Powerpoint por Liliam Rodríguez
Universidad de La Habana
Facultad de Artes y Letras, III Edición.
Maestría en Historia del Arte Latinoamericano.
Tutor: Msc. Frency Fernández Rosales.
Sofía de los Angeles Acosta Villavicencio
"Características Estéticas del Performance en El Arte Cubano Contemporáneo ó El Cultivo de La Sed"
Asesora: Doctora Magalí Espinosa
Gracias a la Dra. María de los Ángeles Pereira.
ElsassJUG - Le classpath n'est pas mort...Alexis Hassler
En 2009, la mort du classpath a été annoncée. Les classloaders à plat ou hiérarchiques devaient être remplacés par des systèmes modulaires et tous nos problèmes de dépendance devaient se résoudre d’eux-mêmes. Cinq ans plus tard, le classpath vit toujours et pour quelques temps encore.
Dans la première partie de cette session, je vous propose de revenir sur le fonctionnement des classloaders du JDK et les problèmes infernaux posés par le classpath. Nous verrons aussi comment les serveurs d’applications, comme Tomcat, gèrent leur classloaders de façon hiérarchique, afin d’isoler les applications entre elles.
Dans la deuxième partie, je parlerai de modularité et de son impact sur la gestion des dépendances, à l’exécution des applications. Des solutions existent déjà, comme OSGi, d’autres émergent, comme JBoss Modules. Je vous montrerai comment ce dernier fonctionne, dans WildFly ou en autonome.
Powerpoint por Liliam Rodríguez
Universidad de La Habana
Facultad de Artes y Letras, III Edición.
Maestría en Historia del Arte Latinoamericano.
Tutor: Msc. Frency Fernández Rosales.
Sofía de los Angeles Acosta Villavicencio
"Características Estéticas del Performance en El Arte Cubano Contemporáneo ó El Cultivo de La Sed"
Asesora: Doctora Magalí Espinosa
Gracias a la Dra. María de los Ángeles Pereira.
ElsassJUG - Le classpath n'est pas mort...Alexis Hassler
En 2009, la mort du classpath a été annoncée. Les classloaders à plat ou hiérarchiques devaient être remplacés par des systèmes modulaires et tous nos problèmes de dépendance devaient se résoudre d’eux-mêmes. Cinq ans plus tard, le classpath vit toujours et pour quelques temps encore.
Dans la première partie de cette session, je vous propose de revenir sur le fonctionnement des classloaders du JDK et les problèmes infernaux posés par le classpath. Nous verrons aussi comment les serveurs d’applications, comme Tomcat, gèrent leur classloaders de façon hiérarchique, afin d’isoler les applications entre elles.
Dans la deuxième partie, je parlerai de modularité et de son impact sur la gestion des dépendances, à l’exécution des applications. Des solutions existent déjà, comme OSGi, d’autres émergent, comme JBoss Modules. Je vous montrerai comment ce dernier fonctionne, dans WildFly ou en autonome.
Intervention de Lara GELALIAN ( Faculté des lettres et des sciences humaines) à l'occasion de l'événement Innover & Enseigner 2011 - Université Saint-Joseph de Beyrouth (11 février 2011) organisé par le Laboratoire de pédagogie universitaire et l'Unité des nouvelles technologies éducatives - Faculté des sciences de l'éducation.
En 2009, la mort du classpath a été annoncée. Les classloaders à plat ou hiérarchiques devaient être remplacés par des systèmes modulaires et tous nos problèmes de dépendance devaient se résoudre d'eux-mêmes. Cinq ans plus tard, le classpath vit toujours et pour quelques temps encore.
Dans la première partie de cette session, je vous propose de revenir sur le fonctionnement des classloaders du JDK et les problèmes infernaux posés par le classpath. Nous verrons aussi comment les serveurs d'applications, comme Tomcat, gèrent leur classloaders de façon hiérarchique, afin d'isoler les applications entre elles.
Dans la deuxième partie, je parlerai de modularité et de son impact sur la gestion des dépendances, à l'exécution des applications. Des solutions existent déjà, comme OSGi, d'autres émergent, comme JBoss Modules. Je vous montrerai comment ce dernier fonctionne, dans WildFly ou en autonome.
Mme Magida Boulos, enseignante à l’IGE a présenté comment le suivi des stages pouvait se faire également grâce à la production d'un journal en ligne par l'étudiant, lien permanent avec son tuteur pendant la durée du stage.
Dossier artistique, Le Moche, présentation le 6 janvier 2015unjourauxrives
Annika Weber et La Cie Un Jour aux Rives présentent un étape de travail de la pièce "Le Moche" de Marius von Mayenburg. Le 6 janvier 2015 à 18h00, à Confluences, lieu d'engagement artistique, 190 boulevard de Charonne 75020 Paris
Dossier artistique Le Moche - 6 janvier 2015 - Cie Un Jour Aux Rivesunjourauxrives
Annika Weber et La Cie Un Jour aux Rives présentent un étape de travail de la pièce "Le Moche" de Marius von Mayenburg. Le 6 janvier 2015 à 18h00, à Confluences, lieu d'engagement artistique, 190 boulevard de Charonne 75020 Paris
Intervention de Lara GELALIAN ( Faculté des lettres et des sciences humaines) à l'occasion de l'événement Innover & Enseigner 2011 - Université Saint-Joseph de Beyrouth (11 février 2011) organisé par le Laboratoire de pédagogie universitaire et l'Unité des nouvelles technologies éducatives - Faculté des sciences de l'éducation.
En 2009, la mort du classpath a été annoncée. Les classloaders à plat ou hiérarchiques devaient être remplacés par des systèmes modulaires et tous nos problèmes de dépendance devaient se résoudre d'eux-mêmes. Cinq ans plus tard, le classpath vit toujours et pour quelques temps encore.
Dans la première partie de cette session, je vous propose de revenir sur le fonctionnement des classloaders du JDK et les problèmes infernaux posés par le classpath. Nous verrons aussi comment les serveurs d'applications, comme Tomcat, gèrent leur classloaders de façon hiérarchique, afin d'isoler les applications entre elles.
Dans la deuxième partie, je parlerai de modularité et de son impact sur la gestion des dépendances, à l'exécution des applications. Des solutions existent déjà, comme OSGi, d'autres émergent, comme JBoss Modules. Je vous montrerai comment ce dernier fonctionne, dans WildFly ou en autonome.
Mme Magida Boulos, enseignante à l’IGE a présenté comment le suivi des stages pouvait se faire également grâce à la production d'un journal en ligne par l'étudiant, lien permanent avec son tuteur pendant la durée du stage.
Dossier artistique, Le Moche, présentation le 6 janvier 2015unjourauxrives
Annika Weber et La Cie Un Jour aux Rives présentent un étape de travail de la pièce "Le Moche" de Marius von Mayenburg. Le 6 janvier 2015 à 18h00, à Confluences, lieu d'engagement artistique, 190 boulevard de Charonne 75020 Paris
Dossier artistique Le Moche - 6 janvier 2015 - Cie Un Jour Aux Rivesunjourauxrives
Annika Weber et La Cie Un Jour aux Rives présentent un étape de travail de la pièce "Le Moche" de Marius von Mayenburg. Le 6 janvier 2015 à 18h00, à Confluences, lieu d'engagement artistique, 190 boulevard de Charonne 75020 Paris
Music-Hall | Jean-Luc Lagarce | Mise en scène Véronique Ros de la Grangeculturedigitale
Music-Hall de Jean-Luc Lagarce – Mise en scène Véronique Ros de la Grange avec Jacques Michel à La Manufacture des Abbesses – Du 22 avril au 13 juin 2015 Mercredi 19h / Jeudi 19h / Vendredi 19h / Samedi 19h –
Questembert. Asphodèle : le programme de la nouvelle saison Guyon Jacky
Sa présentation officielle aura lieu le 23 septembre mais la billeterie sera ouverte dès le 13 septembre. Pour faire votre choix, voici en avant-première le programme complet de la nouvelle saison de l'Asphodèle.
25. Maître pastelliste au sommet de son art Nathalie fait de des œuvres de véritables scènes. Elles échappent au temps présent mais sont empreintes par les présences qu’elles offrent un caractère charnel aussi saisissant que rare. Ces femmes sont comme indifférentes au regard qu’on porte sur elle. Si bien que le mot « femme » ne définit quasiment plus une catégorie ni un genre. C’est un point d’appui, concret, matériel, pour faire passer, faire circuler, des couleurs, des lumières, des questions, des émotions. Ce qui circule, c’est l’abondance, tout ce luxe qui échappe à celui que la société nous tend bref tout ce qu’on consomme en tant que sexe ou spectacle, ce dont on recouvre le corps pour mieux le dénuder afin qu’il devienne usine à fantasme, bref une bêtise, toute pauvreté de fait et une absence. Nathalie Picoulet de fait souligne cette absence de sens, de but, de liens, de rapports, de sentiments. Elle crée le leurre du leurre, une présence en creux par tout ce qui déborde à travers son art. « No ideas but in things » disait William Carlos Williams : pas d’idées si ce n’est dans des choses ou comme ici dans les êtres. L’artiste met chacune de ses femmes en situation et en dialogue. Son théâtre vient de cette façon. Son théâtre : une forme d’étonnement, l’étonnement de lancer des corps, de les sentir voler, toucher, rebondir et surtout créer un étonnement à travers le langage qui les façonne dans un ordre de la perfection. Chaque femme prend la scène par le détail, minutieux, minuscule, majuscule, décalé, triste, terrible au présent mais un présent éternel, sans passé ni avenir. L’artiste donne à ses femmes ce qui est requis au théâtre : la présence à l’instant. Elle y parvient car Nathalie Picoulet possède une connaissance intime et une très pratique de tous les aspects de son art. A travers lui on a la sensation concrète que tout est possible, que tout peut arriver. L’agencement des surprises n’est pas gratuit . L’artiste cherche, plus qu’un effet esthétique, le maintien d’une pensée en éveil. Ses images sont des moments de suspens et de remise en mouvement. Les femmes-filles sont là par l’attention portée à l’artiste à sa techniques afin que dans son théâtre des Lucioles elles jouent et ne jouent pas. C’est très impressionnant et très sérieux. C’est une histoire de trop et de pas assez, de tout et de rien, c’est politique, physique et métaphysique. C’est mettre en jeu la condition humaine à travers le désir et la séduction. Ne serait-ce pas alors que pour Nathalie Picoulet créer c’est être sexuée, avoir des limites et être illimité. Ce qui se passe en ses oeuvres nous tire aux quatre coins de l’existence. Destin et projet. Et que faire ? On n’a qu’une vie, elle est ici et maintenant l’artiste nous porte ailleurs. Son art est donc le plus délicieusement pervers qui soit.
Notes de l'éditeur
Nathalie Picoulet
http://www.liveinternet.ru/users/dvora/post127280081/ - Nathalie Picoulet Jeune fille au bandeau