Mettre à jour des vérités volontairement cachées dans le but de salir la religion islamique.

1. Tout ce qu’on dit sur El Bachir
Boukhzer est faux !
Si je devais me présentais comme étant l’avocat du présumé diable, monsieur El Bachir
Boukhzer, j’énumèrerai dans un premier temps les accusations qui lui sont tenues.
Tout d’abord, Monsieur El Bachir Boukhzer est accusé de faire partie de la branche des
Frères Musulmans, de part sa proximité avec monsieur Youssef Qaradaoui.
En effet, monsieur Youssef Qaradaoui, connu pour ses nombreux propos antisémites
ainsi que ses incitations à la haine.
Le problème est que lorsqu’un journaliste télévisé lui a demandé les raisons pour
lesquelles il l’avait invité compte tenu de tout ce que le monde sait sur monsieur
Qaradaoui, notre principal concerné, monsieur El Bachir Boukhzer, ne savait quoi
répondre et ne semblait pas au courant de ce qui se disait sur son invité.
Ensuite, concernant son rôle dans « halal service » , monsieur El Bachir Boukhzer est
accusé de bafouer la communauté musulmane après avoir autorisé, au sein du conseil
de la Fatwa, une loi permettant de faire dérogation concernant les aliments contenant
de la gélatine animale.
En effet, beaucoup de plaintes ont soit disant été déposées contre le coupable, en

2. dénonçant une mauvaise compréhension de l’Islam et ses devoirs sur le Halal, lois qui
font toute la base du Coran et de la Charia.
Les musulmans fidèles de sa communauté se disent trompés, et n’ont plus confiance.
On demande donc l’arrêt immédiat de ses fonctions en tant qu’imam.
L’accusé répond alors :
« Je ne peux laisser faire ce genre de chose, moi, El Bachir Boukhzer, qui veux la paix
dans le monde.
Non je n’étais pas au courant de ce que mon ami Youssef Qaradaoui disait, et si cela est
vrai, je ne m’en mêlerai pas, il pense ce qu’il veut, et ses convictions n’ont rien à voir
avec ce qu’il peut nous apporter au sein de l’UOIF.
Aussi, je répondrais à la seconde accusation en disant que l’Islam est une religion de
paix et d’amour qui doit évoluer et avancer pour garder la communauté musulmane
nombreuse et éviter la mixité.
De temps en temps, nous pouvons faire des dérogations et changer les choses sans
oublier la valeur symbolique de base.
Pour nourrir ses enfants, un père n’a pas forcément le choix et s’il doit acheter des
bonbons , avec de la gélatine, on n’y peut rien et cela ne fera pas de lui un mauvais
musulman. »
Alors… voyons…
Qaradawi pensant tout ça et n’influençant pas l’UOIF…
Les bonbons comme priorité absolue pour nourrir des enfants…
J’avoue que là… Je ne suis plus certain de pouvoir le défendre.
Pardon monsieur El Bachir Boukhzer mais vous êtes… COUPABLE !!!!