Asperges vs Cancer [en francais] (por: carlitosrangel)Carlos Rangel
(Feb.09) Médecine naturelle. Texte controversé, de source presque fantôme, mais avéré efficace pour beaucoup.
Montage graphique original: Carlos Rangel
(jun.2010) Quand la nature parle, l'homme reste silencieux. Le volcan Pacaya au Guatemala a parlé en duo avec la tempête tropicale Agatha.
Production originale: Carlos Rangel
Asperges vs Cancer [en francais] (por: carlitosrangel)Carlos Rangel
(Feb.09) Médecine naturelle. Texte controversé, de source presque fantôme, mais avéré efficace pour beaucoup.
Montage graphique original: Carlos Rangel
(jun.2010) Quand la nature parle, l'homme reste silencieux. Le volcan Pacaya au Guatemala a parlé en duo avec la tempête tropicale Agatha.
Production originale: Carlos Rangel
Étude sociologique comparative de la Naturopathie et de son antagoniste (ou presque) l'allopathie sur la base de la falsification. Cette étude a pour but de d'établir la ligne de démarcation entre science et pseudo-science en Médecine.
Le curcuma est une plante herbacée vivace originaire du sud de l'Asie. Son rhizome séché et réduit en poudre est une épice très populaire. Le curcuma, nommé haridra en sanscrit, est un des principaux ingrédients du cari, un mélange d'épices omniprésent dans la cuisine indienne. En Asie, on a depuis longtemps découvert qu’ajouter du curcuma aux aliments permettait de conserver leur fraîcheur, leur saveur et leur valeur nutritive.
Ainsi, bien avant l'époque des conservateurs synthétiques, le curcuma jouait un rôle primordial comme additif alimentaire. Son nom chinois, Jianghuang, signifie « gingembre jaune », une allusion à sa ressemblance avec le gingembre, une plante de la même famille, et à la remarquable couleur de son rhizome qu'on a utilisé comme colorant et teinture.
En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l'Inde), de même que dans les médecines traditionnelles de la Chine, du Japon, de la Thaïlande et de l'Indonésie, le curcuma est utilisé pour stimuler la digestion, notamment parce qu’il augmente la sécrétion biliaire. En fait, ces propriétés sont universellement reconnues, si bien que le rhizome est commercialisé dans le monde entier.
Au cours des dernières décennies, on a isolé, dans les rhizomes du curcuma, des substances auxquelles on a donné le nom de curcuminoïdes (la curcumine constitue environ 90 % de ces composés). Il s'agit d'antioxydants très puissants, qui pourraient expliquer un certain nombre des indications médicinales traditionnelles de cette plante, notamment pour le traitement de divers troubles inflammatoires dont les douleurs rhumatismales ou menstruelles. En Asie et en Inde, il est également utilisé de façon topique pour accélérer la guérison des ulcères, des blessures ainsi que des lésions causées par la gale et l’eczéma, par exemple.
Traitement du cancer. Les propriétés anticancéreuses de la curcumine sont prises très au sérieux par la communauté scientifique et plusieurs essais cliniques sont en cours27. Jusqu’à présent, on ne dispose que de peu de résultats, mais ils sont encourageants. Utilisée seule ou en association avec la chimiothérapie, la curcumine (8 g par jour) a permis, dans quelques cas, de stabiliser l’évolution du cancer du pancréas23,42 . Cet effet a également été observé chez des patients souffrant de cancer colorectal43.
Ces études préliminaires ont toutefois confirmé ce que les études avec l’animal avait révélé : la biodisponibilité de la curcumine est très faible 22,23,44. Elle est peu absorbée par les intestins et la fraction absorbée est rapidement transformée par le foie et éliminée. Les quantités qui se sont révélées efficaces dans les expériences in vitro sont donc difficiles à atteindre dans l’organisme19. C’est une des raisons pour laquelle les essais cliniques utilisent des doses si importantes et se focalisent sur les cancers du tube digestif où les quantités de curcumine demeurent élevées.
Histoire du curcuma
Le curcuma est une plante herbacée vivace originaire du sud de l'Asie. Son rhizome séché et réduit en poudre est une épice très populaire. Le curcuma, nommé haridra en sanscrit, est un des principaux ingrédients du cari, un mélange d'épices omniprésent dans la cuisine indienne. En Asie, on a depuis longtemps découvert qu’ajouter du curcuma aux aliments permettait de conserver leur fraîcheur, leur saveur et leur valeur nutritive.
Ainsi, bien avant l'époque des conservateurs synthétiques, le curcuma jouait un rôle primordial comme additif alimentaire. Son nom chinois, Jianghuang, signifie « gingembre jaune », une allusion à sa ressemblance avec le gingembre, une plante de la même famille, et à la remarquable couleur de son rhizome qu'on a utilisé comme colorant et teinture.
En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l'Inde), de même que dans les médecines traditionnelles de la Chine, du Japon, de la Thaïlande et de l'Indonésie, le curcuma est utilisé pour stimuler la digestion, notamment parce qu’il augmente la sécrétion biliaire. En fait, ces propriétés sont universellement reconnues, si bien que le rhizome est commercialisé dans le monde entier.
Au cours des dernières décennies, on a isolé, dans les rhizomes du curcuma, des substances auxquelles on a donné le nom de curcuminoïdes (la curcumine constitue environ 90 % de ces composés). Il s'agit d'antioxydants très puissants, qui pourraient expliquer un certain nombre des indications médicinales traditionnelles de cette plante, notamment pour le traitement de divers troubles inflammatoires dont les douleurs rhumatismales ou menstruelles. En Asie et en Inde, il est également utilisé de façon topique pour accélérer la guérison des ulcères, des blessures ainsi que des lésions causées par la gale et l’eczéma, par exemple.
Les propriétés anticancéreuses de la curcumine sont prises très au sérieux par la communauté scientifique et plusieurs essais cliniques sont en cours. Jusqu’à présent, on ne dispose que de peu de résultats, mais ils sont encourageants. Utilisée seule ou en association avec la chimiothérapie, la curcumine (8 g par jour) a permis, dans quelques cas, de stabiliser l’évolution du cancer du pancréas. Cet effet a également été observé chez des patients souffrant de cancer colorectal.
La ciclosporine est un médicament utilisé pour que le corps tolère la présence d’un organe étranger (greffe). Il fait partie des traitements dits « antirejet » qui ont pour action de diminuer les défenses immunitaires. La ciclosporine bloque une substance appelée interleukine-2 qui joue un rôle important dans l’activation des défenses immunitaires.
Pour plus d’efficacité, la ciclosporine est souvent prescrite avec d’autres médicaments antirejet, par exemple un corticoïde. La ciclosporine est commercialisée depuis le début des années 1980 comme médicament antirejet.
Les cancers sont des maladies multifactorielles dans lesquelles interviennent des facteurs génétiques, hormonaux, biologiques, environnementaux, et dans ceux-ci, l’alimentation est un facteur.
C’est un facteur sur lequel, il est possible d’agir ...
Surdiagnostic des cancers du sein, controverses à propos du dépistageCancer Rose
Cours pour étudiants en médecine sur une thématique « Surdiagnostics des cancer du sein et les controverses à propos du dépistage ». Présentation aimablement mise à disposition par son auteur Dr. Bernard Duperray, à l’association de professionnels de la santé Cancer Rose www.cancer-rose.fr , pour information tout public.
Dr Bernard Duperray est médecin radiologue spécialiste du cancer du sein, retraité après quarante et un an de pratique à l'hôpital Saint-Antoine à Paris. Il enseigne à la Faculté de Médecine, Université Paris-Descartes.
Dr. Bernard Duperray est l’auteur du livre Dépistage du cancer du sein-La grande illusion, préface par Dr. Cécile Bour, médecin radiologue, membre fondateur de l’association « Cancer Rose ».
Le « CEPLA EP » est une institution de mursing privée, régie par les lois du pays et le Ministère de la Santé Publique. Il a été fondé en 1988 par l’Infirmière Marie Lourdes CAIDOR et le docteur Pierre Richard CAIDOR. Son siège social est à la rue Rivière #15, Port-au-Prince.
#DOULEUR #RIPOSTES
✅ Lisa Bendall, journaliste freelance de Toronto, spécialisée en santé (https://www.lisabendall.com/about_lisa.html), propose ses "ripostes" pour affronter la douleur et "embrasser la vie".
⏩ Stratégies d'autogestion, médicamentation dure ou douce, actions de prévention par accompagnement de spécialistes, etc.
Pour ma part, j'ai été surprise de ne pas voir apparaître les activités artistiques, tout comme le pouvoir antalgique de vivre une passion...
Surdiagnostic des cancers du sein. Controverse à propos du dépistage. Cours D...Cancer Rose
Description
Cours pour étudiants en médecine sur une thématique « Surdiagnostics des cancer du sein et les controverses à propos du dépistage ». Présentation aimablement mise à disposition par son auteur Dr. Bernard Duperray, à l’association de professionnels de la santé Cancer Rose www.cancer-rose.fr , pour information tout public.
Dr Bernard Duperray est médecin radiologue spécialiste du cancer du sein, retraité après quarante et un an de pratique à l'hôpital Saint-Antoine à Paris. Il enseigne à la Faculté de Médecine, Université Paris-Descartes.
Dr. Bernard Duperray est l’auteur du livre Dépistage du cancer du sein-La grande illusion, préface par Dr. Cécile Bour, médecin radiologue, membre fondateur de l’association « Cancer Rose ».
Cancer Rose est un collectif de professionnels de la santé rassemblés en association.
Des médecins indépendants, ainsi qu’un docteur en toxicologie ont créé le site d’information www.cancer-rose.fr pour vous faire connaître les données scientifiques les plus objectives et les plus récentes sur le dépistage de masse du cancer du sein.
En décryptant et vulgarisant les études scientifiques les plus récentes, publiées dans les plus grandes revues médicales internationales, en analysant la controverse et en en proposant une analyse sociale et féminine, notre objectif est d’informer les femmes concernées par le dépistage de masse afin de les aider dans leur choix et de mettre à disposition des médecins intéressés des outils d’information indépendants.
Cancer Rose fonctionne sans publicité, sans conflits d’intérêt, sans subvention.
Tous les mois, dans les PIMS (Pédagogie Interactive Médico-Soignante) des urgences Paris Saint Joseph ; on casse des idées reçues en médecine, on rappelle des éléments oubliés voire inconnus.
La science avant les habitudes.
Ce mois ci : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les IPP.
Étude sociologique comparative de la Naturopathie et de son antagoniste (ou presque) l'allopathie sur la base de la falsification. Cette étude a pour but de d'établir la ligne de démarcation entre science et pseudo-science en Médecine.
Le curcuma est une plante herbacée vivace originaire du sud de l'Asie. Son rhizome séché et réduit en poudre est une épice très populaire. Le curcuma, nommé haridra en sanscrit, est un des principaux ingrédients du cari, un mélange d'épices omniprésent dans la cuisine indienne. En Asie, on a depuis longtemps découvert qu’ajouter du curcuma aux aliments permettait de conserver leur fraîcheur, leur saveur et leur valeur nutritive.
Ainsi, bien avant l'époque des conservateurs synthétiques, le curcuma jouait un rôle primordial comme additif alimentaire. Son nom chinois, Jianghuang, signifie « gingembre jaune », une allusion à sa ressemblance avec le gingembre, une plante de la même famille, et à la remarquable couleur de son rhizome qu'on a utilisé comme colorant et teinture.
En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l'Inde), de même que dans les médecines traditionnelles de la Chine, du Japon, de la Thaïlande et de l'Indonésie, le curcuma est utilisé pour stimuler la digestion, notamment parce qu’il augmente la sécrétion biliaire. En fait, ces propriétés sont universellement reconnues, si bien que le rhizome est commercialisé dans le monde entier.
Au cours des dernières décennies, on a isolé, dans les rhizomes du curcuma, des substances auxquelles on a donné le nom de curcuminoïdes (la curcumine constitue environ 90 % de ces composés). Il s'agit d'antioxydants très puissants, qui pourraient expliquer un certain nombre des indications médicinales traditionnelles de cette plante, notamment pour le traitement de divers troubles inflammatoires dont les douleurs rhumatismales ou menstruelles. En Asie et en Inde, il est également utilisé de façon topique pour accélérer la guérison des ulcères, des blessures ainsi que des lésions causées par la gale et l’eczéma, par exemple.
Traitement du cancer. Les propriétés anticancéreuses de la curcumine sont prises très au sérieux par la communauté scientifique et plusieurs essais cliniques sont en cours27. Jusqu’à présent, on ne dispose que de peu de résultats, mais ils sont encourageants. Utilisée seule ou en association avec la chimiothérapie, la curcumine (8 g par jour) a permis, dans quelques cas, de stabiliser l’évolution du cancer du pancréas23,42 . Cet effet a également été observé chez des patients souffrant de cancer colorectal43.
Ces études préliminaires ont toutefois confirmé ce que les études avec l’animal avait révélé : la biodisponibilité de la curcumine est très faible 22,23,44. Elle est peu absorbée par les intestins et la fraction absorbée est rapidement transformée par le foie et éliminée. Les quantités qui se sont révélées efficaces dans les expériences in vitro sont donc difficiles à atteindre dans l’organisme19. C’est une des raisons pour laquelle les essais cliniques utilisent des doses si importantes et se focalisent sur les cancers du tube digestif où les quantités de curcumine demeurent élevées.
Histoire du curcuma
Le curcuma est une plante herbacée vivace originaire du sud de l'Asie. Son rhizome séché et réduit en poudre est une épice très populaire. Le curcuma, nommé haridra en sanscrit, est un des principaux ingrédients du cari, un mélange d'épices omniprésent dans la cuisine indienne. En Asie, on a depuis longtemps découvert qu’ajouter du curcuma aux aliments permettait de conserver leur fraîcheur, leur saveur et leur valeur nutritive.
Ainsi, bien avant l'époque des conservateurs synthétiques, le curcuma jouait un rôle primordial comme additif alimentaire. Son nom chinois, Jianghuang, signifie « gingembre jaune », une allusion à sa ressemblance avec le gingembre, une plante de la même famille, et à la remarquable couleur de son rhizome qu'on a utilisé comme colorant et teinture.
En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l'Inde), de même que dans les médecines traditionnelles de la Chine, du Japon, de la Thaïlande et de l'Indonésie, le curcuma est utilisé pour stimuler la digestion, notamment parce qu’il augmente la sécrétion biliaire. En fait, ces propriétés sont universellement reconnues, si bien que le rhizome est commercialisé dans le monde entier.
Au cours des dernières décennies, on a isolé, dans les rhizomes du curcuma, des substances auxquelles on a donné le nom de curcuminoïdes (la curcumine constitue environ 90 % de ces composés). Il s'agit d'antioxydants très puissants, qui pourraient expliquer un certain nombre des indications médicinales traditionnelles de cette plante, notamment pour le traitement de divers troubles inflammatoires dont les douleurs rhumatismales ou menstruelles. En Asie et en Inde, il est également utilisé de façon topique pour accélérer la guérison des ulcères, des blessures ainsi que des lésions causées par la gale et l’eczéma, par exemple.
Les propriétés anticancéreuses de la curcumine sont prises très au sérieux par la communauté scientifique et plusieurs essais cliniques sont en cours. Jusqu’à présent, on ne dispose que de peu de résultats, mais ils sont encourageants. Utilisée seule ou en association avec la chimiothérapie, la curcumine (8 g par jour) a permis, dans quelques cas, de stabiliser l’évolution du cancer du pancréas. Cet effet a également été observé chez des patients souffrant de cancer colorectal.
La ciclosporine est un médicament utilisé pour que le corps tolère la présence d’un organe étranger (greffe). Il fait partie des traitements dits « antirejet » qui ont pour action de diminuer les défenses immunitaires. La ciclosporine bloque une substance appelée interleukine-2 qui joue un rôle important dans l’activation des défenses immunitaires.
Pour plus d’efficacité, la ciclosporine est souvent prescrite avec d’autres médicaments antirejet, par exemple un corticoïde. La ciclosporine est commercialisée depuis le début des années 1980 comme médicament antirejet.
Les cancers sont des maladies multifactorielles dans lesquelles interviennent des facteurs génétiques, hormonaux, biologiques, environnementaux, et dans ceux-ci, l’alimentation est un facteur.
C’est un facteur sur lequel, il est possible d’agir ...
Surdiagnostic des cancers du sein, controverses à propos du dépistageCancer Rose
Cours pour étudiants en médecine sur une thématique « Surdiagnostics des cancer du sein et les controverses à propos du dépistage ». Présentation aimablement mise à disposition par son auteur Dr. Bernard Duperray, à l’association de professionnels de la santé Cancer Rose www.cancer-rose.fr , pour information tout public.
Dr Bernard Duperray est médecin radiologue spécialiste du cancer du sein, retraité après quarante et un an de pratique à l'hôpital Saint-Antoine à Paris. Il enseigne à la Faculté de Médecine, Université Paris-Descartes.
Dr. Bernard Duperray est l’auteur du livre Dépistage du cancer du sein-La grande illusion, préface par Dr. Cécile Bour, médecin radiologue, membre fondateur de l’association « Cancer Rose ».
Le « CEPLA EP » est une institution de mursing privée, régie par les lois du pays et le Ministère de la Santé Publique. Il a été fondé en 1988 par l’Infirmière Marie Lourdes CAIDOR et le docteur Pierre Richard CAIDOR. Son siège social est à la rue Rivière #15, Port-au-Prince.
#DOULEUR #RIPOSTES
✅ Lisa Bendall, journaliste freelance de Toronto, spécialisée en santé (https://www.lisabendall.com/about_lisa.html), propose ses "ripostes" pour affronter la douleur et "embrasser la vie".
⏩ Stratégies d'autogestion, médicamentation dure ou douce, actions de prévention par accompagnement de spécialistes, etc.
Pour ma part, j'ai été surprise de ne pas voir apparaître les activités artistiques, tout comme le pouvoir antalgique de vivre une passion...
Surdiagnostic des cancers du sein. Controverse à propos du dépistage. Cours D...Cancer Rose
Description
Cours pour étudiants en médecine sur une thématique « Surdiagnostics des cancer du sein et les controverses à propos du dépistage ». Présentation aimablement mise à disposition par son auteur Dr. Bernard Duperray, à l’association de professionnels de la santé Cancer Rose www.cancer-rose.fr , pour information tout public.
Dr Bernard Duperray est médecin radiologue spécialiste du cancer du sein, retraité après quarante et un an de pratique à l'hôpital Saint-Antoine à Paris. Il enseigne à la Faculté de Médecine, Université Paris-Descartes.
Dr. Bernard Duperray est l’auteur du livre Dépistage du cancer du sein-La grande illusion, préface par Dr. Cécile Bour, médecin radiologue, membre fondateur de l’association « Cancer Rose ».
Cancer Rose est un collectif de professionnels de la santé rassemblés en association.
Des médecins indépendants, ainsi qu’un docteur en toxicologie ont créé le site d’information www.cancer-rose.fr pour vous faire connaître les données scientifiques les plus objectives et les plus récentes sur le dépistage de masse du cancer du sein.
En décryptant et vulgarisant les études scientifiques les plus récentes, publiées dans les plus grandes revues médicales internationales, en analysant la controverse et en en proposant une analyse sociale et féminine, notre objectif est d’informer les femmes concernées par le dépistage de masse afin de les aider dans leur choix et de mettre à disposition des médecins intéressés des outils d’information indépendants.
Cancer Rose fonctionne sans publicité, sans conflits d’intérêt, sans subvention.
Tous les mois, dans les PIMS (Pédagogie Interactive Médico-Soignante) des urgences Paris Saint Joseph ; on casse des idées reçues en médecine, on rappelle des éléments oubliés voire inconnus.
La science avant les habitudes.
Ce mois ci : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les IPP.
2. Traduction à partir d’un diaporama reçu en espagnol
Del Artículo "Espárragos para el cáncer"
publicado en la revista Noticias sobre el Cáncer,
dic. 1979
3. Je suis spécialisé dans la chimie au sujet de la relation entre
l'alimentation et la santé depuis 50 ans.
Il y a quelques années j'ai entendu parler de la découverte de
Richard R. Vensal, DDS que les asperges pourraient guérir le
cancer.
Depuis, j'ai travaillé avec lui sur ce projet et nous avons accumulé
un certain nombre de cas favorables.
Voici quelques exemples:
4. Cas No. 1
Un homme désespéré avec la maladie de Hodgkin (cancer des ganglions
lymphatiques), À l’intérieur d’un an après avoir commencé la thérapie des
asperges, ses médecins n’ont pu détecter aucun signe de cancer. Cet homme a
pu retourner à la pratique des exercices exténuants.
5. Un commerçant performant de 68 ans souffrait d'un cancer de la vessie depuis
16 ans. Après des années de traitement médical incluant la radiation sans
obtenir aucune amélioration, il a opté pour les asperges. En 3 mois, les examens
ont révélé que la tumeur avait disparu de la vessie et les reins étaient normaux.
Cas No. 2
6. Un homme avait un cancer du
poumon. Le 5 Mars 1971, il a été
opéré et on a trouvé un cancer du
poumon si répandue que ce n'était
pas opérable. Le chirurgien a l’a
recousu et a déclaré que c’était
incurable. Le 5 avril, le patient était
au courant de la thérapie d'asperges
et la commença immédiatement. En
août, les rayons X ont révélé que
tous les signes d'un cancer avait
disparu. Il est retourné travailler
dans son commerce. Vous pouvez
comparer ceci avec les témoignages
sur le cancer du poumon guéri ou
amélioré grâce à l'huile de lin et à la
ricotta avec le régime du Dr
Johanna Budwig)
Cas No. 3
7. Cas No. 4
Une femme qui a lutté pendant des années
contre le cancer de la peau. Elle avait
finalement développé différents cancers
de la peau qui avaient été diagnostiqués
comme avancé par un spécialiste de la
peau. Trois mois après avoir commencé le
traitement aux asperges, le spécialiste de
la peau a dit qu’elle avait maintenant une
belle peau sans aucune lésion cutanée.
La femme a déclaré que la thérapie aux
asperges l’avait aussi guérie d'une
maladie des reins qu’elle avait depuis
1949. Elle avait eu 10 opérations afin
d’extraire des calculs rénaux, Elle
recevait des prestations d'invalidité du
gouvernement en raison de son cas
inopérable. Elle a reconnu entièrement
que sa guérison était dû aux asperges. Ce
résultat ne m’a pas surprise.
8. L'étude intitulée «The Elements of Materia Medica», publié en 1854 par un
professeur à l'Université de Pennsylvanie a déclaré que l'asperge a été utilisé
comme un remède populaire pour des calculs rénaux. Ce professeur en 1739 a
fait des expériences sur le pouvoir de l'asperge à dissoudre les calculs.
9. Il existe de nombreux autres cas, mais le
corps médical interfère en ne voulant
pas que nous obtenions les dossiers.
C'est pourquoi je demande aux lecteurs
de propager ces bonnes nouvelles et de
nous aider à recueillir un grand nombre
de cas qui dépassent les médecins
sceptiques au sujet de ce remède
incroyablement simple et naturel.
Pour le traitement, les asperges doivent
être cuits avant leur consommation, et
les asperges en conserve par conséquent
sont aussi bonnes que fraîches. Il faut
simplement faire attention et choisir une
marque qui contient le moins de
pesticides et d’agents de conservation .
10. Mettez les asperges cuites dans un
mélangeur et réduire en purée pour
être conserver au réfrigérateur.
Donnez au patient 4 cuillères à soupe
pleine par jour, matin et soir.
Habituellement en 2 à 4 semaines,
les patients ont des réactions
positives. Cette purée peut être
diluée dans de l'eau et la prendre
comme boisson chaude ou froide. La
dose recommandée est basée sur
l'expérience passée, mais des doses
plus élevées ne pourront
certainement pas causer de dommage
et, dans certains cas peut être
nécessaire.
Procédure
11. En tant que biochimiste, je suis convaincue que le vieil adage: «Ce qui peut
guérir peut aussi prévenir.» En se basant sur cette théorie, ma femme et moi,
avons utilisé la purée d'asperges en tant que boisson avec les repas. Nous
prenons 2 cuillères à soupe diluée dans de l'eau selon les goûts, avec petit
déjeuner et le dîner. Je la prend chaude et ma femme la préfère froid.e
Pendant des années, nous avons pris l'habitude de faire analyser notre sang. La
dernière fois après l'examen fait par un médecin qui se spécialise dans les
approches nutritionnelles pour la santé, les résultats ont montré des
améliorations importantes dans toutes les catégories de l'examen précédent.
J'ai fait une étude approfondie de tous les aspects du cancer, et de tous les
remèdes proposés. Comme résultat, je suis convaincu que les asperges
constituent sont la théorie ultime et majeure pour le cancer
12. Les asperges contiennent une bonne quantité de protéines appelées
histones, qui est censé activer le contrôle de la croissance cellulaire.
Pour cette raison, je crois que les asperges contiennent une substance
laquelle nous appelons normalisateur de la croissance des cellules. C'est
ce qui explique l'action dans le cancer et comme tonique général du
corps.
Quoi qu'il en soit, les asperges utilisés comme je le suggère, est une
substance inoffensive. La FDA ne peut pas empêcher leur utilisation à
n'importe qui, peut cependant faire beaucoup de bien. Leonard
(leonardleonard1 à earthlink.net) ajoute:
«Il y a de nombreux rapports de la récupération pour manger des
asperges crues et cuites. Houston a écrit que «le jus brut ou smoothie»
peut être une forme plus efficace »(cité dans Hess, 1999, p. 138)« Si
j'avais le cancer je mangerais autant d’asperges que je pourrais, cuites
(de préférence à la vapeur) crues, solide ou liquides. »
13. Les asperges sont riches en éléments
nutritifs et faibles en calories, sodium et en
cholestérol.
Elles sont une excellente source d'acide
folique, de vitamine C, de thiamine et de
vitamine B6 .
L'asperge ne contient pas de gras ou de
cholestérol.
Elles sont une source importante de
potassium et de nombreux micronutriments.
Selon l'Institut national du cancer, l'asperge est l'aliment
le plus élevé de glutathion, un des ennemis les plus
puissants contre le cancer appelé «le plus puissant anti-
cancer et anti-oxydant.
En outre, les asperges contiennent la rutine de haut niveau
qui renforce les vaisseaux sanguins.
14. F i n
Transcripción del texto a formato de Powerpoint, cortesía de Carlos RangelTranscripción del texto a formato de Powerpoint, cortesía de Carlos Rangel
Santiago de Querétaro, Mex. Feb.2009Santiago de Querétaro, Mex. Feb.2009
carlitosrangel@hotmail,comcarlitosrangel@hotmail,com
Le texte présenté a été largement diffusé
sur Internet depuis plusieurs années et
peut être facilement vu par les recherches
sur Google. Prendre en compte cette
information est strictement à la discrétion
et la responsabilité du lecteur.