique incitative de dépôt des publications dans une archive ouverte, mise en place d’un référent dans chacun des établissements pour définir et mettre en œuvre un plan de gestion des données et, enfin, organisation de formations sur la Science Ouverte à tous les niveaux
  10. 10. aujourd’hui…en France …et en Europe ! « Après le 1er janvier 2020, les publications scientifiques basées sur les résultats d'une recherche financée par des fonds publics fournis par des conseils ou agences de recherche nationales ou européennes devront être publiées dans des revues ou des plateformes en accès ouvert. » Le Plan S annonce 10 objectifs, dont la conservation des droits sur la publication scientifique par son ou ses auteurs, l'établissement de critères précis relatifs aux revues et plateformes d'accès ouvert, la mise en place de sanctions en cas de non-respect de cet objectif par les institutions, le refus du modèle des revues hybrides… La date butoir du 1er janvier 2020 concerne les articles scientifiques mais pas encore les monographies et ouvrages de recherche : pour ces derniers, un délai s'ajoute, non précisé 11 financeurs nationaux de la recherche publique (dont l’ANR), au sein de l'Union européenne, ainsi que la Commission européenne et le Conseil européen de la recherche, s'engagent à partir du 4 septembre 2018 dans cOAlition S.
  11. 11. En dehors de la loi… Il faut continuer de se référer aux contrats et politiques des éditeurs pour les autres types de documents comme les ouvrages, chapitres ou communications avec actes. La politique des éditeurs en la matière est déclarée dans les contrats d'édition  AVANT publication l’auteur reste détenteur des droits sur son texte  APRES publication SOUS contrat 1 I Si le contrat ne prévoit pas de cession à titre exclusif des droits, pour tout support ou pour le support électronique : l’auteur est libre de déposer 2 I Si le contrat prévoit une diffusion en libre accès après un délai : l’auteur est libre de déposer après ce délai (respect de l’embargo) 3 I Si le contrat prévoit la cession à titre exclusif des droits pour tout support ou pour le support électronique : l’auteur doit demander l’autorisation de dépôt à l’éditeur APRES publication SANS contrat l’auteur peut diffuser son document, le copyright n’est pas un frein – informer votre éditeur https://hal.archives-ouvertes.fr/page/questions-juridiques Dépôt chapitres d’ouvrages – Springer
  12. 12. La politique des éditeurs est déclarée sur les plates-formes Sherpa/Romeo, Héloïse Il faut repérer quelle version est autorisée de partager (preprint, postprint, PDF éditeur) et à partir de quand (à la publication ou après un embargo). 1 I Le pre-print : version envoyée à l’éditeur, avant le comité de lecture 2 I Le post-print : version après les corrections du comité de lecture (révisions intégrées) version finale avant publication 3 I La version éditeur : la mise en page de l’éditeur est sa propriété, impossible de mettre en ligne cette version sans son autorisation… Le délai de diffusion : HAL autorise la diffusion en mode caché du document lorsque l’éditeur stipule un délai de diffusion (6 mois/2 ans après publication) – respect de la confidentialité… Le dépôt doit être fait par l’auteur, par l'un des coauteurs ayant l'accord des autres, par une personne autorisée La propriété intellectuelle reste celle du ou des auteurs. Les règles de bon usage : respect des travaux originaux, citation des travaux antérieurs, interdiction du pillage intellectuel, etc. http://openaccess.couperin.org/les-avenants-au-contrat-dedition/ En dehors de la loi…
  13. 13. Les licences Creative Commons sont un complément au droit d’auteur 1 I partager et faciliter l’utilisation de leur création par d’autres 2 I autoriser gratuitement la reproduction et la diffusion (sous conditions) 1 I si vous déposez un document non publié (pas de soumission à un éditeur) 2 I si votre publication est déjà en libre accès : appliquer la même licence que l’éditeur En savoir plus – un exemple
  14. 14. 1 I ne constituent pas un renoncement au droit d’auteur 2 I sont valides juridiquement et opposables en justice 3 I ne constituent pas une incitation au plagiat 4 I sont compatibles avec une publication chez un éditeur commercial 5 I peuvent permettre de construire des modèles économiques Archives ouvertes et licences Creative Commons des synergies à conforter – Lionel Maurel (blog S.I.lex) 1 I Favoriser la republication des articles 2 I Favoriser les rematérialisations et les réimpressions 3 I Favoriser les traductions 4 I Développer le Text and Data Mining, sans attendre une exception législative  5 I Favoriser le travail collaboratif Les licences Creative Commons Le libre accès et l’accès ouvert
  15. 15. Pourquoi diffuser en libre accès? 1 I Pour garantir un accès libre et gratuit aux résultats de la recherche  coût des abonnements (+302% de 1986 à 2005) = Elsevier, Wiley, Springer des taux d’augmentation annuels entre 5 et 7% et des taux de rentabilité supérieurs à 30% (The Economist, 26/05/2011) - Licence Elsevier France 172M d’euros sur cinq ans  Les dépenses d'abonnements documentaires 2012 de niveau recherche de l'Université de Rennes 1 sont de 1,4 million d'euros, soit environ 1000 euros par enseignant-chercheur et chercheur  Même l’Université d’Harvard a annoncé en 2012 qu’elle n’avait plus les moyens de renouveler ses abonnements et qu'elle incite ses chercheurs à déposer leurs travaux dans l'archive ouverte institutionnelle (DASH)
  16. 16. 2 I Pour élargir la visibilité nationale et internationale des travaux scientifiques HAL présente de nombreux avantages par rapport à une archive locale ou à un site Web personnel…  une meilleure diffusion : accès au texte intégral et à des documents non publiés (communications, séminaires)  une visibilité élargie : indexés par les moteurs de recherche (Google, Google Scholar, BASE; Isidore...), répertoriés dans les bases de données  Entre 1,5 million et 2,2 millions de téléchargement par mois  un lien avec les systèmes d’archivage de référence : Arxiv mathématiques, RePEC économie, PubMed Central pour les sciences du vivant… et OpenAIRE (Open Access Infrastructure for Research in Europe) une infrastructure européenne Pourquoi diffuser en libre accès?
  17. 17. La visibilité ! Nombre de téléchargement Etudes de genre 15031 (48) Archéologie 170 383 (1590) Géographie 236 088 (3358) Sociologie 281 176 (2772) Economie 381 675 (6870) Merci au CCSD pour les données chiffrées HAL-SHS : Ranking web of world repositories (2016) 15ème dans classement institutionnels 8ème dans classement Europe 20ème dans classement mondial Visibilité du Centre d’économie de la Sorbonne dans HAL 80 % des consultations d'articles des archives ouvertes sont faites à partir de Google et Google Scholar 5864 documents - 365 319 téléchargements en 1 an d’août 2016 à août 2017 : 29% France (152 000) 12,7% Europe (66 000) 5,6% Allemagne (29 000) 13,7% Etats-Unis (72 000) 2% Canada (10 000) 6% Afrique (32 000) 4,7% Magreb (24 000) 6% Chine+Asie (32 000)
  18. 18. 3 I Pour augmenter l’impact des travaux scientifiques : Des études scientifiques établissent une corrélation entre taux de citations et diffusion en libre accès  une étude de Science-Metrix et 1science basée sur l’analyse des citations de 3,35 millions d’articles publiés entre 2007 et 2009 et indexés dans le Web of Science = les articles en libre accès reçoivent 52% plus de citations que les autres (le dépôt en archives ouvertes qui contribue le plus à cet avantage - http://openaccess.inist.fr/?Etude-sur-les-citations-l-avantage)  une étude comparative (Scientometrics 84 (2) - 2010) : 4839 articles publiés dans 5 revues de référence en physique 14 citations pour les articles déposés dans ArXiv contre moins de 4 pour les non déposés  une étude de l’Université de Liège : nombre de citations des articles référencés dans le Web of Science et Scopus, déposés ou non dans l'archive ouverte Orbi de l'institution : un article visible dans une archive ouverte est 2 fois plus cité qu'un article non déposé (diapositive 22)  Une étude de l’IPP publiée en juillet 2015 un article diffusé seulement à des abonnés subit un préjudice de visibilité impossible à rattraper à partir de 12 mois de barrière mobile  Une étude de l’école des ponts « Impact de l'Open Access sur les citations : une étude de cas » : https://hal-enpc.archives-ouvertes.fr/hal-01372684v1
  19. 19. 3 I Pour augmenter l’impact des travaux scientifiques : visibilité et diffusion en libre accès Un article diffusé en libre accès touche un public plus large et différent, notamment un public non-académique  Dans HAL, statistiques de téléchargement et de consultation et métriques alternatives qui repèrent l’usage de vos travaux sur des réseaux sociaux, des plateformes d’échanges scientifiques, des blogs ou encore Wikipedia (Altmetric) : Exemple : https://hal.archives-ouvertes.fr/sic_00960853
  20. 20. 4 I Pour gagner du temps : un dépôt unique et une saisie simplifié  une alimentation des bases de données institutionnelles = rapports d'activité (CRAC, RIBAC)…mais aussi page web, CV, etc.  une mise en ligne rapide et simple et des données disponibles, consultables et extractibles à partir d’un accès Internet 6 I Pour garantir la pérennité des fichiers et des accès liens et URL uniques et pérennes permettant des citations stables pérennité des fichiers et des formats : dupliqués sur les serveurs du CINES (accès à long terme aux fichiers et pérennité des formats) → dépôt définitif : pérennité, citation…et versions successives 5 I Pour apporter une protection juridique aux travaux une conservation des droits d'auteur et une datation certifiée : HAL permet d’établir l’antériorité scientifique (date du dépôt) et la paternité du document (identifiant unique) = moins de plagiat → dépôt définitif : responsabilité, qualité, moins de fraude
  21. 21. 7 I Pour bénéficier de services à haute valeur ajoutée …pour le chercheur…et l’institution  gérer des listes de publications…pour un cv, un rapport, une page web, etc. = STL - Artehis - TIL - Framespa - Triangle - CV1 – CV2 – CV3  recenser la totalité de la production scientifique, en améliorer la diffusion grâce à une collection (interface personnalisée) et constituer des archives institutionnelles d’établissements pérennes Centre Koyré - Univ Grenoble Alpes - MSH de Dijon - ENS Lyon  valoriser les publications : exports pour le site, la lettre d’infos, les pages chercheurs avec des listes de publications et des pages Web où la mise à jour est automatique Ireman - PSE – Modyco – STL – AlgoB team - IRG  générer des listes bibliographiques pour le rapport quadriennal : gain de temps, exportation automatique par type de document, par date et avec plusieurs formats…
  22. 22. Les réseaux sociaux recherche… Academia.edu : 66 millions de comptes 21 millions d’articles 24 millions de visiteurs par mois (36 millions l’année dernière) Research Gate : 15 millions de membres plus de 100 millions de documents et 60 millions de visites par mois + 130 % dans les deux cas en 2016-2017, contre + 150 % en 2015-2016 A lire Aline Bouchard Robin des bois ou rogue open access ? Les réseaux sociaux académiques en 2017 #DeleteAcademicSocialNetworks ? Les réseaux sociaux académiques en 2016 Les réseaux sociaux appellent à une science ouverte (open research) et au partage des connaissances par la mise en ligne du texte intégral des articles « Je n’ai pas besoin de déposer dans HAL j’ai tout mis sur Academia!! » - parole de chercheur…
  23. 23. Propriété et pérennité des données !! Cela n’est pas du libre accès et cela pose des problèmes en termes de sécurité des données, d’accès et d’usage, de pérennité  pas d’archivage pérenne…une simple mise en ligne de documents  où sont stocker les données et quelle est la pérennité des plateformes (rachat, disparition) = pas de garanti d’accès Attention : déposer vos fichiers sur ces réseaux cela signifie donner des droits à des entreprises privées sur vos données !! Christophe Benech " Protection et propriété des données sur Academia.edu et ResearchGate"
  24. 24. Modèle économique et prédation !! ResearchGate monétiser quoi?? – faire payer les institutions, reste gratuit pour utilisateurs la publicité ciblant le marché des services et des équipements de laboratoire et permettant de rapprocher l’industrie des chercheurs un service d’offre d’emplois : annonce ponctuelle à 399 € pour 30 jours ou espaces dédiés [job slots] = Harvard ou Oxford, L’Oréal, Rolls-Royce, Merck, Nestlé ou encore IBM….CEA et CNRS la communication autour des conférences scientifiques Academia monétiser quoi?? – faire payer les institutions avec publicité et offre d’emploi + Offre premium pour faire payer les utilisateurs offre ouverte début 2017 (8,25 $/mois ou 99 $/an) informations sur les personnes qui regardent votre profil, les « papers » qui mentionnent votre nom ( mentions, readers interactions avec d’autres comptes, citations) fonctionnalités de recherche avancée en plein texte dans le contenu d’Academia enhanced analytics (rapports d’impact annuels, statistiques détaillées) nouveauté du printemps, site personne
  25. 25. Archives ouvertes et réseaux sociaux…la confusion Le dépôt dans HAL est sécurisé et contrôlé, il garantit de rester dans le cadre de la recherche publique, il permet une description plus complète et plus riche des travaux scientifiques (qualité des métadonnées) et surtout il assure réellement un accès libre, gratuit et pérenne à ses données (stabilité des url et des formats) Un conseil : utiliser les réseaux sociaux avec prudence et pour ce qu'ils sont, c'est-à-dire des outils de diffusion et de mise en relation. Utilisez les réseaux sociaux pour leurs fonctions sociales uniquement et HAL pour la pérennité des données et le libre accès ! Préférez le lien vers vos publications déposées sur Hal plutôt que le dépôt sur le site du réseau social !! http://www.cnrs.fr/inshs/recherche/ist/HAL-SHS/reseaux-sociaux.htm A lire Utiliser les réseaux avec modération : http://openarchiv.hypotheses.org/2582 - Éléments de comparaison archives ouvertes et réseaux sociaux académiques – Aline Bouchard - Urfist - L’INRA a (octobre 2016) publié une analyse et des recommandations à ce propos , ainsi qu’un tableau comparatif des plateformes : Source : INRA, 2016, Activ’IST n°1 Des organismes importants ont appelé à un usage responsable des réseaux sociaux : le guide du COMETS (Comité d’éthique du CNRS), approuvé conjointement par le CNRS et la CPU, Pratiquer une recherche intègre et responsable publié en novembre 2016/mars 2017 Une partie spécifique à la question « Publications et réseaux sociaux scientifiques », en rappelant que « leur usage doit se faire dans le respect des règles de bonnes conduites » et que « le dépôt sur ces plateformes engage la responsabilité individuelle du dépositaire mais pas celle de l’organisme employeur, même si le nom de celui-ci y figure »
  26. 26. Le 15 septembre 2017, l’association STM, qui regroupe notamment Elsevier, Springer Nature, Taylor & Francis ou encore Wiley, a envoyé, via son cabinet d’avocats, à ResearchGate une proposition pour rendre le réseau « plus compatible avec les droits d’usage et d’accès pour partager des articles ». L’association pointe ce qu’elle considère comme les lacunes et les abus du réseau et laisse à ResearchGate jusqu’à juin 2018 pour vérifier les contenus déposés sur le réseau et se mettre en conformité avec le copyright ; elle indique être prête à collaborer pour une meilleure information des utilisateurs et demande enfin que ResearchGate arrête de récupérer données et métadonnées des articles obtenus illégalement. Faute d’une réponse positive du réseau, les membres de l’association se réservent le droit de poursuivre le réseau… Un échantillon de publications 2015 recensées sur Scopus montre que si 26 % des articles sont accessibles en gold open access et 20 % en green open access, 37 % le sont sur les réseaux sociaux académiques – loin derrière il est vrai l’accès pirate via Sci-Hub et ses 87 % Une étude « Copyright compliance and infringement in ResearchGate full-text journal articles », récemment publiée dans la revue Scientometrics, a montré que 51% des articles déposés sur ResearchGate enfreignent les règles du copyright. Jamali, H.R. Scientometrics (2017) 112: 241. DOI: 10.1007/s11192-017-2291-4. Rogue = Voyou
  27. 27. Droits Référent structure Gestionnaire de collection Modifier un dépôt Structure + structures filles Partager la propriété d’un dépôt Structure + structures filles Tamponner un dépôt Collection + sous-collections Site web collection Collection + sous-collections Statistiques Structure + structures filles Collection + sous-collections AureHAL : modifier structure Structure + structures filles Les rôles de référent structure et de gestionnaire de collection
  28. 28. Les rôles de responsable portail et de gestionnaire de collection Fonctionnalité Portail Collection Interface de dépôt X Personnalisation graphique (logos, couleurs) X X Choix des onglets du menu X X Gestion des actualités X X Création de collections X Gestion des collections X Gestion des utilisateurs, gestion des privilèges X Gestion des référentiels dans AuréHAL : créer, modifier, fusionner X Statistiques X X Gestion de métadonnées X (LocHAL)
  29. 29. Quels document déposés : tous les écrits produits par les chercheurs ou sur lesquels ils disposent du copyright – Un document en texte intégral dont le (les) fichier(s) seront téléchargés sur HAL – Une simple référence bibliographique, avec les références de publication – les travaux et publications les plus récents, Hal est avant tout une vision de la recherche en train de se faire – des documents plus anciens. Le laboratoire de rattachement doit être celui auquel vous apparteniez au moment de la production du document
  30. 30. − Déposer le texte intégral chaque fois que c'est possible…et les références bibliographiques lorsque vous n’avez pas le texte intégral − Faites d’abord le point sur vos publications, sélectionnez ce que vous voulez déposer dans HAL et… trouvez la bonne version !!! − Un conseil : préparez à l’avance un document avec toutes les caractéristiques de votre dépôt (titre, auteur, laboratoire, résumé, mots clés, références de publications) et travaillez en copier coller − Vérifiez que la référence ne soit pas déjà dans HAL…un co-auteur a pu déposer sans vous avertir… − Un document peut appartenir à plusieurs disciplines en Sciences Humaines ou en dehors (Droit et Science politique par exemple) − Un truc : une fois le premier dépôt effectué penser à vous servir de la fonction « utiliser comme modèle », onglet Mon espace, Mes dépôts Attention à la qualité des données et de la saisie Le chercheur est l’acteur principal du système : responsable et acteur du devenir de sa production scientifique
  31. 31. Le dépôt simplifié dans HAL −Dissem.in est un service encourageant les chercheurs à diffuser leurs publications librement. Il permet à chaque chercheur de mesurer l’accessibilité de ses publications et de mettre en ligne en quelques clics celles qui ne sont pas déjà librement disponibles. Plus besoin de saisir manuellement les métadonnées (titre, auteurs ou identifiants variés) : celles-ci sont automatiquement renseignées par Dissemin −Il faut s’identifier avec son compte ORCID
  32. 32. Le dépôt simplifié dans HAL
  33. 33. – L’idHAL est un identifiant unique géré dans HAL. Il permet à un utilisateur authentifié, connu comme auteur dans HAL, de regrouper les différentes formes sous lesquelles son nom a pu être saisi (ex : Marie Dupont, M. Dupont, Marie Dupont-Martin, etc.) et d’en choisir une par défaut  A lire pourquoi « Je ne suis pas un numéro ! Pourquoi se créer un identifiant chercheur » -https://labedoc.hypotheses.org/613 – L’idHAL regroupe les différentes formes auteur mais ne les fusionne pas. Par défaut, les prénom et nom du compte sont proposés sous la forme prénom-nom – L’idHAL est associé au profil : la forme auteur par défaut choisie pour l’idHAL sera proposée lors du dépôt si dans le profil la case « auteur par défaut » est renseignée par « oui » – L’idHAL est utilisé pour créer son CV : Le choix de l’identifiant pour l’IdHAL est important et irréversible puisqu’il composera l’url de votre page chercheur (https://cv.archives-ouvertes.fr/prenom- nom)
  34. 34. Le CV chercheur avec 3 parties - un titre et du texte - la liste des publications déposées dans HAL - des métadonnées extraites des publications déposés dans HAL (disciplines, mots-clés, co- auteurs, revues), extraite du compte (photo), des widgets extérieurs (twitter, facebook,…) - Le choix de l’affichage du contenu de ces parties se fait lors de la création du CV et peut être modifié - Le CV est doté d’une url de format http://cv.archives-ouvertes.fr/idHAL et est consultable par tous

Notes de l'éditeur

  • Peu de dépôts volontaires par chercheurs (environ 20%)…espérons que le loi change les choses !!
    Notion de mandat = incitation, obligation ou droit au dépôt (Harvard –Southampton –Liège)
    487 mandats aujourd’hui (institutions académiques) en France INRIA…
  • HAL plateforme unique pour toutes les disciplines –
    Au 15 septembre 1 million 593 milles dépôts si on compte les notices
    80 192 thèses sur TEL (dont + de 70% via STAR) - 36791 images
  • La communauté d’utilisateurs s’élargit puisqu’on recense 10 000 déposants pour 2016, soient 1640 de plus qu’en 2015.
    35% des documents déposés en 2016 ont été produits ou publiés en 2016
  • HAL-SHS est un des points d’entrée spécifiques pour les différentes communautés scientifiques – un dépôt avec une discipline SHS va dans ce portail…en tout 510 000 plus de 356 000 notices - 7100 dépôts en 2012, 8300 en 2013, 1000 dépôts mensuels en 2014
    33% des notices de HAL
    Aller voir….parcourir par disciplines et document et notices…archéo ce sont des images et droit des notices
    92000 dépots
  • Aller voir dans les collections de HAL la partie autres…
  • Nombre total de portails : 127 (on en compte 16 nouveaux en 2016, ouverts ou en cours de création)
    Nombre total de collections : 4813 et 1700 laboratoires
  • A son tour la France légifère…pour se mettre à niveau avec les autres pays!
    Projet de loi pour une République numérique - relecture/contribution publique à l’automne 2015 : 21000 contributeurs, 140000 votes, 8000 amendements (1800 votes sur l’amendement du CNRS DIST) - Mobilisation de la communauté scientifique
  • Les éditeur ne sont pas contre…L'accès ouvert fragilise les éditeurs et les revues : Aucune des études menées sur le sujet ne le confirme. L’étude européenne PEER (2008-2012), associant notamment l'INRIA, l'European Science Foundation, Max Planck Society, le CCSD et de grands éditeurs scientifiques (Elsevier, Wiley, Springer, BMJ, Nature, etc.), montre que l'accès ouvert n'a pas d'effet négatif sur le modèle économique des éditeurs. La même étude révèle au contraire une augmentation sensible du nombre de téléchargements d’articles sur les plateformes des éditeurs (de 7,5 à 15,5 % selon les disciplines
  • Voir les pages de l’ENPC de Frédérique Bordignon - http://espacechercheurs.enpc.fr/fr/node/199
    Page HAL chapitres d’ouvrages : https://doc.archives-ouvertes.fr/questions-juridiques/depot-de-chapitres-douvrage-politique-des-editeurs/
  • Un complément au droit d’auteur pour les auteurs qui souhaitent…
    Dans quel cas l’utiliser
  • L’INRA parle d’un budget de 1500 euros par chercheur et par an, l’université de Grenoble évalue le financement de la documentation électronique à 170 euros par personnel permanent et pas an
    L’université de Liège illustre le coût des abonnements avec une image forte « 1 Porsche tous les 10 jours » (3 millions par an - augmentation annuelle imposée par les éditeurs = 3 postes de chercheurs perdus chaque année à ULg…)
    Même Harvard annonce en 2012 qu’elle n’a plus les moyens de ses abonnements et qu'elle incite à déposer dans l'archive ouverte institutionnelle.
  • Pour répondre à oui mais j’ai déjà un site perso ou le site du labo…HAL présente de nombreux avantages par rapport à une archive locale ou à un site Web personnel…les arguments
  • Ce sont des chiffres de 2014 - Réponses à mes dépôts n’ont pas de visibilité internationale
    Et plus que Academia…
  • étude comparative de l'Université de Liège sur 2 échantillons d'articles : nombre de citations des articles référencés dans le Web of Science et Scopus, déposés ou non dans l'archive ouverte Orbi de l'institution
    Une étude est commandée à l’IPP est rendue et publiée en juillet 2015 (http://www.ipp.eu/wp-content/uploads/2015/07/revues-shs-rapport-IPP-juillet2015.pdf). Concernant les seules SHS, un des principaux résultats est que la visibilité des publications s’érode significativement dès une année de délai avant le libre accès.
  • Réponse à ça prend trop de temps… Réponse à mes articles vont être plagiés
    Cines - Centre Informatique National de l'enseignement supérieur
    Les sites web des laboratoires et pages personnelles de chercheurs : n'offrent pas les mêmes garanties (combien de pages personnelles de chercheurs ne sont plus accessibles au bout de x années ?)
    Le dépôt du texte intégral est définitif…La décision de dépôt relève toujours de la responsabilité du chercheur déposant.
  • Montrer un export rapide d’article en pdf (Le Van) - Montrer une page web rapide : AUT/prénom+nom (stefano+bosi)
    Exemple1 le SAMM = marie cotrell - paris1 barbier et Triangle et un CV
    Pour le chercheur : ribac et crac, cv, page web et liste de publications et statistiques et identité numérique avec idHAL
    Pour le laboratoire : liste de publications, visibilité du labo - les publis de l’Ireman publications de PACTE – PSE - Modyco
  • Alors c’est vrai pas de langue de bois...beaucoup de visibilité et réseaux sont efficaces pour cela…et aussi pour la facilité et pour la mise en relation!!! Pour avoir facilement une page web avec ses publications, ses activités…Pour améliorer sa propre visibilité et la mesurer Pour suivre des travaux de recherche et échanger des connaissances Pour être en relation les uns avec les autres : forum de débat et accès à des communautés au-delà de la France…couche sociale très efficace
    ResearchGate rendait publique une levée de fonds de 52,6 millions de dollars fin 2015, portant à près de 100 millions de dollars l’ensemble des fonds levés depuis sa création en 2008 (Bill gates)
    Academia source de financements provient de levées de fonds : une nouvelle levée à 11 millions de dollars est venue s’ajouter cet été aux 17,8 millions de dollars levés par Academia depuis 2008.
  • Academia n’est pas avare d’adjectifs et de verbes pour détailler ces droits que vous leur concédez : vous leur accordez donc une licence mondiale, irrévocable, perpétuelle, non exclusive, transférable et sans « royalties » avec le droit de donner licence, utiliser, voir, copier, adapter, modifier, distribuer, autoriser, vendre, transférer, diffuser publiquement, utiliser à des fins publicitaires, transmettre, ce que vous mettrez sur votre profil.
    une recherche publique accaparée et valorisée par des sociétés privés… manque de transparence sur la gouvernance et les modèles économiques, incertitude sur leur fiabilité en termes de gratuité et de pérennité, incertitude quant à la protection et au contrôle des données et des fichiers qui y sont entreposés, incertitude quant à la qualité des informations disséminées
  • ResearchGate rendait publique une levée de fonds de 52,6 millions de dollars fin 2015, portant à près de 100 millions de dollars l’ensemble des fonds levés depuis sa création en 2008 (Bill gates)
    Academia source de financements provient de levées de fonds : une nouvelle levée à 11 millions de dollars est venue s’ajouter cet été aux 17,8 millions de dollars levés par Academia depuis 2008.
    Attention : Quel modèle économique pour ces réseaux sociaux : Quelle réutilisation? Revente des données et des interactions ? Tentation d'exploiter les contenus que les chercheurs y déposent... Développer des services payants à partir des données d’une plateforme de contenus d’accès gratuit…retour sur investissement !
    une nouvelle forme de monétisation du savoir en lieu et place d’un open access proposant une vraie alternative au modèle de la communication scientifique actuelle. Masse critique de données = l’incitation de ResearchGate à faire déposer sur la plateforme des publications déjà en accès ouvert ailleurs afin de se les approprier et les contrôler
    Glissement vers le modèle éditorial ? = ResearchGate qui se place plutôt dans le domaine du post peer review, la proposition d’Academia se situe plutôt en amont, un peer review prépublication.
    Academia souhaite devenir « un éditeur scientifique à part entière » et une telle proposition pourrait se rapprocher du modèle des méga-revues
  • INRIA a fait des recommandations : https://fabrica.inria.fr/academia-edu-et-hal-preconisation/
    « Plus largement, il est nécessaire d’exploiter ces dispositifs en pleine conscience de leurs limites : manque de transparence sur la gouvernance et les modèles économiques, incertitude sur leur fiabilité en termes de gratuité et de pérennité, incertitude quant à la protection et au contrôle des données et des fichiers qui y sont entreposés, incertitude quant à la qualité des informations disséminées. »
    Bester Emma, "L'offre de réseaux socio numériques pour les scientifiques : services et stratégies d’acteurs", Les Enjeux de l'Information et de la Communication, 2014, p. 17 à 33, consulté le mercredi 17 septembre 2014 , [en ligne] URL : http://lesenjeux.u-grenoble3.fr/2014/02-Bester/index.html
  • La toute récente enquête Springer Nature révèle un tournant dans l’usage des réseaux sociaux académiques : si l’enquête précédente de 2014 plaçait comme motivation principale la visibilité du chercheur (« in case contacted »), c’est désormais la recherche et l’accès au contenu qui compte le plus (« discovering/reading content ») devant l’accompagnement à la recherche (« support research activity ») et la promotion de ses propres recherches (« promoting myself/research »)
    sur Academia : 73 % des comptes suivent l’activité d’autres membres, là où 46 % déposent du contenu
    40 % des utilisateurs d’Academia sont issus de pays en développement et auraient autrement des accès plus limités aux productions scientifiques
  • Les documents non publiés : communications, séminaires, working papers…et rapport de recherche
    Les publications : articles de revues, chapitres d’ouvrages, actes de colloques, thèses soutenues…et posters
    Les données liées comme les images, son, vidéos, cartes
    Voir https://hal.archives-ouvertes.fr/page/les-types-de-publication-acceptes-dans-hal

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