8 Sources de Trafic Web que vous pouvez suivre grâce au Call TrackingDexem
Quelles sont les sources de trafic Web pour lesquelles tracker vos appels téléphoniques vous aider à piloter votre acquisition de leads ? Cette présentation vous propose de découvrir les principaux enjeux du Call Tracking dans le domaine du webmarketing !
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.dexem.com
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La fantaisie de la startup et les astuces pour ne pas gaspiller 40 000 euros ...ludovic barthélémy
Aujourd’hui je vais vous expliquer pourquoi la start-up m’a tué et pourquoi vos grands rêves peuvent anéantir votre réussite, et comment passer à l’action tout de suite. Je précise que cet article a été transcrit d’ou les tournures de phrases un peu lourdes.
Veuillez trouver ci-joint une présentation assistée par ordinateur (PréAO) sur le thème de la nouvelle technologie plus particulièrement des réseaux sociaux. Bonne visualisation et à très vite pour de nouvelles PréAO.
Vous souhaitez augmenter la visibilité de votre manifestation pour le #TELETHON ?
Retrouvez ici nos conseils pour la communication de votre événement.
Une étude inédite sur les mutations du secteur de la communication. 5 000 consommateurs et 40 dirigeants interrogés sur 5 pays. Téléchargez l'étude complète ici : www.kantar.com/dimension
> Le ciblage excessif, un danger pour l'industrie publicitaire ? Quel équilibre entre mass media et hyper personnalisation ?
> RP, brand content, marketing d'influence... : comment communiquer avec ses publics avec sincérité ? A quelles sources d'information les consommateurs font-ils confiance ?
> Modèle publicitaire vs abonnement : quelle évolution pour les modèles économiques des médias ?
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Augmenter et piloter le ROI de votre programme relationnelNicolas BRUCHET
Alors que nous traversons une crise économique majeure, les investissements marketing sont mûrement réfléchis et les initiatives seront priorisées en fonction de leur ROI.
Ce contexte accélère un changement d’approche pour les programmes de fidélité et les programmes relationnels en général. Tandis que la notion de performance économique était souvent abordée de façon empirique, elle devient maintenant un critère clé qu'il convient d'évaluer précisément.
Le rapport entre la valeur générée par un programme et son coût doit être positif et mesurable : un programme relationnel doit générer plus de revenu incrémental (ou de "valeur vie client" incrémentale) qu'il ne coûte en action de fidélisation et d'animation. Chaque modification d'un paramètre du programme relationnel doit pouvoir être validée par la mesure de son impact sur le ROI.
Dans ce document, nous abordons les sujets suivants :
La “valeur vie client” : comment la définir, et comment la mesurer ?
Les leviers de création de valeur d’un programme relationnel : quels sont-ils et comment les activer ?
Modéliser et mesurer le ROI : quelle méthodologie adopter ?
Nous illustrerons par quelques exemples les solutions et les pratiques que nous recommandons de mettre en oeuvre.
Speaker slides from the Innovation in Media 2021 Deep Dive webinar. John Wilpers, Senior Director and Juan Señor, President at Innovation Media Consulting draw on 12 months of research plus their extensive media consulting experience to present their findings on the latest Report.
Print & Offbeat: Our annual dose of human genius and imagination
From DIY sanitary pads and pages built of sand to take-away flower seeds on billboards, soundproof posters, “audio” print ads, 4G speed tests in print and more.
Extract from the Innovation in Media 2020-21 World Report
Authentic empathy: how marketers should respond to covid-19magazinemediaBE
What are people’s expectations of brands in the crisis? What sort of advertising resonates right now? How do people respond to ‘business as usual’ ads? Is there anything I need to avoid? Looking forward peak and post crisis
The eurobest Awards set the European benchmark for creative and effective marketing communications. Eurobest juries come together to find common ground in their quest to reward great ideas from this dynamic continent.
Attention Pays: Optimising for Profit answers questions like: What is the gap in investment across the market? What are optimum levels of investment for advertisers? How well do magazines perform on profit ROI?
Magnetic’s latest research ‘Attention Pays: Optimising for Profit’ conducted with Benchmarketing analysed the Profit ROI of magazines within cross-platform media campaigns. The findings present a case for rebalancing the media mix. “At an aggregate level, the market is underinvesting in magazines, and not achieving the optimal profit ROI that they could be”
Big mag: the unique value of magazine brands magnifymagazinemediaBE
Presentation by Nancy Detrixhe from MMA in the Netherlands at MAGnify 2019. BIG MAG is a research by MMA and Blauw Research into the unique value of magazine brands in this digital era.
The big idea was for four publishers who are usually fierce competitors to work together for the first time on a piece of research to support their medium. In a world where print was being dropped from motoring campaign schedules altogether, conversations about which magazines to use were becoming redundant. Sales and insight teams from across all four publishers worked together to draw up a brief for research to:
• Demonstrate role and influence of motoring magazines in car purchasing journey.
• Demonstrate the role of motoring magazines in building brand awareness and consideration.
• Demonstrate how advertising within motoring magazines amplifies editorial content.
Earlier this year Adam Smith, Group M UK, openly contested the positive impact of the massive switch to digital media in an interview in The Guardian. We invited Steve Goodman from the same media agency to talk about their re-evaluation of magazine media as an advertising medium.
How does our brain react to advertising stimuli? Not always the way we would expect it to, according to research by the french attention research specials Impact Mémoire. Bruno Poyet and Benoît Bochu explain
Key conclusions from the report: We have become focused on efficiency rather than effectiveness. Programmatic practices have led to an emphasis on delivery costs and rapid results. Context presents untapped value that delivers business outcomes. Industry headlines about brand safety mean now is the moment to re-evaluate context, look at the evidence and provide an argument for re-investment in high quality environments such as published media.
All media is in a battle for attention and multi-media consumption has become the norm. Consumers are, however, still prepared to give published media their undivided attention, they see the value that advertisers are perhaps neglecting to fully exploit.
Dit zijn resultaten van een onderzoek dat Sanoma in Nederland uitvoerde in samenwerking met IPG Mediabrands. Eerder dit jaar publiceerden beide partijen al hun ‘Vertrouwen in media’-onderzoek. Deze ondervraging van ruim 600 lezers van magazines naar hoe zij over het medium denken, is hierop een vervolg. Dat levert interessante feiten op over de waardering en het gebruik van magazines.
Lezers zien magazines/ tijdschriften nog altijd als een ontspannen moment en een cadeautje voor zichzelf. Ruim 50% vindt magazines wél een medium van deze tijd. Ongeveer een derde van de lezers zegt de adverteerders in hun favoriete magazine te vertrouwen. Een ruime meerderheid hoopt dat er altijd magazines zullen zijn (minder dan 10% is het daarmee oneens) en dat zijn vaker vrouwen dan mannen. Met name vrouwen in de leeftijd van 50-65 jaar (79%) willen magazines niet missen, maar 75% van de jonge vrouwen van 15-24 jaar is het daarmee eens.
Populist politicians around the world have attempted to label mainstream news outlets as purveyors of “fake news”. The results of Kantar’s global 'Trust in News' study has found that those efforts have failed to have their desired impact. In fact, the attacks have only bolstered the standing of many news organizations in the eyes of consumers.
Kantar surveyed 8,000 individuals across the United States, United Kingdom, France and Brazil about their attitudes toward news coverage of politics and elections.
In this new report conducted for us by Peter Field, we take campaigns from the IPA Databank and look at the magazine campaigns to understand their contribution to business effects.
It backs up finding that magazines are better used as part of a long-term strategy. Business effects are amplified in cases where magazines are used in both short and long-term campaigns. Magazine brands continue to play an essential role in the modern marketing communications plan and have a disproportionate effect in delivering new customers, increasing market share and ultimately driving sales. This report looks at how.
We wanted to discover exactly how passions are formed and how consumers support and power them through everyday life. We are not talking hobbies here; we are talking about the very fibres of lifestyle and identity, the things they wouldn’t live without.
With magazines losing more ad spend than they should be, MPA wish to re-launch magazines as ‘Passion’ content, professionally curated. This new strategy positions magazines as a medium that ignites, directs and activates response due to
its trust advantage.
Prouver au marché publicitaire que le presse ça marche ! C’est le pari réussi de l’ACPM qui a dans le cadre de sa stratégie de reconquête, développé un programme d’expertise, “La Preuve”, au service du marché publicitaire en rassemblant dans un unique document les principaux arguments qui rappellent et renforcent les fonctions et les forces de la Presse dans les stratégies médias des agences et des annonceurs.
“La Preuve” a été réalisée grâce aux éditeurs adhérents de l’ACPM et à leurs régies qui ont mis en commun leurs expertises et leurs études. Des sources internationales ont également été reprises pour l’intérêt de leurs arguments. Le document sera mis à jour régulièrement.
7. Du ROI vous échappe !
• Au fur et à mesure que
l’investissement dans les
magazines croît, les ventes nettes
augmentent
• Les ventes supplémentaires que
génèrent les magazines
dépassent largement la baisse
due à l’investissement moindre
dans d’autres médias
• Même quand on double le
budget, les médias magazine ne
se rapprochent même pas du
point de rendements décroissants
(source : Ohal)
12. Entre-temps, Henkel le sait.
Des résultats spectaculaires.
Pour les produits de soins capillaires
Gliss, trois schémas média ont été
modelés :
(a) un investissement de 29 % du
budget TV dans les magazines – ceci
était la stratégie courante
(b) la réduction du budget magazine
à 15 % de celui de la TV
(c) l’augmentation du budget
magazine à 65 % de celui de la TV
Indice de vente
105
86
134
(source : MEC)
16. 1 + 1 = 3 !
Un second média
communique d’autres choses,
qui viennent s’ajouter à ce que
transmet le premier
17. 1 + 1 = 3 !
Le second média
influence et enrichit
le prochain contact avec le premier
18. Les médias magazine en tant que second média sont
efficaces
• Une annonce magazine renforce la puissance de
communication d’un spot TV
• Les magazines communiquent des informations
complémentaires au spot TV
• Magazines + campagne TV = communication plus riche et
complète
• Magazines + TV et/ou on-line = campagne plus efficace
23. Pas bon ? Remboursé !
Quelle assurance !
(source : Meredith)
24. Des alliés. Même au-delà de la vente !
• Une plus grande part budgétaire des magazines entraîne une
augmentation de l’attachement à la marque, tant pour les
budgets plus restreints que plus élevés (+25 % et +72 %
respectivement)
• Les magazines sont le seul type de média à présenter – de
façon conséquente – une corrélation positive entre un
investissement supérieur et des scores supérieurs
d’attachement à la marque
(source : Mindshare, PPA)
25. Alors, qu’est-ce qui vous
retient encore ?
Ça ne peut être les chiffres !
(bron: Mindshare, Ohal, PPA)
Notes de l'éditeur
Car il y a une abondance de preuves indiquant que les médias magazine vendent vos produits et services.
C’est dû au ‘internal pacing’ (qui fait que la publicité n’est pas intrusive) et à la sélectivité du média ; le public s’attend à recevoir et reçoit un contenu pertinent et adéquat.
Le lien solide entre les marques magazine et leur public se traduit par des taux d’engagement et de confiance élevés.
À travers le monde, des études ont révélé que les utilisateurs réagissent souvent de façon active à ce qu’ils ont vu dans leur magazine : ils visitent des sites Web, demandent des informations et achètent des produits et services. Cela vaut tout aussi bien pour les magazines imprimés que pour les sites Web magazine et les applis mobiles.
L’engagement minimal des médias magazine dans le mix signifie que le plein potentiel ne peut être réalisé.
Le graphique en exemple avec les courbes de réponse média (source : Ohal) est représentatif pour beaucoup de campagnes et montre pour quelle raison nous concluons qu’on investit trop peu dans les magazines.
Comparé aux autres médias, il est clairement visible qu’au-delà du point qui indique l’investissement, la courbe de réponse des magazines est plus raide que celles d’autres médias. Un investissement est évidemment plus rentable lorsqu’il se fait dans la partie raide de la courbe, là où on tire un effet maximal de chaque euro. Quand un média passe le point de rupture dans la courbe, le ROI décroît et d’autres médias sont plus efficaces. À ce moment-là, le choix logique et rationnel est de transvaser du budget vers d’autres médias. Dans cette situation, chaque euro que l’annonceur investit en plus dans les magazines produira plus d’effet que dans n’importe quel autre média.
Le chemin menant de l’orientation à l’achat n’a rien d’un processus linéaire et l’importance de chaque phase dépend du type de produit. Généralement, l’expérience post-achat a un impact considérable sur l’attitude et le comportement futurs. Une bonne expérience peut mener à un attachement à la marque. Ce qui a un effet positif sur les processus d’achats futurs. Le consommateur peut alors devenir un véritable ambassadeur de marque qui influence aussi le chemin de l’orientation à l’achat d’autrui. Par contre, une mauvaise expérience peut signifier que quelqu’un se mue en dissident de marque et dissuade autrui d’acheter. En cette époque de critiques en ligne et de médias sociaux, l’influence de consommateurs ordinaires peut en effet aller loin.
Les médias influencent les consommateurs de différentes façons. Les médias magazine peuvent avoir un impact dans chacune des phases de la consumer journey.
Le chemin menant de l’orientation à l’achat peut être ramené à trois phases :
- considération : qu’est-ce qui est disponible ?
- évaluation : comment comparer toutes les possibilités ?
- achat : quelle est la bonne option pour moi ?
C’est sur ces bases qu’a été réalisée la Media Connections Study*, une étude couronnée pour laquelle on a interrogé 3.000 consommateurs dans trois secteurs (alimentation, beauté et automobile) quant à l’influence des médias** sur leurs décisions d’achat. Dans chaque secteur, les répondants ont cité les publicités dans les médias magazine (print, site Web, appli) comme étant le facteur le plus influent dans au moins deux des trois phases.
L’étude apporte également une réponse à la question : dans chaque secteur, quel média génère le retour sur investissement le plus élevé ?
Dans le secteur alimentaire, la télévision a une part de budget moyenne de 75 %, qui lui permet de réaliser un impact de 20 % sur la consumer journey. Il s’avère que dans ce secteur les magazines obtiennent un score qui est pas moins de 6,7 x supérieur à celui de la télévision. En raison de la part de budget réduite (8 %) et de l’impact relativement élevé (15 %), le ROI des magazines est ici très élevé. Dans ce secteur, l’on-line (4,5 x) et le out-of-home (8,7 x) sont également autrement plus efficaces que la télévision.
Dans les secteurs automobile et de la beauté aussi, il ressort que les médias magazine ont un plus grand impact que la télévision (1,3 et 16,5 x respectivement), et que même par rapport à l’on-line ils se comportent très bien.
En faisant glisser une partie du budget TV vers d’autres médias, surtout les magazines, le ROI des campagnes dans ces secteurs serait considérablement plus élevé.
Dans le premier scénario – démarche classique pour Gliss Haircare –, on a fait appel aux magazines après la campagne TV, en deux vagues de deux semaines. L’effet de vente de ce schéma média avait un indice de 105, le ROI de campagne global (basé sur plusieurs KPIs) fut fixé à 100, le budget était de 129 (100 TV + 29 magazines).
Dans la deuxième stratégie, la campagne magazine, amputée de la moitié du budget, couvrait 2 semaines (au lieu de 4 dans le premier scénario) immédiatement après le volet TV. Le ROI chutait à 92, mais c’est surtout l’effet de vente qui subissait une évolution dramatique : indice 86.
La troisième stratégie donnait de l’ampleur aux magazines pour atteindre 65 % du budget TV. Les résultats sont étonnants. Le ROI de campagne restait inchangé : indice 100. Le fait de doubler le budget magazine par rapport au premier scénario n’a donc pas entraîné de diminution du ROI. Pour les magazines, même avec ce budget-ci il n’était donc pas encore question de rendements décroissants. De plus, l’effet de vente est monté en flèche : d’un indice de 105 dans le premier scénario à 134.
Sur base de 906 (!) analyses de marque, il s’est avéré qu’en moyenne le ROI des quotidiens est supérieur de 64 % à celui de la télévision, tandis que les magazines font près du double de la TV (+97 %). Dans les cases allemands, l’on-line ne s’est vu attribué que 7 % des budgets en moyenne, ce qui a engendré un ROI encore plus élevé. Il n’est pas déraisonnable de conclure qu’une grande partie de ces 906 campagnes auraient gagné en efficacité si l’on avait investi une partie du budget TV dans d’autres médias.
Pour la marque automobile Mercedes, on a spécifiquement analysé l’efficacité de différentes combinaisons de médias par rapport à des KPIs comme la notoriété, le capital sympathie (la ‘likeability’) et la disposition à l’achat. Il a déjà souvent été démontré qu’un mix média plus large engendre une notoriété supérieure, ce qui est aussi le cas ici : l’utilisation de magazines + quotidiens + on-line + télévision a produit la plus forte augmentation de la notoriété. Il est intéressant de constater que pour le capital sympathie et la disposition à l’achat de Mercedes, la combinaison sans la télévision était la plus efficace : magazines + quotidiens + on-line.
Spécifiquement, pour les médias magazine en tant que second média dans des campagnes de télévision et en ligne, d’importants avantages ont été démontrés par rapport aux stratégies mono-média.
Le case de la chaîne de mode espagnole Mango en est un exemple classique. Sur les cinq KPIs mesurés, on a enregistré une amélioration significative de l’efficacité de la campagne TV de Mango grâce à l’ajout des magazines : considération d’achat (+20,9 %), lien avec la marque (Mango est mon premier choix : +39,7 %). L’impact du spot TV même a lui aussi fortement augmenté : jusqu’à 28 % de plus au niveau du souvenir de la marque et du message.
Au niveau agrégé, on a pu le constater dans la base de données Atenea toute entière, lorsque le groupe test ayant vu la campagne magazine a été comparé avec le groupe de contrôle n’ayant vu que la campagne TV : notoriété publicitaire en moyenne +14 % ; notoriété de marque +21 % ; considération d’achat +10 %. En moyenne, la synergie entre les magazines et la télévision a rendu les spots TV plus impactants à concurrence de 16 %.
Cette conclusion a été atteinte dans l’étude BrandScience, qui cherchait à identifier le mix média optimal pour les marques FMCG dans 13 pays européens. Pour les campagnes où les magazines avaient été ajoutés à la télévision, le ROI global a augmenté de pas moins de 33 %, soit d’un tiers. Encore un exemple de la forte synergie qui naît entre les médias dans le mix.
Au bout de l’entonnoir de conversion aussi, lors de la vente proprement dite, les marques magazine ne s’en laissent pas compter : les magazines génèrent des ventes. En tant que média en soi et en tant que partie constituante du mix média. Des tests contrôlés font apparaître des augmentations substantielles dans les ventes de produits suite à des campagnes magazine. Et ce tant pour de nouveaux produits que des produits établis, à court comme à long terme. Les magazines sont le seul média à présenter, de façon conséquente, une corrélation positive entre des dépenses publicitaires plus élevées et une attitude plus positive envers la marque : aux yeux des consommateurs, les marques qui font de la publicité dans les magazines sont les meilleures dans leur domaine.
Il apparaît par ailleurs que les magazines ne se bornent pas à vendre, mais qu’ils le font aussi de façon particulièrement rentable, engendrant ainsi un ROI fort attrayant. Généralement, le ROI des médias magazine s’avère supérieur à celui de la TV, de l’on-line et des quotidiens. Il convient donc de conclure que souvent les campagnes généreraient plus de ventes si l’annonceur augmentait la part des médias magazine (à budget égal).
Dans un rapport récent, BrandScience a rassemblé les résultats de 500 campagnes de marques provenant de 13 pays européens. Le ROI fut défini comme ‘la valeur moyenne de la vente que génère chaque euro investi dans la publicité, média par média’. Les conclusions sont éloquentes :
- pour les produits FMCG, le cinéma enregistre le ROI le plus élevé, suivi des magazines
- dans la catégorie de l’alimentation et des boissons, les magazines possèdent le ROI le plus élevé
- dans la catégorie technologie, les magazines réalisent le ROI le plus élevé.
Dans d’autres catégories de produits aussi, les magazines se classent toujours dans les positions de tête, devançant souvent la télévision. Ici, on observe à nouveau clairement à l’échelle européenne ce que nous avions expliqué au début de cette Mise à jour : un surinvestissement dans un média et un sous-investissement dans les autres implique un mix média sub-optimal.
Une des preuves les plus convaincantes de la puissance de vente des médias magazine est livrée par le case de Meredith Sales Guarantee. Récemment, la maison d’édition américaine a lancé une étude long terme analysant l’impact sur les ventes des investissements dans la publicité magazine.* Sur base des résultats des 31 premières marques, qui suite à la publicité magazine avaient vu grimper leurs ventes de 10 % en moyenne, Meredith a été si sûr de son affaire que l’éditeur a offert aux annonceurs une garantie ‘pas bon, remboursé’.
Meredith collabore avec le panel consommateur de Nielsen HomeScan, qui enregistre les chiffres de vente hebdomadaires avant, pendant et après la période de campagne. Il en découle des résultats impressionnants !
Les 31 marques étudiées ont eu un ROI magazine de $ 7,54. Cela signifie que chaque dollar investi dans les magazines leur a rapporté 7,54 dollars en ventes additionnelles.
Le bonding ou l’attachement à la marque se situe au sommet de la pyramide de la relation avec la marque. On considère que c’est le meilleur annonciateur d’achats réels.