SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes. Si vous continuez à naviguer sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Consultez nos Conditions d’utilisation et notre Politique de confidentialité.
SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes. Si vous continuez à naviguer sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Consultez notre Politique de confidentialité et nos Conditions d’utilisation pour en savoir plus.
Publié le
Retail Apocalypse. Voilà comment Business Insider qualifiait il y a quelques semaines la situation actuelle (et future ?) du retail. Et à raison : aux US plus de 8600 magasins physiques doivent fermer en 2019. La France n’est pas épargnée - en témoignent les fermetures de huit enseignes Gap et plus de 30 Conforama cet été, pour n'en citer que quelques unes.
Dans le même temps, les Digitally Native Vertical Brands - ces ovnis du e-commerce devenus leaders aussi inspirants qu’anxiogènes - envahissent les rues. Littéralement : sur les 84 DNVB à fort potentiel identifiées en 2016 par Andy Dunn dans son article phare, 44 comptent désormais au moins un magasin physique. Ici aussi : difficile de se balader dans Paris aujourd’hui sans passer devant une boutique Sezane, Le Slip Français ou Jimmy Fairly.
Pour passer à l'échelle, il semblerait que les DNVB doivent faire tomber le “D”. “Halo effect” disent les Américains pour décrire ce phénomène qui consiste à ouvrir une boutique physique pour considérablement augmenter les ventes online. Mais alors...
Entre apocalypse et terre promise, à quoi ressemble vraiment le retail de demain ?
Quel modèle, quels KPIs et quelles conditions pour émerger ?
Il semblerait que vous ayez déjà ajouté cette diapositive à .
Soyez le premier à commenter