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Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016

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Revue de presse IoT / Data du 01/12/2016
Bonjour,
Voici la revue de presse IoT/data du 3 décembre 2016.
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voiture électrique.
La transition verte serait-elle plus rapide si les installations étaient plus agréables à l’œil et
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Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016

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Premier exemplaire d'une revue de presse IOT que j'essaie de mettre en place sur les sujets au croisement de l'IoT/data/énergie.

Je suis preneur d'infos et de sources en plus !

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Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016

  1. 1. Revue de presse IoT / Data du 01/12/2016 Bonjour, Voici la revue de presse IoT/data du 3 décembre 2016. C’est la finalisation de mon automatisation de la collecte et de la transformation des infos. Elle sera dorénavant hebdomadaire par objectif pour en avoir moins long. La meilleure solution est le format 4-5 articles. Je suis preneur des différents contenus car cela permet d’obtenir de nouvelles sources… Bonne lecture ! Table des matières 1. EPB smart grid avoids 90 percent of expected power outages 2. Totem Power lance une plateforme multifonction pour la ville de demain - Les- SmartGrids.fr 3. Comment GE modélise la smart city avec le Français Cosmo 4. The Surprising Backbone of the Internet of Things – Backchannel 5. Amazon Web Services introduces AWS IoT Competency 6. Comment Enedis rend le réseau électrique communicant 7. Chinese IoT Edge Computing Consortium Established 8. EDF produit le clone numérique de ses centrales nucléaires 9. Google releases open source 'Cartographer' 10. EDF crée une filiale pour la maison connectée 11. En Finlande, des habitants privés de chauffage suite à une attaque DDoS 12. CONNIT lève 3 millions d'euros : ça bouge dans l'écosystème IoT toulousain EPB smart grid avoids 90 percent of expected power outages by Dave Flessner Read Time: < 1 min. Despite several rounds of violent storms that raced through the area overnight, EPB's smart grid kept the electric power on for about 90 percent of Chattanooga's electricity users who would have otherwise experienced an outage, EPB spokesman John Pless said today. "Smart grid automation either prevented or automatically restored more than 23,000 customer outages, with almost 2,100 customers experiencing outages of greater than five
  2. 2. minutes," Pless said. As of 4 p.m., less than 200 EPB customers were still without power "and crews will continue working until all the damage can be repaired and service is restored," Pless said. The smart grid uses fiber optic communication links and intelliruptors to monitor and control the flow of electricity along EPB power lines. That allows the utility to redirect the flow of power when there is an outage in a particular area. Aided by a 2010 grant of more than $111 million from the Department of Energy, EPB installed the smart grid along with its fiber telecommunications network across its 600- square-mile service territory.. In response to heavy rains and winds early today, Pless said EPB crews and tree contractors also worked through the night and into today to repair damage and restore service to most customers affected. Totem Power lance une plateforme multifonction pour la ville de demain - Les-SmartGrids.fr Source URL: http://www.les-smartgrids.fr/innovation-et-vie- quotidienne/23112016,totem-power-lance-une-plateforme-multifonction-pour-la-ville-de- demain,1920.html Rédigé par Mélissa Petrucci | Le 23 novembre 2016 à 18:30 La start-up américaine a mis au point un terminal qui sert à la fois de centrale solaire, de batterie de stockage, de borne WIFI et de station de recharge pour
  3. 3. voiture électrique. La transition verte serait-elle plus rapide si les installations étaient plus agréables à l’œil et mieux intégrables dans l’espace public, plutôt que cantonnées aux toits d’immeubles ou de parkings comme elles le sont généralement ? Peut-être verrions-nous s’installer davantage d’infrastructures renouvelables si ces dernières étaient en effet conçues avec davantage de style et offraient plus de fonctionnalités. C’est du moins ce que pense la start-up Totem Power qui vient de lancer une nouvelle plateforme « tout en un » qui propose d’allier le design à la technologie. Les villes grouillent déjà d’infrastructures énergétiques et d’appareils de télécommunication mais la généralisation des systèmes de communication sans fil et la montée en puissance des véhicules électriques, combinées à une énergie propre de plus en plus abordable permettent aujourd’hui d’envisager des solutions complètes capables de surfer sur l’innovation pour gagner en efficacité. Dans un monde qui plébiscite de plus en plus la smart city et les services intelligents, la plateforme proposée par la société Totem Power est bien partie pour devenir une solution incontournable aux villes de demain. La plateforme fait office de centrale solaire, de borne de connexion WIFI, de batterie de stockage d’énergie et de station de recharge pour véhicules électriques, tout cela réuni en une seule unité. Avec cette sa nouvelle installation, l’entreprise américaine veut révolutionner la manière d’appréhender et de développer les équipements intelligents. Premier modèle lancé dès 2017 Le premier modèle Totem devrait être lancé durant l’été 2017 et sera constitué d’un système solaire capable de produire 5kW d’énergie, d’une batterie de 44 kWh, d’un éclairage intelligent, d’une connexion WIFI et 4G et d’une borne de recharge électrique. Le produit a été conçu pour se marier parfaitement au paysage urbain et si sa petite taille l’empêche d’être envisagé comme une source d’énergie capable d’alimenter seule tout un immeuble, Totem Power conviendra d’être utilisé comme une solution complémentaire, qu’il sera facile d’installer un peu partout. « La société Totem est convaincue que le design peut fondamentalement changer le monde. Nous menons un travail qui vise à exploiter le potentiel énorme que présente la transformation énergétique en permettant aux villes et aux entreprises d’avoir accès à des solutions intelligentes et engageantes. Nous bâtissons la technologie des villes de demain » explique Brian Lakamp, dirigeant-fondateur de Totem Power. Comment GE modélise la smart city avec le Français Cosmo
  4. 4. Source URL: http://www.silicon.fr/ge-modelise-smart-city-francais-cosmo-164135.html Comment assurer la transition énergétique sans multiplier les investissements en infrastructure ? Pour tenter de répondre à cette question, GE Grid Solutions mise sur un Sim City de l’énergie, qu’il entend relier à l’IoT. Avec la mutation du marché de l’énergie, notamment marquée par l’arrivée de moyens de production diffus (solaire, éolien, géothermie localisés au niveau des usagers eux- mêmes), optimiser globalement ce qui est injecté et distribué dans le réseau, à l’échelle d’un écoquartier ou d’une ville, devient un sujet éminemment complexe. « Ce sont des calculs sur des systèmes de systèmes complexes », résume Laurent Schmitt, le responsable de la stratégie smart grid de GE Grid Solutions, une joint-venture entre le géant industriel américain et Alstom spécialisée dans les outils de pilotage des réseaux énergétiques. L’optimisation en question vise, par exemple, à décaler la pointe de consommation électrique sur le réseau – un facteur clef puisqu’il détermine son dimensionnement – en jouant sur le timing du pompage sur le réseau d’eau, activité évidemment très gourmande en énergie. « Nous avons fait plancher nos experts sur le sujet. Face à des systèmes habitués à travailler par silos, nous sommes parvenus à la conclusion que l’approche devait partir du client », explique Laurent Schmitt. Une approche qui colle précisément à celle d’un jeune éditeur français, The Cosmo Company, une start-up fondée en 2010 et issue de travaux de recherche menés par l’ENS (Ecole normale supérieure) de Lyon et le CNRS sur les systèmes complexes. « Si je veux comprendre la forme d’une main, je ne peux me contenter d’aller examiner comment évolue un gène, une cellule ou un tissu. La main est un grand système qui contient des tas de sous-systèmes, en interaction, dynamiques. La forme de la main est un phénomène émergent de ces sous-systèmes », résume un des trois co-fondateurs de l’éditeur français, Michel Morvan, dans une vidéo datant de 2014. Confronter le modèle au réel Si The Cosmo Company (plus de 70 personnes aujourd’hui) s’est depuis éloigné de la recherche fondamentale, son outil vient titiller de très grandes entreprises, aux prises avec des problèmes d’optimisation complexes. On trouve ainsi parmi les clients de l’éditeur lyonnais RTE, SNCF, Veolia, EDF, GRT Gaz et donc GE. Ce dernier trouve dans l’outil de la start-up une modélisation à base d’agents adaptée à sa volonté d’optimiser un réseau énergétique en partant des usagers. Sur la base de la technologie des Lyonnais, la co-entreprise entre GE et Alstom a donc développé un système permettant de reconstituer les contraintes d’un réseau d’énergie. Démarrée dans le cadre de l’Institut de recherche technologique System X il y a environ 3 ans, la collaboration entre GE Grid Solutions et Cosmo a abouti à un premier prototype finalisé voici environ 8 mois. « Nous avons signé le premier vrai contrat d’étude il y a environ 3 mois. Nous sommes en train de confronter nos modèles à la réalité sur le réseau de chaleur de la ville d’Andorre, avec l’énergéticien local », précise Laurent Schmitt.
  5. 5. Capture d’écran de Smart Energy Planning. Car, pour devenir réellement efficace, ce Sim City des réseaux d’énergie doit se confronter à la réalité, donc ingérer de grands volumes de données issus de multiples sources. Une étape chronophage, confirme GE Grid Solutions. Mais pour un enjeu colossal : l’optimisation des investissements dans le réseau d’énergie, à différentes échéances. « Le KPI financier clef d’une telle solution de planification, c’est la baisse des dépenses d’investissement nécessaires pour assurer la transition énergétique », résume le responsable de la stratégie smart grid. Affiner le modèle avec l’IoT Pour l’heure, malgré quelques contrats d’étude (y compris en France), l’outil de planification baptisé Smart Grid Planning n’est pas encore en mesure de fournir des indicateurs précis sur ce plan. « Sur le projet en Andorre, nous sommes encore en phase de calage du modèle. Il faut recueillir toutes les données et effectuer des réglages progressifs. Par ailleurs, le calage du t zéro s’avère crucial ; aujourd’hui nous travaillons encore sur un réseau théorique », tempère Laurent Schmitt. Qui estime toutefois que l’outil devrait être en mesure de délivrer de premières indications sur l’optimisation des coûts d’ici un an. Notons par ailleurs que GE envisage d’intégrer Smart Grid Planning à sa stratégie IoT, portée par son Paas dédié, appelé Predix. « Les données collectées par ce dernier sur le réseau énergétique réel seraient utilisées en entrée du modèle de planification, détaille Laurent Schmitt. Ce qui doit permettre d’affiner le modèle. » C’est d’ailleurs dans cette démarche que l’industriel s’est engagé à Andorre où les infrastructures urbaines et le réseau seront connectés au Cloud afin de collecter des données sur l’état réel du système.
  6. 6. The Surprising Backbone of the Internet of Things – Backchannel Source URL: https://backchannel.com/the-surprising-backbone-of-the-internet-of- things-4330301084b0#.90hutuonv At the end of the recently-openedExpo Line in Los Angeles — and you’ll want to take that snazzy light rail, because the I-10 freeway running between downtown and the coast is one of the 10 most-congested roadways in the world — you’re in Santa Monica, California. You’re at the Colorado Esplanade stop, a stunning platform of pedestrian- and bike-friendly multi-modality that feels open and available. It’s just one of many great things about my hometown. There is the superb weather. There is the beach and the pier. There is street life and the RAND Corporation (“We’re based in Santa Monica because that’s where we were founded, and it suits us”). And there is the city’s most recent source of civic pride: its street lights and traffic signal poles. Don’t laugh. I think of them as the Colorado Esplanade in the sky. No, I am not celebrating their function as providers of light. Their real power comes from a transformation — into neutral platforms that provide the tools of connectivity to everyone. Very few American cities (notable exception: Atlanta) have carried out this transmogrification, but every single one will need to. Santa Monica is showing the way: it is a city that will be able to control its future digital destiny, because it is taking a comprehensive, competition-forcing approach to the transmission of data. Here’s why poles are generally important: for the advanced wireless transmissions (whatever 5G turns out to be) that will be central to our shared digital future, you need access to fiber optic cables at frequent geographic intervals. That fiber, in turn, needs to be “dark” — meaning that it’s unlit by lasers and is just a passive transmission medium that can be traversed by a tsunami of 5G data. And access to that dark fiber needs to be available at a reasonable price. When that reasonably priced dark fiber is connected to a pole, you can hang wireless transmission boxes off that pole. And if those poles are spaced no more than 200 meters apart, you can treat them as “microsites:” places for facilitating very advanced, high- capacity wireless services covering sidewalks, homes, and businesses. The ideal pole will be like an electrical outlet in a home: available at a standard, reasonable price to any wireless carrier wanting to connect; connected to a standard wire (in the pole context, dark fiber); and incorruptible. No one—no vendor of devices or extension cords—should get better access to that outlet than anyone else, or be able to slow down someone else’s arrival on that pole. So, poles could be extremely useful. But not all poles are the same. I’ve recently written about telephone poles (or utility poles) as places of high drama and conflict. There are special fights that go on there that are inherently unfriendly to cities, competition, and innovation. These fights are made possible by a murky regulatory setting that is easily used by incumbent telecom companies with a deep and utterly rational interest in maintaining the status quo. Go into a meeting about telephone poles as a city and you’ll feel like you were the last one to come to the party: all
  7. 7. the private guys in the room have gained control and can easily outmaneuver you. Streetlights and traffic signal poles are different. They’re part of the public right of way; they’re assets that are often owned and maintained by cities themselves, or by the local power company. With streetlights and signal poles, a city stands a chance of pushing along a competitive and innovative world of Internet of Things and sensors and data transmission, as long as it acts decisively to open those street lights and signal poles on a standard technical basis — again, like an electrical outlet. Here are the three world-shaking steps Santa Monica recently took. First, Santa Monica already had dark fiber available to its streetlights and traffic signal poles because of its 100 gigabit CityNet network. As such, the city could make sure that all of these connections were working well and were reasonably priced. Second, Santa Monica controls most of its streetlights. Southern California Edison recently ran a 30-month program aimed at selling those streetlights to California cities. It was a win-win move: SCE wanted to gradually get out of the light- and power-distribution business, and cities that bought these streetlights could replace traditional streetlights with LED bulbs. LED: lower energy use; lower maintenance costs. (The SCE program ended last summer.) But the third step was the charm: This past summer, Santa Monica adopted an ordinance requiring that wireless carriers get access to Santa Monica’s streetlights and traffic signal poles only on a neutral basis. It also sets design requirements for these rights-of-way assets, emphasizing the need for nice-looking poles that conceal gear. But the important thing is that carriers will not be able, in the words of former Santa Monica CIO Jory Wolf, to “delay or preclude” competition. The desired result: no one can lock up these poles. Companies have figured out that streetlight access is valuable territory. As Wolf warns, “All the controversy about the telephone poles is now going to be moved to streetlight poles. Companies are looking for exclusive rights to poles and saying they can’t co-locate [with their competitors]. They’re all hiring firms to lock up their permits and rights to as many poles as possible, as quickly as possible, before governments can organize.” Santa Monica’s new ordinance gets ahead of this game plan and defeats it. Streetlight access will be standardized and subject to a reasonable monthly fee charged by the city. Cities that get control of their streetlights and connect them to municipally overseen, reasonably priced dark fiber can chart their own Internet of Things futures, rather than leave their destinies in the hands of vendors whose priorities are driven (rationally) by the desire to control whole markets and keep share prices and dividends high rather than provide public benefits. (Here’s a good explainer from San Jose of the role of streetlights in the Internet of Things.) Local governments haven’t seen the importance of their role in ensuring public benefits from these advanced wireless transmissions until very recently. But I’m hoping Santa Monica’s ordinance will help them make the right decisions.
  8. 8. Neutral “micro” cell sites can make very high-capacity wireless transmissions available, competitively, to everyone (and every sensor) nearby. This can and should cause an explosion of options and new opportunities for economic growth, innovation, and human flourishing in general. It’s a phase change. But it will only happen in a healthy, productive way if cities swiftly put in place comprehensive plans for their streetlights and traffic signals. If Los Angeles, the land of the car, can build a train line, any city can figure out how to control its streetlights. But cities need to act fast. The train may already have left the station. Amazon Web Services introduces AWS IoT Competency Source URL: http://www.iottechnews.com/news/2016/dec/01/amazon-web-services- introduces-aws-iot-competency/ Amazon Web Services (AWS) has announced the AWS IoT Competency, a program for customers to help find the right partners, with various companies already on board. The Amazon Web Services blog writes that the opportunity for AWS partner network (APN) partners in the IoT space is enormous as the worldwide IoT market is forecast to grow exponentially in the future. IDC predicts that the global IoT market will grow to $1.46 trillion in 2020 with a CAGR of 16.1%, while the installed base of IoT endpoints is also estimated to grow to more than 30 billion in 2020. AWS is looking for more and more customers from around the world who are planning to build innovative IoT applications on AWS. Via its Competency Program, AWS will help its customers to find the right APN Partners to engage to meet their specific business needs. It also launched one of its two new AWS Competencies at the recently held AWS Global Partner Summit at re:Invent, the AWS IoT Competency. The AWS IoT Competency showcases industry-leading AWS Consulting and Technology Partners that provide proven technology and/or implementation capabilities for a variety of use cases including (though not limited to) intelligent factories, smart cities, energy, automotive, transportation, and healthcare. Intel and Microchip Technology have been designated as technology partners in the Edge category. Partners in this category provide hardware and software ingredients used to build IoT devices, or finished products used in IoT solutions or applications. MachineShop is a partner in the Gateway category. Partners in this category provide data aggregation hardware and/or software connecting edge devices to the cloud and providing on premise intelligence as well as connecting to enterprise IT systems. Bsquare Corporation, C3 IoT, Splunk, PTC and Thinglogix were Platform Partners. Amdocs, Asavie, Eseye and SORACOM were the Connectivity partners. To receive the designation of AWS IoT Competency Partners, companies must possess
  9. 9. deep expertise of AWS services and skills and undergo an assessment of the security, performance, and reliability of their solutions. Solstice, an award-winning emerging technology and innovation firm that serves Fortune 500 clients, also achieved the AWS IoT Competency status. Leave a comment log in Alternatively This will only be used to quickly provide signup information and will not allow us to post to your account or appear on your timeline. Comment Enedis rend le réseau électrique communicant Source URL: http://www.lesechos.fr/pme-regions/innovateurs/0211338092479- comment-enedis-rend-le-reseau-electrique-communicant-2033976.php#Xtor=AD-6000 Comment Enedis rend le réseau électrique communicant Le 11/10 à 06:00 Comment Enedis rend le réseau électrique communicant C'est une première mondiale. Pendant un an, Enedis (ex-ERDF) et neuf partenaires industriels et académiques ont expérimenté, à Toulouse, une chaîne de communication globale sur un réseau électrique, du poste de distribution aux clients. Ce réseau, appelé Sogrid, injecte du courant porteur en ligne (CPL) de 3e génération sur les câbles électriques pour envoyer un signal numérique. Le CPL fonctionne déjà dans les logements, mais c'est la première fois qu'il est installé sur un réseau de moyenne tension. L'expérimentation est menée depuis septembre 2015 dans 1.000 foyers, avec 1.300 équipements communicants déployés, dont 1.000 compteurs intelligents. Car le réseau électrique a besoin de systèmes de communication pour piloter à distance la production intermittente des énergies renouvelables et optimiser la consommation. PUBLICITÉ inRead invented by Teads « Un taux de 30 % d'énergie renouvelable est acceptable, mais il faudra trouver une
  10. 10. parade pour atteindre 50 % comme le prévoit la loi sur la transition énergétique, d'où l'expérimentation de Sogrid », explique Jean Paoletti, directeur régional d'Enedis en Midi- Pyrénées Sud. Les industriels partenaires du projet ont mis au point cinq équipements communicants, dont le compteur et le « smart data » concentrateur. Pour sa part, STMicroelectronics a conçu la puce Comet, qui cumule les fonctions de 4 puces dans le compteur intelligent. Cinq brevets ont été déposés, dont trois par Nexans et deux par Enedis. Le réseau Sogrid ne sera pas encore généralisé. « La configuration finale n'est pas terminée, car nous menons 17 projets de "smart grid" », rappelle Jean Paoletti. Laurent Marcaillou, Les Echos Correspondant à Toulouse Sogrid Responsable du projet : Jean Paoletti, directeur d'Enedis Midi-Pyrénées Sud Partenaires : Enedis, STMicroelectronics, Nexans, Capgemini, INP Grenoble... Montant : 27 millions d'euros, dont 12 millions de l'Ademe Secteur : énergie Sur le même sujet Chinese IoT Edge Computing Consortium Established Source URL: http://www.iotevolutionworld.com/fog/articles/427617-chinese-iot-edge- computing-consortium-established.htm Chinese IoT Edge Computing Consortium Established According to a recent release from China, a joint venture by Huawei Technologies, Shenyang Institute of Automation of Chinese Academy of Sciences, China Academy of Information and Communications Technology (CAICT), Intel Corporation, ARM, and iSoftStone has resulted in the Edge Computing Consortium (ECC) officially being established in Beijing.
  11. 11. The ECC’s stated goals include building a cooperative platform for the edge computing industry that will give impetus to openness and collaboration in the Operational Technology (OT) and Information and Communications Technology (ICT) industries, nurture industrial best practices, and stimulate the healthy and sustainable development of edge computing. “In the 13th Five Year Plan, China launched two national strategies, integration of digitization and industrialization, as well as ‘Made in China 2025,’” said Yu Haibin, Chairman of the ECC and Director of Shenyang Institute of Automation, the Chinese Academy of Sciences. “This requires much on ICT and OT convergence. Edge Computing is key to supporting and enabling this convergence. Meanwhile, industrial development is also facing a turning point. Industrial automation technology systems will evolve from layered architecture and information silos to IoT, cloud computing, and Big Data analytics architecture. Amidst the evolution, edge computing will bolster distributed industrial automatic self-control architecture. Therefore, the ECC will keep an eye on the design of the architecture and the choice of technical roadmap, as well as promoting industrial development through standardization. In addition, building an ecosystem will also be focused.” The ECC is in pursuit of the OICT concept that OT, information technology (IT), and communications technology (CT) resources should integrate and coordinate with each other, and stick to the spirit of consensus, unity, and win-win cooperation, to drive forward the ECC's healthy development. The ECC strives to advance cooperation among industry resources from government, vendors, academics, research, and customer sectors. The ECC recently published a white paper that puts emphasis on the edge computing industry's trends and major challenges, elaborates on the definition and content of edge computing. EDF produit le clone numérique de ses centrales nucléaires Source URL: http://www.silicon.fr/edf-clone-jumeau-numerique-centrales-nucleaires- 164080.html EDF produit le clone numérique de ses centrales nucléaires D’ici 2020, EDF va créer ses premiers jumeaux numériques de réacteurs nucléaires (le groupe en exploite 58 en France). Sécurité et maintenance prédictive sont au menu. Après quatre ans de travaux de R&D, le lancement d’un programme de numérisation a été
  12. 12. validé par EDF cet été. L’électricien va créer les jumeaux numériques de ses centrales nucléaires, avec des scanners laser et des photographies 3D. Dans un premier temps, d’ici 2020, les clones virtuels des premiers réacteurs construits pour chaque famille de centrales vont être réalisés. « La grande nouveauté, c’est qu’on peut aujourd’hui simuler l’état en temps réel de nos centrales existantes, le partager avec nos fournisseurs […] et le suivre jusqu’au démantèlement », a indiqué à l’agence Reuters Pierre Beroux, directeur de la transition numérique industrielle de la production-ingénierie chez EDF. Ces maquettes virtuelles permettront de mieux prévoir les arrêts de réacteurs et coordonner les opérations à réaliser (déconstructions futures incluses) entre les équipes d’EDF, les sous-traitants et les fournisseurs. En France, la production électrique repose à plus de 76 % sur le nucléaire. 1 million d’euros par clone « On ne sait pas aujourd’hui si la logique nous conduira à moyen terme – dans cinq ou six ans – à faire une maquette pour chaque centrale ou si le groupe utilisera une maquette de référence pour chaque sous-palier », a déclaré Pierre Beroux mercredi. Le Chief digital officer (CDO) a néanmoins précisé que les premiers jumeaux numériques d’EDF coûteraient chacun 1 million d’euros environ. Ce coût fait partie du budget « grand carénage » d’EDF, un programme d’investissement de plus de 50 milliards d’euros sur la période 2014-2025. Il doit permettre de prolonger la durée de vie des 58 réacteurs nuclaires exploités par EDF, tout en répondant aux nouvelles normes de sûreté post-Fukushima (en référence à l’accident nucléaire japonais du 11 mars 2011). Parc nucléaire français EDF, dont le Pdg, Jean-Bernard Lévy, fut le patron de Thales, s’inspire de grands projets menés par le secteur aéronautique, entre autres. Et veut rester optimisme. Pour l’industriel, la numérisation n’augmente pas le risque de piratage, mais permet au contraire de le réduire. « Il n’y a aucune passerelle organisée entre le pilotage du réacteur et tout ce qui relève de l’informatique de gestion, a indiqué Pierre Beroux. II y a une règle d’étanchéité absolue qui rend en pratique totalement impossible un risque de cyberattaque touchant le contrôle-commande des réacteurs ». Cette déclaration intervient à l’heure où l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) prescrit une augmentation des contrôles. En octobre, l’ASN a demandé à EDF d’accélérer l’arrêt temporaire de cinq réacteurs supplémentaires, et de procéder à des contrôles. Aujourd’hui, douze réacteurs d’EDF (sur 58 au total) sont à l’arrêt, ou vont l’être, pour contrôler la capacité de résistance mécanique des générateurs de vapeur, a expliqué au Figaro Pierre-Franck Chevet, président de l’Autorité de sûreté nucléaire. Lire aussi : Comment EDF Energies Nouvelles turbine au Big Data Déréglementation de l’électricité : la facturation n’a pas suivi
  13. 13. Les datacenters français inquiets sur le rééquilibrage des tarifs de l’électricité crédit photo © chungking / Shutterstock.com Google releases open source 'Cartographer' Source URL: http://betanews.com/2016/10/05/google-open-source-cartographer/ Machine learning and vision are essential technologies for the advancement of robotics. When sensors come together, they can enable a computer or robot to collect data and images in real-time. A good example of this technology in real-world use is the latest Roomba vacuums. As the robot cleans your dirty floor, it is using sensors combined with a camera to map your home. Today, Google releases Cartographer -- an open source project that developers can use for many things, such as robots and self-driving cars. "We are happy to announce the open source release of Cartographer, a real-time simultaneous localization and mapping (SLAM) library in 2D and 3D with ROS support. SLAM is an essential component of autonomous platforms such as self driving cars, automated forklifts in warehouses, robotic vacuum cleaners, and UAVs", says Google. The search giant further shares, "our focus is on advancing and democratizing SLAM as a technology. Currently, Cartographer is heavily focused on LIDAR SLAM. Through continued development and community contributions, we hope to add both support for more sensors and platforms as well as new features, such as lifelong mapping and localizing in a pre-existing map". You can see Toyota leveraging this open source project with one of its robots in the video below. In addition to this open source project, Google is also sharing 2D and 3D LIDAR and IMU data that was collected using its backpack platform. This data was collected while the search-giant tested and developed Cartographer, and should be very valuable for developers. Want to try it for yourself? Check out Cartographer on GitHUb here. EDF crée une filiale pour la maison connectée
  14. 14. Source URL: http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/10/13/edf-cree-une-filiale- pour-la-maison-connectee_5013036_3234.html Le groupe a lancé, jeudi 13 octobre, une station baptisée « Sowee » pour ses clients qui souscriraient une offre de fourniture de gaz. Jean-Bernard Levy, le patron d’EDF. La filiale Sowee s’inscrit dans le cadre du plan stratégique Cap 2030, qui prévoit notamment un virage numérique et un recentrage sur le client. OZAN KOSE / AFP EDF ne veut pas rater le virage de la transition numérique qui s’impose à tous les grands industriels, à commencer par ceux de l’énergie. Ni laisser à d’autres, comme Google, Facebook ou Orange, un marché des objets connectés et services associés qui séduit un public de plus en plus large. Le groupe a créé une filiale consacrée à cette activité, Sowee. Elle a présenté, jeudi 13 octobre, une station du même nom destinée à améliorer le confort de l’habitat et à permettre une gestion plus économe de l’énergie. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du plan stratégique Cap 2030, qui prévoit notamment un virage numérique et un recentrage sur le client. Sowee est un objet et une application smartphone qui seront vendus avec un abonnement au gaz naturel au prix de 49 euros ou 99 euros selon la formule. Fruit d’un travail de plusieurs mois au sein d’une équipe qui travaillait « en mode start-up », Sowee intègre dans un boîtier unique plusieurs fonctionnalités. Il permettra de gérer son chauffage en fonction de la température ou du budget choisi avec alertes envoyées sur le smartphone quand il y a dépassement. Mais aussi de piloter ampoules connectées et thermostat, de fournir des informations sur la qualité de l’air (taux de CO2, humidité…) et de planifier son temps de trajet (domicile-travail). « Nous voulons devenir le partenaire du bien-être durable dans l’habitat », résume Sylvie Jéhanno, directrice des clients particuliers d’EDF et présidente de Sowee, qui affirme que « ce produit innovant et évolutif est un des plus complets du marché ». Il est appelé à s’adapter aux usages de demain et fait d’ailleurs l’objet d’un test auprès de 200 usagers, avant son lancement commercial début 2017. A mesure que de nouveaux usages se développeront, « la station sera enrichie de nouvelles fonctionnalités », confirme Tiphaine Bougeard, directrice générale de Sowee. Il sera possible de surveiller le rechargement (nombre de kwh et/ou prix) de son véhicule électrique ou l’autoconsommation de l’électricité produite par les panneaux solaires installés sur le toit de sa maison. Transitions énergétique et numérique amorcées Sans se fixer d’objectif trop contraignant, Mme Jéhanno espère séduire 1 million de personnes à l’horizon 2025. Sowee est aussi un produit d’appel pour gonfler le nombre de clients utilisant le gaz. Depuis la libéralisation du marché de l’énergie en juillet 2007, EDF s’est constitué un portefeuille de 1,2 million de « clients gaz », encore loin derrière Engie (10 millions), alors qu’il a 25 millions de clients particuliers en électricité dans l’Hexagone. Mais c’est surtout le signe que l’ex-monopole EDF, longtemps focalisé sur une production de masse pour des usagers captifs, est désormais engagé dans une transition énergétique et numérique qui concerne tous les grands groupes d’énergie. Et qui s’accélère. Lire aussi : EDF veut doubler sa production d’énergie renouvelable en 2030
  15. 15. Pourquoi laisser à des opérateurs extérieurs au monde de l’énergie capter la valeur de tout le travail fait en amont dans la production et la distribution d’électricité et sa commercialisation, alors qu’EDF est une des entreprises préférées des Français ? Gestionnaire d’une quantité colossale de données, les « GAFA » sont déjà entrées dans la maison. Google offre ses services domotiques avec Home et Amazon avec Echo. Le PDG d’EDF, Jean-Bernard Lévy, semble convaincu qu’il faudra continuer de travailler avec eux, mais aussi avec des équipes universitaires et des start-up. « Je ne crois pas que Google puisse se substituer à EDF et à son rôle d’industriel – un rôle éminemment spécifique et exigeant, estime M. Lévy, dans un entretien à la revue Politique internationale (« Notre avenir est électrique », n° 152). En revanche, dans la relation client, qui est l’un de nos domaines d’excellence, nous devons être très vigilants. » La maison connectée reste encore rare, notamment parce qu’on en surestime le coût, regrette Marcel Torrents, président du directoire de Delta Dore, partenaire d’EDF et pionnier français du secteur, dans la même revue. « Avec un investissement de 10 euros par mètre carré, la possibilité existe de “domotiser” son domicile dans de bonnes conditions », calcule-t-il. Tout en précisant que la concurrence est « féroce » entre opérateurs télécoms, énergéticiens, GAFA et start-up. En Finlande, des habitants privés de chauffage suite à une attaque DDoS Source URL: http://www.futura-sciences.com/tech/actualites/securite-finlande- habitants-prives-chauffage-suite-attaque-ddos-65137/ Publié le 10/11/2016 Le 21 octobre dernier, une attaque informatique d'une puissance encore jamais vue avait fortement perturbé le réseau Internet, affectant des sites majeurs comme Twitter, le forum Reddit ou encore la plateforme de publication GitHub et le service d'écoute de musique Spotify. Il s'agissait d'une attaque de type déni de service distribué (DDoS) qui consiste à saturer un serveur informatique en l'inondant de requêtes envoyées par des ordinateurs ou des objets connectés ayant été infectés par un malware nommé Mirai. La cible était le service DNS de la société Dyn, qui se charge de traduire les noms de domaine (les adresses Web que nous tapons dans nos navigateurs) en adresses IP correspondant au site demandé. De plus en plus fréquent, ce type de cyberattaque peut avoir des conséquences directes dans notre vie réelle. Comme, par exemple, de nous priver de chauffage en plein hiver... En effet, c'est exactement ce qui vient de se passer à Lappeenranta, en Finlande. Dans cette ville située à quelques dizaines de kilomètres de la frontière avec la Russie, une attaque DDoS visant un service DNS a eu pour effet indirect de couper le chauffage dans deux immeubles. Entre -3 et -9 °C à Lappeenranta
  16. 16. Il s'avère que le système automatisé et connecté gérant la ventilation, le chauffage et la production d'eau chaude a lui-même été affecté par l'indisponibilité du service DNS qu'il utilisait. L'ordinateur a tenté de réinitialiser la connexion en redémarrant sans cesse et il a fallu une intervention sur place afin de couper physiquement l'accès Internet pour que tout rentre dans l'ordre. On imagine l'angoisse des habitants de ces résidences alors qu'en ce moment, à Lappeenranta, les températures oscillent entre -3 et -9 °C ! Au final, plus de peur que de mal, mais voilà une illustration très concrète de l'impact que peut avoir le piratage d'infrastructures numériques interconnectées sur le monde réel. CONNIT lève 3 millions d'euros : ça bouge dans l'écosystème IoT toulousain Source URL: http://www.itespresso.fr/connit-une-levee-de-fonds-dans-lecosysteme-iot- toulousain-138612.html Engie mise sur l’IoT industriel en accompagnant le développement de CONNIT, start-up basée dans le voisinage de Sigfox. Ambiance levée de fonds dans l’IoT Valley. Cette communauté d’entreprises du Sud-Est toulousain a vu émerger la pépite Sigfox. Elle est aussi le terrain d’implantation de CONNIT. La start-up, qui met l’Internet des objets au service de la gestion des réseaux d’eau, du monitoring des bâtiments et de la maintenance industrielle, a bouclé un tour de table de 3 millions d’euros. L’opération est souscrite par la société de gestion Emertec, à travers son fonds dédié à l’amorçage des entreprises actives dans les secteurs liés aux écotechnologies. La holding Groupe Claire, qui contrôle notamment la société Sainte-Lizaigne (systèmes de suivi et de pilotage des réseaux d’eau potable), est aussi de la partie… tout comme Engie. L’ex-GDF Suez exploite déjà les solutions de CONNIT, à travers ses branches Axima et Cofely. On notera que son ancienne filiale Suez Environnement (rebaptisée Suez en juillet 2015 et dont Engie est resté actionnaire à 33,7 %) dispose elle-même d’une entité IoT spécialisée dans les réseaux d’eau : Ondeo Industrial Solutions. Des véhicules électriques aux compacteurs de déchets Lauréat, fin 2015, du « challenge innovation » organisé par ce même Engie, CONNIT peut déployer ses solutions sur le réseau LoRa. Mais jusqu’alors, ses projets se sont concentrés essentiellement sur le réseau monté par Sigfox, dont est issu l’un de ses cofondateurs* – en l’occurrence Pascal Corbillon, également passé par Wind River Systems.
  17. 17. De quels projets parle-t-on ? Par exemple celui orchestré avec Odéolis sur la supervision de l’état de fonctionnement des bornes de recharge pour les automobiles électriques de Nissan. Les capteurs utilisés dans ce cadre peuvent servir aussi bien à des sites industriels pour contrôle le fonctionnement des éléments de leur chaîne de production, qu’aux exploitants de compacteurs de déchets pour l’optimisation des tournées de collecte. CONNIT propose aussi des solutions de télérelève de l’eau s’appuient sur des modules dont l’autonomie énergétique est annoncée à 15 ans, avec une capacité d’autodiagnostic. La communauté de communes du pays de Gex (entre le massif du Jura et le lac Léman) en est utilisatrice, avec près de 30 000 compteurs déployés depuis 2015. Toujours plus de data Pour ce qui est du monitoring des bâtiments, il s’agit de mesurer les températures, l’hygrométrie, la qualité de l’air, la consommation de gaz et d’électricité… ou encore les flux d’eau sanitaire. C’est ce qu’a fait Cofely Axima (filiale d’Engie) pour détecter les températures trop basses et prévenir d’éventuelles contaminations à la légionellose. Dans tous les cas, les données sont hébergées sur un cloud en Europe et traitées via la plate-forme Live M2M, avec une API pour connecter des services tiers. D’après les éléments compilés sur Société.com, CONNIT a réalisé, en 2015, un chiffre d’affaires de 448 200 euros, pour un résultat net à 52 300 euros. Pour accélérer à l’international, la jeune pousse compte doubler son effectif sous trois ans, pour atteindre une cinquantaine de salariés. Elle envisage aussi, en partenariat avec ses investisseurs, de commercialiser ses solutions propriétaires auprès des particuliers. Il faudra toutefois composer avec un environnement concurrentiel dense, qui compte des sociétés comme m2ocity, Qowisio et Actility.
  18. 18. * L’autre cofondateur, aujourd’hui président de CONNIT, est un ancien d’Airbus. Il s’agit d’Erwann Mivielle.

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