En juillet 2014, la maison culturelle flamando-néerlandaise deBuren organisait pour la troisième année consécutive une résidence de jeunes auteurs à Paris. J’ai eu la chance d’y participer, en compagnie d’une journaliste bruxelloise et de jeunes artistes du nord de la Belgique et des Pays-Bas. Nous étions 21 au total. Le directeur Dorian van der Brempt et ses deux collaboratrices nous ont fort bien installés dans la fondation Biermans-Lapôtre, un énorme bâtiment érigé à l’entrée de la Cité internationale universitaire. Ils nous ont notamment proposé des conférences et des débats. Mais nous étions surtout libres de faire ce qui nous plaisait. Lors d’une de mes flâneries quotidiennes, j’ai retrouvé ma grand-tante pour déjeuner. Thérèse, dite Tes. C’est elle qui m’a inspiré cette nouvelle. Et il va de soi que je la lui dédie :
Les jeux sont faits et les lits sont défaits. Rien ne va plus dans cet entre-deux. D'un côté la poésie. De l'autre la turpitude sociale, culturelle et S*******. La censure des mots sensibles est naturelle dans notre société de liberté. La version ici est non censurée et étendue par rapport à la version sur les sites vendeurs. Ici on peut appeler un appendce pénien par son simple nom de pénis et arrêter de parler du pen-club de l'amour ou du penne de la serrure virginale ou du Le Pen de la virilité frivole et lubrique, azvec ou sans jeu de mot sur les articles bégayants en genre comme le Le pen ou la Le Pen. C'est plus simple en anglais, The Pen and that's all.
En juillet 2014, la maison culturelle flamando-néerlandaise deBuren organisait pour la troisième année consécutive une résidence de jeunes auteurs à Paris. J’ai eu la chance d’y participer, en compagnie d’une journaliste bruxelloise et de jeunes artistes du nord de la Belgique et des Pays-Bas. Nous étions 21 au total. Le directeur Dorian van der Brempt et ses deux collaboratrices nous ont fort bien installés dans la fondation Biermans-Lapôtre, un énorme bâtiment érigé à l’entrée de la Cité internationale universitaire. Ils nous ont notamment proposé des conférences et des débats. Mais nous étions surtout libres de faire ce qui nous plaisait. Lors d’une de mes flâneries quotidiennes, j’ai retrouvé ma grand-tante pour déjeuner. Thérèse, dite Tes. C’est elle qui m’a inspiré cette nouvelle. Et il va de soi que je la lui dédie :
Les jeux sont faits et les lits sont défaits. Rien ne va plus dans cet entre-deux. D'un côté la poésie. De l'autre la turpitude sociale, culturelle et S*******. La censure des mots sensibles est naturelle dans notre société de liberté. La version ici est non censurée et étendue par rapport à la version sur les sites vendeurs. Ici on peut appeler un appendce pénien par son simple nom de pénis et arrêter de parler du pen-club de l'amour ou du penne de la serrure virginale ou du Le Pen de la virilité frivole et lubrique, azvec ou sans jeu de mot sur les articles bégayants en genre comme le Le pen ou la Le Pen. C'est plus simple en anglais, The Pen and that's all.