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Atlas de la flore et de la faune, traces verte et bleue, berges de la Seine et rus en Hauts de Seine

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Atlas de la flore et de la faune, traces verte et bleue, berges de la Seine et rus en Hauts de Seine

  1. 1. Atlas de la flore et de la faune, trames verte et bleue, berges de Seine et rus dans les Hauts-de-Seine
  2. 2. Connaître la biodiversité dans les Hauts-de-Seine : l’atlas de la flore et de la faune
  3. 3. Atlas de la faune des Hauts-de-Seine en cours d’élaboration
  4. 4. • La Seine traverse le département sur 39 km • Les affluents de la Seine: • La Bièvre • Les rus à restaurer: - Ru de Marnes - Ru des Godets - Ru de Meudon - Ru d’Aulnay Un paysage départemental fortement marqué par la Seine, corridor d’intérêt national : Boucle de Gennevilliers Boucle de Boulogne Boucle de Croissy
  5. 5. La trame verte et bleue dans les Hauts-de-Seine La Seine : un vecteur de communication pour la faune Les liaisons Seine amont / Seine aval : corridors majeurs de la trame verte Une vigilance nécessaire : suivi et la maîtrise des espèces invasives (tortue de Floride, myocastor, renouée, ..)
  6. 6. Réseau départemental des corridors par « compartiment écologique » Seine aval Seine amont
  7. 7. La carte du réseau écologique Réseau départemental des corridors, tous compartiments confondus : de la notion d’axe à celle de fuseau
  8. 8. La Seine et ses berges (extrait) Sur 66 km de berges : 33 km répertoriés comme espaces naturels sensibles 8 km de berges naturelles ou semi - naturelles
  9. 9. La Seine et ses berges (extrait) Les berges les plus naturelles sont situées sur les communes de Colombes à Rueil-Malmaison Rueil-Malmaison Nanterre Colombes
  10. 10. Les actions en faveur de la faune piscicole Saumon Truite de mer Station d’oxygénation
  11. 11. Deux objectifs majeurs pour la biodiversité : - « aplatir les berges », partout où cela est possible création de frayères, élargissement des bandes plantées sur berges, zones de tranquillité pour l’avifaune (hélophytes et arbustes indigènes), , intérêt paysager, permettre au promeneur de renouer un contact avec l’eau - reconstituer la ripisylve en se rapprochant de l’échelle de la Seine (largeur moyenne 160 m) : création de saulaies, aires de nourrissage pour les oiseaux réintroduction du peuplier noir.. arbres à cavités,
  12. 12. La ripisylve ne peut se réduire à un cordon de plantation sur la berge….
  13. 13. Exemple : La berge de Seine à Villeneuve-La-Garenne : une opportunité à saisir : la destruction de l’estacade des Mariniers au voisinage du pont d’Epinay La destruction obligée à moyen terme de cette estacade dangereuse peut permettre d’aplatir la berge en utilisant la zone de recul existante (30 à 40m pour un dénivelé de 7m), avec : - création d’ouvrages de génie écologique (saulaie) - création de belles zones d’hélophytes - création d’herbiers et de frayères
  14. 14. Biodiversité piscicole de la Seine : tendance à l’amélioration générale Source : SIAAP, La Seine, La Marne, Les Poissons 2004
  15. 15. Biodiversité piscicole de la Seine : un meilleur suivi • La méthode est basée sur les alevins et non sur les adultes. Elle examine également les « potentialités ». • Depuis 2009 : mesure des impacts des aménagements sur 7 stations.
  16. 16. Exemple de réinstallation de végétation en pied de berges : l’île de la Jatte à Levallois-Perret - • Démolition des promenades en béton • Création de zones abritées du batillage par l’enrochement libre ancien. • Mise en place de boudins pré- cultivés (en pépinière d’avril à décembre 2009) • Submersion hivernale (février 2010) • Repousse printanière très faible (avril 2010)
  17. 17. Exemple de réinstallation de végétation en pied de berges : l’île de Jatte à Levallois-Perret • Seconde tentative de plantation des zones à hélophytes • Des plantes cultivées en godets sont plantés fin mai dans le substrat existant enrichi d’une fine couverture en terreau Photo Philippe Dureuil •Fin aout ces plantes constituent un habitat intéressant et varié accessible aux alevins
  18. 18. Projet de renaturation en zone industrielle à Nanterre • Le talus de berge est artificiel, très pentu et devant un dépôt pétrolier ou manœuvre des péniches. •Un système de protection léger contre le batillage sera mis en place de manière à permettre le développement de la végétation devant la berge
  19. 19. Pont de Sèvres Pont de Billancourt Pont d’Issy Périphérique Pont Seibert (ancien pont Renault) Ile Saint-Germain Ile Seguin Le projet couvre une superficie de 20 hectares dont 14 hectares d’espaces verts et de circulations douces et 6 hectares de voirie. Vallée Rive Gauche un projet d’aménagement d’ensemble réalisé par le Conseil général des Hauts-de-Seine associant les berges de Seine, les espaces publics et la RD7 du pont de Sèvres à la porte de Paris. Passerelle de l’île Saint-Germain
  20. 20. Le projet permettra de restaurer et valoriser le milieu aquatique lié aux berges de la Seine. Les études présentées dans le Dossier Loi sur l’eau ont permis d’intégrer le patrimoine naturel floristique et faunistique. Les aménagements contribueront notamment à la diversification des habitats piscicoles. Vallée Rive Gauche
  21. 21. Vallée Rive Gauche Amélioration du milieu aquatique - Les aménagements projetés auront des effets positifs sur : - la faune, la flore et les milieux ; - la régulation des crues ; -les qualités paysagères des berges de la Seine. -L’investissement du Conseil général en matière de génie végétal sur ce projet est de 2,3 M€
  22. 22. Crédits photographiques : CG92 / JULLIEN - Thomas CG92 / LABRE – Willy CG92 / FONTAINE - Patrick CG92 / BLONDEAU - Gérard

Notes de l'éditeur

  • 1355 espèces de fleurs illustrées et décrites dont 769 observables aujourd’hui – Réalisé en association avec le Conservatoire botanique du Bassin Parisien et le Museum – Fleurs des bois, des bords d’étangs et de rivières, fleurs des prairies, fleurs protégées
  • Sortie en avril 2011 – Faune sauvage et faune exotique ou invasive
  • Associant navigation, recherches multicritères, image fixes et animées, sons - Ci-joint la fiche descriptive d’un taxon
  • Quelques espèces fréquentant la Seine : Héron, foulque, martin-pêcheur, grenouille rousse, cygne, poule d’eau, grand cormoran, colvert, couleuvre à collier
  • Autres espèces invasives en bord de Seine : le platane, les érables sycomore et negundo – a droite, renouée en fleurs
  • Les trames verte et bleue, étroitement imbriquées dans les Hts de Seine : les corridors transversaux de la trame verte, de la Seine amont à la Seine aval permettent de « courcircuiter » les deux Seine
  • Les axes situant les corridors doivent se traduire par des fuseaux de largeur variable au sein desquels les aménagements et la gestion doivent faire l’objet d’une vigilance particulière
  • Les berges dont l’inventaire est relativement mal connu sont en grande partie artificielles et doivent être renaturées
  • Afin de permettre le passage des poissons migrateurs, les barrages seront bientôt tous équipés de passes à poissons (barrage de Suresnes équipé prochainement) – Les stations d’oxygénation permettent en cas de surverse d’eaux usées suite aux orages les plus violents, d’offrir aux poissons des poches de survie
  • Les frayères sont des zones de faible à très faible profondeur où l’eau doit pouvoir se réchauffer rapidement pour permettre l’éclosion des œufs et la survie des alevins – Elles doivent pouvoir s’étendre sur des largeurs conséquentes et être accompagnées de plantes support et d’hélophytes sur lesquelles les poissons viendront pondre (quelques rares poisons de Seine pondent sur des gravières) d’où l’aplatissement des berges. Le peuplier noir, presque disparu des berges de nos grands fleuves, peut vivre jusque 400 ans et plus. Il est dans sa vieillesse un biotope à lui seul, très riche de biodiversité. Il est actuellement l’objet d’un programme de recherche et de sauvegarde mené par l’INRA pour sauvegarder, par la mise en culture, chacun des clones des grands fleuves de France
  • A l’échelle de la Seine et de sa largeur, le cordon résiduel de « forêt rivulaire » doit être étendu partout où cela est posible

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