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L’agenda des prochaines manifestations
Lundi 29 Juin 2015 au Silo à Marseille
La « Journée Crédit AFDCC »
Le rendez-vous annuel des Credit Managers !
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Du flouze, du flouze, du flouze (sur un air de Michel Jonasz)
Le Poste Client représente 40 % de l’actif des entreprises
Le Crédit INTER-ENTREPRISES représente 600 Mds €
Soit 25 % du PIB
Soit presque autant que l’encours total de crédit bancaire
C’est 2 fois plus qu’il y a 10 ans, malgré la LME
Le coût du financement court terme est au plus bas
MAIS l’accès au crédit de trésorerie est toujours difficile
Les impayés sont la 1ère cause de faillite des Entreprises
Les défaillances d’entreprises restent au plus haut
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Quels enjeux en période de taux faible ?
Quelles sommes représentent 2, 5, 10 jours de DSO ?
Quel est le coût de l’immobilisme :
assurance crédit
affacturage contraint
délai de traitement des litiges, DSO des litiges
Quel est le coût réel d’un incident de paiement
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Les litiges et la gestion dynamique du risque client
Méthode et organisation du traitement des litiges
Comment bien appréhender, mesurer et contenir le risque client
Du bon usage de l’information commerciale et financière
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Regarder les problèmes d’organisation en face
Comptabilité Client
Organisation de la chaîne de facturation, délais induits
Saisie des encaissements et lettrage manuels
Relance Client
Fiabilité des comptes clients
Recherche d’information fastidieuse
Efficacité médiocre de la relance
Trésorerie
Mobilisation de sources de financement du BFR Client
Manque de fiabilité des prévisions d’encaissements
Direction Financière : Présentation du bilan, dégradation du BFR
Direction Commerciale : Divergence d’objectifs : vendre ou se faire
payer ?
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Comment réconcilier trésorerie et crédit client
Fonctions trop souvent cloisonnées
La trésorerie subit les délais de paiement…
… et temporise le paiement des fournisseurs !
Crédit client et Comptabilité client, mauvais couple
L’observatoire de paiement au service des prévisions de trésorerie
Se remettre en tête les chiffres, de quoi parle-t-on
Encours Total de Crédit Bancaire = 695 Md € à fin avril (Banque de France)
C’est 12 fois l’encours de crédit CT mobilisé auprès des banques (~50 Mds)
Loi LME s’essouffle et le délai de paiement ré-augmente depuis 2012
Résultats enquête AFDCC 2014 sur les comportements de paiement des entreprises
Enquête menée depuis 12 ans – cible de 800 entreprises, 150 questionnaires exploités
Impact de la LME s’essouffle depuis 2012 : réduction des délais contractuels compensée par les retards de paiement
Depuis 12 ans le nombre de constats d’une augmentation du DSO n’a jamais été aussi haut
Cette augmentation est majoritairement de 1 à 4 jours (50% des répondants), mais quand même 24 % entre 5 et 9 jours, 18% entre 10 et 14 jours
Enquête à main levée :
Qui constate une augmentation du DSO dans son entreprise depuis 2012
Qui connaît son DPO (délai de paiement frs)
Qui réclame et encaisse les pénalités de retard ? (~20% selon l’enquête)
Pensez vous qu’il faille rendre obligatoire les pénalités de retard ? (~64% selon l’enquête)
Mentionnez vous les 40 € de frais de recouvrement (~90% selon l’enquête) , les réclamez vous ?
Crédit peu cher ?
Eur 3M = - 0,013
Taux de refinancement BCE = 0,05 depuis sept 2014
Floor à Zéro :
C’est-à-dire les banques qui floorent à 0 les Euribor qui sont actuellement négatifs tant sur les court Termes que sur les emprunts LT.
Cf position de l’AFTE
Exact / 360 :
Les banques sont les seules entreprises à croire que l’année ne fait que 360 jours. Dans les prêts l’adoption de cette formule d’un autre âge renchérie les prêts puisque l’on paye entre 5 et 6 jours d’intérêts en plus !
Demander sa notation :
Les banques ont maintenant nos bilans et/ou liasses fiscales, il est donc important de demander sa note interne et surtout l’explication de celle-ci.
Cette note est importante puisqu’elle conditionne le prix des lignes de crédit et/ou des emprunts LT.
Idée de départ : Dénoncer l’idée que l’argent n’est pas cher et que réduire le poste client n’est pas rentable (vision comptable)
Question du coût de l’affacturage plus ou moins contraint pour couvrir les besoins de liquidité (Karine GRALL – Resistex)
Question sur le coût des impayés et des litiges
Impact des impayés sur la trésorerie et la marge de l’entreprise (combien de CA faudra-t-il générer pour éponger un impayé), voire sa survie
Importance de la gestion dynamique du risque client et des litiges
Idée de départ :
courbe de recouvrabilité : après un certain temps, la créance devient quasiment irrécouvrable : souvent un litige non traité et les chances de se faire payer par voie judiciaire sont nulles
Impact des litiges sur le DSO
Méthode et bonnes pratiques
Détection des faux litiges
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Il existe des manières innovantes et efficaces de comprimer le DSO Litige , réduire le temps de résolution des litiges : Réseau sociaux internes , chatters et workflows pour integrer les personnes concernés dans des process interactifs…..
Le risque client est face aux innombrables infos du net ( fausses infos etc…) , faire le tri et developper sa méthodologie « points de risque »
Jongler entre les crédits internes et les assurances crédits..
Le poste client est à la croisée des fonctions opérationnelles et support
Il met en évidence les problèmes de cloisonnement des entreprises, et des Systèmes d’information
Ex : facturation mensuelle sur relevé qui tardent à être transmis par l’exploitation + conditions de paiement légales (45j > + fin de mois le 10)
Comptes clients mal lettrés > balance client pas à jour > relance inefficace
Idée de départ : Evolution du rôle du trésorier (gestion bancaire à gestion globale du cash et des risques, dont risque client)
Tour de table à main levée : le poste client est-il géré par la compta, la finance, un crédit manager ?
Dans les PME, n’y-a-t-il pas la place pour un poste combinant cash et crédit management ? En général on trouve un DAF, un chef comptable et c’est tout.
Dans les ETI & Groupes, comment mieux communiquer entre comptables, trésoriers et crédit manager ?
Comment sécuriser les prévisions de trésorerie quant aux encaissements
Idée de départ : les trésoriers maîtrisent plutôt bien les dépenses (échéanciers FRS), mais pas les encaissements
Mise en place d’un observatoire des paiements
Comment intégrer les encours client et trésorerie de manière fiable
Méthode et retours d’expériences