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What's Hot!? Septembre 2016

  1. WHAT’S HOT ?! Tous les mois, un peu de prise de hauteur + une fracture des méninges Weave Business Technology Septembre 2016
  2. Ce qu’il s’est passé dans le monde au mois de Septembre 2016…
  3. 10 Singapour, une ville(-état) intelligente et surtout durable
  4. Singapour serait la ville la plus intelligente du monde, d’après le classement smart city Juniper Research 2016. Cette réussite découle notamment d’une volonté politique forte et d’un niveau technologique impressionnant (90% des foyers ont accès à Internet en haut débit et 85% de la population possède un smartphone). Pour réduire les émissions de carbone et suite à des études sur les bouchons dans la ville, les Singapouriens ont été encouragés à privilégier les transports en commun par des politiques de gratuité des transports le matin avant 8h et de péages à prix variant en fonction de la circulation. Singapour a continué sur sa lancée avec des investissements conséquents concernant les parkings intelligents et les voitures autonomes et électriques en déployant une flotte de mille voitures électriques en libre service. Pour préserver ses parcs et l’environnement, Singapour a dans le passé pu avoir une politique stricte d’économie d’énergie qui passe par l’éducation des populations à travers des factures détaillées qui relatent les comportements de consommation et les comparent à ceux des habitants du quartier. Un projet de complexe accueillant des industries qui respectent l’environnement et des bâtiments écologiques, Clean Tech Park, a été également lancé et devrait voir le jour en 2022. Ces politiques qui ont pour but de faire de Singapour une ville sécuritaire mais aussi une ville agréable à vivre sont facilitées par un gouvernement impliqué qui a su très vite se digitaliser afin de répondre aux attentes de sa population. 15% des habitants possèdent un véhicule électrique partagé pour dissuader l’achat de véhicule En fonction de l’analyse du trafic, la gratuité des transports est effective avant 7h45 Lancement d’un CleanTechPark sur une zone de 620 hectares pour 2022 http://www.atelier.net/trends/articles/singapour-une-ville-etat-intelligente-surtout-durable_442938 #SmartCity #CleanTech #IOT #BigData
  5. Un mystérieuse société de Hong Kong démocratise l’USB killer 9 http://leonterra.com/fff-mr-robot/
  6. Une fois branchée à un terminal (téléviseur, PC, réfrigérateur connecté,...), l’USB Killer 2.0 envoie 240 volts par secondes, ce qui provoque la destruction des circuits des appareils. Selon le site web du fournisseur, 95% des appareils seraient détruits de manière irréversible. En effet, les appareils MAC résisteraient aux surcharges de l’USB Killer 2.0 grâce à l’isolement des ports USB, évitant ainsi tout surtension qui pourrait venir détériorer la carte mère. La société USB Kill, précise par ailleurs sur son site internet que ce gadget n’est nullement destiné à des actes de piratage et déclare « condamner fermement un usage malveillant » . A l’inverse l’USB Killer aurait pour unique fonction la réalisation de test de matériel informatique et la sensibilisation du grand public sur les risques liés à l’utilisation d’une clé USB dont l’origine n’est pas connue et certaine. L’USB Killer 2.0 a tout de même le mérite de nous rappeler que les dangers de la cybercriminalité ne se cantonnent pas aux risques logiciels malveillants et autres virus informatiques mais qu’il s’agit également de risques liés à la destruction du matériel informatique en lui-même. Proposée au prix de 49,95€, l’USB Killer est déjà en rupture de stock et il faudra patienter jusqu’à la mi- octobre pour pouvoir se la procurer. Cette explosion des ventes sur le marché grand public pourrait- elle inciter les fabricants de matériel informatique à proposer des dispositifs davantage sécurisés ? Du coté de l’entreprise USB Kill la stratégie à long terme est assurée car une fois la conscience de ce risque largement diffusé, il sera d’autant plus simple de proposer et de légitimer l’antidote, à savoir l’USB Shield, dispositif qui une fois inséré dans un port USB, protège le matériel de toute attaque de type USB Killer 2.0. 95% des appareils seraient détruits de manière irréversible Une offre très attractive : 49,95€ seulement pour détruire n’importe quel (ou presque) appareil équipé d’un port USB Victime de son succès, l’USB Killer est en rupture de stock et ne sera disponible que d’ici octobre https://www.usbkill.com/ http://www.latribune.fr/technos-medias/informatique/le-marketing-hypocrite-de-l-usb-killer-la-cle-tueuse-de-pc-595856.html http://www.clubic.com/insolite/actualite-814770-usb-killer-disponible-vente.html http://www.01net.com/actualites/usb-killer-la-cle-usb-qui-grille-les-pc-desormais-en-vente-libre-1031525.html #USBkiller #Cybersécurité
  7. 8 IRT SyxtemX
  8. SystemX, c’est quoi ? Depuis 2012, SystemX est l’un des huit instituts de recherche technologique qui ont été créés par le gouvernement pour renforcer l’attractivité du territoire via l’innovation. Localisée à Saclay au milieu des centres de recherche de nos clients (EDF, Safran..), il réunit dans son bâtiment, des talents (logique de colocalisation) et des plateformes de travail (logique de mutualisation). Les quatre programmes de la feuille de route 2016 – 2020 de SystemX : l'ingénierie systèmes, le transport autonome, les territoires intelligents et les infrastructures numériques. START@SystemX : un accélérateur mêlant startuppers et grands groupes ! L’institut offre aux startups de collaborer avec des grands groupes sur des projets de recherche menés par SystemX. Un appel à projet est en cours sur la mobilité. Il s’agit de faire émerger de nouveaux services, associés à la mobilité de proximité autour d’un nouveau lieu de vie. Autre enjeu, l’optimisation des services de mobilité de proximité dans un quartier établi. Les startuppers pourront compter sur le partenariat de grands groupes tels que Alstom, Bouygues Telecom, OpenDataSoft, The CosMo Company, RATP ou encore Renault. 200 salariés mis à disposition par les 75 partenaires 100 salariés à plein-temps 4 programmes et 17 projets de recherche http://www.irt-systemx.fr/ https://www.maddyness.com/evenement/startsystemx/ http://www.journaldunet.com/economie/industrie/1174914-systemx-la-machine-a-innover-des-industriels-francais/ http://www.lesechos.fr/pme-regions/actualite-des-marches-publics/0211274679783-systemx-souvre-aux-start-up-2027214.php #systemx # innovation #digital #startuppers #ParisSaclay
  9. Un film d’horreur créé grâce à l’IA et au Big Data 7
  10. Le marché du cinéma aux Etats-Unis comporte des enjeux financiers importants et le succès d’un film est longuement réfléchi au préalable par les producteurs qui cherchent à cibler les envies des consommateurs. Or, depuis quelques temps, pour peser le potentiel d’un film, les équipes de production comme celles de Netflix font appel à un nouveau type d’étude de marché : l’analyse de données, qui permettent de dessiner un profil général du spectateur moyen. C’est ce que propose Greenlight Essentials qui analyse des scénarii, en identifie les grands thèmes directeurs et, grâce à la donnée, les compare aux thèmes prédominants qui reviennent dans les goûts des spectateurs et en prédit le succès. L’entreprise se lance désormais dans un projet inédit : créer le film d’horreur le plus terrifiant de tous les temps, Impossible Things, en le réalisant entièrement sur les techniques d’analyses de données et d’intelligence artificielle. Pour cela, l’entreprise a entraîné son IA aux techniques de Natural Language Processing (traitement linguistique), pour analyser les différentes parties de l’intrigue qui plaisent à l’audience de manière très générale. Ensuite ils ont façonné un environnement intuitif grâce à une interface graphique, créant ainsi, les premières pages du script. Résultat, voici les premières lignes du synopsis de Impossible Things : « Perturbée par la mort de sa petite sœur, une femme de carrière et son mari chômeur quittent la ville pour déménager dans un petit coin de paradis à la campagne. Abandonnant sa carrière frénétique, Madeline reste à la maison pour la rénover et s’occuper des enfants : un bébé et une fille jumelle, tandis que Matt trouve ce qu’il peut comme boulot. Alors que la mère et la fille commencent à entendre des voix et à avoir des visions d’une femme dérangée et d’un fantôme à la silhouette d’une enfant très semblable à la fille jumelle décédée, la réalité s’effondre ». L’équipe a réalisé un premier trailer et a lancé une campagne de financement sur Kickstarter afin de réunir les fonds pour réaliser ce film. Un projet inédit : la réalisation d’un film basé sur des techniques d’analyses de données et l’intelligence artificielle 87% des films n’arrivent pas à être rentables au cinéma Analyse des différentes parties de l’intrigue qui plaisent à l’audience https://humanoides.fr/ia-data-film-horreur/ #Sémantique #Algorithme #BigData
  11. NFC Ring, la bague de paiement sans contact 6 Crédits Photo: Charles Sykes / AP Images for VISA
  12. La famille des moyens de paiements ne cesse de s’agrandir. Après les cartes de crédits, les téléphones, les bracelets et les autocollants, la petite nouvelle est une bague de paiement sans contact, baptisée «NFC Ring ». NFC Ring est un système de paiement sans contact, développé par la firme californienne McLear dont un prototype a été testé durant les Jeux Olympiques de Rio, en collaboration avec Visa. A cette occasion, cette dernière a profité de son statut de sponsor pour expérimenter et faire la promotion d’une bague NFC permettant de régler des achats. Chaque membre de la Team Visa, qui regroupait une trentaine d’athlètes olympiques et paralympiques de différentes nationalités, s'est vu remettre un exemplaire de l'anneau connecté pour pouvoir effectuer ses achats. Forte de ce succès, la firme McLear Ltd a procédé au lancement des précommandes de sa bague connectée. Très similaire au prototype expérimenté lors des JO, la nouvelle bague comprend une puce électronique Gemalto, avec une antenne NFC embarquée permettant le paiement sans contact. Néanmoins, la société affirme qu’il s’agit bien plus que d’un simple moyen de paiement, puisque la bague permettrait également de déverrouiller un smartphone ou une porte. Disposant d’une étanchéité jusqu’à 50 mètres de profondeur, elle ne nécessite aucune batterie ou recharge. Afin de prévenir les risques de fraude, l'anneau est équipé d'une technologie qui permet de ne pas dévoiler les informations attachées au compte réel (comme le numéro de compte) lors des paiements ou en cas de vol. Pour s’offrir le précieux sésame, comptez 39,99 livres sterling (un peu moins de 47 euros), auxquels il faut ajouter 12 euros de frais de port pour la France. Les premières livraisons devraient être réalisées durant le mois de décembre. Contrairement à McLear, Visa a déclaré de son côté qu’elle ne commercialiserait pas de bague mais qu’elle réfléchissait à plusieurs projets basés sur la technologie du paiement sans contact. Le marché est en effet en plein expansion. Visa affirme ainsi avoir enregistrer une augmentation de 335% des transactions réalisées via un système de paiement sans contact. Selfie, empreintes digitales, reconnaissance vocale, rythme cardiaque, d'autres systèmes de paiement sont ainsi à l’étude, en attendant de remplacer peut-être un jour la carte de crédit traditionnelle Une nouvelle version permettant de déverrouiller un smartphone ou une porte. Une bague de paiement NFC expérimentée lors des JO de Rio. Le paiement sans contact : un marché en pleine expansion. #ring #NFC #Gemalto #meanofpayment http://www.begeek.fr/visa-lance-bague-nfc-paiements-contact-213923 http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/08/26/20002-20160826ARTFIG00175-visa-lance-une-bague-de-paiement-sans-contact.php
  13. IoT et Big Data au service de l'urbanisme parisien 5
  14. La Mairie de Paris mène un projet de réaménagement de la place de la Nation. L'objectif : redéfinir l'espace accordé aux piétons, au mobilier urbain et aux espaces verts là où la voiture sature l'espace. Capteurs, réseaux IoT et Big Data sont à l’œuvre afin de mesurer en temps réel l'activité sur la place dans sa configuration actuelle, mais aussi dans d'autres configurations. Pour cela, la route est barrée en certains points durant quelques jours, le temps que la multitude de capteurs installés collectent des données. Cette nouvelle approche, baptisée le "Tactical Urbanism" n'est possible que grâce à une collecte massive de données en temps réel, raison pour laquelle, ont été mobilisées place de la Nation toutes les technologies issues de l'Internet des objets. Les capteurs connectés mesurent en temps réel le flux de piétons, de cyclistes, de voitures, des données que l'on peut croiser avec les niveaux de bruit et de température. L'ensemble des données sont collectées via Wifi et le réseau Lora (IOT) vers un ensemble de serveurs situés dans une armoire technique sur la place. Après un premier traitement local par les ordinateurs, celles-ci sont transmises au datacenter où elles vont véritablement pouvoir être analysées. Cette partie fait appel aux technologies Big Data de la société Placemeter qui permettent de croiser des jeux de données et tirer des enseignements à partir des informations collectées. La startup américaine Placemeter fournit ses logiciels d'analyse d'image qui permettent de mesurer précisément le nombre de piétons, de cyclistes et automobilistes sur une zone virtuelle dessinée à l'écran. Les algorithmes de l'américain Placemeter permettent de mesurer les flux de circulation des véhicules, 2 roues et piétons sur la place a partir des images des caméras. Il peut calculer la vitesse des véhicules, des 2 roues et des piétons, le temps passé par les piétons sur un banc. Outre les 20 caméras installées c’est 70 points de mesures ont ainsi été dessinés tout autour de la place, 14 sonomètres ont été disposés sur la place ainsi que 5 ensembles de capteurs pour évaluer la qualité de l'air, des thermomètres, etc. Pour les riverains, le dispositif se matérialise par 4 panneaux d'affichages où est affiché le niveau de bruit. Une vingtaine de caméras et 70 points de mesures ont été installées sur cette place Une nouvelle approche, baptisée le "Tactical Urbanism" possible grâce à une collecte massive de données en temps réel Des eTree doivent participer à la dépollution de la place. Ce dispositif a l'efficacité de 275 arbres pour absorber les particules et polluants. http://www.zdnet.fr/actualites/place-de-la-nation-paris-l-iot-et-le-big-data-au-service-de-l-urbanisme-39841632.htm #SmartCity #CleanTech #IOT #BigData
  15. 4 The Dash, un assistant personnel dans le creux de l’oreille http://www.appgefahren.de/bragi-the-dash-komplett-kabelloser-kopfhoerer-mit-fitness-tracker-ist-jetzt-bei- gravis-erhaeltlich-171214.html
  16. Un assistant personnel et professionnel directement dans l’oreille ? C’est ce que propose la start-up allemande Bragi, avec ses oreillettes connectées The Dash, qui intègrent l’intelligence artificielle Watson d’IBM. Après les wearables, les « earables » ou « hearables ». Ce sont tout simplement des accessoires audio connectés, et intelligents, qui intègrent d’autres fonctions que celles d’écoute de musique ou de son. The Dash, c’est une paire d’écouteurs intra-auriculaires qui offre des fonctionnalités classiques de kit main libre, d’écouteurs, mais également d’enregistreurs d’activités physiques ! Et si vous alliez faire votre running, avec votre trackeur d’activité directement dans les oreilles, plutôt qu’au poignet ? Et ce n’est pas tout ! Avec l’intégration récente de Watson, l’intelligence artificielle d’IBM, The Dash se voit enrichi de nouveaux superpouvoirs. Ces écouteurs connectés vous permettent de parler directement avec quelqu’un qui parle une langue étrangère : The Dash traduit en temps réel la langue détectée. Elles fournissent également des fonctionnalités de recherche contextuelle activable par la voix, de détection de gestes de la main ou autres mouvements, de surveillance de l’état de santé, ou d’analyse de données biométriques en temps réel : elles peuvent notamment détecter des signaux d’alerte sur les capacités vitales de l’utilisateur ! Pour ce faire, The Dash intègre un puissant micro ordinateur, avec plus de 150 micro composants, 27 capteurs et un processeur 32-bit, dans des écouteurs à peine plus gros qu’un bout de doigt ! Mais il semblerait que le public visé par Bragi concerne plus le monde professionnel que le grand public. La start-up aspire à « transformer la manière dont les gens interagissent, communiquent et collaborent dans un espace de travail ». En collaborant avec IBM, The Dash pourrait donc jouer le rôle d’un véritable assistant personnel qui permettrait : de monitorer la sécurité des travailleurs, recevoir des instructions à distance, gérer les communications d’équipe, envoyer des notifications intelligentes aux salariés, analyser la répartition de la charge de travail sur le terrain et permettre une identification biométrique. 150 micro composants, 27 capteurs, un processeur 32-bit Des oreillettes connectées intégrant l’IA Watson d’IBM 6 cas d’usages au travail identifiés par Bragi et IBM http://www.usine-digitale.fr/article/apres-les-wearables-voici-les-earables-des-assistants-personnels-au-creux-de-l-oreille.N433222 http://www.techrepublic.com/article/earables-the-next-big-thing/ http://www.bragi.com/thedash/ #IA #wearable #earable #objetsconnectés
  17. 3 Crise de croissance : la Blockchain face à ses premières contradictionsSources images : http://www.bitcoinvox.com/images/files/Capture%20d%E2%80%99e%CC%81cran%202015-05-24%20a%CC%80%2023_18_05.png
  18. La révolution Blockchain est en marche mais face à sa notoriété croissante et aux enjeux financiers qui y sont liés, la Blockchain doit affronter ses premiers démons. La contrôle décentralisé : plus on est nombreux, plus c’est sûr ! Vraiment ? Première défense mise à mal, la sécurité. Pourtant par construction la Blockchain notamment utilisée pour les Bitcoins, c’est hyper sûr. En effet, l’un des principes fondamentaux c’est l’organisation décentralisée : le pouvoir n’est, en théorie détenu, ni par une seule personne ni par un groupe de personnes. Ainsi la Blockchain Bitcoin est contrôlée par l’ensemble des mineurs – ordinateurs distincts validant les blocs en mettant leur puissance de calcul à la disposition du réseau contre rémunération. Et plus il y a de personnes et de puissance de calcul dans le réseau, plus le réseau est censé être résistant aux attaques et notamment à la fameuse attaque des 51% (si je contrôle 51% de la puissance de calcul, je peux manipuler la Blockchain). Malheureusement, plus la puissance de calcul augmente sur le réseau, et plus la probabilité pour un particulier de valider un bloc et donc d’être rémunéré s’effondre. Les particuliers se sont donc regroupés en groupe de mineurs : les mining pools. Un mining pool est une entité qui cumule la puissance de calcul des individus et l’utilise pour miner puis redistribue les gains moyennant une commission. Devant l’efficacité du dispositif, les pools se sont multipliés puis se sont concentrés au point qu’aujourd’hui une poignée de gros pools aient le quasi-monopole de l’extraction du bitcoin. Ainsi, il suffirait que quelques uns s’entendent et ils pourraient réussir une attaque des 51% et prendre le contrôle de la Blockchain Bitcoin… Alors pervertie le principe de gouvernance décentralisée ? Et si le remède était le passage de la POW (Proof Of Work – preuve de travail) à la POS (Proof Of Stake – Preuve d’enjeu) The Code is the law ? Non la majorité est la loi ! 2ème crise de croissance avec la 2ème Blockchain la plus connue : Ethéreum qui a vécu une grave crise de conscience cet été. En effet suite à une exploitation d’une faille dans le codage du fond d’investissement phare (TheDAO) adossé à Ethereum, un « pirate » a récupéré 3,6 millions d’ethers (près de 150M€ à l’époque) sur les 11,6M que possédait le fond. 2 visions se sont opposées pendant l’été : - respecter le principe phare de la Blockchain « the code is the law » et ne rien faire en prétextant que le pirate n’en est pas un mais juste un bon codeur qui a su tourner à son avantage le code en toute légalité. Cette vision « puriste » était par ailleurs appuyée par le fait que la faille ne venait pas de la Blockchain en elle-même mais de TheDAO - Faire accepter à plus de 51% des mineurs une « hard fork » où la transaction serait annulée et l’argent restitué aux investisseurs d’origine. C’est cette version qui l’a emporté auprès des mineurs ; laissant néanmoins vivre une version alternative moins puissante « Ethereum Classic » XX XX Sources : https://www.cryptocoinsnews.com/ethereum-reaches-unanimous-agreement-hardfork/ https://www.ethereum-france.com/le-hard-fork-the-dao-aura-bien-lieu-mode-demploi/ ; http://bitconseil.fr/thedao-hack-etat-lieux-perspectives/ ; https://cointelegraph.com/news/the-inevitable-failure-of-proof-of-stake-blockchains-and-why-a-new-algorithm-is-needed Sources images : https://4.bp.blogspot.com/- WGtmxaNsF3Y/Vc1guaQOH8I/AAAAAAAABUA/KWmAkU0ip Ww/s640/51-percent-Attack-as-Bitcoins-Biggest-Threat.png http://bitconseil.fr/wp-content/uploads/2016/06/system- failure-1000x424.jpg http://toutlecine.challenges.fr/film/0035/00351347-photos- les-dix-commandements.html
  19. FindFace, la reconnaissance faciale dérangeante et intrusive 2 Source photos : https://birdinflight.com/ru/vdohnovenie/fotoproect/06042016-face-big-data.html https://findface.ru/
  20. N-Tech.Labs, une start-up russe a développé un puissant algorithme de reconnaissance faciale qu’elle a mis au service de FindFace, une application de rencontre. L’application a été lancée en Avril 2016 et fait un tabac en Russie. Elle permet d’identifier avec 70% d’exactitude n’importe quelle personne en prenant une photo d’elle. FindFace fonctionne en comparant la photo fournie aux photos de profil du réseau social VKontakte, le réseau social numéro 1 en Russie et dans les pays de l’ex-URSS. Deux mois seulement après sa sortie, l’application comptait déjà plus de 500 000 utilisateurs et près de 3 millions de recherches avaient déjà été effectuée. Imaginez-vous assis dans le métro. Une personne au physique agréable rentre dans la rame. Instinctivement vous sortez votre téléphone portable et prenez une photo de la personne. FindFace vous permet alors de retrouver le profil de la personne et de la contacter afin de la rencontrer. Dérangeant, non ? L’application a déjà été utilisée par un photographe russe qui a photographié des inconnus dans le métro de Saint Petersburg afin de retrouver leurs photos de profil VKontakte, mais aussi par des « milices du web » pour retrouver les profils d’actrice X afin de les harceler et harceler leurs proches. Pour les retailers, le système présente aussi des avantages : il permettra d’identifier le client qui entre en magasin et donc d’accéder à ses informations en ligne ainsi qu’à la liste des achats qu’il a pu faire au sein de l’enseigne. Sur le plan sécuritaire, un contrat a déjà été signé avec la police de Moscou. Si les essais en cours sont concluants, la solution sera installée au cœur du réseau de surveillance de la ville et pourra en plus rechercher les données de réseau social de n’importe quelle personne identifiée. Les applications concrètes de cette technologie de reconnaissance faciales sont autant de pas en plus vers un monde sans anonymat, sans vie privée ? Des applications possibles dans le domaine de la sécurité et du retail Une application de reconnaissance faciale efficace et intrusive Vers la fin de l’anonymat ? https://meduza.io/en/feature/2016/07/14/the-end-of-privacy https://birdinflight.com/ru/vdohnovenie/fotoproect/06042016-face-big-data.html https://findface.ru/ #AI #Reconnaissance Faciale #Machine Learning
  21. 1
  22. Le robot-imprimante-3D qui s’auto-perfectionne 1
  23. Dernière trouvaille du Consumer Electronics Show 2016 (CES 2016) de Las Vegas : un robot capable d’apprendre de ses erreurs et de s’adapter à son environnement en évaluant ses propres performances. Conçu à l’université d’Oslo, son fonctionnement est en apparence simple : en cas de changement de son environnement ou d’anomalie de fonctionnement, un logiciel intégré au robot lui permet de diagnostiquer ses besoins et de fabriquer grâce à son imprimante 3D les pièces qui lui sont nécessaires pour s’adapter. Par exemple, imaginez le robot pénétrer dans une centrale nucléaire et se retrouver face à un escalier auquel personne n’avait pensé lors de son paramétrage initial. Il prend une photo qu’il va analyser. Son bras-imprimante-3D va créer à partir de cette analyse une prothèse mobile lui permettant de monter les marches. 3 générations de ces petits robots intelligents existent désormais : - « Henriette » qui, sans imprimante 3D, était déjà conçue pour adapter ses mouvements aux obstacles rencontrés et était capable de se recoller une jambe ; - Après Henriette, un autre robot a vu le jour, cette fois-ci capable d’adapter ses membres (longueur et angle) aux obstacles ; - Dans la course à toujours plus de flexibilité, le robot-imprimante-3D a apporté une réponse inédite à ces situations avec un niveau de précision jamais atteint jusque là, constituant une nouvelle marche gravie dans l’évolution artificielle. Complètement autonomes et adaptables, ces robots pourraient remplacer l’homme pour intervenir dans des zones inaccessibles ou dangereuses (océans, zones radioactives ou infestées par des épidémies par exemple). Ils pourraient ainsi intervenir lors de catastrophes naturelles ou d’explorations spatiales. Dans le domaine médical, le robot a également déjà servi au CHU d’Oslo pour « imprimer » une hanche qui devait être remplacée sur un patient. Plus anecdotique mais néanmoins remarquable, des pâtissiers font aussi appel à ces robots dans la préparation de gâteaux très sophistiqués ! Bref, les applications de ces petits joyaux technologiques d’intelligence artificielle sont multiples. Comptez tout de même autour de 300 000€ pour vous offrir ce petit assistant explorateur/médecin/pâtissier. Aujourd’hui, le challenge principal reste le développement d’un algorithme solide et d’un système capable de s’adapter à toutes situations réelles, mêmes les plus précises. Des applications multiples dans la santé, l’aérospatiale, le nucléaire… et la cuisine! Reconnue parmi les 10 innovations technologiques les plus prometteuses du monde en 2016 Une nouvelle marche franchie dans l’évolution artificielle http://www.3ders.org/articles/20141119-3d-printed-self-learning-self-repairing-robots-can-adapt-to-extreme-environments.html https://www.apollon.uio.no/english/articles/2014/4_robots.html http://elex-premium.com/innovations-2016/ #robot #intelligenceartificielle #imprimante3D
  24. Be loud…be proud! Let your clients know about next “Business-Technology” innovations If you don’t tell them…who will? Weave Business Technology Septembre 2016
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