Good Stuff Happens in 1:1 Meetings: Why you need them and how to do them well
N105
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ACTUALITÉ
CULTURE
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Triomphe debout
pour honorer
« lavi nan bouk »
Schultz Laurent Junior
Jude Célestin
favori dans deux
sondages
Stephen Ralph Henri
Jovenel Moïse
visite le National et
Joe Antoine Jn Baptiste
A
u centre-ville, dans les
environs de la paroisse
Sainte-Anne, les entre-
prises funéraires pullu-
lent. Les unes face aux autres, elles
ont toutes leurs clientèles. Cette
proximité ne les empêche pas de
fonctionner comme il se doit tous
les jours. Dans cette entreprise si-
tuée près du lycée Toussaint Louver-
ture, un groupe d’hommes sort en
discutant bruyamment. Ils viennent
de payer des frais de funérailles. La
directrice qui garde, malgré tout,
son calme, explique que c’est nor-
mal. Car le plus souvent, ceux qui
trainent dans les parages ne sont
pas des gens qui s’occupent de
funérailles des membres de leurs
familles. Ce sont des raquetteurs.
Quandlesraquetteursse
mettent dela partie
Plusieurs responsables de morgues
privées et d’entreprises funérai-
res rencontrés avouent que les ra-
quetteurs empêchent le bon fonc-
tionnement des entreprises.
CEP / INSTALLATION
Marie Carline Viergelin investie
sur fond de controverse
JEUDI 15 OCTOBRE 2015 NUMÉRO 105
Marie Carline Viergelin recevant l’ampliation de l’arrêté de sa nomination des mains du ministre chargé de la Question électorale
Jean Fritz Jean Louis, le 14 octobre 2015.
SERVICE FUNERAIRES
La complexité d’un business
En Haïti, tous les services funéraires n’ont pas le même prix. Les funérailles et
mêlent.