1. La conscience du corps
EN VIE
Expériences pour commencer à travailler votre coordination
découvrit de manière empirique un équilibre naturel de la tête
un mécanisme capable de sur le sommet de la colonne
La technique FM Alexander est freiner consciemment l’amorce vertébrale avant d’engager
une pratique à caractère de toute action habituelle. En n’importe quelle action ( ce que
éducatif, basée sur l’auto- privilégiant une relation FM Alexander appelait le
observation et visant à défaire dynamique entre la tête et la «contrôle primaire»), l’élève ne
les habitudes physiques et colonne vertébrale, non sent plus la nécessité de
psychologiques qui entravent la seulement il résolut sa contracter une grande partie de
mobilité naturelle. Elle apporte défaillance vocale mais il son corps pour atteindre son
de nouveaux moyens améliora de manière globale la but. Au lieu de laisser son
kinesthésiques dans notre façon coordination naturelle de son énergie se disperser dans des
de réagir à chaque situation. organisme. En élaborant une automatismes, la mise en place
technique pour désapprendre, il de cette « commande primaire »
devint le pionnier de toutes les entre la tête et la colonne
approches de conscience vertébrale lui permet de
Qui était F.M Alexander ? corporelle. percevoir corporellement une
nouvelle direction pour gérer ses
Acteur australien spécialisé forces physiques et psychiques.
dans le répertoire L’effet le plus immédiat est un
shakespearien, Frederick Comment ça marche ? allongement et un
Mathias Alexander a développé redéploiement du système
sa méthode à la suite d’un Tout le monde, en voulant faire , musculaire tout entier. Le but
problème d’extinction de voix a tendance à trop faire. Sous la ultime est «d’utiliser le corps»
sur scène. Grâce à son grand conduite d’un professeur, l’élève dans une juste tension. La
sens de l’observation, il prit retrouve une aisance naturelle tension musculaire relève de la
conscience que des habitudes en prenant conscience des croyance, affirmait FM
corporelles bien ancrées étaient tensions qu’il s’impose Alexander.
responsables de son aphonie. Il inconsciemment. En favorisant
Au-delà de la vision mécaniste et réductrice de la vie, il existe une connaissance sensible,
émotionnelle, réfléchie de l'organisme vivant. Notre corps, dont nous partageons les
caractéristiques avec tous les êtres sensibles, nous fait prendre conscience de notre
capacité innée à guérir du traumatisme.
PETER LEVINE
2. Il
vous
sera
plus
facile
de
faire
ces
expériences
avec
un
ami.
Sinon,
travaillez
avec
l'aide
d'un
miroir,
et
même
de
plusieurs
miroirs
qui
vous
aideront
à
vous
observer
de
face
et
de
côté
en
même
temps.
Où
est
votre
tête?
Savez-vous
où
est
le
sommet
de
votre
colonne
vertébrale?
La
base
du
crâne
repose
sur
le
sommet
de
la
colonne
vertébrale.
Concentrez-vous
un
moment
et
puis
placez
un
doigt
sur
le
niveau
qui
vous
semble
être
le
sommet
de
la
colonne.
Où
est
votre
doigt?
Quelques
personnes
pensent
que
le
sommet
de
leur
colonne
vertébrale
est
au
niveau
du
col
de
chemise.
D'autres
pensent
que
le
sommet
se
trouve
au
niveau
du
lobe
de
l'oreille.
Comment
localiser
le
sommet
de
la
colonne
vertébrale
Placez
vos
doigts
dans
vos
oreilles.
Inclinez
très
délicatement
votre
tête
en
avant
puis
en
arrière
d'un
centimètre
environ.
Observez
où
se
passe
le
mouvement.
Le
sommet
de
votre
colonne
se
situe
au
milieu
de
la
base
du
crâne,
entre
les
oreilles
et
en
arrière
du
nez.
Est-ce
là
que
vous
pensiez
trouver
le
sommet
de
la
colonne?
Si
vous
regardez
une
représentation
anatomique
du
crâne
et
de
la
colonne,
vous
pourrez
observer
que
le
sommet
de
la
colonne
se
trouve
en
fait
un
peu
plus
bas
que
les
conduits
auditifs.
Cependant,
d'un
point
de
vue
fonctionnel,
il
vous
sera
plus
facile
de
retrouver
une
liberté
de
mouvement
en
considérant
que
la
tête
bouge
à
partir
d'un
point
se
trouvant
entre
les
oreilles
et
en
arrière
du
nez.
Maintenant,
sans
quitter
votre
position
avec
les
doigts
dans
les
oreilles,
contractez
doucement
les
muscles
postérieurs
du
cou
et
notez
ce
que
fait
la
tête.
Arrêtez
de
contracter
votre
cou
et
regardez
ce
qui
se
passe.
Amusez-vous
à
répéter
l'expérience.
Vous
pouvez
remarquer
que
lorsque
vous
contractez
les
muscles
postérieurs
du
cou,
votre
tête
a
tendance
à
tomber
en
arrière
et
en
bas.
Et
lorsque
vous
arrêtez
de
contracter,
la
tête
revient
vers
l'avant
et
le
haut.
Pourquoi
la
tête
est-elle
partie
en
bas
et
en
arrière?
Parce
que
vous
avez
contracté
les
muscles
du
cou.
Et
pourquoi
est-elle
revenue
en
haut
et
en
avant?
Parce
que
vous
avez
arrêté
de
contracter
les
muscles
du
cou.
Et
vous
pouvez
retirer
les
doigts
des
oreilles.
Pourquoi
devrais-je
porter
attention
à
l'emplacement
de
ma
tête?
À
cause
d'une
réalité
commune
à
tous
les
animaux
possédant
une
tête
et
une
colonne
vertébrale
:
l'équilibre
de
la
tête
sur
le
sommet
de
la
colonne
vertébrale
détermine
la
qualité
de
vos
mouvements.
En
d'autres
termes,
la
relation
subtile
entre
la
tête
et
le
reste
du
corps
conditionne
votre
niveau
de
coordination.
En
s'équilibrant
naturellement
sur
le
sommet
de
la
colonne
vertébrale,
la
tête
nous
permet
d'être
merveilleusement
coordonnés.
Si
nous
perturbons
l'équilibre
de
la
tête,
nous
perdons
cette
faculté
naturelle.
3. Comment
puis-je
perturber
cet
équilibre?
de
l'arrière
du
cou,
vous
contractez
aussi
l'ensemble
des
muscles
du
corps
qui
provoquent
l'affaissement.
Pourquoi
pouvons-nous
perdre
notre
coordination
Pourtant,
de
nombreuses
personnes
n'ont
pas
le
naturelle?
Parce
que
nous
contractons
inutilement
les
sentiment
de
contracter
les
muscles
lorsqu'ils
muscles
du
cou.
Essayez
cette
expérience.
En
position
s'affaissent,
ils
pensent
au
contraire
obtenir
un
effet
assise
sur
une
chaise,
bougez
vos
bras
et
portez
attention
relaxant
après
une
station
debout
prolongée
par
à
la
sensation
qu'ils
vous
procurent..
Maintenant,
tout
en
exemple
ou
encore
un
travail
physique
important.
bougeant
vos
bras,
contractez
les
muscles
postérieurs
du
Cet
affaissement
vous
procure-t-il
un
effet
relaxant?
cou.
Quelle
sensation
éprouvez-vous
dans
les
bras?
Aimez-vous
rester
assis
de
cette
manière
ou
cela
devient-
il
inconfortable?
La
plupart
des
gens
n'aiment
pas
rester
Arrêtez
de
contracter
la
partie
postérieure
du
cou.
La
affaissés
pendant
très
longtemps.
tête
a-t-elle
bougé?
Est-ce
que
vous
ressentez
vos
bras
différemment?
Si
vous
n'êtes
pas
sûr,
renouvelez
l'expérience. Comment
puis-je
arrêter
de
m'affaisser?
Laissez
votre
tête
tomber
plus
loin
en
arrière
et
en
bas
lorsque
vous
bougez
vos
bras.
La
plupart
des
gens
vous
diraient
:
«
tiens-toi
droit!
».
Que
remarquez-vous?
Ils
vous
diraient
de
FAIRE
quelque
chose
pour
ne
pas
Maintenant,
arrêtez
de
contracter
les
muscles
du
cou.
vous
effondrer.
Essayons
ceci
:
à
partir
de
votre
position
Que
remarquez-vous?
affaissée
sur
la
chaise,
redressez-vous
et
notez
ce
que
(Vous
pouvez
arrêter
de
bouger
les
bras)
vous
faites
pour
vous
redresser.
Notez
surtout
deux
Si
cette
expérience
s'est
passée
pour
vous
comme
pour
choses
:
la
direction
que
vous
prenez
et
la
qualité
de
la
plupart
des
gens,
vos
bras
sont
devenus
plus
lourds
et
mouvement
que
vous
utilisez.
La
direction
fait
référence
plus
difUiciles
à
bouger
lorsque
vous
avez
contracté
les
au
chemin
que
vous
prenez
pour
partir
du
point
A
muscles
de
la
nuque.
Vous
pouvez
aussi
avoir
ressenti
de
«
affaissé
»
au
point
B
«
redressé
»,
et
la
qualité
décrit
la
l'inconfort
dans
votre
cou.
Mais
lorsque
vous
avez
arrêté
manière
dont
vous
bougez
:
de
manière
facile,
de
contracter
les
muscles
postérieurs
du
cou,
vos
bras
confortable,
tendue,
inhabituelle,
lourde,
légère,
etc.
sont
devenus
plus
légers,
plus
faciles
à
bouger.
Qu'est-ce
Votre
position
redressée
est-elle
confortable?
Pouvez-
qui
a
provoqué
le
changement
dans
vos
bras?
Le
niveau
vous
la
tenir
longtemps?
Pourriez-vous
rester
assis
sur
de
tension
musculaire
dans
votre
cou.
Nous
avons
parlé
un
banc
sans
dossier
pendant
plusieurs
minutes
sans
des
muscles
de
l'arrière
du
cou,
mais
nous
avons
aussi
avoir
de
douleur?
La
plupart
des
gens
ressentent
de
des
muscles
en
avant
du
cou.
La
plupart
des
gens
l'inconfort
en
position
redressée
prolongée.
Si
vous
sous
perdent
leur
coordination
naturelle
en
contractant
les
sentez
inconfortables,
laissez-vous
aller
de
nouveau
dans
muscles
postérieurs
du
cou,
d'autres
en
contractant
les
l'affaissement.
Recommencez
à
vous
redresser,
muscles
de
la
partie
antérieure
du
cou,
et
d'autres
en
doucement,
en
notant
la
direction
et
la
qualité
de
votre
faisant
les
deux!
Vous
pouvez
renouveler
l'expérience
en
déplacement
et
observez
en
particulier
ce
que
fait
la
tête
contractant
les
muscles
antérieurs
du
cou
et
observez
ce
en
relation
avec
le
reste
du
corps.
qui
se
passe.
Que
remarquez-vous?
Avez-vous
commencé
à
bouger
de
manière
facile?
Avez-vous
continué
avec
cette
qualité
ou
à
un
certain
Que
se
passe-t-il
lorsque
la
tête
va
vers
le
point
avez-vous
commencé
à
contracter
les
muscles?
bas?
Avez-vous
remarqué
si
votre
tête
bougeait
en
premier
ou
était-ce
une
autre
partie
du
corps
qui
amorçait
le
Voici
une
autre
expérience
:
asseyez
vous
sur
une
mouvement?
Quels
muscles
avez-vous
contractés
pour
chaise,
contractez
les
muscles
postérieurs
du
cou
pour
vous
redresser?
La
plupart
des
gens
contractent
les
que
la
tête
commence
à
tomber
vers
le
bas
et
l'arrière.
muscles
du
dos
pour
se
redresser.
Si
vous
n'êtes
pas
sûrs
Augmentez
la
contraction
et
observez
ce
qui
se
passe
de
ce
que
vous
faisiez
avec
la
tête
pour
vous
redresser,
dans
votre
corps.
répétez
l'expérience
avec
les
doigts
dans
les
oreilles.
Que
se
passe-t-il?
La
plupart
des
gens
ressentent
comme
un
«
effondrement
».
En
contractant
les
muscles
4. Une
façon
différente
d'arrêter
l'affaissement
Maintenant,
vous
savez
comment
vous
vous
affaissez,
et
comment
vous
pouvez
éviter
de
le
faire
en
vous
redressant.
Mais
vous
avez
toujours
un
problème
:
vous
ne
voulez
plus
vous
affaisser
et
le
redressement
devient
rapidement
inconfortable.
Que
pouvez-vous
faire?
Premièrement,
rappelez-vous
ce
qui
a
provoqué
l'affaissement
:
vous
avez
contracté
les
muscles
du
cou
puis
de
l'ensemble
du
corps,
vous
avez
FAIT
quelque
chose
pour
vous
affaisser.
Maintenant,
qu'est-ce
qui
a
le
plus
de
sens?
Arrêter
de
s'affaisser
en
FAISANT
quelque
chose
(en
se
redressant),
ou
arrêter
de
FAIRE
quelque
chose
qui
provoque
l'affaissement?
Essayons
une
autre
expérience
:
redressez
votre
index
verticalement
puis
placez
la
paume
ouverte
de
l'autre
main
sur
le
sommet
de
votre
index.
Appuyez
sur
le
sommet
de
l'index
avec
la
paume
de
l'autre
main.
Qu'arrive-t-il?
Vous
observez
probablement
que
votre
index
plie,
se
déforme
d'une
certaine
façon
sous
l'effet
de
la
poussée.
Maintenant,
enlevez
votre
main.
Que
se
passe-t-il?
Le
doigt
revient
dans
sa
position
de
départ.
Pourquoi
le
doigt
a-
t-il
plié?
Parce
que
vous
avez
poussé
dessus.
Pourquoi
a-t-il
arrêté
de
plier?
Parce
que
vous
avez
arrêté
de
pousser
dessus.
Pourquoi
vous
affaissez-vous?
Parce
que
vous
poussez
vous-même
sur
votre
corps
en
contractant
inutilement
les
muscles
du
cou
et
du
corps.
Comment
pouvez-vous
arrêter
de
vous
affaisser?
En
arrêtant
de
pousser
vous-même
sur
votre
corps.
Il
vous
sera
maintenant
plus
facile
d’arrêter
de
FAIRE
quelque
chose
qui
provoque
l'affaissement.
Commençons
avec
la
relation
entre
la
tête
et
le
corps.
Lorsque
vous
êtes
assis
dans
une
position
affaissée,
pensez
à
relâcher
les
muscles
du
cou.
Permettre
aux
muscles
de
se
relâcher
ne
veut
pas
dire
FAIRE
quelque
chose
pour
les
relâcher.
Cela
veut
dire
simplement
d'arrêter
de
les
contracter.
Vous
n'avez
qu'à
penser
très
clairement
à
réduire
l'hyperactivité
musculaire.
C'est
ici
qu'un
ami
ou
un
miroir
peut
vous
aider
en
vous
faisant
remarquer
si
vous
arrêtez
effectivement
de
contracter
les
muscles
du
cou
ou
si
vous
essayez
de
faire
quelque
chose
pour
les
relâcher.
Permettre
aux
muscles
de
se
relâcher
vous
donnera
probablement
la
sensation
de
ne
rien
faire.
À
ce
stade,
certaines
personnes
seront
tentées
de
FAIRE
quelque
chose
pour
pouvoir
sentir
qu'elles
«
ont
»
relâché
les
muscles
du
cou.
N'EN
FAITES
RIEN!
Si
vous
essayez
d'en
faire
plus,
vous
ne
ferez
que
contracter
les
muscles,
ce
qui
est
à
l'opposé
de
ce
que
vous
recherchez.
Revenez
à
votre
manière
de
penser,
et
très
délicatement,
avec
la
plus
petite
pensée
dont
vous
êtes
capables,
permettez
aux
muscles
de
se
relâcher.
Dès
que
vous
arrêterez
de
contracter
les
muscles
du
cou,
votre
tête
commencera
à
bouger
délicatement
en
haut
et
en
avant
sur
le
sommet
de
votre
colonne
vertébrale.
Au
début,
ce
sera
un
très
petit
mouvement,
ce
sera
parfait.
Observez
la
facilité
avec
laquelle
vous
bougez
et
permettez
simplement
que
cela
continue.
Vous
remarquerez
probablement
que
dès
que
votre
tête
se
dirigera
facilement
en
haut
et
en
avant,
l'ensemble
du
corps
commencera
à
bouger
avec
plus
d'aisance
dans
cette
même
direction.
Ce
sera
minime
au
début.
Portez
uniquement
votre
attention
sur
la
qualité
de
votre
pensée,
et
donc
de
votre
mobilité.
Permettez
à
votre
pensée
et
à
votre
mobilité
de
devenir
aussi
légères
et
aisées
que
possible.
Quand
s'arrêter?
Jusqu'où
pouvez-vous
aller
avec
cette
nouvelle
manière
de
penser?
Éventuellement
très
loin...
Mais
pour
l'instant
il
est
plus
important
de
commencer
par
un
petit
changement
et
de
s'en
contenter.
Si
vous
essayez
d'en
faire
plus,
vous
en
ferez
de
trop.
Donc,
ARRÊTEZ
lorsque
vous
aurez
obtenu
un
petit
changement
avec
votre
nouvelle
manière
de
penser,
surtout
si
vous
désirez
en
obtenir
plus.
Même
si
vous
ne
voulez
pas
le
croire,
vous
réussirez
plus
rapidement
si
vous
expérimentez
votre
nouvelle
manière
de
penser
de
façon
claire
et
brève,
sans
essayer
d'en
faire
trop.
Si
vous
ressentez
de
l'inconfort,
faites
beaucoup
de
pauses
:
lisez
un
livre,
appelez
un
ami,
partez
en
promenade,
caressez
le
chat,
peu
importe.
FAITES
DES
PAUSES.
5. Pour
continuer
à
commencer
Vous
avez
maintenant
quelques
informations
qui
vous
aideront
à
changer
votre
manière
de
bouger.
Vous
avez
expérimenté
une
activité
spéciUique,
celle
de
vous
asseoir.
Vous
pouvez
maintenant
refaire
la
même
expérience
dans
l'activité
de
votre
choix.
Choisissez
une
activité.
Attendez
un
moment,
et
trouvez
votre
nouvelle
organisation.
Observez
la
relation
entre
la
tête
et
le
reste
du
corps.
Pensez
très
délicatement
à
relâcher
votre
cou
et
à
laisser
votre
tête
se
diriger
en
haut
et
en
avant
sur
le
sommet
de
votre
colonne
vertébrale.
Rappelez-vous
:
vous
ne
faites
qu'y
PENSER,
vous
ne
faites
rien
pour
provoquer
un
changement.
Remarquez
ce
qui
se
passe
dans
le
corps
et
maintenez
ce
mode
de
pensée
durant
toute
l'activité.
Qu'observez-vous?
Êtes-vous
capables
de
maintenir
cette
nouvelle
manière
de
penser
tout
en
saisissant
un
crayon
ou
en
vous
grattant
le
nez?
Vous
souvenez-vous
où
se
trouve
le
sommet
de
la
colonne
vertébrale?
Si
vous
réalisez
que
vous
avez
abandonné
votre
nouvelle
manière
de
penser,
c'est
très
bien
:
c'est
une
nouvelle
manière
de
penser,
un
nouvel
outil.
Et
un
nouvel
outil
demande
beaucoup
de
pratique.
À
partir
de
maintenant,
de
temps
en
temps,
faites
une
pause
avant
de
commencer
une
activité
et
trouvez
une
nouvelle
organisation.
Pensez
à
votre
cou,
à
votre
tête,
à
la
globalité
de
votre
corps
qui
doit
se
sentir
libre
et
confortable
dès
que
vous
commencez
une
activité.
Notez
tout
ce
que
vous
observez
et
apprenez,
et
surtout,
prenez
beaucoup
de
plaisir.
Quels
sont
les
bénéIices
?
➡ Récupérer
de
manière
douce
une
coordination
naturelle
➡ Retrouver
un
allongement
et
une
ouverture
de
la
musculature
➡
Gérer
le
stress
en
reconnaissant
les
tensions
que
nous
nous
imposons
➡
Développer
une
plus
grande
conscience
dans
notre
manière
de
faire
et
d'être
grâce
à
des
sensations
et
des
perceptions
plus
Jiables
➡ Acquérir
une
nouvelle
façon
d’utiliser
nos
propres
ressources
physiques
et
psychiques