The Impact of the 2012 Olympics on London Urbanisation (French)
Histoire de montréal
1. Histoire de Montréal
L'histoire de Montréal commence avec la découverte du village d'Hochelaga par les
explorateurs français, au XVI
e
siècle. La ville de Montréal tient son nom de l'Île de Montréal,
qui fut ainsi nommée en raison du mont Royal, la montagne au centre de l'Île. En effet,
en 1535, l'explorateurJacques Cartier avait nommé la montagne Mons realis (mont Royal).
En 1556, le géographe Italien Giovanni Battista Ramusio fit la traduction de Mont
Royal à Monte Reale sur une carte. En 1575, François de Belleforest devint le premier à
écrireMontréal, écrivant : « [...] au milieu de la compaigne est le village, ou Cité royale
iointe à vne montaigne cultivée, laquelle ville les Chrestiens appellèrent Montréal.' » Au
début du XVIII
e
siècle, le nom de l'île commence à être utilisé pour désigner la ville elle-
même. Deux cartes de 1744 par Jacques-Nicolas Bellin nomment l'île Île de Montréal et la
ville, Ville-Marie ; mais une carte de 1726 réfère à la ville comme étant « la ville de
Montréal ». Le nom Ville-Marie tombe vite en désuétude pour référer à la ville. Aujourd'hui,
Ville-Marie est devenu le nom d'un arrondissement de Montréal qui inclut le Vieux-
Montréal et le centre-ville. Dans la langue moderne des Iroquois, Montréal est
appelée Tiohtià:ke. D'autres langues autochtones, telles l'algonquien réfèrent à Montréal
comme Moniang
La métropole
C'est avec la construction du métro de Montréal en 1966, à temps pour l'Expo '67, que
le Montréal souterrain prend un essor. (Voir l'article détaillé : histoire du Montréal
souterrain).
Montréal reçoit les Jeux olympiques d'été de 1976 et célèbre son 350e
anniversaire en 1992.
En date du 1er
janvier 2002, l'ensemble des municipalités situées sur l'île de Montréal,
totalisant une population de 1 871 774 personnes, ainsi que sur plusieurs îles
périphériques qui composaient jusqu'à présent la Communauté urbaine de Montréal,
furent fusionnées pour former la nouvelle ville de Montréal.
Vingt-sept banlieues ont ainsi été intégrées à l'ancienne ville et transformées en
arrondissements, contre la volonté de certaines d'entre elles, particulièrement des
banlieues anglophones.
Après l'élection d'un gouvernement Libéral à Québec, un référendum sur les défusions
municipales eut lieu le 20 juin 2004. Sur les 22 anciennes municipalités fusionnées
en 2002qui ont obtenu d'avoir la tenue d'un référendum sur le démembrement de leur
municipalité suite à la signature de registres, 15 d'entre elles ont voté pour la défusion.
Ces municipalités sont donc redevenus des municipalités autonomes, bien que cependant,
les pouvoirs leurs étant dévolus, ne sont pas les pouvoirs des anciennes municipalités. La
ville de Montréal et les municipalités défusionnées se retrouvent au sein d'un conseil
d'agglomération qui gère les compétences d'agglomération (ex : police, pompiers, eau,
développement économique) et les villes défusionnées gèrent les compétences de
proximité (loisirs, travaux publics, etc.) depuis le 1er
janvier 2006.