Analyse de l’énergie électrophotonique d’ambiance dans la salle « Inspiration » captée lors du Forum RH 2018, consacré à la part des émotions au travail. Intérêts : • Tester l’énergie d’un lieu pour valider son adaptation au type d’activité qu’il héberge et son impact sur le bien-être émotionnel • Tester les éventuelles perturbations électromagnétiques (et autres perturbations telluriques ou astrales) • Mesurer l’impact de l’activité humaine (mouvements physiques et rayonnement émotionnel) sur l’énergie d’un lieu. Ceci nous permet d’observer des changements selon que les gens vont et viennent, parlent, méditent, écoutent une musique ou une présentation… Technologie utilisée : capteur Spoutnik relié à une caméra électrophotonique Bio-Well, qui fonctionne selon l’effet Kirlian. Par Olivier Broni, fondateur du CœurLab by Séménia. Résumé et toutes les infos sur l'événement : https://www.forumrh.fr

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3. 3
Spoutnik Caméra électro-
photonique
Bio-Well à
laquelle le
Spoutnik est relié
(fonctionne selon
l’effet Kirlian)

4. • Tester l’énergie d’un lieu pour valider son adaptation au type d’activité
qu’il héberge et son impact sur le bien-être émotionnel
• Tester les éventuelles perturbations électromagnétiques (et autres
perturbations telluriques ou astrales)
• Mesurer l’impact de l’activité humaine (mouvements physiques et
rayonnement émotionnel) sur l’énergie d’un lieu. Ceci nous permet
d’observer des changements selon que les gens vont et viennent, parlent,
méditent, écoutent une musique ou une présentation….
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5. - Un cylindre en titane de 15 mm de diamètre est connecté à l’antenne
spoutnik et est situé sur la surface en quartz de la caméra Bio-Well
- L’envers de la surface de ce quartz est recouvert d’un revêtement
conducteur transparent
- Toutes les 5 secondes, un voltage sous la forme d’une séquence
d’impulsions d’amplitude d’au moins 7000 volts et d’une durée de 10
microsecondes à une fréquence de 1 kHz est émis depuis le générateur
et appliqué au revêtement
- La lumière ultraviolette est transformée par un système
optoélectronique en une série d’images qui sont
analysées par ordinateur.
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6. - La décharge a lieu sous l’effet des courants de déplacement entre
l’antenne et des objets mis à terre ou conducteurs dans
l’environnement.
- Selon l’influence des différents « champs » naturels présents dans
l’environnement, selon la composition chimique de l’air et l’état des
objets conducteurs (dont les humains), nous observons un changement
de la propagation des ondes électromagnétiques dans l’espace.
- Quand les courants d’énergie dans le système sont redistribués, cela
influence les paramètres du rayonnement.
- C’est comme ça que les systèmes expérimentaux réagissent
habituellement aux changements dans la capacitance de l’espace qui les
entoure ainsi qu’à la présence des objets conducteurs.
- En d’autres mots, nous pouvons dire que le signal dépend de la
propagation des ondes électromagnétiques stagnantes dans l’espace.
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7. • De légers changements dans l’état fonctionnel du corps humain
conduisent à une modification de l’impédance du corps, ainsi que du
champ de distribution autour du corps et de la composition chimique de
l’air ambiant (due à l’air expiré et à l’émission de substances endocrines
par la peau).
• La résistivité du sujet ou perméabilité énergétique est en permanente
évolution.
• L’état psycho émotionnel est directement corrélé à l’émission de gaz à la
surface de la peau et donc à la quantité de photon et d’électrons émis
par le corps
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8. Il s’agit de faire ressortir l’effet de la salle sur les personnes qui y séjournent
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9. Type
d’environnement
Utilisation//Influence sur la personne Niveau d’activité
Hypo-activé / géo-
pathogénique stress
Pas d’utilisation // Ralentissement
radical, pompe l’énergie
< 25
Activité faible
Méditation // Ralentissement du
métabolisme, relaxation
26-40
Activité normale
Sommeil, restaure l’énergie, le calme
// Maintient du fonctionnement
normal de l’activité
41-55
Activité importante
Travail, activités sportives //
Activation du métabolisme
56-75
Hyperactivé
Pas d’utilisation // Hyperactivation,
épuisement rapide
76-100
Anormale
Pas d’utilisation // Variation chaotique
des niveaux de stress.
> 100
Le niveau d’activité mesurée est de 31
Si l’on se fie à ce tableau cela signifie qu’il s’agit
d’une salle propice à la réflexion, la relaxation,
l’introspection.
Elle a un effet calmant sur les personnes qui y
séjournent.
Elle n’est pas ou faiblement polluée par les ondes
électromagnétiques (ce qui n’empêche que s’il y
a 200 personnes à l’intérieur avec des portables,
cela peut changer !)
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10. Nous ne parlerons pas des ateliers, car le nombre de personne dans la salle est trop
différent
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11. 1. Zone = quantité de lumière (exprimée en pixels)
Ce qui correspond à l’intensité de ce qui est émis
• Cette intensité est corrélée avec le rayonnement émotionnel pour une bonne part, mais aussi avec les
mouvements physiques des personnes dans la salle
• Ce rayonnement est à la fois celui de l’intervenant et des participants. Les participants sont plus nombreux,
certes, mais l’intervenant est plus proche du capteur…
• Des recherches ont montré que les émotions (non primaires) qui portent le plus sont celles que l’on peut
désigner par « élevées » (voir page suivante) et notamment les émotions de gratitude, d’appréciation,
d’affection (care) et de compassion
• Il s’agit de variations subtiles qui modulent l’énergie « de base » de la salle (dans les graphiques, la référence
n’est donc pas « zéro »)
2. Déviation = niveau de variation du paramètre « zone » (exprimée en pixels)
Ce qui est l’inverse de la cohérence de ce qui est émis
• Plus cette déviation est élevée, moins il y a de cohérence individuelle et/ou collective
• Cohérence individuelle = niveau de concentration, niveau d’acceptation de ce que l’on capte de l’extérieur,…
• Cohérence collective = similitude de résonance interne entre les participants, lien entre les participants,…
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12. 12

13. • Comme il s’agit d’une salle « relaxante », et comme les personnes ne se
connaissent pas au démarrage, il y a une montée progressive au début
• Les séquences les plus génératrices d’émotions rayonnantes ont été :
la seconde séquence de clowns, la conférence de Meryem Le Saget et le
partage d’émotions
• Pour le partage d’émotions, les données peuvent cependant difficilement
être comparées au reste car il y avait de nombreuses personnes sur scène !
• Lorsque des séquences s’enchainent, il y a un effet de la première sur la
seconde, le rayonnement émotionnel ayant une certaine rémanence
5460
5501
5545
5531
5508
5472
5465
5450
5564
5503
5380
5400
5420
5440
5460
5480
5500
5520
5540
5560
5580
Clowns 1 Moïra Mickolajczak Clowns 2 Meryem Le Saget Clowns 3 Philippe Damier J-C Guy et V Vignon Marc Dugué Partage d'émotions La Belle Boîte
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14. • Au démarrage, lors de la première conférence (ici : Moïra Mickolajczak) il est plus difficile de générer un
alignement dans la salle, car les participants de sont pas rentrés encore en lien, ne se sont pas « calibrés »
• La séquence de Marc Dugué a pu être perturbée par les départs qui sont intervenus à ce moment-là
• Ces déviations doivent être rapproché du paramètre de zone correspondant, car plus l’intensité croît, plus la
déviation croit proportionnellement, toutes choses étant égales par ailleurs
• Si l’on fait ce rapprochement, on s’aperçoit que la conférence de Meryem Le Saget obtient le meilleur score
de cohérence si l’on intègre à la fois le paramètre de zone et le paramètre de déviation : à la fois
rayonnement émotionnel fort et bonne cohérence
• Lors des 4 conférences, on peut noter (en étudiant les graphiques détaillés) une diminution de la déviation
au fur et à mesure que l’on avance dans la conférence, ce qui montre que les participants se sont de plus
alignés en eux, entre eux et avec l’orateur (voir page suivante)
84
127
95
105
91 91
86
102
111
99
60
70
80
90
100
110
120
130
140
Clowns 1 Moïra Mickolajczak Clowns 2 Meryem Le Saget Clowns 3 Philippe Damier J-C Guy et V Vignon Marc Dugué Partage d'émotions La Belle Boîte
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15. On voit en haut le niveau de l’intensité du
rayonnement (zone) qui fluctue autour
d’une moyenne qui reste relativement
stable tout au long de la conférence.
Et en bas, sur le graphique de déviation, on
voit comment, progressivement, les
personnes présentes dans la salle sont de
plus en plus en cohérence individuelle
et/ou collective
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16. Comme évoqué, Moïra est partie d’une
salle froide même si les clowns avaient
chauffé la salle auparavant.
Mais en regardant le graphique, on voit
comment sa conférence a réussi à faire
croître le niveau d’intensité rayonnée, pour
finir aux alentours de 5520 px !
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17. Lors de cette séquence, la déviation est forte au
démarrage, le temps que tout ceux qui sont venu
sur scène la rejoigne.
Dans le second temps on voit que la déviation est
basse et relativement constante, ce qui montre le
lien fort créé entre les personnes sur scène et dans
la salle.
Si l’on s’en tient à ce second temps, la valeur de la
déviation serait de 92 px en moyenne, et non pas
111 px (qui est la valeur pour l’ensemble de la
séquence).
Ci l’on rapproche cela du niveau d’émotion
rayonnée lors de ce second temps (5554 px en
moyenne), cela en fait la séquence qui a généré
relativement le plus de cohérence, ce qui n’est pas
étonnant car elle était faite pour cela !
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18. Olivier BRONI