1.
DÉCISION
@blockproof
L'association de Max Schrems (None of your
business), a déposé plainte contre META en 2018
et obtenu gain de cause.
Le CEPD a jugé, que la législation européenne en
matière de protection de la vie privée ne
permettait pas aux plateformes de META (telles que
Instagram et Facebook) d'utiliser leurs conditions
de service pour justifier l'autorisation des publicités.
La base légale n'est pas bonne et donc les
utilisateurs doivent consentir à la mise en place de
ces publicités ciblées.

2.
SANCTIONS
un manquement à l'obligation de respecter le
droit d'effacement des personnes concernées
manquement à l'obligation de respecter le
droit d'accès des personnes concernées
un manquement à l'obligation d'assurer la
sécurité des données personnelles
un manquement à l'obligation de documenter
une violation de données personnelles.
La société Free a reçu une sanction de 300 000 €.
4 manquements sont identifiés par la CNIL :
@blockproof

3.
INTERNATIONAL
L'Australie a adopté un texte pour la protection
des données introduisant des sanctions
considérablement accrues.
Cette règlementation vient multiplier par 23 le
montant maximal des amendements possibles.
Jusqu'ici, la CNIL australienne pouvait aller
jusqu'à 2,2 millions de dollars australiens.
Maintenant, on est à 50 millions de dollars
australiens.
Mark Zuckerberg avait-il raison de dire en 2010
"The Age of Privacy Is Over" ?
@blockproof

4.
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